
C’est quoi le quotidien d’entrepreneurs
engagés chez Toche & Nono ?
Facile d’entreprendre ? De l’idée à la réalisation, comment faire ? Quelles étapes et clichés sur l’entreprise ? En partenariat avec Hachette Technique, suivez en immersion le quotidien de Charlotte et Arnaud, alias Toche&Nono, un duo d’entrepreneurs engagés du côté de Troyes, dans l’Aube.
Facile d’entreprendre ? De l’idée à la réalisation, comment faire ? Quelles étapes et clichés sur l’entreprise ? En partenariat avec Hachette Technique, suivez en immersion le quotidien de Charlotte et Arnaud, alias Toche&Nono, un duo d’entrepreneurs engagés du côté de Troyes, dans l’Aube. Le couple conçoit et fabrique des produits d’hygiène du quotidien : savons, shampoings, déodorants solides, sans pesticides, sans emballage !
Respirez ! Vous sentez ici comme ça sent bon l’entrepreneuriat ? Charlotte et Arnaud, alias Toche & Nono ont créé la marque de produits cosmétiques bio du même nom, du côté de Troyes. Ils ont quitté leurs jobs respectifs pour se lancer dans l’entrepreneuriat et nous racontent, dans cet épisode, leur vie d’entrepreneurs au quotidien.
Entreprendre, c’est facile ?
Difficile de monter sa boîte ? Cliché ou réalité ? De l’idée à la réalisation, le jeune couple partage son parcours, ses joies et réussites, ses galères aussi. Prise de risques, création, investissements et financements, gestion, innovation et processus créatif… Charlotte et Arnaud détaillent ce qui les anime au jour le jour. Un partage qui donne envie d’oser entreprendre, n’est-ce pas ?
🎙🎧 Ecoutez aussi cet épisode 👉 en podcast
Immersions métiers en vidéo dans les manuels scolaires
La rentrée se prépare dès maintenant chez Hachette Technique, éditeur scolaire spécialiste de l’enseignement technique et professionnel… A cette occasion, nous vous rappelons qu’à chaque rentrée scolaire, les élèves des lycées professionnels en Bac Pro et des lycées technologiques en STMG, bénéficient d’exercices construits à partir de nos vidéos Jeviensbosserchezvous directement dans leurs beaux manuels scolaires.
Merci et bravo à Charlotte et Arnaud et toutes les actrices et acteurs de ce projet ! De quoi donner à la jeunesse le goût de l’Entreprise et des filières d’avenir, avec des idées d’orientation, de métiers, etc. Merci au groupe Hachette Livre et bravo à toute la Team Hachette.
✔️ Vous aussi, plongez en immersion chez Hachette Technique

Vidéo de marque employeur : l’aventure entrepreneuriale JeViensBosserChezVous
Entretien avec le journaliste économique Géry Bertrande (alias Géryoutubeur), fondateur et animateur du concept JeViensBosserChezVous #JVBCV.
Entretien avec le journaliste économique Géry Bertrande (alias Géryoutubeur), fondateur et animateur du concept JeViensBosserChezVous #JVBCV. Depuis 2018, son équipe bosse l’attractivité et la marque employeur des entreprises et des organisations de toutes tailles et de tous secteurs, grâce au média vidéo, réseaux sociaux et Youtube. Zoom sur une belle aventure entrepreneuriale en équipe, partout en France et même au-delà.

Temps de lecture : 8 min
> Article publié dans le cadre d’une newsletter adressée par Hachette x Bpifrance à 30.000 enseignants de France
Journaliste de profession, Géry, tu as décidé de créer ton entreprise il y a 4 ans maintenant. Un concept inédit associé à une chaîne Youtube : Je Viens Bosser Chez Vous. Quel a été le déclic ?
A force de côtoyer des entrepreneurs et de visiter des entreprises pour valoriser leurs actualités pendant une vingtaine d’années, ce quotidien m’a donné envie de me lancer dans l’entrepreneuriat. Je voyais bien qu’il me fallait également réinventer mon métier, à l’époque très lié à la presse écrite. La vidéo représente aujourd’hui 80% du flux média web. En tant qu’homme de projets et de réseaux, il fallait passer à l’action !
D’où est née l’idée de ton concept Je Viens Bosser Chez Vous ?
Géry : J’avais envie de créer mon propre média, de partager ce que je voyais au quotidien dans les entreprises dynamiques. J’avoue que j’en avais un peu marre aussi d’entendre des dirigeants me confier qu’ils n’avaient pas d’image de leur boîte, qu’ils galéraient à recruter… Tout le monde ne s’appelle pas Airbus ! L’immersion et l’authenticité ont guidé la création du concept. Des émissions m’ont aussi inspiré. Souvenez-vous de StripTease : une caméra filme le quotidien des « vrais » gens. Sans commentaire. Il me fallait trouver ma voie et proposer une adaptation au monde professionnel. Le leitmotiv de notre équipe : faire les lignes et faire le job. Partager le quotidien de celles et ceux qui bossent pour donner envie de travailler.
Comment s’est passée la création de l’entreprise ? Quels conseils à donner ?
Géry : C’est assez paradoxal. Mûrement réfléchi, le lancement s’est fait un peu sur un coup de tête. Il fallait se lancer. Pas de conseil à donner, si ce n’est d’oser et de croire en ses rêves. Après tout, qu’a-t-on à perdre à essayer ? Pas grand chose finalement… Parler de ses projets à son entourage, personnel comme professionnel, permet de confronter ses idées, des les challenger et de tracer sa route avec des jalons importants et un réseau. Ceux qui veulent vous aider se manifesteront naturellement.
Pourquoi avoir créé une chaîne Youtube ?
Géry : Youtube s’est imposé rapidement. La plateforme reste le n°1 mondial. Mettre un peu de pro au milieu des vidéos d’humour, de santé, beauté, bien-être, voyage… ça ne fait pas de mal non ? Bon d’accord, on est encore une goutte d’eau dans cet océan, mais le public tombe forcément sur nous ici. C’est gagné !

Quel bilan 4 ans après ?
Géry : Le bilan est très positif. En moyenne, depuis 4 ans, nous produisons et diffusons un épisode chaque semaine sur nos réseaux : Youtube, mais aussi Linkedin, Facebook, Twitter, Instagram et notre site web. Je vous laisse compter le nombre de jobs ainsi testés et mis en lumière. Ils sont souvent méconnus. Qui connaît le métier de pointeur, celui de formaliste, de tourier… ? Sans compter nos formats spéciaux, moins visibles, créés et personnalisés aux couleurs et à l’image de nos clients. Ils sont nombreux, de toutes tailles, de tous horizons et secteurs. Notre format s’adapte à tous. J’en profite d’ailleurs pour les remercie de leur fidélité. Je vais vous faire une confidence : nous ne les démarchons pas. C’est notre production qui fait notre prospection. Autant vous dire que nous sommes visibles et surtout nos clients à travers nous. Quel plaisir et quel confort de travailler avec et pour des personnes qui ont envie de bosser avec vous ! Ensemble, nous tissons des liens forts.
Quels retours ont-ils de leur côté ?
Géry : Là aussi, les retours sont bénéfiques, notamment en terme de marque employeur. Nous n’avons pas de baguette magique : nous n’allons pas recruter à leur place. Aux DRH, nous disons : « Arrêtez de chercher à recruter ! Bossez plutôt votre attractivité. » Et ça marche ! Des « candidats improbables » ou qui s’ignorent, comme je les appelle, marquent un intérêt parce qu’ils ont vu leurs futurs collègues, environnement de travail… Après, c’est leur job de les recruter et les fidéliser. Nos clients bénéficient de plusieurs caisses de résonance : d’abord la leur, mais aussi celle de leurs salariés (plus enclins à partager une vidéo dans laquelle ils sont acteurs), la nôtre à travers nos communautés et celle de nos partenaires.
Quelles sont vos perspectives à présent ?
Géry : Aujourd’hui, le concept s’élargit. Techniquement d’abord : vidéos originales, mais aussi podcasts, photos, événements d’entreprises, drone extérieur comme intérieur… Et puis l’équipe s’est agrandie. Dès l’origine, j’avais à coeur d’incarner dans ma propre entreprise la diversité de la Société dans laquelle nous vivons. Cela passe par un alter ego féminin, devant la caméra : Laetitia, basée à Lille, fait désormais rayonner la marinière JVBCV. D’autres nous rejoindront, dans d’autres régions, pourquoi pas à l’international… Notre duo a d’ailleurs entamé un tour de France de l’agroalimentaire, sous forme de websérie. Nous formons aussi des « salariés ambassadeurs » de leur entreprise, de futurs Youtubeurs internes au cœur même des organisations pour les valoriser. Et puis, derrière les caméras, œuvre une équipe de professionnels engagés : des femmes et des hommes de l’ombre, au talent immense. Ce sont des emplois que nous portons avec fierté. Au total, JVBCV représente aujourd’hui une dizaine de personnes.



Je bosse à La Maison de Jeanne
maison de retraite Ehpad qui recrute
Basée en Normandie à Villers-Bocage (14), au sud de Caen, La Maison de Jeanne recrute des professionnels de santé et des résidents.
Basée en Normandie à Villers-Bocage (14), au sud de Caen, La Maison de Jeanne recrute des professionnels de santé et des résidents. Suivez cette visite en immersion vidéo avec Elise, la directrice de cet Ehpad, Vanessa, aide-soignante, et tous les « habitants » de cette maison de retraite accueillante et singulière qui prône des valeurs d’Humanitude et travaille sa marque employeur en vidéo.
Je ne vous ai jamais emmené bosser dans un EHPAD ? Vous savez ces Etablissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes. Dans ce nouvel épisode, bienvenue à La Maison de Jeanne, une maison de retraite pas comme les autres… Je n’avais personnellement jamais vu un bistrot dans une maison de retraite !
Recrutements d’infirmiers, aide-soignants…
Située en Normandie, à Villers-Bocage, elle a sa place de village avec son café terrasse, son salon de coiffure, son magasin… La Maison de Jeanne accueille 180 habitants pour quasiment autant d’employés. Oui, on les appelle ainsi car ils sont ici comme chez eux, « à la maison ». Par quartier de vie de 24 résidents, ils vivent ensemble au quotidien l’Humanitude. Connaissez-vous ce label ? Elise Gambier, la directrice de cet établissement qui recrute des postes d’infirmiers, aide-soignants…, nous partage les valeurs incarnées derrière ce terme de bientraitance, pour faire des lieux de vie des lieux d’envies.
Humanitude, mode d’emploi
L’Humanitude repose sur une relation avec autrui fondée sur trois piliers de communication : le regard, la parole et le toucher. Cette philosophie de vie préconise aussi de « vivre et mourir debout » ou le concept de verticalité. Le personnel évalue les capacités de la personne âgée pour un maximum de soins adaptés et le plus possible debout, notamment pour la « toilette évaluative ». Au fait, je n’ai croisé aucune blouse blanche ici.
Vidéo hommage aux soignants
Cette vidéo rend hommage à toutes celles et ceux qui bossent au service et aux petits soins de nos aînés, dans un contexte particulièrement sensible depuis la crise sanitaire du Covid19. Des personnes âgées que nous serons tous amenés à devenir un jour… Merci à Elise, Vanessa et toute l’équipe pour l’accueil.
Postulez !
Envie de bosser ici ou de venir y habiter ? La Maison de Jeanne recrute à tous les postes.
✔️ Pour rejoindre la team, c’est juste ici

Créer son studio vidéo en entreprise avec JeViensBosserChezVous ?
Vu la situation sanitaire, les déplacements professionnels se font plus rares, tout comme les salons, forums, prospections commerciales… Vive le distanciel !
Vu la situation sanitaire, les déplacements professionnels se font plus rares, tout comme les salons, forums, prospections commerciales… Vive le distanciel ! Encore faut-il savoir le gérer. Des entreprises créent leur propre studio vidéo interne. Il faut ensuite se former à la prise de parole en public et gérer l’interview face caméra en live. Exemple de mission réussie chez l’équipementier automobile Cooper Standard…

Nouveau duo avec ma complice Aline Jalliet chez CooperStandard à Vitré, en Bretagne où il dispose de son centre R&D… L’équipementier automobile américain a créé son propre studio vidéo pour apporter à ses équipes françaises des solutions de communication innovantes à distance. C’est parti pour le live maîtrisé à distance avec présentations et interview vidéo !
Moins de déplacements pros, plus de vidéo à distance !
Le contexte ? Vu la situation sanitaire, les déplacements professionnels se font plus rares, tout comme les salons, forums, prospections commerciales… Vive le distanciel ! Encore faut-il savoir le gérer.
Créer son studio vidéo en 3 étapes
Notre mission en 3 temps pour gérer des sessions live en distanciel avec ses clients :
1. S’équiper en studio live mobile
Il faut d’abord s’équiper en caméras, micros cravates, régie mobile autonome… Des prestataires comme notre partenaire Veo-Labs ont la compétence pour aider les entreprises à créer leur studio vidéo de manière très simple.
2. Former ses équipes
Le matériel c’est bien, mais ça ne fait pas tout ! Devant une caméra, en conditions « live » en direct, il faut savoir s’exprimer avec clarté et concision. D’où la nécessité de se former à la prise de parole en public pour être à l’aise face à la caméra. C’est la partie d’Aline Jalliet, notre partenaire, formatrice coach de la voix.
3. Écrire un scénario pertinent
Après la formen place au fond ! Il faut creer un contenu pertinent pour le live vidéo. L’écriture de scénario avec des professionnels, comme des journalistes, est indispensable. Les entreprises peuvent aussi créer des capsules vidéo qui vont venir ponctuer une session live vidéo à distance, de type visioconférence. Ce seront des respirations pour les personnes qiui animeront le live devant la caméra.
🎬 Prêts à passer à l’action ? Ça tourne ! Bravo et merci à la team Cooper Standard, pour sa confiance. L’équipe bretonne de cet industriel a relevé le défi en s’équipant d’un studio vidéo autonome. Une première session live en visioconférence a été réussie, avec un client important à distance réunissant une vingtaine de personnes.
✅ Un renseignement complémentaire ?
Contactez-nous, c’est par ici ⤵️
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https://www.alinejalliet.com
https://www.veo-labs.com


Comment faire vivre à distance les temps forts de son entreprise ?
Se recevoir les uns les autres à distance, par visio interposée, personne n’y était préparé. On a tous rebondi pour que la vie continue. C’est la même chose en entreprise. Le télétravail s’est organisé au pied levé partout où c’était possible.
Se recevoir les uns les autres à distance, par visio interposée, personne n’y était préparé. On a tous rebondi pour que la vie continue. C’est la même chose en entreprise. Le télétravail s’est organisé au pied levé partout où c’était possible. Mais qu’en était-il des moments en marge du cœur du travail : inaugurations, lancements, visites d’entreprise… ?

> Temps de lecture : 4 min
Inauguration, lancement de produits, visite d’entreprise… Comment organiser autrement ces temps forts que l’on aime vivre les yeux dans les yeux ? Passé la frustration du « c’était bien mieux avant », c’est l’heure du « et si l’on pouvait maintenant organiser notre événement et convier plus de monde ».
Lancement de produits
Présenter un nouveau produit, c’est comme l’annonce d’un premier né dans la famille. On est tellement fier que l’on souhaite le montrer à tout le monde. Il y a toujours eu des absents à la fête qui étaient pris ailleurs et l’on ne s’en offusquait pas. Aujourd’hui, on se demande comment faire pour qu’un plus grand nombre soit de la partie qu’importe leur localisation. Penser à ceux qui sont loin devient un réflexe.
Nos idées pour un lancement de produits (en partie) à distance :
- Multiplier les types de vidéo lors du lancement de vidéo présentiel : séquence d’ambiance avec les invités sur place, mais aussi des vidéos de présentation du produit. Elles sont proposées en visionnage à l’heure dite du lancement et pourront être réutilisées sur les réseaux sociaux.
Lorsque c’est possible, envoyer un échantillon du produit par La Poste et fixer l’heure à laquelle chacun ouvre le paquet au même moment. Une séquence en visioconférence, avec un kaléidoscope de visages peut être filmée et utilisée pour la communication interne comme externe.
Inauguration de locaux et visites d’entreprise
Un nouveau bâtiment ou de nouvelles machines, l’envie est tout aussi grande de partager le moment avec un grand nombre d’invités. L’idée de l’inauguration, c’est d’emmener les personnes se promener dans ce nouvel univers. Pour recréer le principe d’une « balade » à distance, tout repose sur le mouvement. Vidéos « vues du ciel », visite virtuelle en avançant par clic de souris, mais aussi chasse au trésor. Ces différents formats permettent de faire vivre l’événement en direct ou de choisir le moment de la découverte.
Nos idées pour une inauguration de locaux à la carte :
- Enregistrer en vidéo avec une partie du contenu en amont (visite des locaux, présentation de l’équipe, des process et des nouveautés).
- Réserver le « live » pour la partie plus officielle : mot de bienvenue, discours…
- Proposer une visite des locaux avec des vidéos tournées à l’aide d’un drone.
- Créer une visite en réalité virtuelle.
- Mettre en place un jeu de pistes avec des énigmes à résoudre pour progresser dans le parcours.
- Envoyer un kit festif aux participants pour qu’ils soient acteurs de la cérémonie, en communion avec tous les invités.
Accueil et rencontre de futurs apprentis
Les outils de visite de type drone ou réalité virtuelle sont tout autant utiles pour offrir des visites d’entreprises aux étudiants en recherche d’une alternance. Ajoutez à cette plongée visuelle dans l’entreprise des temps d’échange approfondis pour créer le lien. En trouvant une alternative à un échange en face à face de visu, celles et ceux qui ne peuvent se déplacer le jour dit peuvent y participer.
Nos idées pour des rencontres entre entreprise et étudiants :
- En visioconférence : organiser un temps de Questions/Réponses par petits groupes avec des membres d’équipes différentes de l’entreprise.
- Créer des binômes collaborateur/étudiant pour une présentation personnalisée des métiers.
- Présenter les modalités opérationnelles de stage/alternance de travail à distance pour ceux qui comprennent du télétravail.
- Faire témoigner celles et ceux qui vivent ce parcours dans votre entreprise : les tuteurs salariés et les étudiants déjà présents.
Ce n’est pas toujours dans les vieux pots que l’on réalise les meilleures soupes. Il faut savoir changer de recette pour enclencher une reconquête. On peut le regretter et y aller à reculons au départ… mais c’est au final la réinvention des formats qui crée un nouvel engouement. Plutôt que de mettre les projets en stand by en attendant des jours plus cléments, osons tout. Chacun avec son budget. C’est la créativité et l’originalité plus que les moyens investis qui comptent. On n’a rien à perdre, mais tout à gagner avec des retombées auxquelles on n’aurait pas pensé.
Racontez-nous vos meilleurs événements à distance. Partagez vos bonnes idées !
Géry, Youtubeur d’entreprise, toujours en marinière, en mode On ou Off.
👉 Je viens bosser chez vous a une chaîne Youtube et un tout nouveau site internet avec plein de choses dessus, et pas que des vidéos. A lire aussi, notre article : « A qui tendre le micro ? »

Le « work walk » ou l’art de bosser,
recruter… en marchant !
On connaît tous le pas de danse appelé le moon walk, nommé aussi backside ou « rétroglissade » pour la France. Je suis sûr que certains savent le danser ici (allez, postez votre vidéo).
On connaît tous le pas de danse appelé le moon walk, nommé aussi backside ou « rétroglissade » pour la France. Je suis sûr que certains savent le danser ici (allez, postez votre vidéo). Plus sérieusement, connaissez-vous le work walk ? On parle aussi de talk and walk mais on préfère le mot work walk.

> Temps de lecture : environ 400-500 pas
Qu’est-ce que le work walk ? C’est un mouvement qui consiste à travailler en marchant ou à marcher en travaillant. Les deux fonctionnent. Il n’y a rien d’officiel dans cette méthode de travail, mais on le constate de plus en plus : dans la période actuelle, de nombreux workers, pardon, de nombreux professionnels aiment à travailler à l’air libre.
Sortir du bocal pour les esprits créatifs
Attention, il ne s’agit pas de sortir marcher dehors pour prolonger son bureau, ce qui serait rester connecté aux objets électroniques de notre quotidien. Ni bien sûr de rester « dans » son bureau et d’y installer un tapis de marche à coups de pression : 10 000 pas par jour, tu feras ! Certaines sociétés ont fait leur business de ces walking desks d’intérieur. Ce n’est pas ce dont on parle aujourd’hui.
Le work walk une pratique à part entière, une déconnexion de son espace de bureau. L’expression « sortir de son bocal » prend ici tout son sens. On ne fait pas les mêmes choses assis (ou debout) à son bureau, « enfermé », qu’en extérieur.
Dehors, on contemple la nature, ou la ville, et les idées créatives fusent souvent. L’esprit ailleurs, l’Homme – comprendre l’homme et la femme – est beaucoup plus inventif.
Certains esprits créatifs – le mien par exemple – ont leurs meilleures idées la nuit, au calme. Alors à l’extérieur, en pleine lumière naturelle, la créativité s’exprime d’autant plus. C’est bon pour la santé. Et pour le travail, et réciproquement.
Un entretien de recrutement pas-à-pas
Parlez-en autour de vous et vous verrez : beaucoup pratiquent ce work walk, notamment des entrepreneurs. On en connaît même qui en ont fait un outil de recrutement : l’entretien d’embauche en marchant. Très pratique actuellement.
Au lieu d’un face-à-face, c’est un côte-à-côte plus convivial et plus détendu, dans un environnement extérieur propice. La nature regorge d’endroits qui se prêtent à ce jeu. Ma recommandation est d’ailleurs de choisir un bout de forêt, une berge, un parc, ou un bord de fleuve. Et faire ainsi un pas de côté, comme on l’aime, hors cadre formel.
C’est l’occasion de remarquer si l’on regarde bien la même direction, pour construire peut-être ensemble une même ligne d’horizon professionnelle commune. La parole se fait plus libre. Les échanges et les réactions sont littéralement différents que ceux qui se déroulent dans un open space. La conversation est plus naturelle, moins codée. L’humain est fait pour marcher. Alors la rencontre humaine d’autant plus.
Simple comme un coup de fil dehors
On en connaît d’autres (ils se reconnaîtront aussi) qui réservent ce temps de plein air à leur liste de coups de fil à passer. Attention cependant au vent qui pourrait être désagréable pour l’interlocuteur à l’autre bout du fil. Croyez-en mon expérience ! Par temps calme, la tête libre, il est plus facile de se concentrer sur ces conversations hors cadre – hors champ mais à travers les champs. En revanche, ne prévoyez pas d’écrire quelque chose lors de ces marches, c’est plutôt scabreux.
À vous de jouer !
Alors, en ville ou à la campagne, en solo ou en duo, sous le soleil ou même sous un parapluie, racontez-nous votre plus belle balade professionnelle. Quelles idées géniales sont nées lors d’une virée à l’air frais ? Quels nouveaux projets ont jailli à l’issue d’une marche à pied en mode équipe réduite ? Quelle perle avez-vous recruté après un entretien d’un autre type ?
Dites-nous tout. Mieux encore, envoyez-nous votre selfie de work walk (ou de moon walk), ou les deux 😉
* Cet article fonctionne aussi en mode footing 🏃♀️🏃🏼♂️🚶🏻♂️
À LIRE (en marchant ou non)…
« Pourquoi Michel Cymes vous encourage à travailler en marchant » – Article de Quentin Marchal pour RTL :
« Pourquoi et comment je me suis mis à travailler en marchant » – Article de FitOffice :
https://www.fitoffice.ch/pourquoi-je-me-suis-mis-a-travailler-en-marchant/
« Travailler en marchant, une idée pas si folle » – Article de Fabrice Mazoir pour HelloWork Place (Regionsjob) :
https://www.helloworkplace.fr/travailler-en-marchant/
« Les pensées viennent en marchant » – Article de Sébastien Bohler pour La Science :
https://www.pourlascience.fr/sd/neurosciences/les-pensees-viennent-en-marchant-10504.php

C’est quoi un bon assureur ?
Réponse chez GAN à Laval
C’est quoi un bon assureur ? Quel est son métier au quotidien ? Réponses en compagnie de Jérémie Périn et de ses clients Freddu et Cécile chez GAN à Laval…
C’est quoi un bon assureur ? Quel est son métier au quotidien ? Réponses en compagnie de Jérémie et de ses clients Freddu et Cécile chez GAN à Laval…
Ne dites pas à Jeremie qu’il est « assureur », même s’il assure ! Il est « agent général d’assurance » chez GAN à Laval. Je vous emmène bosser avec lui dans ce nouvel épisode en immersion professionnelle. Nous allons d’abord questionner ses clients : Freddy, imprimeur à la tête de la société Imprim’Services, et Cécile, opticienne Optic2000. Pour eux, c’est quoi un bon assureur ? Chacun a sa petite idée, en fonction de son vécu.
Quotidien sur le terrain
Puis, je rejoins Jérémie et son équipe au bureau, pour qu’il nous partage son quotidien. D’accord, il est plus souvent sur le terrain « à vos côtés » qu’ici… En tant qu’expert et entrepreneur aussi, l’agent général d’assurance est là en cas de besoin mais surtout en amont.
Anticiper les risques et gérer les sinistres
Il anticipe tous les risques, visite régulièrement sa clientèle, de professionnels mais aussi de particuliers, pour coller au plus près de leurs réalités professionnelles. Et en cas de pépin – ça arrive malheureusement : 250 par an pour Jeremie -, il répond présent évaluer le sinistre (incendie, inondation, casse machine…), déclencher les indemnités qui vont bien et suivre le dossier. Jeremie conseille aussi ses clients en gestion de patrimoine et épargne.
Merci à Jeremie, toute son équipe et leurs clients pour l’accueil. Merci aussi au groupe GAN de bosser l’attractivité de ses agents généraux avec notre team !
✔️ Contactez Jeremie 📲 02.43.53.50.15. 📥 laval-perrine@gan.fr
✔️ Envie de devenir agent général d’assurance❓GAN recrute !

Les salariés ambassadeurs sont-ils des consuls ou des empereurs ?
Les salariés sont vos meilleurs ambassadeurs et ambassadrices sur les réseaux sociaux… bla bla bla bla… On a lu cela 100 fois.
Les salariés sont vos meilleurs ambassadeurs et ambassadrices sur les réseaux sociaux… bla bla bla bla… On a lu cela 100 fois. Aujourd’hui, parlons en toute transparence du dessous des cartes.

> Temps de lecture : 5 minutes
Faut-il nommer les ambassadeurs comme au Ministère des Affaires étrangères ? Ou accompagner l’émergence d’un réseau agile de nouveaux consuls ? Une chose est certaine. L’entreprise qui veut construire un empire sur LinkedIn en levant une armée de fantassins risque plutôt de compter les déserteurs.
N’est-on pas avant tout l’ambassadeur
de soi-même ?
Sur toute une vie, LinkedIn est un avant tout un espace sur lequel on est ambassadeur de soi-même. Et c’est LA bonne stratégie pour provoquer des opportunités professionnelles. Celles et ceux qui initient des programmes de salariés ambassadeurs le font pour eux-mêmes lorsqu’ils changent de poste 😉 Halte à ce non-dit de l’Employee Advocacy. Quand la visibilité du collaborateur et celle de l’entreprise font un « bout de chemin » ensemble, c’est toujours en bonne intelligence.
LinkedIn est un pays libre : chacun
est propriétaire de son profil
Qu’ils travaillent pour des TPE, de belles PME ou de grands groupes, les salariés n’ont jamais demandé d’autorisation à leur employeur pour créer un profil LinkedIn. De nombreuses personnes le créent d’ailleurs lorsqu’ils sont entre deux postes.
Le profil LinkedIn est un passeport individuel « sacré ». Seul LinkedIn peut le confisquer si les règles d’usage de la plateforme ne sont pas respectées.
Quand est-ce que liker un Post
devient une affaire d’État ?
Qui ne s’est pas posé, en tant que salarié, la question : est-il opportun de liker le Post d’une entreprise du même secteur ou d’un ancien collègue ? Qui peut le voir ? Est-ce que cela ne va pas être mal vu ? Si je mets à jour mon profil, mon boss ou mon DRH va-t-il croire que je veux partir ?
Il y a deux catégories
d’êtres vivants sur LinkedIn
Les consultants et consultantes, entrepreneuses et entrepreneurs, personnes en transition professionnelle.
Ils sont libres d’agir et d’interagir sur LinkedIn à leur guise. Liker, commenter, publier et partager. Entrer dans des discussions publiques, voire même, polémiquer et faire un bad buzz. Ils ne rendent de compte à personne.
Les salariés et les salariées
Lorsque l’on rejoint une entreprise, il est courant d’ajouter son nouveau poste. On le met même souvent en avant en le faisant savoir à son réseau. Le profil individuel est rattaché à l’entreprise et réciproquement.
Le réseau de contacts et la messagerie privée resteront toujours du ressort de l’individu. Chacun le nourrit et noue des échanges individuels en toute confidentialité. C’est la botte secrète moderne pour sécuriser un parcours professionnel sur le long terme. Mais qu’en est-il pour les interactions publiques lorsque l’on change de crèmerie ?
À qui appartiennent (vraiment) les likes
et les publications du salarié ?
À la différence des échanges en messagerie privée, les likes et les publications des salariés sont visibles par tous, et donc par ses nouveaux managers (et managés). L’objectif d’être actif sur LinkedIn de manière publique est d’ailleurs justement d’être vu et de montrer aux autres qu’on les voit. Mais le fait-on alors toujours en son nom ou au nom de son nouveau pays d’adoption ?
Les likes et les publications rejoignent-ils symboliquement le giron de la nouvelle entreprise ? Au regard des usages constatés dans cette nouvelle entreprise, peut-on se sentir privé d’une liberté d’expression que l’on avait dans une entreprise ou une vie pro précédente ? Combien de salariés osent conserver une liberté de parole complète quand l’entreprise ne l’encourage pas ?
On peut à l’inverse dans ce nouveau poste, avoir davantage envie de prendre le micro pour ce nouvel employeur qui nous donne des ailes. Et c’est là que l’on devient consul, sans même savoir, que l’on a devant soi une carrière d’ambassadeur.
On peut devenir un ambassadeur officiel ou rester un consul officieux. Tout dépend de l’approche et de la posture du programme ambassadeurs de l’entreprise. Nous vous partageons plusieurs retours d’expérience dans notre revue de presse ci-dessous (Capital, Agefi Hebdo, Le Temps, Infopresse).
Et quand l’ambassadeur passe à l’ennemi ?
Aïe ! C’est le sujet tabou ! Pourtant c’est la vie. Et c’est la raison pour laquelle il ne faut pas tout miser sur une élite autorisée à prendre la parole pour l’entreprise. Plus la visibilité est répartie, moins elle sera déstabilisée lorsque les forces en présence évoluent.
On n’aime pas perdre un bon élément. Encore moins s’il portait une part de l’image de l’entreprise sur les réseaux sociaux. Pour autant, les personnes actives avec des communautés dynamiques sortent, tout comme elles entrent, dans les entreprises. Quand c’est dans le « bon » sens, cela est moins gênant. La prise de parole sur les réseaux sociaux fait partie du portefeuille de compétences. Un collaborateur qui en est doté sera réticent à rejoindre une entreprise qui a l’image ou la réputation de « driver » un peu trop ce que les salariés ont le droit de dire ou pas.
Les départs et les arrivées de salariés ne sont pas chose nouvelle. Avec les réseaux sociaux, c’est certes davantage visible. Mais il n’y a pas de drame. Combien de professionnels restent toute une vie dans la même entreprise ? Il y en aura de moins en moins.
Ambassadeurs, consuls et futurs empereurs d’eux-mêmes : laissez-les briller en toute liberté!
- Plus il est libre de prendre la parole, sans se sentir contraint par un carcan, plus le collaborateur sera bienveillant envers son entreprise.
- Les Posts publiés sur LinkedIn par les salariés doivent rester variés et refléter l’ensemble de leur identité professionnelle.
- Il est contre-productif de bâtir des calendriers éditoriaux trop millimétrés qui ne laissent plus la place à la liberté et à la spontanéité. Mais une ligne éditoriale claire et partagée est de mise, assortie d’une charte de bonne conduite et de qualité. Fixer un cadre, mais laisser libre d’agir et d’évoluer en toute conscience de liberté.
- On doit pouvoir écrire un commentaire ou un Post sans aucune relecture nécessaire. Par contre, si l’on a une question, avoir un référent spécialisé est apprécié.
- Un salarié qui se sent obligé de montrer à quel point son entreprise est « super » alors qu’il envisage d’en partir, est un collaborateur perdu d’avance.
On ne sait pas faire fonctionner un phare si l’on n’est pas formé
On sait tous se servir d’un téléphone pour téléphoner. Mais pour les options avancées des applications, ça se discute. C’est la même chose pour LinkedIn. A la différence que tout le monde peut y observer vos habiletés, puisque (presque) tout est public.
Un profil LinkedIn rempli trop rapidement ne fait pas bonne impression. Une maîtrise aléatoire des @, des # et des 👍 limite les retombées positives de l’activité. Un mauvais réglage des préférences peut générer des frictions.
Des collaborateurs bien outillés, ce sont des ressources qui n’ont pas envie de quitter le navire. Un matelot qui veut changer de flotte n’attend pas d’être formé par son employeur pour aller proposer ses services ailleurs.
Voyez la communauté des consuls et des ambassadeurs volontaires comme une équipe à échelle variable dans laquelle chacun se sent invité. Pour autant, on peut y prendre part plus ou moins intensément sans craindre un blâme ou une exclusion.
Bref tout cela doit rester fun !
À lire :
« Stratégie employés-ambassadeurs: 2 exemples (Amazon et Kanuk), 1 grande leçon » – Article de Renaud Margairaz pour Infopresse.
https://www.infopresse.com/article/2019/11/21/programme-d-employes-ambassadeurs-3-lecons-a-retenir
« Ils « tweetent » pour leur employeur » – Article de Lucile Chevalier pour L’AGEFI Hebdo (07/03/2019)
https://www.agefi.fr/emploi/actualites/hebdo/20190307/ils-tweetent-leur-employeur-268857
« Ces employés qui jouent les influenceurs pour leur entreprise » – Article de Julie Eigenmann pour Le Temps (13/09/2019).
https://www.letemps.ch/economie/employes-jouent-influenceurs-entreprise
« Et si vos employés devenaient les ambassadeurs de votre marque ? » – Article de Julie Krassovsky pour Capital (17/03/2020).

Viens bosser chez nous : JeViensBosserChezVous recrute !
Tu as envie de porter la marinière, en immersion dans les entreprises et territoires, pour bosser leur attractivité comme nous ? Sans oublier ta caméra au poing… JeViensBosserChezVous recrute. Rejoins notre équipe de reporters dynamiques et positifs !
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Partout en France
Aimer l’Entreprise

La logistique du livre chez Hachette Livre Distribution
Notre hommage vidéo à tous les bosseurs et bosseuses du transport et de la logistique, mais aussi de la gestion et de l’exploitation de tous ces entrepôts. Sans leurs talents, nos commandes resteraient au fond d’un carton…
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Notre hommage vidéo à tous les bosseurs et bosseuses du transport et de la logistique, mais aussi de la gestion et de l’exploitation de tous ces entrepôts. Sans leurs talents, nos commandes resteraient au fond d’un carton…
Ils diffusent la culture
Nous connaissons l’importance des livres et la diffusion de la culture dans nos vies. Bienvenue en vol immersif chez Hachette Livre Distribution à Maurepas, en région parisienne (78).
Une « cathédrale » du livre
Dans cette véritable « cathédrale » du livre, 350 personnes travaillent pour expédier chaque jour près de 500.000 ouvrages, selon 90.000 références. Au total, une trentaine de métiers participent à cette chaîne de valeur.
Un secteur d’activité qui recrute partout en France
Rendez-vous au prochain épisode pour découvrir ensemble tous ces métiers utiles, dans un secteur qui recrute partout en France. Nous allons enfin savoir d’où proviennent et où transitent nos manuels scolaires…
📚 La rentrée se prépare dès maintenant chez Hachette Technique, éditeur scolaire spécialiste de l’enseignement technique et professionnel… Nos vidéos Jeviensbosserchezvous sont aussi intégrées dans les manuels scolaires. Honorés et fiers de notre partenariat et travail commun en faveur de l’attractivité et du lien Education/Entreprise pour valoriser des filières d’excellence et d’avenir, au service de la jeunesse. Merci et bravo à toute la Team Hachette 👉 https://www.hachette-education.com





