SNV – Voléna recrute
Découvrez en immersion les métiers chez SNV – Voléna qui recrute partout en France. Fleuron de l’industrie agroalimentaire, ce pô…
VIDéO D’ENTREPRISE : POURQUOI IL VOUS FAUT UN SCéNARIO
L’écriture du scénario permet d’organiser tous les éléments utiles au tournage. Écrire un scénario ? Pour des vidéos d’entreprise authentiques et originales qui servent l’attractivité et la marque employeur ? C’est parti !
Écrire un scénario ? Pour des vidéos d’entreprise authentiques et originales qui servent l’attractivité et la marque employeur ? L’idée peut paraître farfelue, voire un peu prétentieuse. Mais pas du tout. Une vidéo de 3 à 5 minutes mérite un scénario, tout autant qu’un film sur grand écran. La clé, c’est d’écrire noir sur blanc « Qui dit quoi, où et quand ? » Ce document de travail de 2 à 3 pages, que l’on peut aussi appeler script ou déroulé, est la colonne vertébrale de votre projet. Prêt pour l’écrire ensemble ?
Rédiger le préambule du scénario
Raconter une histoire, oui, mais quelle histoire ?
Construire la structure du scénario
Les 8 commandements du scénario
Le scénario est le document de référence utilisé par tous les protagonistes du projet. Ceux qui seront présents sur le tournage, comme ceux qui ont participé à sa préparation. Tout ce qui est important doit être indiqué, de manière ultra-synthétique dans ce script. Avec le préambule, vous préparez déjà le déroulé de la vidéo en déblayant ce qui doit rester hors-champ.
L’objectif de la vidéo : résumez l’objectif visé en introduction du document. Qu’est-ce que vous cherchez à résoudre ou à améliorer en créant cette vidéo ou ce Podcast ? Quand vous doutez sur le contenu du scénario, revenez à cet objectif.
Les messages clés : choisissez-en 3, maximum, qui devront absolument être transmis. Ce peut être un message clé par personne qui prend la parole ou trois messages transversaux.
Ce que ne sera pas votre vidéo : indiquez en 2 phrases les termes que vous ne souhaitez pas employer. Le fait de les écrire permet de l’évacuer. Cette « zone rouge » doit être connue de tous. Elle est à mentionner dans le document de scénario que tout le monde doit avoir a la main.
On ne peut pas tout dire dans une vidéo de 3 à 5 minutes. Le fil rouge, c’est l’histoire que vous allez raconter. Il y a un début, une fin et des rôles clairs pour chacun des personnages. Celui, ou celle, qui présente l’entreprise, la personne qui explique son métier… Un personnage qui joue son propre rôle sera le plus convaincant 😉 Choisissez des personnalités qui vont s’exprimer avec le cœur, le plus naturellement possible. Ce ne sont pas toujours les personnes les plus loquaces au quotidien.
Une histoire, c’est de l’intrigue, des surprises et même du suspense. Les anecdotes et le vécu doivent tenir en haleine. On n’est pas dans un catalogue d’éléments de langage.
Un scénario se découpe en scènes et en dialogues.
Les scènes. Une scène est une séquence vidéo qui se filme au même endroit. Vous pouvez avoir 3 à 4 scènes pour une vidéo de 3 à 5 minutes. Elles se tournent dans des lieux différents. Intérieur, extérieur, magasin, arrière-boutique, atelier de fabrication, laboratoire R&D… Le lieu peut aussi être mobile en prenant place dans un 33 tonnes, ou une camionnette de livraison, selon votre activité.
Les images tournées pourront servir d’illustration aux propos d’une interview filmée dans un endroit statique.
Les dialogues. Pour une vidéo d’entreprise, on vous conseille d’adopter la forme d’un échange entre deux personnes, plutôt qu’un monologue. Le scénario précise la question qui est posée à la personne interviewée, ça c’est facile. La réponse peut également être rédigée, mais ce qui compte, ce sont les mots-clés qui seront à mémoriser. Le but n’est pas d’apprendre une leçon et de la réciter, mais de s’assurer qu’à travers tout ce qui est dit, les messages soient bien transmis.
La mémoire visuelle aide à se souvenir de mots-clés ou images, pictos, plutôt que de longues phrases.
De tout dire, tu n’essaieras pas. Tout ne passera pas dans le temps de la vidéo qui doit être courte pour accrocher, interpeller et donner envie. Ne vous interdisez pas de faire plusieurs vidéos, lancez-vous dans une série à la Netflix.
« À qui tu t’adresses », tu te rappelleras. Impossible de parler à tout le monde en même temps. Il faut penser la vidéo comme un tête-à-tête.
À la place du spectateur, tu te mettras. Montrez au maximum ce que l’on aime découvrir soi-même (coulisses, astuces, anecdotes…). On aime le plus souvent regarder des vidéos dynamiques qui nous surprennent à des moments précis.
Tu ne te justifieras pas. Expliquer ne veut pas dire se justifier, ni même chercher à convaincre. L’objectif est de se dévoiler tel que l’on est vraiment.
La vidéo « publicitaire », tu éviteras. Une vidéo est un voyage pour faire vivre l’entreprise de l’intérieur. On aime découvrir ce qui se cache derrière une enseigne, plutôt que de regarder des spots publicitaires.
Aux exemples et anecdotes, tu penseras. Plus on est concret, mieux on est compris, surtout de personnes à qui vous avez envie d’expliquer votre métier.
Tu changeras de décor. Chaque scène se tourne dans un endroit différent. De préférence, des lieux qui ne se ressemblent pas, pour montrer toutes les facettes de l’entreprise.
Tu ne feras pas du scénario les Tables de la loi. Un scénario est un guide, mais ce n’est pas du « par cœur ». Il permet de rassurer tout le monde, et d’abord le réalisateur, mais il laisse de la place aux aléas et à la surprise.
Avant de construire le scénario, écrivez sur un Post-it au-dessus de votre bureau cette citation de Nicolas Boileau « Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément ». Et hop, lancez-vous.
Bienvenue à Rouen, au CFA Simone Veil, en immersion dans le quotidien de Juline, enseignante à l’origine du concept de la « classe autonome ». Elle nous fait découvrir dans cet épisode vidéo authentique son quotidien auprès des élèves avec cette pédagogie alternative et innovante.
Cette vidéo est réalisée en partenariat avec Hachette Technique.
Connaissez-vous la « classe autonome » ? Je suis retourné sur les bancs de l’école pour vous faire découvrir cette pédagogie originale, animée par Juline, enseignante à l’origine de ce concept participatif inédit. Rien de mieux qu’une immersion en cours d’histoire-géographie dans sa classe de CAP, au CFA Simone Veil de Rouen pour cette découverte !
Au milieu des élèves, j’apprends en toute autonomie grâce aux supports ludiques créés par Juline. L’outil numérique aide aussi les jeunes à valider leurs acquis, avec des quizz, des jeux, etc. En individuel ou en collectif, les élèves bossent à leur rythme. La pédagogie se déroule en 3 temps en classe : le premier « classique » en information descendante (un quart du cours), un temps de vérification pour ancrer les connaissances grâce aux fameux quizz numériques (15% du temps) et le reste du temps (50%) en ateliers auto-correctifs. « Le matériel devient l’enseignant. »
« Les élèves apprennent en faisant, en se trempant, en s’auto-corrigeant, en s’entraidant. C’est ça qui fait l’efficacité ! », constate Juline, qui est également professeur de soutien scolaire, formatrice partout en France et à l’étranger, et même Youtubeuse. « Tous les professeurs sont unanimes, personne ne m’a dit : ça ne fonctionne pas ! » Sa plus grande satisfaction ? « C’est leur réussite ! », s’exclame Juline.
Les résultats sont en effet bluffants ! Certains me confient avoir repris goût au travail scolaire. Bon, ce n’est pas une méthode miracle non plus, mais en alternative, elle a un impact certain auprès de la jeunesse. Les jeunes rencontrés retrouvent confiance en eux, fiers de leurs résultats. « C’est incroyable », témoigne Nolan. « Ça nous aide à apprendre plus facilement, on a des meilleures notes », enchaîne sa voisine de classe.
Merci et bravo à Juline, à l’équipe du CFA Simone Veil à Rouen, Hachette Technique et toutes les actrices et acteurs de ce projet pédagogique. Un kit clé en main va d’ailleurs être créé et distribué par Hachette pour faire gagner du temps aux enseignants, le seul frein rencontré. De quoi donner à la jeunesse le goût d’apprendre !
✔️ Pour en savoir + 👉 sur la classe autonome @JulineAnquetinRault
📚 La rentrée se prépare dès maintenant chez Hachette Technique, éditeur scolaire spécialiste de l’enseignement technique et professionnel… Nos vidéos Jeviensbosserchezvous sont intégrées dans les manuels scolaires. Honorés et fiers de notre partenariat et travail commun en faveur de l’attractivité et du lien Education/Entreprise pour valoriser des filières d’excellence et d’avenir, au service de la jeunesse.
Merci au groupe Hachette Livre ainsi qu’à l’équipe 👉 Hachette Technique
Découvrez en immersion chez les notaires le métier de clerc de notaire rédacteur. C’est le job de Kévin qui nous partage son quotidien dans cette vidéo de marque employeur du notariat qui recrute !
Les épisodes de la websérieQui s’occupe de votre dossier notarial jusqu’au 31 décembre, pour que tout soit prêt à la signature que vous voulez régler absolument cette année ? Dans les offices, à la ville comme à la campagne, les collaborateurs clercs de notaires bossent en équipe, pour rédiger et préparer les dossiers : acquisitions immobilières, donations, mariages, successions… Ils sont de tous les actes de nos vies !
Dans cet épisode #3, je vous emmène bosser du côté de Falaise avec l’un d’eux, Kévin, passionné par son métier utile au quotidien. Un jour, il pourrait même devenir notaire s’il poursuit ses études… En partenariat avec Pôle Emploi et l’organisme de formation Inafon, les notaires normands recrutent et forment ces profils.
Les notaires rencontrent actuellement des difficultés de recrutement, alors que leurs besoins en personnel sont importants sur tout le territoire. Une cinquantaine de postes sont à pourvoir ici, en Normandie, à la ville comme à la campagne et au bord de la mer. Il y en a pour tous, à tous niveaux ! Méconnaissance des métiers et des filières, image de marque désuète… Pour faire tomber ces préjugés et attirer de nouveaux talents, les notaires m’ont embauché ! Micro et caméra au poing, je me suis aussi invité en immersion dans plusieurs offices de la région pour y partager un « bout de quotidien » tout en testant leurs jobs : clerc de notaires, négociateur immobilier, comptable notarial, formaliste et bien sûr notaires 🤳
▶️ Comme moi, postulez chez les notaires !👇
📞02.31.85.44.62.
📍www.notaires2normandie.com
Écrire un scénario ? Pour des vidéos d’entreprise authentiques et originales qui servent l’attractivité et la marque employeur ? L’idée peut paraître farfelue, voire un peu prétentieuse. Mais pas du tout. Une vidéo de 3 à 5 minutes mérite un scénario, tout autant qu’un film sur grand écran.
Rédiger le préambule du scénario
Raconter une histoire, oui, mais quelle histoire ?
Construire la structure du scénario
Le scénario est le document de référence utilisé par tous les protagonistes du projet. Ceux qui seront présents sur le tournage, comme ceux qui ont participé à sa préparation. Tout ce qui est important doit être indiqué, de manière ultra-synthétique dans ce script. Avec le préambule, vous préparez déjà le déroulé de la vidéo en déblayant ce qui doit rester hors-champ.
L’objectif de la vidéo : résumez l’objectif visé en introduction du document. Qu’est-ce que vous cherchez à résoudre ou à améliorer en créant cette vidéo ou ce Podcast ? Quand vous doutez sur le contenu du scénario, revenez à cet objectif.
Les messages clés : choisissez-en 3, maximum, qui devront absolument être transmis. Ce peut être un message clé par personne qui prend la parole ou trois messages transversaux.
Ce que ne sera pas votre vidéo : indiquez en 2 phrases les termes que vous ne souhaitez pas employer. Le fait de les écrire permet de l’évacuer. Cette « zone rouge » doit être connue de tous. Elle est à mentionner dans le document de scénario que tout le monde doit avoir a la main.
On ne peut pas tout dire dans une vidéo de 3 à 5 minutes. Le fil rouge, c’est l’histoire que vous allez raconter. Il y a un début, une fin et des rôles clairs pour chacun des personnages. Celui, ou celle, qui présente l’entreprise, la personne qui explique son métier… Un personnage qui joue son propre rôle sera le plus convaincant 😉 Choisissez des personnalités qui vont s’exprimer avec le cœur, le plus naturellement possible. Ce ne sont pas toujours les personnes les plus loquaces au quotidien.
Une histoire, c’est de l’intrigue, des surprises et même du suspense. Les anecdotes et le vécu doivent tenir en haleine. On n’est pas dans un catalogue d’éléments de langage.
Un scénario se découpe en scènes et en dialogues.
Les scènes. Une scène est une séquence vidéo qui se filme au même endroit. Vous pouvez avoir 3 à 4 scènes pour une vidéo de 3 à 5 minutes. Elles se tournent dans des lieux différents. Intérieur, extérieur, magasin, arrière-boutique, atelier de fabrication, laboratoire R&D… Le lieu peut aussi être mobile en prenant place dans un 33 tonnes, ou une camionnette de livraison, selon votre activité.
Les images tournées pourront servir d’illustration aux propos d’une interview filmée dans un endroit statique.
Les dialogues. Pour une vidéo d’entreprise, on vous conseille d’adopter la forme d’un échange entre deux personnes, plutôt qu’un monologue. Le scénario précise la question qui est posée à la personne interviewée, ça c’est facile. La réponse peut également être rédigée, mais ce qui compte, ce sont les mots-clés qui seront à mémoriser. Le but n’est pas d’apprendre une leçon et de la réciter, mais de s’assurer qu’à travers tout ce qui est dit, les messages soient bien transmis.
La mémoire visuelle aide à se souvenir de mots-clés ou images, pictos, plutôt que de longues phrases.
De tout dire, tu n’essaieras pas. Tout ne passera pas dans le temps de la vidéo qui doit être courte pour accrocher, interpeller et donner envie. Ne vous interdisez pas de faire plusieurs vidéos, lancez-vous dans une série à la Netflix.
« À qui tu t’adresses », tu te rappelleras. Impossible de parler à tout le monde en même temps. Il faut penser la vidéo comme un tête-à-tête.
À la place du spectateur, tu te mettras. Montrez au maximum ce que l’on aime découvrir soi-même (coulisses, astuces, anecdotes…). On aime le plus souvent regarder des vidéos dynamiques qui nous surprennent à des moments précis.
Tu ne te justifieras pas. Expliquer ne veut pas dire se justifier, ni même chercher à convaincre. L’objectif est de se dévoiler tel que l’on est vraiment.
La vidéo « publicitaire », tu éviteras. Une vidéo est un voyage pour faire vivre l’entreprise de l’intérieur. On aime découvrir ce qui se cache derrière une enseigne, plutôt que de regarder des spots publicitaires.
Aux exemples et anecdotes, tu penseras. Plus on est concret, mieux on est compris, surtout de personnes à qui vous avez envie d’expliquer votre métier.
Tu changeras de décor. Chaque scène se tourne dans un endroit différent. De préférence, des lieux qui ne se ressemblent pas, pour montrer toutes les facettes de l’entreprise.
Tu ne feras pas du scénario les Tables de la loi. Un scénario est un guide, mais ce n’est pas du « par cœur ». Il permet de rassurer tout le monde, et d’abord le réalisateur, mais il laisse de la place aux aléas et à la surprise.
Avant de construire le scénario, écrivez sur un Post-it au-dessus de votre bureau cette citation de Nicolas Boileau « Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément ». Et hop, lancez-vous.
Les entreprises industrielles embauchent ! En 2024, plus de 182.500 recrutements sont prévus dans le secteur de l’industrie et des services à l’industrie, selon une enquête de l’Usine nouvelle qui liste les 100 plus gros recruteurs de l’année.
C’est du jamais vu ! La filière industrielle recrute à tours de bras cette année. Les entreprises de l’industrie et des services industriels ont recensé plus de 182.500 projets de recrutements en 2024, contre 169.000 en 2020*. Les 10 premiers cumulent même 100.000 embauches prévisibles. Parmi eux, en tête, la SNCF compte 20.000 postes à pourvoir. « 74% des entreprises interrogées anticipent des créations nettes d’emplois« , précise L’Usine nouvelle.
Dans ce classement, on trouve aussi le groupe de luxe LVMH (15.200 embauches prévues) aux multiples enseignes. Au coude à coude, sur la 3e marche du podium, on trouve le groupe Vinci et ses nombreuses activités dans la construction et le BTP comme Vinci Facilities avec 15.000 projets d’embauches cette année. Suivent (dans l’ordre) son confrère le groupe Bouygues (11.900 projets), puis Transdev, Capgemini, Engie, Safran, Veolia, le groupe La Poste, Alten, RATP, Sopra-Steria, Stef, Saint-Gobain… Et en bas du tableau, l’expert breton de la maison connectée Delta Dore (40 postes à pourvoir) et le 100e Xylem Water Solutions (30 emplois).
Cette année encore, le plus gros enjeu pour tous ces recruteurs sera de trouver les bons profils, dans un contexte toujours pénurique. Le « produire en France » cher à nos politiques, pour la souveraineté du pays, entraîne son lot de tensions sur le marché de l’emploi, alors que Pôle Emploi vient de se transformer en France Travail. Plus que jamais, l’évolution interne et la mobilité entre les métiers seront d’actualité, tout comme la formation professionnelle. Quant à l’intelligence artificielle, utilisée de plus en plus dans la recherche de candidats, elle peine encore à faire ses preuves.
La baguette magique n’existe pas en termes de recrutements. L’attractivité reste l’atout majeur des recruteurs pour attirer, motiver et convaincre les candidats à l’emploi, en partageant ses valeurs et sa vie au travail, en toute transparence et le plus possible en authenticité et sincérité. Pour cela, l’image et notamment la vidéo en immersion restera le média numéro 1 cette année.
Sur une décennie, les besoins de main d’oeuvre industriels restent énormes. Ce serait 1,3 million de postes à pourvoir dans les 10 ans à venir, a calculé le Gouvernement. C’est d’ailleurs le chiffre d’offres d’emplois publiées l’an dernier dans l’industrie, selon Adecco. Candidats, à vous de postuler !
(*source : étude de L’Usine nouvelle 2024)
ATTRACTIVITé
Comment bosser et booster votre attractivité et votre marque employeur au fil du temps ? Notre guide « 50 nuances de posts pour faire vivre votre marque employeur à l’année » vous aide…
Faire vivre sa marque employeur et la nourrir tout au long d’une année demande de l’attention, de la concentration mais aussi de l’organisation. Votre community manager est à court d’idées ? Ah, vous n’en avez peut-être pas en fait. Au grands mots, les gros remèdes. Pas de panique. Tous les prétextes sont bons. Toutes les occasions sont belles, ou presque. Attention aux pièges à éviter !
Notre guide « 50 nuances de posts pour faire vivre votre marque employeur à l’année » est comme une boussole, édité pour vous après des heures et des heures d’observation. Non pas un énième recueil publicitaire ! Un guide, un vrai, à imprimer parce qu’on aime le papier qui ne s’use que si l’on s’en sert.
Le principe : vous donner des idées pour garder la ligne (éditoriale) sur 12 mois. Comme un programme d’entraînement sportif, ce guide-coach vous veut du bien.
Nous aurions pu créer un jeu de 54 cartes, mais il existe déjà. Notre comité éditorial a préféré 50 nuances de posts (et 1 bonus) pour 52 semaines de l’année. Parce que, oui, vous aurez droit à deux semaines de répit. Votre objectif : faire parler de votre boîte, vous rendre intéressant. À ne pas confondre avec faire l’intéressant…
Alors, prêts ? Faites savoir votre savoir-faire, postez !
#3
JE VIENS BOSSER CHEZ
Découvrez en immersion les métiers chez ENYGEA qui recrute partout en France. Ce groupe lillois, expert des sanitaires mobiles, compte plusieurs enseignes dont WC Loc, Happee Services… Retrouvez toutes les actus de l’entreprise. Eric, Thomas… nous partagent leur vie au travail et évolution.
ENYGEA est LE spécialiste français des sanitaires mobiles, avec ses filiales WC Loc (grand public, BTP), Happee Services (événementiel), etc. Le groupe lillois basé à Englos-Haubourdin (59) et présidé par Hervé Montagne compte 9 marques réputées dont la plus connue est née en 1992 : WC Loc et ses cabines de chantier.
Enygea, ce sont aujourd’hui près de 100 implantations et 750 salariés en France et à l’international. Incubateur de jeunes sociétés, il accompagne aussi des solutions innovantes comme MadamePee (sanitaires féminins), Toopi (récupération et transformation des urines en engrais)…
Agences
99
Création du groupe
2007
Collaborateurs :
750
Recrutement
127 emplois en 2022
Chez Enygea, notre mission c’est l’hygiène partout et pour tous. Notre métier ? Etre des experts en solutions d’hygiène mobiles et temporaires : locations de sanitaires et services associés. Nous sommes spécialisés dans les chantiers et événements.
Nos 750 collaborateurs partagent tous les mêmes valeurs : sens du service, satisfaction client, agilité et proximité. Nous connaissons une forte croissance depuis notre création et disposons aujourd’hui de 90 agences, répartis dans 7 pays (France, Portugal, Belgique, Luxembourg, Italie, Espagne et Canada). Nous rejoindre c’est aussi l’opportunité de rejoindre un groupe aux engagements RSE forts !
Le groupe ENYGEA a fait appel aux équipes de tournage audiovisuel de Jeviensbosserchezvous pour bosser sa marque employeur en vidéo. Un projet qui s’inscrit dans le cadre d’une websérie sur les territoires, à travers ses différentes filiales de prestations.
Les salariés, acteurs du quotidien, témoignent de leur quotidien à micro et caméra ouverts. La vidéo ainsi réalisée et largement diffusée contribue à booster l’attractivité de l’entreprise pour des retombées positives, tant en interne qu’en externe. La vie au Travail, la vraie !
Parce qu’on n’est pas obligé de changer de trottoir pour changer de job… voici des emplois proches de chez vous, testés et approuvés par notre team. Toutes ces entreprises recrutent en proximité, partout en France. Vous aussi, postulez !
partir en régionDans une société où le handicap serait totalement accepté, ce reportage et ces lignes n’auraient pas eu lieu d’être.
Dans une société où le handicap serait totalement accepté, ce reportage et ces lignes n’auraient pas eu lieu d’être. Quoi de plus banal en effet que l’ouverture d’un nouveau bistrot, salon de thé, coffee-chope… appelez-le comme vous voulez ! Même si le handicap est de plus en plus transparent, il y a encore des progrès à faire. A Paris le 21 mars 2017, journée mondiale de la Trisomie21, comme à Rennes en 2017, les nouveaux concepts de Café Joyeux interpellent et vont continuer d’interpeller. Son instigateur, l’entrepreneur breton Yann Bucaille le sait. Son projet n’aurait sans doute d’ailleurs pas pu voir le jour il y a quelques années sans choquer. Il le sent : « C’est le bon moment aujourd’hui, la société est prête… » Et il a décidé de jouer à fond la différence et de s’en jouer au maximum.
Derrière la porte du 14 rue Vasselot, en plein centre-ville historique de Rennes, ou à Paris au 23 rue Saint-Augustin (2e Arr.), sur fond noir et jaune, le Café Joyeux offre d’abord un cadre chaleureux à quiconque veut déguster un café « servi avec le coeur » – ça change tout – ou tout autre boisson, accompagnés de mets sucrés ou salés faits maison (du mardi au dimanche). On remarque à peine les chaussures dépareillées des salariés. La différence se joue ici dans l’humain. Les serveurs et cuisiniers en poste, encadrés par un manager et son second, sont des « assistants joyeux », tous porteurs de handicap : Trisomie21, autisme, etc. Yann Bucaille parle de sa « mission » quand il aborde la question : « Ouvrir le monde ordinaire à la différence ». Et il recrute !
Cette différence qui « doit être au coeur de la ville est souvent mise à l’écart, selon lui. Or, elle est possible en ville ! Et ils ont beaucoup plus à nous apporter que nous. » Il a donc décidé d’en faire un concept. « Un pari », lance cet hôtelier qui emploie, par ailleurs, 150 salariés dans ses divers établissements dont le cinq étoiles Castelbrac, à Dinard. Là où il aimerait aussi afficher davantage de différences dans ses recrutements, mais ça vient…
Handicap & productivité
A Rennes comme à Paris, il se donne « deux à trois ans » pour atteindre l’équilibre économique. Yann Bucaille y a beaucoup investi, sans aide financière et sans en chercher, hormis celle « bienvenue » de l’Agefiph pour tout emploi de travailleur handicapé. « Nous voulons prouver qu’on peut être productif et même rentable avec ce handicap. » Pour Yann Bucaille, 48 ans, ce n’est pas une découverte. Il a créé cette SARL, avec une vraie différence aussi… C’est sa fondation Emeraude Solidaire, née il y a neuf ans, qui est l’actionnaire unique du café Joyeux. « Tous les dividendes seront intégralement reversés à des associations », promet Yann Bucaille qui a déjà offert plus de 400 sorties en mer à des personnes handicapées.
Faire des heureux
C’est d’ailleurs l’une de ses virées en bateau qui lui a donné cette idée heureuse. « Un jeune autiste m’avait demandé un job que je n’avais pas pour lui… » Désormais, il pourra le recruter en espérant multiplier les Joyeux dans d’autres villes ces prochaines années et faire des heureux !
(De ce café comme de ce reportage, on sort avec une expérience de vie enrichie et… l’envie de revenir 😉
Pour fabriquer ses fameux sandwiches dont les triangles et wraps, Daunat (groupe Norac) recrute sur ses quatre sites industriels en France : Bretagne, Bourgogne, Nord et Picardie. Découvrez le métier en vidéo et en immersion avec Fred, conducteur de machines…
La websérie Tour de France de l’agroalimentairePour fabriquer ses fameux sandwiches dont les triangles et wraps, Daunat (groupe Norac) recrute sur ses quatre sites industriels en France : Bretagne, Bourgogne, Nord et Picardie. Découvrez le métier en vidéo et en immersion avec Fred, conducteur de machines…
Une pause sandwich sur la route des vacances ? Vous êtes plutôt triangle, carré ou rond ? On cause sandwich dans cette nouvelle vidéo. Mon coeur balance entre le célèbre sandwich triangle et les wraps. En compagnie de Fred, conducteur de machine aux portes de Guingamp dans les Côtes-d’Armor, je découvre leur fabrication chez Daunat qui recrute.
Bien équipés, nous voilà au cœur de la production. Une tranche de jambon, du fromage, de la sauce ou du beurre et le tour est joué. Dans cette boulangerie XXL, le pain des mini-sandwiches ronds est fabriqué sur place. Celui des triangles provient de La Boulangère, autre enseigne du groupe breton Daunat. Les sandwiches défilent par milliers ici : 300.000 chaque jour ! Tout est automatisé dans ce site de production ultra-moderne, où nos petites mains sont quand même les bienvenues. Contrôle qualité, sécurité et même gustatif… Toutes les deux heures, passage au checkpoint obligatoire.
Fred adore son job en équipe (5 à 6 personnes) et notamment la production à grande échelle. « Ça peut être étonnant comme réponse, mais j’adore savoir que je nourris la population », confie-t-il, sans oublier le « made in France ». Tout un symbole lorsqu’il s’agit de sandwiches, non ? Vous savez, ceux qu’on a plaisir à retrouver par exemple sur les aires d’autoroute l’été…
Pas besoin d’être bardé de diplômes et de qualifications pour bosser ici. En 2 mois, un opérateur peut être formé et opérationnel. Ses horaires ? Le matin de 5h à 13h ; l’après-midi de 13h à 21h, une semaine sur deux. L’agroalimentaire, Fred n’y avait pas pensé mais il s’est dit : « Oui, pourquoi pas ! » Sans regret, pour lui qui est issu de la restauration avec BEP, Bac Pro service (option sommellerie). Rien à voir avec son job actuel, mais « ça peut aider »… Après 13 ans de service en salle et deux années en cuisine, le confinement a été son déclic. « On m’a proposé un CDI, c’était l’occasion de changer… J’ai une meilleure qualité de vie maintenant. » Ses qualités : être organisé, savoir prendre du recul en toutes situations et être de bonne humeur. Fred l’a en permanence ! Demain, il se voit animateur et pourquoi pas responsable d’un atelier, grâce à la formation et l’évolution interne possible. « J’ai de l’ambition ! Je suis motivé », lance-t-il.
Merci à Fred et toute l’équipe de l’entreprise pour leur accueil. Envie de bosser toi aussi chez Daunat ? Postule, l’agroalimentaire et l’entreprise recrutent sur 4 sites en France : en Bretagne mais aussi dans le Nord, en Picardie et en Bourgogne !
✔️ Pour rejoindre la team Daunat 👉 c’est juste ici
🇫🇷 Cette vidéo est le 53e épisode de notre websérie spécial tour de France de l’agroalimentaire. Suivez nos aventures en immersion dans les entreprises de la filière qui recrute partout en France. *Épisode aimablement sponsorisé par l’ABEA, l’Association des Entreprises Agroalimentaires Bretonnes avec le soutien de la @Région Bretagne et du plan France relance
Daunat, qui fait partie du groupe rennais Norac (dirigé par l’entrepreneur Bruno Caron) fait appel aux équipes de tournage vidéo de Jeviensbosserchezvous pour bosser sa marque employeur en vidéo. Un projet qui s’inscrit dans le cadre du tour de France de l’agroalimentaire en partenariat avec le réseau ABEA, l’Association des Entreprises Agroalimentaires Bretonnes, la Région Bretagne et le plan France Relance. Les salariés témoignent de leur quotidien à micro et caméra ouverts. La vidéo ainsi réalisée et largement diffusée contribue à booster l’attractivité de l’entreprise pour des retombées positives.
Entretien avec le journaliste économique Géry Bertrande (alias Géryoutubeur), fondateur et animateur du concept JeViensBosserChezVous #JVBCV.
Entretien avec le journaliste économique Géry Bertrande (alias Géryoutubeur), fondateur et animateur du concept JeViensBosserChezVous #JVBCV. Depuis 2018, son équipe bosse l’attractivité et la marque employeur des entreprises et des organisations de toutes tailles et de tous secteurs, grâce au média vidéo, réseaux sociaux et Youtube. Zoom sur une belle aventure entrepreneuriale en équipe, partout en France et même au-delà.
Temps de lecture : 8 min
> Article publié dans le cadre d’une newsletter adressée par Hachette x Bpifrance à 30.000 enseignants de France
Journaliste de profession, Géry, tu as décidé de créer ton entreprise il y a 4 ans maintenant. Un concept inédit associé à une chaîne Youtube : Je Viens Bosser Chez Vous. Quel a été le déclic ?
A force de côtoyer des entrepreneurs et de visiter des entreprises pour valoriser leurs actualités pendant une vingtaine d’années, ce quotidien m’a donné envie de me lancer dans l’entrepreneuriat. Je voyais bien qu’il me fallait également réinventer mon métier, à l’époque très lié à la presse écrite. La vidéo représente aujourd’hui 80% du flux média web. En tant qu’homme de projets et de réseaux, il fallait passer à l’action !
D’où est née l’idée de ton concept Je Viens Bosser Chez Vous ?
Géry : J’avais envie de créer mon propre média, de partager ce que je voyais au quotidien dans les entreprises dynamiques. J’avoue que j’en avais un peu marre aussi d’entendre des dirigeants me confier qu’ils n’avaient pas d’image de leur boîte, qu’ils galéraient à recruter… Tout le monde ne s’appelle pas Airbus ! L’immersion et l’authenticité ont guidé la création du concept. Des émissions m’ont aussi inspiré. Souvenez-vous de StripTease : une caméra filme le quotidien des « vrais » gens. Sans commentaire. Il me fallait trouver ma voie et proposer une adaptation au monde professionnel. Le leitmotiv de notre équipe : faire les lignes et faire le job. Partager le quotidien de celles et ceux qui bossent pour donner envie de travailler.
Comment s’est passée la création de l’entreprise ? Quels conseils à donner ?
Géry : C’est assez paradoxal. Mûrement réfléchi, le lancement s’est fait un peu sur un coup de tête. Il fallait se lancer. Pas de conseil à donner, si ce n’est d’oser et de croire en ses rêves. Après tout, qu’a-t-on à perdre à essayer ? Pas grand chose finalement… Parler de ses projets à son entourage, personnel comme professionnel, permet de confronter ses idées, des les challenger et de tracer sa route avec des jalons importants et un réseau. Ceux qui veulent vous aider se manifesteront naturellement.
Pourquoi avoir créé une chaîne Youtube ?
Géry : Youtube s’est imposé rapidement. La plateforme reste le n°1 mondial. Mettre un peu de pro au milieu des vidéos d’humour, de santé, beauté, bien-être, voyage… ça ne fait pas de mal non ? Bon d’accord, on est encore une goutte d’eau dans cet océan, mais le public tombe forcément sur nous ici. C’est gagné !
Quel bilan 4 ans après ?
Géry : Le bilan est très positif. En moyenne, depuis 4 ans, nous produisons et diffusons un épisode chaque semaine sur nos réseaux : Youtube, mais aussi Linkedin, Facebook, Twitter, Instagram et notre site web. Je vous laisse compter le nombre de jobs ainsi testés et mis en lumière. Ils sont souvent méconnus. Qui connaît le métier de pointeur, celui de formaliste, de tourier… ? Sans compter nos formats spéciaux, moins visibles, créés et personnalisés aux couleurs et à l’image de nos clients. Ils sont nombreux, de toutes tailles, de tous horizons et secteurs. Notre format s’adapte à tous. J’en profite d’ailleurs pour les remercie de leur fidélité. Je vais vous faire une confidence : nous ne les démarchons pas. C’est notre production qui fait notre prospection. Autant vous dire que nous sommes visibles et surtout nos clients à travers nous. Quel plaisir et quel confort de travailler avec et pour des personnes qui ont envie de bosser avec vous ! Ensemble, nous tissons des liens forts.
Quels retours ont-ils de leur côté ?
Géry : Là aussi, les retours sont bénéfiques, notamment en terme de marque employeur. Nous n’avons pas de baguette magique : nous n’allons pas recruter à leur place. Aux DRH, nous disons : « Arrêtez de chercher à recruter ! Bossez plutôt votre attractivité. » Et ça marche ! Des « candidats improbables » ou qui s’ignorent, comme je les appelle, marquent un intérêt parce qu’ils ont vu leurs futurs collègues, environnement de travail… Après, c’est leur job de les recruter et les fidéliser. Nos clients bénéficient de plusieurs caisses de résonance : d’abord la leur, mais aussi celle de leurs salariés (plus enclins à partager une vidéo dans laquelle ils sont acteurs), la nôtre à travers nos communautés et celle de nos partenaires.
Quelles sont vos perspectives à présent ?
Géry : Aujourd’hui, le concept s’élargit. Techniquement d’abord : vidéos originales, mais aussi podcasts, photos, événements d’entreprises, drone extérieur comme intérieur… Et puis l’équipe s’est agrandie. Dès l’origine, j’avais à coeur d’incarner dans ma propre entreprise la diversité de la Société dans laquelle nous vivons. Cela passe par un alter ego féminin, devant la caméra : Laetitia, basée à Lille, fait désormais rayonner la marinière JVBCV. D’autres nous rejoindront, dans d’autres régions, pourquoi pas à l’international… Notre duo a d’ailleurs entamé un tour de France de l’agroalimentaire, sous forme de websérie. Nous formons aussi des « salariés ambassadeurs » de leur entreprise, de futurs Youtubeurs internes au cœur même des organisations pour les valoriser. Et puis, derrière les caméras, œuvre une équipe de professionnels engagés : des femmes et des hommes de l’ombre, au talent immense. Ce sont des emplois que nous portons avec fierté. Au total, JVBCV représente aujourd’hui une dizaine de personnes.