SNV – Voléna recrute
Découvrez en immersion les métiers chez SNV – Voléna qui recrute partout en France. Fleuron de l’industrie agroalimentaire, ce pô…
On a demandé à l’intelligence artificielle, la fameuse IA, de définir JeViensBosserChezVous. Voici le résultat de notre ami Gemini de Google… Et vous, comment vous nous percevez ? Comment l’IA perçoit votre propre entreprise ? Dites-le nous en commentaires, merci !
L’IA, la fameuse intelligence artificielle a forcément une image de votre propre entreprise. Laquelle ? C’est ce que nous avons testé avec notre média JeViensBosserChezVous en demandant à l’IA de nous définir… En voici le résultat. Merci qui ? Gemini !
Selon Gemini, l’outil de Google AI, « Je viens bosser chez vous est une plateforme innovante qui a pour objectif de mettre en lumière les entreprises et les métiers de manière positive et immersive. En d’autres termes, ils créent des vidéos qui vous plongent au cœur des entreprises pour vous faire découvrir les différents métiers qui y sont exercés.
Voici ce qu’ils proposent concrètement :
En résumé, Je viens bosser chez vous est un média qui utilise la vidéo pour rendre le monde du travail plus transparent et plus attractif. Si vous cherchez à mieux comprendre un métier ou si vous êtes une entreprise qui souhaite valoriser ses talents, je vous invite à découvrir leur plateforme.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter leur site web : https://jeviensbosserchezvous.com/
Et aussi à la question : Comment se déroule une collaboration avec « Je viens bosser chez vous » ? Voici la réponse de Gemini.
Une collaboration avec « Je viens bosser chez vous » est généralement structurée en plusieurs étapes :
Les entreprises qui ont collaboré avec « Je viens bosser chez vous » ont souvent constaté des résultats positifs sur différents indicateurs :
En résumé, collaborer avec « Je viens bosser chez vous » est un moyen efficace de valoriser votre entreprise, d’attirer de nouveaux talents et de renforcer votre marque employeur. Les résultats sont souvent visibles et mesurables, ce qui permet d’évaluer le retour sur investissement de cette action.
Comprendre la valeur ajoutée… « Je viens bosser chez vous » est une plateforme innovante qui a révolutionné la façon dont les entreprises présentent leurs offres d’emploi. En transformant les annonces traditionnelles en vidéos immersives, elle offre une expérience candidat unique et authentique.
En complément 👉 visitez notre chaîne Youtube
Lancée il y a 6 ans, la chaîne Youtube JeViensBosserChezVous JVBCV, « le média du recrutement heureux », comptabilise déjà plus de 10.000 abonnés ! Son équipe bosse l’attractivité et marque employeur des entreprises et de leurs métiers en vidéo. Déjà plus de 350 épisodes en ligne pour 280 entreprises.
Découvrez la chaîneLancée il y a 6 ans par le journaliste économique Géry Bertrande, la chaîne professionnelle Youtube Jeviensbosserchezvous comptabilise déjà plus de 10.000 abonnés ! Son format original et inédit séduit les entreprises qui veulent bosser leur attractivité et leur marque employeur par la vidéo en immersion et en authenticité, en donnant la parole à leurs salariés ambassadeurs, acteurs du quotidien, partout en France et même à l’étranger…
VIDéO D’ENTREPRISE : POURQUOI IL VOUS FAUT UN SCéNARIO
L’écriture du scénario permet d’organiser tous les éléments utiles au tournage. Écrire un scénario ? Pour des vidéos d’entreprise authentiques et originales qui servent l’attractivité et la marque employeur ? C’est parti !
Écrire un scénario ? Pour des vidéos d’entreprise authentiques et originales qui servent l’attractivité et la marque employeur ? L’idée peut paraître farfelue, voire un peu prétentieuse. Mais pas du tout. Une vidéo de 3 à 5 minutes mérite un scénario, tout autant qu’un film sur grand écran. La clé, c’est d’écrire noir sur blanc « Qui dit quoi, où et quand ? » Ce document de travail de 2 à 3 pages, que l’on peut aussi appeler script ou déroulé, est la colonne vertébrale de votre projet. Prêt pour l’écrire ensemble ?
Rédiger le préambule du scénario
Raconter une histoire, oui, mais quelle histoire ?
Construire la structure du scénario
Les 8 commandements du scénario
Le scénario est le document de référence utilisé par tous les protagonistes du projet. Ceux qui seront présents sur le tournage, comme ceux qui ont participé à sa préparation. Tout ce qui est important doit être indiqué, de manière ultra-synthétique dans ce script. Avec le préambule, vous préparez déjà le déroulé de la vidéo en déblayant ce qui doit rester hors-champ.
L’objectif de la vidéo : résumez l’objectif visé en introduction du document. Qu’est-ce que vous cherchez à résoudre ou à améliorer en créant cette vidéo ou ce Podcast ? Quand vous doutez sur le contenu du scénario, revenez à cet objectif.
Les messages clés : choisissez-en 3, maximum, qui devront absolument être transmis. Ce peut être un message clé par personne qui prend la parole ou trois messages transversaux.
Ce que ne sera pas votre vidéo : indiquez en 2 phrases les termes que vous ne souhaitez pas employer. Le fait de les écrire permet de l’évacuer. Cette « zone rouge » doit être connue de tous. Elle est à mentionner dans le document de scénario que tout le monde doit avoir a la main.
On ne peut pas tout dire dans une vidéo de 3 à 5 minutes. Le fil rouge, c’est l’histoire que vous allez raconter. Il y a un début, une fin et des rôles clairs pour chacun des personnages. Celui, ou celle, qui présente l’entreprise, la personne qui explique son métier… Un personnage qui joue son propre rôle sera le plus convaincant 😉 Choisissez des personnalités qui vont s’exprimer avec le cœur, le plus naturellement possible. Ce ne sont pas toujours les personnes les plus loquaces au quotidien.
Une histoire, c’est de l’intrigue, des surprises et même du suspense. Les anecdotes et le vécu doivent tenir en haleine. On n’est pas dans un catalogue d’éléments de langage.
Un scénario se découpe en scènes et en dialogues.
Les scènes. Une scène est une séquence vidéo qui se filme au même endroit. Vous pouvez avoir 3 à 4 scènes pour une vidéo de 3 à 5 minutes. Elles se tournent dans des lieux différents. Intérieur, extérieur, magasin, arrière-boutique, atelier de fabrication, laboratoire R&D… Le lieu peut aussi être mobile en prenant place dans un 33 tonnes, ou une camionnette de livraison, selon votre activité.
Les images tournées pourront servir d’illustration aux propos d’une interview filmée dans un endroit statique.
Les dialogues. Pour une vidéo d’entreprise, on vous conseille d’adopter la forme d’un échange entre deux personnes, plutôt qu’un monologue. Le scénario précise la question qui est posée à la personne interviewée, ça c’est facile. La réponse peut également être rédigée, mais ce qui compte, ce sont les mots-clés qui seront à mémoriser. Le but n’est pas d’apprendre une leçon et de la réciter, mais de s’assurer qu’à travers tout ce qui est dit, les messages soient bien transmis.
La mémoire visuelle aide à se souvenir de mots-clés ou images, pictos, plutôt que de longues phrases.
De tout dire, tu n’essaieras pas. Tout ne passera pas dans le temps de la vidéo qui doit être courte pour accrocher, interpeller et donner envie. Ne vous interdisez pas de faire plusieurs vidéos, lancez-vous dans une série à la Netflix.
« À qui tu t’adresses », tu te rappelleras. Impossible de parler à tout le monde en même temps. Il faut penser la vidéo comme un tête-à-tête.
À la place du spectateur, tu te mettras. Montrez au maximum ce que l’on aime découvrir soi-même (coulisses, astuces, anecdotes…). On aime le plus souvent regarder des vidéos dynamiques qui nous surprennent à des moments précis.
Tu ne te justifieras pas. Expliquer ne veut pas dire se justifier, ni même chercher à convaincre. L’objectif est de se dévoiler tel que l’on est vraiment.
La vidéo « publicitaire », tu éviteras. Une vidéo est un voyage pour faire vivre l’entreprise de l’intérieur. On aime découvrir ce qui se cache derrière une enseigne, plutôt que de regarder des spots publicitaires.
Aux exemples et anecdotes, tu penseras. Plus on est concret, mieux on est compris, surtout de personnes à qui vous avez envie d’expliquer votre métier.
Tu changeras de décor. Chaque scène se tourne dans un endroit différent. De préférence, des lieux qui ne se ressemblent pas, pour montrer toutes les facettes de l’entreprise.
Tu ne feras pas du scénario les Tables de la loi. Un scénario est un guide, mais ce n’est pas du « par cœur ». Il permet de rassurer tout le monde, et d’abord le réalisateur, mais il laisse de la place aux aléas et à la surprise.
Avant de construire le scénario, écrivez sur un Post-it au-dessus de votre bureau cette citation de Nicolas Boileau « Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément ». Et hop, lancez-vous.
Écrire un scénario ? Pour des vidéos d’entreprise authentiques et originales qui servent l’attractivité et la marque employeur ? L’idée peut paraître farfelue, voire un peu prétentieuse. Mais pas du tout. Une vidéo de 3 à 5 minutes mérite un scénario, tout autant qu’un film sur grand écran.
Rédiger le préambule du scénario
Raconter une histoire, oui, mais quelle histoire ?
Construire la structure du scénario
Le scénario est le document de référence utilisé par tous les protagonistes du projet. Ceux qui seront présents sur le tournage, comme ceux qui ont participé à sa préparation. Tout ce qui est important doit être indiqué, de manière ultra-synthétique dans ce script. Avec le préambule, vous préparez déjà le déroulé de la vidéo en déblayant ce qui doit rester hors-champ.
L’objectif de la vidéo : résumez l’objectif visé en introduction du document. Qu’est-ce que vous cherchez à résoudre ou à améliorer en créant cette vidéo ou ce Podcast ? Quand vous doutez sur le contenu du scénario, revenez à cet objectif.
Les messages clés : choisissez-en 3, maximum, qui devront absolument être transmis. Ce peut être un message clé par personne qui prend la parole ou trois messages transversaux.
Ce que ne sera pas votre vidéo : indiquez en 2 phrases les termes que vous ne souhaitez pas employer. Le fait de les écrire permet de l’évacuer. Cette « zone rouge » doit être connue de tous. Elle est à mentionner dans le document de scénario que tout le monde doit avoir a la main.
On ne peut pas tout dire dans une vidéo de 3 à 5 minutes. Le fil rouge, c’est l’histoire que vous allez raconter. Il y a un début, une fin et des rôles clairs pour chacun des personnages. Celui, ou celle, qui présente l’entreprise, la personne qui explique son métier… Un personnage qui joue son propre rôle sera le plus convaincant 😉 Choisissez des personnalités qui vont s’exprimer avec le cœur, le plus naturellement possible. Ce ne sont pas toujours les personnes les plus loquaces au quotidien.
Une histoire, c’est de l’intrigue, des surprises et même du suspense. Les anecdotes et le vécu doivent tenir en haleine. On n’est pas dans un catalogue d’éléments de langage.
Un scénario se découpe en scènes et en dialogues.
Les scènes. Une scène est une séquence vidéo qui se filme au même endroit. Vous pouvez avoir 3 à 4 scènes pour une vidéo de 3 à 5 minutes. Elles se tournent dans des lieux différents. Intérieur, extérieur, magasin, arrière-boutique, atelier de fabrication, laboratoire R&D… Le lieu peut aussi être mobile en prenant place dans un 33 tonnes, ou une camionnette de livraison, selon votre activité.
Les images tournées pourront servir d’illustration aux propos d’une interview filmée dans un endroit statique.
Les dialogues. Pour une vidéo d’entreprise, on vous conseille d’adopter la forme d’un échange entre deux personnes, plutôt qu’un monologue. Le scénario précise la question qui est posée à la personne interviewée, ça c’est facile. La réponse peut également être rédigée, mais ce qui compte, ce sont les mots-clés qui seront à mémoriser. Le but n’est pas d’apprendre une leçon et de la réciter, mais de s’assurer qu’à travers tout ce qui est dit, les messages soient bien transmis.
La mémoire visuelle aide à se souvenir de mots-clés ou images, pictos, plutôt que de longues phrases.
De tout dire, tu n’essaieras pas. Tout ne passera pas dans le temps de la vidéo qui doit être courte pour accrocher, interpeller et donner envie. Ne vous interdisez pas de faire plusieurs vidéos, lancez-vous dans une série à la Netflix.
« À qui tu t’adresses », tu te rappelleras. Impossible de parler à tout le monde en même temps. Il faut penser la vidéo comme un tête-à-tête.
À la place du spectateur, tu te mettras. Montrez au maximum ce que l’on aime découvrir soi-même (coulisses, astuces, anecdotes…). On aime le plus souvent regarder des vidéos dynamiques qui nous surprennent à des moments précis.
Tu ne te justifieras pas. Expliquer ne veut pas dire se justifier, ni même chercher à convaincre. L’objectif est de se dévoiler tel que l’on est vraiment.
La vidéo « publicitaire », tu éviteras. Une vidéo est un voyage pour faire vivre l’entreprise de l’intérieur. On aime découvrir ce qui se cache derrière une enseigne, plutôt que de regarder des spots publicitaires.
Aux exemples et anecdotes, tu penseras. Plus on est concret, mieux on est compris, surtout de personnes à qui vous avez envie d’expliquer votre métier.
Tu changeras de décor. Chaque scène se tourne dans un endroit différent. De préférence, des lieux qui ne se ressemblent pas, pour montrer toutes les facettes de l’entreprise.
Tu ne feras pas du scénario les Tables de la loi. Un scénario est un guide, mais ce n’est pas du « par cœur ». Il permet de rassurer tout le monde, et d’abord le réalisateur, mais il laisse de la place aux aléas et à la surprise.
Avant de construire le scénario, écrivez sur un Post-it au-dessus de votre bureau cette citation de Nicolas Boileau « Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément ». Et hop, lancez-vous.
ATTRACTIVITé
Comment bosser et booster votre attractivité et votre marque employeur au fil du temps ? Notre guide « 50 nuances de posts pour faire vivre votre marque employeur à l’année » vous aide…
Faire vivre sa marque employeur et la nourrir tout au long d’une année demande de l’attention, de la concentration mais aussi de l’organisation. Votre community manager est à court d’idées ? Ah, vous n’en avez peut-être pas en fait. Au grands mots, les gros remèdes. Pas de panique. Tous les prétextes sont bons. Toutes les occasions sont belles, ou presque. Attention aux pièges à éviter !
Notre guide « 50 nuances de posts pour faire vivre votre marque employeur à l’année » est comme une boussole, édité pour vous après des heures et des heures d’observation. Non pas un énième recueil publicitaire ! Un guide, un vrai, à imprimer parce qu’on aime le papier qui ne s’use que si l’on s’en sert.
Le principe : vous donner des idées pour garder la ligne (éditoriale) sur 12 mois. Comme un programme d’entraînement sportif, ce guide-coach vous veut du bien.
Nous aurions pu créer un jeu de 54 cartes, mais il existe déjà. Notre comité éditorial a préféré 50 nuances de posts (et 1 bonus) pour 52 semaines de l’année. Parce que, oui, vous aurez droit à deux semaines de répit. Votre objectif : faire parler de votre boîte, vous rendre intéressant. À ne pas confondre avec faire l’intéressant…
Alors, prêts ? Faites savoir votre savoir-faire, postez !
Entretien avec le journaliste économique Géry Bertrande (alias Géryoutubeur), fondateur et animateur du concept JeViensBosserChezVous #JVBCV.
Entretien avec le journaliste économique Géry Bertrande (alias Géryoutubeur), fondateur et animateur du concept JeViensBosserChezVous #JVBCV. Depuis 2018, son équipe bosse l’attractivité et la marque employeur des entreprises et des organisations de toutes tailles et de tous secteurs, grâce au média vidéo, réseaux sociaux et Youtube. Zoom sur une belle aventure entrepreneuriale en équipe, partout en France et même au-delà.
Temps de lecture : 8 min
> Article publié dans le cadre d’une newsletter adressée par Hachette x Bpifrance à 30.000 enseignants de France
Journaliste de profession, Géry, tu as décidé de créer ton entreprise il y a 4 ans maintenant. Un concept inédit associé à une chaîne Youtube : Je Viens Bosser Chez Vous. Quel a été le déclic ?
A force de côtoyer des entrepreneurs et de visiter des entreprises pour valoriser leurs actualités pendant une vingtaine d’années, ce quotidien m’a donné envie de me lancer dans l’entrepreneuriat. Je voyais bien qu’il me fallait également réinventer mon métier, à l’époque très lié à la presse écrite. La vidéo représente aujourd’hui 80% du flux média web. En tant qu’homme de projets et de réseaux, il fallait passer à l’action !
D’où est née l’idée de ton concept Je Viens Bosser Chez Vous ?
Géry : J’avais envie de créer mon propre média, de partager ce que je voyais au quotidien dans les entreprises dynamiques. J’avoue que j’en avais un peu marre aussi d’entendre des dirigeants me confier qu’ils n’avaient pas d’image de leur boîte, qu’ils galéraient à recruter… Tout le monde ne s’appelle pas Airbus ! L’immersion et l’authenticité ont guidé la création du concept. Des émissions m’ont aussi inspiré. Souvenez-vous de StripTease : une caméra filme le quotidien des « vrais » gens. Sans commentaire. Il me fallait trouver ma voie et proposer une adaptation au monde professionnel. Le leitmotiv de notre équipe : faire les lignes et faire le job. Partager le quotidien de celles et ceux qui bossent pour donner envie de travailler.
Comment s’est passée la création de l’entreprise ? Quels conseils à donner ?
Géry : C’est assez paradoxal. Mûrement réfléchi, le lancement s’est fait un peu sur un coup de tête. Il fallait se lancer. Pas de conseil à donner, si ce n’est d’oser et de croire en ses rêves. Après tout, qu’a-t-on à perdre à essayer ? Pas grand chose finalement… Parler de ses projets à son entourage, personnel comme professionnel, permet de confronter ses idées, des les challenger et de tracer sa route avec des jalons importants et un réseau. Ceux qui veulent vous aider se manifesteront naturellement.
Pourquoi avoir créé une chaîne Youtube ?
Géry : Youtube s’est imposé rapidement. La plateforme reste le n°1 mondial. Mettre un peu de pro au milieu des vidéos d’humour, de santé, beauté, bien-être, voyage… ça ne fait pas de mal non ? Bon d’accord, on est encore une goutte d’eau dans cet océan, mais le public tombe forcément sur nous ici. C’est gagné !
Quel bilan 4 ans après ?
Géry : Le bilan est très positif. En moyenne, depuis 4 ans, nous produisons et diffusons un épisode chaque semaine sur nos réseaux : Youtube, mais aussi Linkedin, Facebook, Twitter, Instagram et notre site web. Je vous laisse compter le nombre de jobs ainsi testés et mis en lumière. Ils sont souvent méconnus. Qui connaît le métier de pointeur, celui de formaliste, de tourier… ? Sans compter nos formats spéciaux, moins visibles, créés et personnalisés aux couleurs et à l’image de nos clients. Ils sont nombreux, de toutes tailles, de tous horizons et secteurs. Notre format s’adapte à tous. J’en profite d’ailleurs pour les remercie de leur fidélité. Je vais vous faire une confidence : nous ne les démarchons pas. C’est notre production qui fait notre prospection. Autant vous dire que nous sommes visibles et surtout nos clients à travers nous. Quel plaisir et quel confort de travailler avec et pour des personnes qui ont envie de bosser avec vous ! Ensemble, nous tissons des liens forts.
Quels retours ont-ils de leur côté ?
Géry : Là aussi, les retours sont bénéfiques, notamment en terme de marque employeur. Nous n’avons pas de baguette magique : nous n’allons pas recruter à leur place. Aux DRH, nous disons : « Arrêtez de chercher à recruter ! Bossez plutôt votre attractivité. » Et ça marche ! Des « candidats improbables » ou qui s’ignorent, comme je les appelle, marquent un intérêt parce qu’ils ont vu leurs futurs collègues, environnement de travail… Après, c’est leur job de les recruter et les fidéliser. Nos clients bénéficient de plusieurs caisses de résonance : d’abord la leur, mais aussi celle de leurs salariés (plus enclins à partager une vidéo dans laquelle ils sont acteurs), la nôtre à travers nos communautés et celle de nos partenaires.
Quelles sont vos perspectives à présent ?
Géry : Aujourd’hui, le concept s’élargit. Techniquement d’abord : vidéos originales, mais aussi podcasts, photos, événements d’entreprises, drone extérieur comme intérieur… Et puis l’équipe s’est agrandie. Dès l’origine, j’avais à coeur d’incarner dans ma propre entreprise la diversité de la Société dans laquelle nous vivons. Cela passe par un alter ego féminin, devant la caméra : Laetitia, basée à Lille, fait désormais rayonner la marinière JVBCV. D’autres nous rejoindront, dans d’autres régions, pourquoi pas à l’international… Notre duo a d’ailleurs entamé un tour de France de l’agroalimentaire, sous forme de websérie. Nous formons aussi des « salariés ambassadeurs » de leur entreprise, de futurs Youtubeurs internes au cœur même des organisations pour les valoriser. Et puis, derrière les caméras, œuvre une équipe de professionnels engagés : des femmes et des hommes de l’ombre, au talent immense. Ce sont des emplois que nous portons avec fierté. Au total, JVBCV représente aujourd’hui une dizaine de personnes.
Se recevoir les uns les autres à distance, par visio interposée, personne n’y était préparé. On a tous rebondi pour que la vie continue. C’est la même chose en entreprise. Le télétravail s’est organisé au pied levé partout où c’était possible.
Se recevoir les uns les autres à distance, par visio interposée, personne n’y était préparé. On a tous rebondi pour que la vie continue. C’est la même chose en entreprise. Le télétravail s’est organisé au pied levé partout où c’était possible. Mais qu’en était-il des moments en marge du cœur du travail : inaugurations, lancements, visites d’entreprise… ?
> Temps de lecture : 4 min
Inauguration, lancement de produits, visite d’entreprise… Comment organiser autrement ces temps forts que l’on aime vivre les yeux dans les yeux ? Passé la frustration du « c’était bien mieux avant », c’est l’heure du « et si l’on pouvait maintenant organiser notre événement et convier plus de monde ».
Présenter un nouveau produit, c’est comme l’annonce d’un premier né dans la famille. On est tellement fier que l’on souhaite le montrer à tout le monde. Il y a toujours eu des absents à la fête qui étaient pris ailleurs et l’on ne s’en offusquait pas. Aujourd’hui, on se demande comment faire pour qu’un plus grand nombre soit de la partie qu’importe leur localisation. Penser à ceux qui sont loin devient un réflexe.
Lorsque c’est possible, envoyer un échantillon du produit par La Poste et fixer l’heure à laquelle chacun ouvre le paquet au même moment. Une séquence en visioconférence, avec un kaléidoscope de visages peut être filmée et utilisée pour la communication interne comme externe.
Un nouveau bâtiment ou de nouvelles machines, l’envie est tout aussi grande de partager le moment avec un grand nombre d’invités. L’idée de l’inauguration, c’est d’emmener les personnes se promener dans ce nouvel univers. Pour recréer le principe d’une « balade » à distance, tout repose sur le mouvement. Vidéos « vues du ciel », visite virtuelle en avançant par clic de souris, mais aussi chasse au trésor. Ces différents formats permettent de faire vivre l’événement en direct ou de choisir le moment de la découverte.
Les outils de visite de type drone ou réalité virtuelle sont tout autant utiles pour offrir des visites d’entreprises aux étudiants en recherche d’une alternance. Ajoutez à cette plongée visuelle dans l’entreprise des temps d’échange approfondis pour créer le lien. En trouvant une alternative à un échange en face à face de visu, celles et ceux qui ne peuvent se déplacer le jour dit peuvent y participer.
Ce n’est pas toujours dans les vieux pots que l’on réalise les meilleures soupes. Il faut savoir changer de recette pour enclencher une reconquête. On peut le regretter et y aller à reculons au départ… mais c’est au final la réinvention des formats qui crée un nouvel engouement. Plutôt que de mettre les projets en stand by en attendant des jours plus cléments, osons tout. Chacun avec son budget. C’est la créativité et l’originalité plus que les moyens investis qui comptent. On n’a rien à perdre, mais tout à gagner avec des retombées auxquelles on n’aurait pas pensé.
Racontez-nous vos meilleurs événements à distance. Partagez vos bonnes idées !
Géry, Youtubeur d’entreprise, toujours en marinière, en mode On ou Off.
👉 Je viens bosser chez vous a une chaîne Youtube et un tout nouveau site internet avec plein de choses dessus, et pas que des vidéos. A lire aussi, notre article : « A qui tendre le micro ? »
Les salariés sont vos meilleurs ambassadeurs et ambassadrices sur les réseaux sociaux… bla bla bla bla… On a lu cela 100 fois.
Les salariés sont vos meilleurs ambassadeurs et ambassadrices sur les réseaux sociaux… bla bla bla bla… On a lu cela 100 fois. Aujourd’hui, parlons en toute transparence du dessous des cartes.
> Temps de lecture : 5 minutes
Faut-il nommer les ambassadeurs comme au Ministère des Affaires étrangères ? Ou accompagner l’émergence d’un réseau agile de nouveaux consuls ? Une chose est certaine. L’entreprise qui veut construire un empire sur LinkedIn en levant une armée de fantassins risque plutôt de compter les déserteurs.
Sur toute une vie, LinkedIn est un avant tout un espace sur lequel on est ambassadeur de soi-même. Et c’est LA bonne stratégie pour provoquer des opportunités professionnelles. Celles et ceux qui initient des programmes de salariés ambassadeurs le font pour eux-mêmes lorsqu’ils changent de poste 😉 Halte à ce non-dit de l’Employee Advocacy. Quand la visibilité du collaborateur et celle de l’entreprise font un « bout de chemin » ensemble, c’est toujours en bonne intelligence.
Qu’ils travaillent pour des TPE, de belles PME ou de grands groupes, les salariés n’ont jamais demandé d’autorisation à leur employeur pour créer un profil LinkedIn. De nombreuses personnes le créent d’ailleurs lorsqu’ils sont entre deux postes.
Le profil LinkedIn est un passeport individuel « sacré ». Seul LinkedIn peut le confisquer si les règles d’usage de la plateforme ne sont pas respectées.
Qui ne s’est pas posé, en tant que salarié, la question : est-il opportun de liker le Post d’une entreprise du même secteur ou d’un ancien collègue ? Qui peut le voir ? Est-ce que cela ne va pas être mal vu ? Si je mets à jour mon profil, mon boss ou mon DRH va-t-il croire que je veux partir ?
Ils sont libres d’agir et d’interagir sur LinkedIn à leur guise. Liker, commenter, publier et partager. Entrer dans des discussions publiques, voire même, polémiquer et faire un bad buzz. Ils ne rendent de compte à personne.
Lorsque l’on rejoint une entreprise, il est courant d’ajouter son nouveau poste. On le met même souvent en avant en le faisant savoir à son réseau. Le profil individuel est rattaché à l’entreprise et réciproquement.
Le réseau de contacts et la messagerie privée resteront toujours du ressort de l’individu. Chacun le nourrit et noue des échanges individuels en toute confidentialité. C’est la botte secrète moderne pour sécuriser un parcours professionnel sur le long terme. Mais qu’en est-il pour les interactions publiques lorsque l’on change de crèmerie ?
À la différence des échanges en messagerie privée, les likes et les publications des salariés sont visibles par tous, et donc par ses nouveaux managers (et managés). L’objectif d’être actif sur LinkedIn de manière publique est d’ailleurs justement d’être vu et de montrer aux autres qu’on les voit. Mais le fait-on alors toujours en son nom ou au nom de son nouveau pays d’adoption ?
Les likes et les publications rejoignent-ils symboliquement le giron de la nouvelle entreprise ? Au regard des usages constatés dans cette nouvelle entreprise, peut-on se sentir privé d’une liberté d’expression que l’on avait dans une entreprise ou une vie pro précédente ? Combien de salariés osent conserver une liberté de parole complète quand l’entreprise ne l’encourage pas ?
On peut à l’inverse dans ce nouveau poste, avoir davantage envie de prendre le micro pour ce nouvel employeur qui nous donne des ailes. Et c’est là que l’on devient consul, sans même savoir, que l’on a devant soi une carrière d’ambassadeur.
On peut devenir un ambassadeur officiel ou rester un consul officieux. Tout dépend de l’approche et de la posture du programme ambassadeurs de l’entreprise. Nous vous partageons plusieurs retours d’expérience dans notre revue de presse ci-dessous (Capital, Agefi Hebdo, Le Temps, Infopresse).
Aïe ! C’est le sujet tabou ! Pourtant c’est la vie. Et c’est la raison pour laquelle il ne faut pas tout miser sur une élite autorisée à prendre la parole pour l’entreprise. Plus la visibilité est répartie, moins elle sera déstabilisée lorsque les forces en présence évoluent.
On n’aime pas perdre un bon élément. Encore moins s’il portait une part de l’image de l’entreprise sur les réseaux sociaux. Pour autant, les personnes actives avec des communautés dynamiques sortent, tout comme elles entrent, dans les entreprises. Quand c’est dans le « bon » sens, cela est moins gênant. La prise de parole sur les réseaux sociaux fait partie du portefeuille de compétences. Un collaborateur qui en est doté sera réticent à rejoindre une entreprise qui a l’image ou la réputation de « driver » un peu trop ce que les salariés ont le droit de dire ou pas.
Les départs et les arrivées de salariés ne sont pas chose nouvelle. Avec les réseaux sociaux, c’est certes davantage visible. Mais il n’y a pas de drame. Combien de professionnels restent toute une vie dans la même entreprise ? Il y en aura de moins en moins.
On sait tous se servir d’un téléphone pour téléphoner. Mais pour les options avancées des applications, ça se discute. C’est la même chose pour LinkedIn. A la différence que tout le monde peut y observer vos habiletés, puisque (presque) tout est public.
Un profil LinkedIn rempli trop rapidement ne fait pas bonne impression. Une maîtrise aléatoire des @, des # et des 👍 limite les retombées positives de l’activité. Un mauvais réglage des préférences peut générer des frictions.
Des collaborateurs bien outillés, ce sont des ressources qui n’ont pas envie de quitter le navire. Un matelot qui veut changer de flotte n’attend pas d’être formé par son employeur pour aller proposer ses services ailleurs.
Voyez la communauté des consuls et des ambassadeurs volontaires comme une équipe à échelle variable dans laquelle chacun se sent invité. Pour autant, on peut y prendre part plus ou moins intensément sans craindre un blâme ou une exclusion.
Bref tout cela doit rester fun !
« Stratégie employés-ambassadeurs: 2 exemples (Amazon et Kanuk), 1 grande leçon » – Article de Renaud Margairaz pour Infopresse.
https://www.infopresse.com/article/2019/11/21/programme-d-employes-ambassadeurs-3-lecons-a-retenir
« Ils « tweetent » pour leur employeur » – Article de Lucile Chevalier pour L’AGEFI Hebdo (07/03/2019)
https://www.agefi.fr/emploi/actualites/hebdo/20190307/ils-tweetent-leur-employeur-268857
« Ces employés qui jouent les influenceurs pour leur entreprise » – Article de Julie Eigenmann pour Le Temps (13/09/2019).
https://www.letemps.ch/economie/employes-jouent-influenceurs-entreprise
« Et si vos employés devenaient les ambassadeurs de votre marque ? » – Article de Julie Krassovsky pour Capital (17/03/2020).
Mon 5e podcast #jeviensbosserchezvous en compagnie d’Aline Jalliet, chanteuse, coach de la voix et consultante formatrice certifiée Tomatis®, directrice du centre Écoute & Voix de Rennes, mais aussi auteure de « La Voix de son Être » (L’Harmattan, juin 2017).
Mon 5e podcast #jeviensbosserchezvous en compagnie d’Aline Jalliet, chanteuse, coach de la voix et consultante formatrice certifiée Tomatis®, directrice du centre Écoute & Voix de Rennes, mais aussi auteure de « La Voix de son Être » (L’Harmattan, juin 2017).
Dans ce podcast, on partage son parcours, ses convictions et valeurs, mais aussi des conseils pour bien poser sa voix et notamment dans des situations vécues en entreprise.
🎙Excellente écoute à vous et à bientôt pour de nouveaux partages d’expériences et entretiens d’ébauche de profils ! rHespire-Inspire…
▶️ En savoir plus sur Aline Jalliet : www.tomatis-rennes.fr
▶️ Ce podcast disponible en vidéo 🎥 youtu.be/vs41AVhb_UQ
(SaintJames® est l’habilleur officiel de Géry – Jeviensbosserchezvous®)
25ème Podcast #Jeviensbosserchezvous : Nouvelle série avec Aline Jailliet 🗣 « COMMENT ÇA VOIX ? » est une nouvelle série lancée et co-animée avec ma complice Aline Jalliet, coach de la voix parlée et chantée, formatrice Tomatis et chanteuse lyrique, fondatrice d’Ecoute&Voix.
25ème Podcast #Jeviensbosserchezvous : Nouvelle série avec Aline Jailliet 🗣 « COMMENT ÇA VOIX ? » est une nouvelle série lancée et co-animée avec ma complice Aline Jalliet, coach de la voix parlée et chantée, formatrice Tomatis et chanteuse lyrique, fondatrice d’Ecoute&Voix. Nous vous proposons de travailler et d’apprendre à poser notre voix ensemble.