SNV – Voléna recrute
Découvrez en immersion les métiers chez SNV – Voléna qui recrute partout en France. Fleuron de l’industrie agroalimentaire, ce pô…
Les entreprises industrielles embauchent ! En 2024, plus de 182.500 recrutements sont prévus dans le secteur de l’industrie et des services à l’industrie, selon une enquête de l’Usine nouvelle qui liste les 100 plus gros recruteurs de l’année.
C’est du jamais vu ! La filière industrielle recrute à tours de bras cette année. Les entreprises de l’industrie et des services industriels ont recensé plus de 182.500 projets de recrutements en 2024, contre 169.000 en 2020*. Les 10 premiers cumulent même 100.000 embauches prévisibles. Parmi eux, en tête, la SNCF compte 20.000 postes à pourvoir. « 74% des entreprises interrogées anticipent des créations nettes d’emplois« , précise L’Usine nouvelle.
Dans ce classement, on trouve aussi le groupe de luxe LVMH (15.200 embauches prévues) aux multiples enseignes. Au coude à coude, sur la 3e marche du podium, on trouve le groupe Vinci et ses nombreuses activités dans la construction et le BTP comme Vinci Facilities avec 15.000 projets d’embauches cette année. Suivent (dans l’ordre) son confrère le groupe Bouygues (11.900 projets), puis Transdev, Capgemini, Engie, Safran, Veolia, le groupe La Poste, Alten, RATP, Sopra-Steria, Stef, Saint-Gobain… Et en bas du tableau, l’expert breton de la maison connectée Delta Dore (40 postes à pourvoir) et le 100e Xylem Water Solutions (30 emplois).
Cette année encore, le plus gros enjeu pour tous ces recruteurs sera de trouver les bons profils, dans un contexte toujours pénurique. Le « produire en France » cher à nos politiques, pour la souveraineté du pays, entraîne son lot de tensions sur le marché de l’emploi, alors que Pôle Emploi vient de se transformer en France Travail. Plus que jamais, l’évolution interne et la mobilité entre les métiers seront d’actualité, tout comme la formation professionnelle. Quant à l’intelligence artificielle, utilisée de plus en plus dans la recherche de candidats, elle peine encore à faire ses preuves.
La baguette magique n’existe pas en termes de recrutements. L’attractivité reste l’atout majeur des recruteurs pour attirer, motiver et convaincre les candidats à l’emploi, en partageant ses valeurs et sa vie au travail, en toute transparence et le plus possible en authenticité et sincérité. Pour cela, l’image et notamment la vidéo en immersion restera le média numéro 1 cette année.
Sur une décennie, les besoins de main d’oeuvre industriels restent énormes. Ce serait 1,3 million de postes à pourvoir dans les 10 ans à venir, a calculé le Gouvernement. C’est d’ailleurs le chiffre d’offres d’emplois publiées l’an dernier dans l’industrie, selon Adecco. Candidats, à vous de postuler !
(*source : étude de L’Usine nouvelle 2024)
ATTRACTIVITé
Comment bosser et booster votre attractivité et votre marque employeur au fil du temps ? Notre guide « 50 nuances de posts pour faire vivre votre marque employeur à l’année » vous aide…
Faire vivre sa marque employeur et la nourrir tout au long d’une année demande de l’attention, de la concentration mais aussi de l’organisation. Votre community manager est à court d’idées ? Ah, vous n’en avez peut-être pas en fait. Au grands mots, les gros remèdes. Pas de panique. Tous les prétextes sont bons. Toutes les occasions sont belles, ou presque. Attention aux pièges à éviter !
Notre guide « 50 nuances de posts pour faire vivre votre marque employeur à l’année » est comme une boussole, édité pour vous après des heures et des heures d’observation. Non pas un énième recueil publicitaire ! Un guide, un vrai, à imprimer parce qu’on aime le papier qui ne s’use que si l’on s’en sert.
Le principe : vous donner des idées pour garder la ligne (éditoriale) sur 12 mois. Comme un programme d’entraînement sportif, ce guide-coach vous veut du bien.
Nous aurions pu créer un jeu de 54 cartes, mais il existe déjà. Notre comité éditorial a préféré 50 nuances de posts (et 1 bonus) pour 52 semaines de l’année. Parce que, oui, vous aurez droit à deux semaines de répit. Votre objectif : faire parler de votre boîte, vous rendre intéressant. À ne pas confondre avec faire l’intéressant…
Alors, prêts ? Faites savoir votre savoir-faire, postez !
#3
JE VIENS BOSSER CHEZ
Découvrez en immersion les métiers chez ENYGEA qui recrute partout en France. Ce groupe lillois, expert des sanitaires mobiles, compte plusieurs enseignes dont WC Loc, Happee Services… Retrouvez toutes les actus de l’entreprise. Eric, Thomas… nous partagent leur vie au travail et évolution.
ENYGEA est LE spécialiste français des sanitaires mobiles, avec ses filiales WC Loc (grand public, BTP), Happee Services (événementiel), etc. Le groupe lillois basé à Englos-Haubourdin (59) et présidé par Hervé Montagne compte 9 marques réputées dont la plus connue est née en 1992 : WC Loc et ses cabines de chantier.
Enygea, ce sont aujourd’hui près de 100 implantations et 750 salariés en France et à l’international. Incubateur de jeunes sociétés, il accompagne aussi des solutions innovantes comme MadamePee (sanitaires féminins), Toopi (récupération et transformation des urines en engrais)…
Agences
99
Création du groupe
2007
Collaborateurs :
750
Recrutement
127 emplois en 2022
Chez Enygea, notre mission c’est l’hygiène partout et pour tous. Notre métier ? Etre des experts en solutions d’hygiène mobiles et temporaires : locations de sanitaires et services associés. Nous sommes spécialisés dans les chantiers et événements.
Nos 750 collaborateurs partagent tous les mêmes valeurs : sens du service, satisfaction client, agilité et proximité. Nous connaissons une forte croissance depuis notre création et disposons aujourd’hui de 90 agences, répartis dans 7 pays (France, Portugal, Belgique, Luxembourg, Italie, Espagne et Canada). Nous rejoindre c’est aussi l’opportunité de rejoindre un groupe aux engagements RSE forts !
Le groupe ENYGEA a fait appel aux équipes de tournage audiovisuel de Jeviensbosserchezvous pour bosser sa marque employeur en vidéo. Un projet qui s’inscrit dans le cadre d’une websérie sur les territoires, à travers ses différentes filiales de prestations.
Les salariés, acteurs du quotidien, témoignent de leur quotidien à micro et caméra ouverts. La vidéo ainsi réalisée et largement diffusée contribue à booster l’attractivité de l’entreprise pour des retombées positives, tant en interne qu’en externe. La vie au Travail, la vraie !
Parce qu’on n’est pas obligé de changer de trottoir pour changer de job… voici des emplois proches de chez vous, testés et approuvés par notre team. Toutes ces entreprises recrutent en proximité, partout en France. Vous aussi, postulez !
partir en régionDans une société où le handicap serait totalement accepté, ce reportage et ces lignes n’auraient pas eu lieu d’être.
Dans une société où le handicap serait totalement accepté, ce reportage et ces lignes n’auraient pas eu lieu d’être. Quoi de plus banal en effet que l’ouverture d’un nouveau bistrot, salon de thé, coffee-chope… appelez-le comme vous voulez ! Même si le handicap est de plus en plus transparent, il y a encore des progrès à faire. A Paris le 21 mars 2017, journée mondiale de la Trisomie21, comme à Rennes en 2017, les nouveaux concepts de Café Joyeux interpellent et vont continuer d’interpeller. Son instigateur, l’entrepreneur breton Yann Bucaille le sait. Son projet n’aurait sans doute d’ailleurs pas pu voir le jour il y a quelques années sans choquer. Il le sent : « C’est le bon moment aujourd’hui, la société est prête… » Et il a décidé de jouer à fond la différence et de s’en jouer au maximum.
Derrière la porte du 14 rue Vasselot, en plein centre-ville historique de Rennes, ou à Paris au 23 rue Saint-Augustin (2e Arr.), sur fond noir et jaune, le Café Joyeux offre d’abord un cadre chaleureux à quiconque veut déguster un café « servi avec le coeur » – ça change tout – ou tout autre boisson, accompagnés de mets sucrés ou salés faits maison (du mardi au dimanche). On remarque à peine les chaussures dépareillées des salariés. La différence se joue ici dans l’humain. Les serveurs et cuisiniers en poste, encadrés par un manager et son second, sont des « assistants joyeux », tous porteurs de handicap : Trisomie21, autisme, etc. Yann Bucaille parle de sa « mission » quand il aborde la question : « Ouvrir le monde ordinaire à la différence ». Et il recrute !
Cette différence qui « doit être au coeur de la ville est souvent mise à l’écart, selon lui. Or, elle est possible en ville ! Et ils ont beaucoup plus à nous apporter que nous. » Il a donc décidé d’en faire un concept. « Un pari », lance cet hôtelier qui emploie, par ailleurs, 150 salariés dans ses divers établissements dont le cinq étoiles Castelbrac, à Dinard. Là où il aimerait aussi afficher davantage de différences dans ses recrutements, mais ça vient…
Handicap & productivité
A Rennes comme à Paris, il se donne « deux à trois ans » pour atteindre l’équilibre économique. Yann Bucaille y a beaucoup investi, sans aide financière et sans en chercher, hormis celle « bienvenue » de l’Agefiph pour tout emploi de travailleur handicapé. « Nous voulons prouver qu’on peut être productif et même rentable avec ce handicap. » Pour Yann Bucaille, 48 ans, ce n’est pas une découverte. Il a créé cette SARL, avec une vraie différence aussi… C’est sa fondation Emeraude Solidaire, née il y a neuf ans, qui est l’actionnaire unique du café Joyeux. « Tous les dividendes seront intégralement reversés à des associations », promet Yann Bucaille qui a déjà offert plus de 400 sorties en mer à des personnes handicapées.
Faire des heureux
C’est d’ailleurs l’une de ses virées en bateau qui lui a donné cette idée heureuse. « Un jeune autiste m’avait demandé un job que je n’avais pas pour lui… » Désormais, il pourra le recruter en espérant multiplier les Joyeux dans d’autres villes ces prochaines années et faire des heureux !
(De ce café comme de ce reportage, on sort avec une expérience de vie enrichie et… l’envie de revenir 😉
Pour fabriquer ses fameux sandwiches dont les triangles et wraps, Daunat (groupe Norac) recrute sur ses quatre sites industriels en France : Bretagne, Bourgogne, Nord et Picardie. Découvrez le métier en vidéo et en immersion avec Fred, conducteur de machines…
La websérie Tour de France de l’agroalimentairePour fabriquer ses fameux sandwiches dont les triangles et wraps, Daunat (groupe Norac) recrute sur ses quatre sites industriels en France : Bretagne, Bourgogne, Nord et Picardie. Découvrez le métier en vidéo et en immersion avec Fred, conducteur de machines…
Une pause sandwich sur la route des vacances ? Vous êtes plutôt triangle, carré ou rond ? On cause sandwich dans cette nouvelle vidéo. Mon coeur balance entre le célèbre sandwich triangle et les wraps. En compagnie de Fred, conducteur de machine aux portes de Guingamp dans les Côtes-d’Armor, je découvre leur fabrication chez Daunat qui recrute.
Bien équipés, nous voilà au cœur de la production. Une tranche de jambon, du fromage, de la sauce ou du beurre et le tour est joué. Dans cette boulangerie XXL, le pain des mini-sandwiches ronds est fabriqué sur place. Celui des triangles provient de La Boulangère, autre enseigne du groupe breton Daunat. Les sandwiches défilent par milliers ici : 300.000 chaque jour ! Tout est automatisé dans ce site de production ultra-moderne, où nos petites mains sont quand même les bienvenues. Contrôle qualité, sécurité et même gustatif… Toutes les deux heures, passage au checkpoint obligatoire.
Fred adore son job en équipe (5 à 6 personnes) et notamment la production à grande échelle. « Ça peut être étonnant comme réponse, mais j’adore savoir que je nourris la population », confie-t-il, sans oublier le « made in France ». Tout un symbole lorsqu’il s’agit de sandwiches, non ? Vous savez, ceux qu’on a plaisir à retrouver par exemple sur les aires d’autoroute l’été…
Pas besoin d’être bardé de diplômes et de qualifications pour bosser ici. En 2 mois, un opérateur peut être formé et opérationnel. Ses horaires ? Le matin de 5h à 13h ; l’après-midi de 13h à 21h, une semaine sur deux. L’agroalimentaire, Fred n’y avait pas pensé mais il s’est dit : « Oui, pourquoi pas ! » Sans regret, pour lui qui est issu de la restauration avec BEP, Bac Pro service (option sommellerie). Rien à voir avec son job actuel, mais « ça peut aider »… Après 13 ans de service en salle et deux années en cuisine, le confinement a été son déclic. « On m’a proposé un CDI, c’était l’occasion de changer… J’ai une meilleure qualité de vie maintenant. » Ses qualités : être organisé, savoir prendre du recul en toutes situations et être de bonne humeur. Fred l’a en permanence ! Demain, il se voit animateur et pourquoi pas responsable d’un atelier, grâce à la formation et l’évolution interne possible. « J’ai de l’ambition ! Je suis motivé », lance-t-il.
Merci à Fred et toute l’équipe de l’entreprise pour leur accueil. Envie de bosser toi aussi chez Daunat ? Postule, l’agroalimentaire et l’entreprise recrutent sur 4 sites en France : en Bretagne mais aussi dans le Nord, en Picardie et en Bourgogne !
✔️ Pour rejoindre la team Daunat 👉 c’est juste ici
🇫🇷 Cette vidéo est le 53e épisode de notre websérie spécial tour de France de l’agroalimentaire. Suivez nos aventures en immersion dans les entreprises de la filière qui recrute partout en France. *Épisode aimablement sponsorisé par l’ABEA, l’Association des Entreprises Agroalimentaires Bretonnes avec le soutien de la @Région Bretagne et du plan France relance
Daunat, qui fait partie du groupe rennais Norac (dirigé par l’entrepreneur Bruno Caron) fait appel aux équipes de tournage vidéo de Jeviensbosserchezvous pour bosser sa marque employeur en vidéo. Un projet qui s’inscrit dans le cadre du tour de France de l’agroalimentaire en partenariat avec le réseau ABEA, l’Association des Entreprises Agroalimentaires Bretonnes, la Région Bretagne et le plan France Relance. Les salariés témoignent de leur quotidien à micro et caméra ouverts. La vidéo ainsi réalisée et largement diffusée contribue à booster l’attractivité de l’entreprise pour des retombées positives.
Entretien avec le journaliste économique Géry Bertrande (alias Géryoutubeur), fondateur et animateur du concept JeViensBosserChezVous #JVBCV.
Entretien avec le journaliste économique Géry Bertrande (alias Géryoutubeur), fondateur et animateur du concept JeViensBosserChezVous #JVBCV. Depuis 2018, son équipe bosse l’attractivité et la marque employeur des entreprises et des organisations de toutes tailles et de tous secteurs, grâce au média vidéo, réseaux sociaux et Youtube. Zoom sur une belle aventure entrepreneuriale en équipe, partout en France et même au-delà.
Temps de lecture : 8 min
> Article publié dans le cadre d’une newsletter adressée par Hachette x Bpifrance à 30.000 enseignants de France
Journaliste de profession, Géry, tu as décidé de créer ton entreprise il y a 4 ans maintenant. Un concept inédit associé à une chaîne Youtube : Je Viens Bosser Chez Vous. Quel a été le déclic ?
A force de côtoyer des entrepreneurs et de visiter des entreprises pour valoriser leurs actualités pendant une vingtaine d’années, ce quotidien m’a donné envie de me lancer dans l’entrepreneuriat. Je voyais bien qu’il me fallait également réinventer mon métier, à l’époque très lié à la presse écrite. La vidéo représente aujourd’hui 80% du flux média web. En tant qu’homme de projets et de réseaux, il fallait passer à l’action !
D’où est née l’idée de ton concept Je Viens Bosser Chez Vous ?
Géry : J’avais envie de créer mon propre média, de partager ce que je voyais au quotidien dans les entreprises dynamiques. J’avoue que j’en avais un peu marre aussi d’entendre des dirigeants me confier qu’ils n’avaient pas d’image de leur boîte, qu’ils galéraient à recruter… Tout le monde ne s’appelle pas Airbus ! L’immersion et l’authenticité ont guidé la création du concept. Des émissions m’ont aussi inspiré. Souvenez-vous de StripTease : une caméra filme le quotidien des « vrais » gens. Sans commentaire. Il me fallait trouver ma voie et proposer une adaptation au monde professionnel. Le leitmotiv de notre équipe : faire les lignes et faire le job. Partager le quotidien de celles et ceux qui bossent pour donner envie de travailler.
Comment s’est passée la création de l’entreprise ? Quels conseils à donner ?
Géry : C’est assez paradoxal. Mûrement réfléchi, le lancement s’est fait un peu sur un coup de tête. Il fallait se lancer. Pas de conseil à donner, si ce n’est d’oser et de croire en ses rêves. Après tout, qu’a-t-on à perdre à essayer ? Pas grand chose finalement… Parler de ses projets à son entourage, personnel comme professionnel, permet de confronter ses idées, des les challenger et de tracer sa route avec des jalons importants et un réseau. Ceux qui veulent vous aider se manifesteront naturellement.
Pourquoi avoir créé une chaîne Youtube ?
Géry : Youtube s’est imposé rapidement. La plateforme reste le n°1 mondial. Mettre un peu de pro au milieu des vidéos d’humour, de santé, beauté, bien-être, voyage… ça ne fait pas de mal non ? Bon d’accord, on est encore une goutte d’eau dans cet océan, mais le public tombe forcément sur nous ici. C’est gagné !
Quel bilan 4 ans après ?
Géry : Le bilan est très positif. En moyenne, depuis 4 ans, nous produisons et diffusons un épisode chaque semaine sur nos réseaux : Youtube, mais aussi Linkedin, Facebook, Twitter, Instagram et notre site web. Je vous laisse compter le nombre de jobs ainsi testés et mis en lumière. Ils sont souvent méconnus. Qui connaît le métier de pointeur, celui de formaliste, de tourier… ? Sans compter nos formats spéciaux, moins visibles, créés et personnalisés aux couleurs et à l’image de nos clients. Ils sont nombreux, de toutes tailles, de tous horizons et secteurs. Notre format s’adapte à tous. J’en profite d’ailleurs pour les remercie de leur fidélité. Je vais vous faire une confidence : nous ne les démarchons pas. C’est notre production qui fait notre prospection. Autant vous dire que nous sommes visibles et surtout nos clients à travers nous. Quel plaisir et quel confort de travailler avec et pour des personnes qui ont envie de bosser avec vous ! Ensemble, nous tissons des liens forts.
Quels retours ont-ils de leur côté ?
Géry : Là aussi, les retours sont bénéfiques, notamment en terme de marque employeur. Nous n’avons pas de baguette magique : nous n’allons pas recruter à leur place. Aux DRH, nous disons : « Arrêtez de chercher à recruter ! Bossez plutôt votre attractivité. » Et ça marche ! Des « candidats improbables » ou qui s’ignorent, comme je les appelle, marquent un intérêt parce qu’ils ont vu leurs futurs collègues, environnement de travail… Après, c’est leur job de les recruter et les fidéliser. Nos clients bénéficient de plusieurs caisses de résonance : d’abord la leur, mais aussi celle de leurs salariés (plus enclins à partager une vidéo dans laquelle ils sont acteurs), la nôtre à travers nos communautés et celle de nos partenaires.
Quelles sont vos perspectives à présent ?
Géry : Aujourd’hui, le concept s’élargit. Techniquement d’abord : vidéos originales, mais aussi podcasts, photos, événements d’entreprises, drone extérieur comme intérieur… Et puis l’équipe s’est agrandie. Dès l’origine, j’avais à coeur d’incarner dans ma propre entreprise la diversité de la Société dans laquelle nous vivons. Cela passe par un alter ego féminin, devant la caméra : Laetitia, basée à Lille, fait désormais rayonner la marinière JVBCV. D’autres nous rejoindront, dans d’autres régions, pourquoi pas à l’international… Notre duo a d’ailleurs entamé un tour de France de l’agroalimentaire, sous forme de websérie. Nous formons aussi des « salariés ambassadeurs » de leur entreprise, de futurs Youtubeurs internes au cœur même des organisations pour les valoriser. Et puis, derrière les caméras, œuvre une équipe de professionnels engagés : des femmes et des hommes de l’ombre, au talent immense. Ce sont des emplois que nous portons avec fierté. Au total, JVBCV représente aujourd’hui une dizaine de personnes.
Vu la situation sanitaire, les déplacements professionnels se font plus rares, tout comme les salons, forums, prospections commerciales… Vive le distanciel !
Vu la situation sanitaire, les déplacements professionnels se font plus rares, tout comme les salons, forums, prospections commerciales… Vive le distanciel ! Encore faut-il savoir le gérer. Des entreprises créent leur propre studio vidéo interne. Il faut ensuite se former à la prise de parole en public et gérer l’interview face caméra en live. Exemple de mission réussie chez l’équipementier automobile Cooper Standard…
Nouveau duo avec ma complice Aline Jalliet chez CooperStandard à Vitré, en Bretagne où il dispose de son centre R&D… L’équipementier automobile américain a créé son propre studio vidéo pour apporter à ses équipes françaises des solutions de communication innovantes à distance. C’est parti pour le live maîtrisé à distance avec présentations et interview vidéo !
Le contexte ? Vu la situation sanitaire, les déplacements professionnels se font plus rares, tout comme les salons, forums, prospections commerciales… Vive le distanciel ! Encore faut-il savoir le gérer.
Notre mission en 3 temps pour gérer des sessions live en distanciel avec ses clients :
Il faut d’abord s’équiper en caméras, micros cravates, régie mobile autonome… Des prestataires comme notre partenaire Veo-Labs ont la compétence pour aider les entreprises à créer leur studio vidéo de manière très simple.
Le matériel c’est bien, mais ça ne fait pas tout ! Devant une caméra, en conditions « live » en direct, il faut savoir s’exprimer avec clarté et concision. D’où la nécessité de se former à la prise de parole en public pour être à l’aise face à la caméra. C’est la partie d’Aline Jalliet, notre partenaire, formatrice coach de la voix.
Après la formen place au fond ! Il faut creer un contenu pertinent pour le live vidéo. L’écriture de scénario avec des professionnels, comme des journalistes, est indispensable. Les entreprises peuvent aussi créer des capsules vidéo qui vont venir ponctuer une session live vidéo à distance, de type visioconférence. Ce seront des respirations pour les personnes qiui animeront le live devant la caméra.
🎬 Prêts à passer à l’action ? Ça tourne ! Bravo et merci à la team Cooper Standard, pour sa confiance. L’équipe bretonne de cet industriel a relevé le défi en s’équipant d’un studio vidéo autonome. Une première session live en visioconférence a été réussie, avec un client important à distance réunissant une vingtaine de personnes.
✅ Un renseignement complémentaire ?
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Le média « Je-viens-bosser-chez-vous » lance un tour de France de l’industrie agroalimentaire en websérie vidéo. Objectif : valoriser les métiers de la filière agroalimentaire dynamique, qui recrute sur tout le territoire national.
Tous les épisodes de la websérieLe média « Je-viens-bosser-chez-vous » lance un tour de France de l’industrie agroalimentaire en websérie vidéo. Objectif : valoriser les métiers de la filière agroalimentaire dynamique, qui recrute sur tout le territoire national. Les entreprises de toutes tailles, mais aussi les emplois et produits emblématiques qu’elles représentent seront valorisés à travers une web série. Clap de début : 2e semestre 2021.
> Temps de lecture : 5 min
Industrie vieillotte, usines poisseuses, main-d’œuvre peu qualifiée, sans débouchés ni carrières… Les clichés sur le secteur « agro », souvent associé et restreint (à tort) à la seule agriculture, ne manquent pas. En France, la filière agroalimentaire représente le premier secteur industriel, tant en termes d’emplois que de chiffre d’affaires. Ce premier employeur français porte 461.544 salariés (ETP), répartis dans 15.040 entreprises (au 31 décembre 2017 – hors artisanat commercial et commerce de gros). C’est aussi une filière en plein essor. En 2017 leur chiffre d’affaires global s’élevait à 213 milliards d’euros, en croissance de plus de 4 milliards d’euros par rapport à 2016 (+2,5%).
Derrière les enseignes les plus connues comme Bigard, Bonduelle, Cocorette, Lactalis, Terreos… on trouve une mutlitude de petites sociétés, souvent familiales. 98% des entreprises du secteur sont en effet des TPE-PME. Et gros avantage pour qui cherche un job : il peut le trouver quasiment à sa porte tant les entreprises produisent partout. Dans ce paysage, quelques grandes régions agroalimentaires comptent : Bretagne, Hauts de France, Normandie, Paca… C’est d’ailleurs à Rennes qu’a lieu le CFIA (du 9 au 11 juin en 2021), le Carrefour des fournisseurs de l’industrie agroalimentaire, véritable salon des innovations. Ces sous-traitants représentent aussi des milliers emplois indirects.
Le public applaudit volontiers celles et ceux qui le soignent et c’est bien normal. En revanche, pas d’applaudissement pour tous ces talents qui nous nourrissent au quotidien et qui ont répondu présent aux avant-postes, tout au long de la crise Covid. Cette crise sanitaire a d’ailleurs été un révélateur de plus sur le rôle important de ces acteurs « essentiels » qui remplissent nos assiettes. L’occasion de les mettre en lumière.
Sur tout le territoire, ces entreprises cherchent des talents, avec plus ou moins de difficultés et de notoriété. En Normandie, dans l’Orne (61), Lactalis va ainsi embaucher 115 personnes dans les deux ans qui viennent, grâce à un projet d’extension de son unité de production qui emploie déjà 380 personnes. Là où est produit le fameux Camembert Président !
Un peu plus au nord, en Picardie, Bigard employait 280 personnes il y a 4 ans à Flixecourt. Son site de 3e transformation de viande (steaks hachés, brochettes et paupiettes) compte aujourd’hui 385 emplois – ils étaient 80 à la création en 2004. Bigard recrute encore, notamment des opérateurs de ligne de fabrication et de conditionnement. Ici, pas d’intérim : que du CDD et rapidement du CDI ! Sans parler de la maintenance qui cherche des bras aussi. Et en la matière, plus la peine de jouer les gros bras : les tâches se sont mécanisées et allégées. Dans certaines usines, les exo-squelettes font même leur apparition. Le bien-être des salariés est au cour de l’atelier avec échauffements à la prise de poste, formations… Au sud, à Marseille, le spécialiste des fruits secs ColorFoods vient de passer en 2×8. Il emploie déjà 80 salariés mais recrute sans cesse pour monter à 120 personnes en saison.
Cap au sud aussi pour Lou, le producteur breton de champignons ouvre quant à lui sa 2e champignonnière en Mayenne à Landivy (53), après une première près du Mont Saint-Michel à Poilley (35). Et une 3e est même prévue en Auvergne-Rhône-Alpes. Chaque site compte 150 à 200 emplois. « Seulement trois champignons sur 10 consommés en France sont produits ici. Notre objectif est de recréer une filière française du champignon », ambitionne Emmanuelle Roze, dirigeante qui a lancé l’affaire avec son mari Fabrice Chapuzet et son frère Benoît Roze.
Un tour de France de l’agroalimentaire : un tour de force ? L’idée est née dans les Hauts de France de la rencontre entre les équipes d’Agro-Sphères, l’Association régionale des industries agroalimentaires (Aria), et de Jeviensbosserchezvous, média national spécialisé dans l’attractivité des entreprises et des territoires par l’immersion de ses journalistes au travail, en immersion. « Notre projet très soutenu en région a fait boule de neige sur de nombreux autres territoires », se félicite Fanny Desrousseaux, chargée de mission chez Agro-Sphères, qui veut jouer en collectif pour un impact démultiplié. Les tournages et chaque vidéo d’entreprise originale vont en effet s’enchaîner dès le mois de juin et les diffusions dès l’automne. Une trentaine d’épisodes vidéos sont prévus, pour le moment. Les premiers tournages ont eu lieu en Picardie, chez Bigard et Cocorette, le 9 juin. Les salariés ambassadeurs passent en mode interview vidéo, pour faire découvrir au public leur quotidien, en immersion dans leur job.
L’équipe de Jeviensbosserchezvous plantera sa tente et posera ses micros et caméras dans les entreprises agroalimentaires en mode routard et découverte, pour partager un job avec un des salariés qui acceptera de jouer le jeu. « Nous partirons toujours du produit agroalimentaire pour s’intéresser à celles et ceux qui le fabriquent directement ou indirectement dans la chaîne de valeur de l’entreprise accueillante », souligne Fanny Desrousseaux. Spontanéité et authenticité sont le leitmotiv de Jeviensbosserchezvous. Un format vidéo inédit qui séduit notamment les entreprises industrielles et agroalimentaires, puisque la chaîne Youtube compte plus d’une centaine de vidéos en 3 ans d’existence. Certaines dépassent les 100.000 vues ! Le challenge est lancé.
Autant d’occasions de valoriser tel ou tel métier, tel ou tel savoir-faire, en production comme en maitenance ou même en support administratif, marketing, commercial, export… Et si le même métier sera parfois filmé pour deux épisodes distincts, c’est l’humain et le parcours de la personne filmée, forcément singuliers, qui priment ! Chaque entreprise a également son propre ADN, son ambiance…
Organiser un tour de France de l’agroalimentaire, c’est parcourir des terroirs riches de saveurs et de sens, à la rencontre d’hommes et de femmes passionnés, mais aussi de savoir-faire parfois séculaires et souvent à la pointe de l’innovation, pour en révéler l’existence. « Beaucoup de gens ne connaissent pas notre univers et nos métiers, ou en ont une fausse image », témoigne cette chargée de ressources humaines. Elle et ses confrères se battent tous les jours pour faire bouger les lignes. Cette websérie va permettre d’amplifier l’image d’un secteur porteur et conjuguer Agro – Aliment – Terre, élémentaire !
>À LIRE, À VOIR AUSSI…
https://agriculture.gouv.fr/le-panorama-des-industries-agroalimentaires
https://www.ania.net/presentation-ania/nos-chiffres-cles
Géry, Youtubeur d’entreprise et entrepreneur, toujours en marinière. En mode On ou Off, dynamiseur d’attractivité industrielle et réalisateur d’attractivité.
👉 Je viens bosser chez vous a une chaîne Youtube et un tout nouveau site internet avec plein de choses dessus, et pas que des vidéos. A lire aussi, notre article : « A qui tendre le micro ? »
Le quotidien d’un franchisé en commerce de proximité est très varié. Dans ce nouveau podcast, Nicolas nous partage la vie dans son magasin Carrefour, qui recrute ce type d’entrepreneur à Paris et en province.
4e épisode de notre série « Au Carrefour de la proximité » qui donne la parole aux actrices et aux acteurs de la franchise chez Carrefour.
Aujourd’hui, découvrons ensemble du quotidien de franchisé en compagnie de Nicolas, locataire-gérant d’un Carrefour Express rue Legendre à Paris. En quoi consistent le job de franchisé et ses missions au jour le jour ? Combien investir ? Comment s’organise-t-il et manage-t-il son magasin ? Comment gère-t-il son équilibre vie pro / vie perso ?
Nicolas nous présente son parcours et répond à toutes les questions que vous vous posez. On parle ici du rôle du franchisé au quotidien comme un chef d’entreprise et entrepreneur, mais aussi de gestion, de management, de proximité… Un contrat gagnant-gagnant !
Cette série de 5 épisodes pratiques permet de tout savoir sur la franchise en donnant la parole aux actrices et aux acteurs franchisés chez Carrefour, dans le commerce de proximité et la distribution. Ensemble, découvrons le process de recrutement du franchisé, mais aussi son parcours de formation et d’intégration et sa vie au quotidien. Sans oublier 10 idées reçues à casser, en toute franchise !
✔️ Et si vous aussi, vous deveniez franchisés chez Carrefour❓ Postulez ici 👈
Nouvel épisode de notre série spécial franchise « Au Carrefour de la proximité »… Après le recrutement et la formation du franchisé, nous parlons aujourd’hui de son accompagnement ! Comment se passe-t-il au quotidien ? Qui entoure le franchisé ?
Nouvel épisode de notre série spécial franchise « Au Carrefour de la proximité »… Après le recrutement et la formation du franchisé, nous parlons aujourd’hui de son accompagnement ! Comment se passe-t-il au quotidien ? Qui entoure le franchisé ? Dans ce podcast, Stéphanie et Nicolas répondent à toutes nos questions…
Dans ce 3e épisode de notre série « Au Carrefour de la proximité » qui donne la parole aux actrices et aux acteurs de la franchise chez Carrefour, nous découvrons ensemble l’accompagnement des futurs franchisés en compagnie de Stéphanie, conseillère de franchise Carrefour, et Nicolas, locataire-gérant d’un Carrefour Express rue Legendre à Paris.
En quoi consiste cet accompagnement ? Combien de temps dure le suivi ? Quel est le rôle du conseiller de franchise ? Stéphanie et Nicolas répondent à toutes les questions que vous vous posez. On parle ici du quotidien du franchisé, de proximité et de management, de partage d’informations au cours des « visites » du conseiller, mais aussi des outils et soutiens qu’il reçoit… Tout au long de son parcours, le franchisé peut s’appuyer sur une structure et des équipes professionnelles, tant au niveau économique que juridique.
Bonne écoute chez vous !
Merci au groupe Carrefour pour cette immersion dans le quotidien de la franchise.
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