Née en 2015 à Bordeaux-Mérignac, la start-up Blue Valet se targue d’embaucher un voiturier par jour en 2019 ! Et sa lancée se poursuit avec un besoin de 50 nouveaux collaborateurs en France et à l’international, avec une perspective de 500.000 voyageurs à satisfaire d’ici à 2022. Sa spécialité ? Un service de voituriers dans les aéroports et gares, assuré en partenariat avec Gan. Vous leur confiez votre voiture au dépose-minute, où vous le retrouvez à votre retour, avec le sourire. Les véhicules sont stationnés dans l’un de leurs « parkings partenaires, privatisés et sécurisés ».

Une aventure entrepreneuriale européenne

Cette « aventure familiale » a été lancée par deux frères, Hugo et Benoît. En 2017, ils ont levé deux millions d’euros auprès de quatre fonds d’investissements, puis six autres millions en 2018, pour lancer notamment une application mobile. Depuis, Blue Valet a maillé le territoire, de Bordeaux à Nantes, en passant par Marseille, Lyon, Paris bien sûr, Aix, Avignon… mais aussi en Europe à Bruxelles, Barcelone.

11 aéroports, 15 gares

Le service est à la fois présent dans 11 aéroports mais aussi une quinzaine de gares, pour 160 salariés : des « Valets dynamiques et souriants avec un sens du relationnel aiguisé ». Avis aux amateurs !

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Cette semaine, j’ai le plaisir de vous emmener bosser dans le secteur du transport de marchandises et de la logistique. Avec Ronan, chez Lahaye Global Logistics, j’ai découvert le métier de conducteur routier. Un job passionnant dans un groupe familial en plein essor (+7% de croissance) qui emploie 1.200 personnes (dont 700 conducteurs), réalise 157 millions d’euros de chiffre d’affaires et qui recrute. En route vers l’emploi !

Géry Bertrande

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C’est à Onnaing précisément, dans la banlieue de Valenciennes vers la Belgique que Toyota recrute ! Pas moins de 800 emplois dont 700 en CDI annoncés pour ce site industriel de premier plan en Europe pour le constructeur automobile japonais. Une nouvelle vague d’embauches qui va de pair avec une enveloppe d’investissements de 300 millions d’euros. Objectif : produire 300.000 véhicules par an soit 60.000 de plus par rapport à aujourd’hui.

Une seule voiture à succès européen !

La Yaris, aujourd’hui hybride, fait le succès de ce pôle automobile au Nord qui doit recevoir un deuxième véhicule lié à ce plan d’embauches. Née il y a 20 ans, l’usine Toyota exemplaire – que j’ai déjà eu le plaisir de visiter – a drainé plus d’un milliard d’euros d’investissements depuis 1997 et trois millions de véhicules !

Le site emploie quelque 4.000 salariés et son ancien directeur Didier Leroy est même devenu vice-président monde de la firme nippone. Il faisait partie de la visite présidentielle du 22 janvier, aux côtés de Jean-Louis Borloo, maire de Valenciennes à l’époque de la création de ce que l’on appelle « TMMF » : Toyota Motor Manufacturing France.

@GBertrande

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