SNV – Voléna recrute
Découvrez en immersion les métiers chez SNV – Voléna qui recrute partout en France. Fleuron de l’industrie agroalimentaire, ce pô…
Spécialisée dans la maroquinerie de luxe, l’entreprise SIS va créer un nouvel atelier dans les Vosges, à Epinal. A la clé : 300 emplois à créer.
Déjà implantée dans le Jura depuis 1998, la société SIS va créer un nouvel atelier au printemps dans les Vosges. Dans un premier temps provisoire à Epinal, ce site emploiera 100 à 150 personnes, mais son effectif devrait doubler rapidement pour atteindre également 9.000 mètres carrés neufs. Dirigée par Jean-Yves Chauvy, l’entreprise emploie à ce jour 1.100 salariés, répartis sur quatre sites de production en Franche-Comté, à Avoudrey, Etalans, Valdahon et Vesoul.
A l’étranger, SIS peut aussi compter sur Madagascar (450 salariés) et la Chine (150 salariés). La nouvelle filiale d’Épinal s’appelle la Manufacture du Cœur des Vosges (MCV) et pourra compter qu’à 350 emplois.
SIS est spécialisée dans le travail du cuir pour la maroquinerie de luxe, notamment la gainerie, la sellerie – bagagerie et la fabrication de bracelets de montres pour des horlogers suisses de renom. SIS assure la formation de ses nouveaux embauchés, d’anciennes couturières par exemple comme à Epinal. Il faut environ 6 mois pour être opérationnel. L’entreprise dispose de sa propre école de formation.
La société SIS est née du regroupement de Soft Line Box, IWD et Supercuir, fondée en 1983 et reprise par ses cadres après une liquidation judiciaire. En 2022, l’entreprise qui s’affiche comme « une manufacture de maroquinerie responsable » a réalisé près de 73 millions d’euros de chiffre d’affaires pour 2,3 millions de résultat net.
Pour recruter, SIS affiche une politique sociale poussée : crèche, restaurant d’entreprise, espaces forme, aide au logement de ses salariés…
Pour rejoindre les équipes de SIS 👉 c’est par ici
Au sud de Toulouse, dans la région Occitanie, la startup Ipsophène veut ouvrir la première usine de paracétamol en Europe en 2025. A la clé : 28 M€ investis et 40 emplois. A moins que son confrère Seqens la double en Isère…
Annoncée déjà comme la première usine européenne de paracétamol, Ipsophène doit produire 3.000 à 4.000 tonnes (par an) de ce médicament au premier semestre 2025. La commercialisation, elle, est attendue au printemps 2025 auprès de laboratoires notamment français. C’est au sud de Toulouse, dans un bâtiment de 5.000 mètres carrés sur l’Oncopole, que ce projet porté par Jean Boher doit voir le jour avec un investissement conséquent de 28 millions d’euros, financé à 15% par la région Occitanie.
En jeu : 35 à 40 créations d’emplois prévus. Ce projet doit remédier en partie à la pénurie de médicaments dans l’Hexagone suite au Covid. Les coûts de production seront réduits et l’usine innovante et respectueuse de l’environnement, promet son promoteur, même si le prix de vente resterait 30 à 40% plus élevé que les produits d’importation.
La course à la souveraineté pharmaceutique est lancée ! En Isère, le confrère Seqens investit aussi pour produire 10.000 tonnes du fameux antalgique par an sur son site historique de Roussillon. En 2021, il avait annoncé une centaine d’emplois et 75 M€ liés à ce projet de délocalisation. Le projet, initialement annoncé pour 2024, est reporté à 2026…
Aujourd’hui, environ 85% du principe actif du paracétamol est importé d’Inde, de Chine ou des Etats-Unis. Et depuis 2009 et la fermeture de la dernière usine, l’Europe n’en fabrique plus. A Toulouse, Jean Boher joue la carte de la souveraineté européenne, si chère aux politiques.
✔️ En savoir + 👉 chez IPSOPHÈNE
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A Paris, Google vient d’inaugurer un nouveau hub de R&D entièrement consacré à l’Intelligence Artificielle (IA). Ce pôle doit regrouper 300 emplois de chercheurs et développeurs.
A Paris, la firme américaine Google avait déjà implanter un pôle de recherche en 2018. Google France vient d’inaugurer un nouveau hub dédié à la R&D en Intelligence artificielle (IA). Dans le 9e arrondissement de la capitale, il réunit des équipes de Google Research et DeepMind, soit 300 emplois d’ingénieurs informatiques et de chercheurs. Objectif pour le P-dg Sundar Pichai, qui recrute sans cesse : « Faire émerger de nouveaux partenariats académiques. » Il souhaite ainsi former quelque 10.000 professionnels aux outils et spécificités de l’IA d’ici à fin 2025…
En 2018 déjà, Google France avait annoncé l’extension de son siège parisien pour accueillir 500 salariés supplémentaires et doubler ainsi ses effectifs.
La concurrence reste féroce face au développement exponentiel de l’IA. En France, Xavier Niel (Iliad – Free), Rodolphe Saadé (CMA-CGM) et Eric Schmidt (ex-CEO de Google) ont lancé fin 2023 leur propre laboratoire de recherche tricolore nommé « Kyutai ». Chacun a investi 100 millions d’euros dans l’affaire. De quoi faire face au ChatGPT, Google Bard ou encre Meta AI.
Avec ses institutions et laboratoires prestigieux et ses 500.000 chercheurs, la France est une place de premier ordre pour les géants du numérique, à l’instar de Google, mais aussi Facebook ou IBM, Samsung…
Pour renforcer son site breton de production de verres Origine France Garantie, l’industriel Zeiss a lancé une campagne de recrutement originale par voie d’affichage publicitaire. Bien vu dans les rues de Fougères en Ille-et-Vilaine pour 30 emplois à pourvoir ! Et aussi 300 de plus en Charente…
Z… E… I… bien vu ! Zeiss recrute et affiche la couleur dans la rue. Pour ses emplois à pourvoir dans le Pays de Fougères, en Ille-et-Vilaine (35), l’industriel a lancé une campagne d’affichage publicitaire en ville mettant en avant ses propres salariés en situation de travail. « Vous cherchez une bonne raison pour changer de métier… Venez nous voir ! », invitent-ils.
En Bretagne, Zeiss a investi dans de nouvelles machines et recrute 30 personnes pour renforcer la fabrication de ses verres « made in France ». Un argument qui devrait séduire, espère la direction : « Nous allons augmenter de 25% notre production de verres Origine France Garantie », explique Nicolas Series, président de Zeiss France qui emploie déjà 330 personnes sur place, sur un millier dans tout l’Hexagone.
En partenariat avec France Travail, Zeiss embauche selon une méthode de recrutement sans CV donnant ainsi sa chance à tout le monde, avec et sans diplôme d’ailleurs. L’entreprise veut renforcer les circuits courts d’approvisionnement de ses clients opticiens partenaires. Six nouveaux commerciaux viennent, en parallèle de cette campagne, muscler ses équipes.
En 2023, en Charente-Maritime, le géant allemand de l’optique avait déjà annoncé une vaste campagne de 300 recrutements cette fois à horizon 2028, pour son site de production de Périgny. Créé en 2005 près de La Rochelle, ce pôle recevra 110 millions d’euros d’investissements dont 33,7 M€dans le bâtiment et 46,7 M€ dans ses futurs équipements. Une nouvelle usine de près de 14.000 mètres carrés pour la production de verres de lunettes mais aussi d’objectifs pour appareils photos.
La première pierre a été posée en mars 2023. Livraison prévue en janvier 2025. Zeiss doit y développer de nouveaux produits et recrute des profils tous azimuts, de la production à la logistique en passant par les services supports. Cette division de technologie médicale, qui emploie déjà 250 personnes sur 5.000 mètres carrés, est spécialisé notamment dans la production d’implants intra-oculaires pour soigner la cataracte.
Pour rejoindre les équipes de Zeiss 👉 c’est par ici
Pour renforcer ses équipes dans la perspective des Jeux Olympiques de Paris2024, la RATP annonce 5.300 recrutements en Ile-de-France. Agents en station, conducteurs, sécurité… les postes à pourvoir sont variés.
Découvrez l’entreprise…Voir la vidéo
En 2024, la RATP prévoit le recrutement de 5.300 agents. En détails, ce sont 3.700 CDI, 1.000 contrats d’alternance et 600 contrats d’insertion. Les JO de Paris y sont pour beaucoup mais pas seulement. Des départs sont naturellement à remplacer et le président du groupe, l’ancien Premier ministre Jean Castex veut aussi redresser la qualité de service délivrée avec des moyens humains supplémentaires. L’an dernier déjà, l’entreprise avait annoncé un vaste plan de 6.600 emplois à pourvoir, « sans diplôme à Bac+5« . Un millier de nouveaux alternants sont aussi attendus dont 850 au sein de son propre Centre de formation des apprentis (CFA) de la mobilité urbaine durable (MUD).
Parmi ces 5.300 promesses d’embauches, la RATP a surtout besoin de conducteurs. Le besoin s’élève à 1.350 chauffeurs de bus (dont 1.200 sur Paris et petite couronne et 150 en grande couronne avec RATP Cap Île-de-France), 120 conducteurs de métro. Les deux autres métiers les plus recherchés concernent les techniciens de maintenance (350 postes à pourvoir) et les agents en gares et stations (900 recrutements) notamment pour l’accueil et l’information des passagers, la vente et la sécurité (120). « Nous recrutons notamment pour les postes de mécanicien d’entretien des trains et des métros, technicien de dépannage des trains, électromécanicien, électronicien, électricien, mainteneur en signalisation ferroviaire et en pilotage automatique« , indique le groupe.
Parmi l’ensemble de ces besoins, près de 550 emplois d’ingénieurs et cadres sont aussi à pourvoir, « principalement des ingénieurs et chefs de projet des métiers du digital et de la cybersécurité, de la maintenance, des infrastructures et systèmes industriels, mais aussi des postes de managers d’exploitation« .
La Régie autonome des transports (RATP), 3e opérateur mondial des transports urbains, ce sont plus de 250 métiers différents. Peut-être le vôtre demain ? Pour postuler à la RATP 👉 c’est ici
✔️ Tous nos contenus sur les métiers de la RATP 👉 à retrouver ici
Lancée il y a 6 ans, la chaîne Youtube JeViensBosserChezVous JVBCV, « le média du recrutement heureux », comptabilise déjà plus de 10.000 abonnés ! Son équipe bosse l’attractivité et marque employeur des entreprises et de leurs métiers en vidéo. Déjà plus de 350 épisodes en ligne pour 280 entreprises.
Découvrez la chaîneLancée il y a 6 ans par le journaliste économique Géry Bertrande, la chaîne professionnelle Youtube Jeviensbosserchezvous comptabilise déjà plus de 10.000 abonnés ! Son format original et inédit séduit les entreprises qui veulent bosser leur attractivité et leur marque employeur par la vidéo en immersion et en authenticité, en donnant la parole à leurs salariés ambassadeurs, acteurs du quotidien, partout en France et même à l’étranger…
VIDéO D’ENTREPRISE : POURQUOI IL VOUS FAUT UN SCéNARIO
L’écriture du scénario permet d’organiser tous les éléments utiles au tournage. Écrire un scénario ? Pour des vidéos d’entreprise authentiques et originales qui servent l’attractivité et la marque employeur ? C’est parti !
Écrire un scénario ? Pour des vidéos d’entreprise authentiques et originales qui servent l’attractivité et la marque employeur ? L’idée peut paraître farfelue, voire un peu prétentieuse. Mais pas du tout. Une vidéo de 3 à 5 minutes mérite un scénario, tout autant qu’un film sur grand écran. La clé, c’est d’écrire noir sur blanc « Qui dit quoi, où et quand ? » Ce document de travail de 2 à 3 pages, que l’on peut aussi appeler script ou déroulé, est la colonne vertébrale de votre projet. Prêt pour l’écrire ensemble ?
Rédiger le préambule du scénario
Raconter une histoire, oui, mais quelle histoire ?
Construire la structure du scénario
Les 8 commandements du scénario
Le scénario est le document de référence utilisé par tous les protagonistes du projet. Ceux qui seront présents sur le tournage, comme ceux qui ont participé à sa préparation. Tout ce qui est important doit être indiqué, de manière ultra-synthétique dans ce script. Avec le préambule, vous préparez déjà le déroulé de la vidéo en déblayant ce qui doit rester hors-champ.
L’objectif de la vidéo : résumez l’objectif visé en introduction du document. Qu’est-ce que vous cherchez à résoudre ou à améliorer en créant cette vidéo ou ce Podcast ? Quand vous doutez sur le contenu du scénario, revenez à cet objectif.
Les messages clés : choisissez-en 3, maximum, qui devront absolument être transmis. Ce peut être un message clé par personne qui prend la parole ou trois messages transversaux.
Ce que ne sera pas votre vidéo : indiquez en 2 phrases les termes que vous ne souhaitez pas employer. Le fait de les écrire permet de l’évacuer. Cette « zone rouge » doit être connue de tous. Elle est à mentionner dans le document de scénario que tout le monde doit avoir a la main.
On ne peut pas tout dire dans une vidéo de 3 à 5 minutes. Le fil rouge, c’est l’histoire que vous allez raconter. Il y a un début, une fin et des rôles clairs pour chacun des personnages. Celui, ou celle, qui présente l’entreprise, la personne qui explique son métier… Un personnage qui joue son propre rôle sera le plus convaincant 😉 Choisissez des personnalités qui vont s’exprimer avec le cœur, le plus naturellement possible. Ce ne sont pas toujours les personnes les plus loquaces au quotidien.
Une histoire, c’est de l’intrigue, des surprises et même du suspense. Les anecdotes et le vécu doivent tenir en haleine. On n’est pas dans un catalogue d’éléments de langage.
Un scénario se découpe en scènes et en dialogues.
Les scènes. Une scène est une séquence vidéo qui se filme au même endroit. Vous pouvez avoir 3 à 4 scènes pour une vidéo de 3 à 5 minutes. Elles se tournent dans des lieux différents. Intérieur, extérieur, magasin, arrière-boutique, atelier de fabrication, laboratoire R&D… Le lieu peut aussi être mobile en prenant place dans un 33 tonnes, ou une camionnette de livraison, selon votre activité.
Les images tournées pourront servir d’illustration aux propos d’une interview filmée dans un endroit statique.
Les dialogues. Pour une vidéo d’entreprise, on vous conseille d’adopter la forme d’un échange entre deux personnes, plutôt qu’un monologue. Le scénario précise la question qui est posée à la personne interviewée, ça c’est facile. La réponse peut également être rédigée, mais ce qui compte, ce sont les mots-clés qui seront à mémoriser. Le but n’est pas d’apprendre une leçon et de la réciter, mais de s’assurer qu’à travers tout ce qui est dit, les messages soient bien transmis.
La mémoire visuelle aide à se souvenir de mots-clés ou images, pictos, plutôt que de longues phrases.
De tout dire, tu n’essaieras pas. Tout ne passera pas dans le temps de la vidéo qui doit être courte pour accrocher, interpeller et donner envie. Ne vous interdisez pas de faire plusieurs vidéos, lancez-vous dans une série à la Netflix.
« À qui tu t’adresses », tu te rappelleras. Impossible de parler à tout le monde en même temps. Il faut penser la vidéo comme un tête-à-tête.
À la place du spectateur, tu te mettras. Montrez au maximum ce que l’on aime découvrir soi-même (coulisses, astuces, anecdotes…). On aime le plus souvent regarder des vidéos dynamiques qui nous surprennent à des moments précis.
Tu ne te justifieras pas. Expliquer ne veut pas dire se justifier, ni même chercher à convaincre. L’objectif est de se dévoiler tel que l’on est vraiment.
La vidéo « publicitaire », tu éviteras. Une vidéo est un voyage pour faire vivre l’entreprise de l’intérieur. On aime découvrir ce qui se cache derrière une enseigne, plutôt que de regarder des spots publicitaires.
Aux exemples et anecdotes, tu penseras. Plus on est concret, mieux on est compris, surtout de personnes à qui vous avez envie d’expliquer votre métier.
Tu changeras de décor. Chaque scène se tourne dans un endroit différent. De préférence, des lieux qui ne se ressemblent pas, pour montrer toutes les facettes de l’entreprise.
Tu ne feras pas du scénario les Tables de la loi. Un scénario est un guide, mais ce n’est pas du « par cœur ». Il permet de rassurer tout le monde, et d’abord le réalisateur, mais il laisse de la place aux aléas et à la surprise.
Avant de construire le scénario, écrivez sur un Post-it au-dessus de votre bureau cette citation de Nicolas Boileau « Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément ». Et hop, lancez-vous.
Écrire un scénario ? Pour des vidéos d’entreprise authentiques et originales qui servent l’attractivité et la marque employeur ? L’idée peut paraître farfelue, voire un peu prétentieuse. Mais pas du tout. Une vidéo de 3 à 5 minutes mérite un scénario, tout autant qu’un film sur grand écran.
Rédiger le préambule du scénario
Raconter une histoire, oui, mais quelle histoire ?
Construire la structure du scénario
Le scénario est le document de référence utilisé par tous les protagonistes du projet. Ceux qui seront présents sur le tournage, comme ceux qui ont participé à sa préparation. Tout ce qui est important doit être indiqué, de manière ultra-synthétique dans ce script. Avec le préambule, vous préparez déjà le déroulé de la vidéo en déblayant ce qui doit rester hors-champ.
L’objectif de la vidéo : résumez l’objectif visé en introduction du document. Qu’est-ce que vous cherchez à résoudre ou à améliorer en créant cette vidéo ou ce Podcast ? Quand vous doutez sur le contenu du scénario, revenez à cet objectif.
Les messages clés : choisissez-en 3, maximum, qui devront absolument être transmis. Ce peut être un message clé par personne qui prend la parole ou trois messages transversaux.
Ce que ne sera pas votre vidéo : indiquez en 2 phrases les termes que vous ne souhaitez pas employer. Le fait de les écrire permet de l’évacuer. Cette « zone rouge » doit être connue de tous. Elle est à mentionner dans le document de scénario que tout le monde doit avoir a la main.
On ne peut pas tout dire dans une vidéo de 3 à 5 minutes. Le fil rouge, c’est l’histoire que vous allez raconter. Il y a un début, une fin et des rôles clairs pour chacun des personnages. Celui, ou celle, qui présente l’entreprise, la personne qui explique son métier… Un personnage qui joue son propre rôle sera le plus convaincant 😉 Choisissez des personnalités qui vont s’exprimer avec le cœur, le plus naturellement possible. Ce ne sont pas toujours les personnes les plus loquaces au quotidien.
Une histoire, c’est de l’intrigue, des surprises et même du suspense. Les anecdotes et le vécu doivent tenir en haleine. On n’est pas dans un catalogue d’éléments de langage.
Un scénario se découpe en scènes et en dialogues.
Les scènes. Une scène est une séquence vidéo qui se filme au même endroit. Vous pouvez avoir 3 à 4 scènes pour une vidéo de 3 à 5 minutes. Elles se tournent dans des lieux différents. Intérieur, extérieur, magasin, arrière-boutique, atelier de fabrication, laboratoire R&D… Le lieu peut aussi être mobile en prenant place dans un 33 tonnes, ou une camionnette de livraison, selon votre activité.
Les images tournées pourront servir d’illustration aux propos d’une interview filmée dans un endroit statique.
Les dialogues. Pour une vidéo d’entreprise, on vous conseille d’adopter la forme d’un échange entre deux personnes, plutôt qu’un monologue. Le scénario précise la question qui est posée à la personne interviewée, ça c’est facile. La réponse peut également être rédigée, mais ce qui compte, ce sont les mots-clés qui seront à mémoriser. Le but n’est pas d’apprendre une leçon et de la réciter, mais de s’assurer qu’à travers tout ce qui est dit, les messages soient bien transmis.
La mémoire visuelle aide à se souvenir de mots-clés ou images, pictos, plutôt que de longues phrases.
De tout dire, tu n’essaieras pas. Tout ne passera pas dans le temps de la vidéo qui doit être courte pour accrocher, interpeller et donner envie. Ne vous interdisez pas de faire plusieurs vidéos, lancez-vous dans une série à la Netflix.
« À qui tu t’adresses », tu te rappelleras. Impossible de parler à tout le monde en même temps. Il faut penser la vidéo comme un tête-à-tête.
À la place du spectateur, tu te mettras. Montrez au maximum ce que l’on aime découvrir soi-même (coulisses, astuces, anecdotes…). On aime le plus souvent regarder des vidéos dynamiques qui nous surprennent à des moments précis.
Tu ne te justifieras pas. Expliquer ne veut pas dire se justifier, ni même chercher à convaincre. L’objectif est de se dévoiler tel que l’on est vraiment.
La vidéo « publicitaire », tu éviteras. Une vidéo est un voyage pour faire vivre l’entreprise de l’intérieur. On aime découvrir ce qui se cache derrière une enseigne, plutôt que de regarder des spots publicitaires.
Aux exemples et anecdotes, tu penseras. Plus on est concret, mieux on est compris, surtout de personnes à qui vous avez envie d’expliquer votre métier.
Tu changeras de décor. Chaque scène se tourne dans un endroit différent. De préférence, des lieux qui ne se ressemblent pas, pour montrer toutes les facettes de l’entreprise.
Tu ne feras pas du scénario les Tables de la loi. Un scénario est un guide, mais ce n’est pas du « par cœur ». Il permet de rassurer tout le monde, et d’abord le réalisateur, mais il laisse de la place aux aléas et à la surprise.
Avant de construire le scénario, écrivez sur un Post-it au-dessus de votre bureau cette citation de Nicolas Boileau « Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément ». Et hop, lancez-vous.
Les entreprises industrielles embauchent ! En 2024, plus de 182.500 recrutements sont prévus dans le secteur de l’industrie et des services à l’industrie, selon une enquête de l’Usine nouvelle qui liste les 100 plus gros recruteurs de l’année.
C’est du jamais vu ! La filière industrielle recrute à tours de bras cette année. Les entreprises de l’industrie et des services industriels ont recensé plus de 182.500 projets de recrutements en 2024, contre 169.000 en 2020*. Les 10 premiers cumulent même 100.000 embauches prévisibles. Parmi eux, en tête, la SNCF compte 20.000 postes à pourvoir. « 74% des entreprises interrogées anticipent des créations nettes d’emplois« , précise L’Usine nouvelle.
Dans ce classement, on trouve aussi le groupe de luxe LVMH (15.200 embauches prévues) aux multiples enseignes. Au coude à coude, sur la 3e marche du podium, on trouve le groupe Vinci et ses nombreuses activités dans la construction et le BTP comme Vinci Facilities avec 15.000 projets d’embauches cette année. Suivent (dans l’ordre) son confrère le groupe Bouygues (11.900 projets), puis Transdev, Capgemini, Engie, Safran, Veolia, le groupe La Poste, Alten, RATP, Sopra-Steria, Stef, Saint-Gobain… Et en bas du tableau, l’expert breton de la maison connectée Delta Dore (40 postes à pourvoir) et le 100e Xylem Water Solutions (30 emplois).
Cette année encore, le plus gros enjeu pour tous ces recruteurs sera de trouver les bons profils, dans un contexte toujours pénurique. Le « produire en France » cher à nos politiques, pour la souveraineté du pays, entraîne son lot de tensions sur le marché de l’emploi, alors que Pôle Emploi vient de se transformer en France Travail. Plus que jamais, l’évolution interne et la mobilité entre les métiers seront d’actualité, tout comme la formation professionnelle. Quant à l’intelligence artificielle, utilisée de plus en plus dans la recherche de candidats, elle peine encore à faire ses preuves.
La baguette magique n’existe pas en termes de recrutements. L’attractivité reste l’atout majeur des recruteurs pour attirer, motiver et convaincre les candidats à l’emploi, en partageant ses valeurs et sa vie au travail, en toute transparence et le plus possible en authenticité et sincérité. Pour cela, l’image et notamment la vidéo en immersion restera le média numéro 1 cette année.
Sur une décennie, les besoins de main d’oeuvre industriels restent énormes. Ce serait 1,3 million de postes à pourvoir dans les 10 ans à venir, a calculé le Gouvernement. C’est d’ailleurs le chiffre d’offres d’emplois publiées l’an dernier dans l’industrie, selon Adecco. Candidats, à vous de postuler !
(*source : étude de L’Usine nouvelle 2024)
ATTRACTIVITé
Comment bosser et booster votre attractivité et votre marque employeur au fil du temps ? Notre guide « 50 nuances de posts pour faire vivre votre marque employeur à l’année » vous aide…
Faire vivre sa marque employeur et la nourrir tout au long d’une année demande de l’attention, de la concentration mais aussi de l’organisation. Votre community manager est à court d’idées ? Ah, vous n’en avez peut-être pas en fait. Au grands mots, les gros remèdes. Pas de panique. Tous les prétextes sont bons. Toutes les occasions sont belles, ou presque. Attention aux pièges à éviter !
Notre guide « 50 nuances de posts pour faire vivre votre marque employeur à l’année » est comme une boussole, édité pour vous après des heures et des heures d’observation. Non pas un énième recueil publicitaire ! Un guide, un vrai, à imprimer parce qu’on aime le papier qui ne s’use que si l’on s’en sert.
Le principe : vous donner des idées pour garder la ligne (éditoriale) sur 12 mois. Comme un programme d’entraînement sportif, ce guide-coach vous veut du bien.
Nous aurions pu créer un jeu de 54 cartes, mais il existe déjà. Notre comité éditorial a préféré 50 nuances de posts (et 1 bonus) pour 52 semaines de l’année. Parce que, oui, vous aurez droit à deux semaines de répit. Votre objectif : faire parler de votre boîte, vous rendre intéressant. À ne pas confondre avec faire l’intéressant…
Alors, prêts ? Faites savoir votre savoir-faire, postez !