Le « work walk » ou l’art de bosser,
recruter… en marchant !
On connaît tous le pas de danse appelé le moon walk, nommé aussi backside ou « rétroglissade » pour la France. Je suis sûr que certains savent le danser ici (allez, postez votre vidéo).
On connaît tous le pas de danse appelé le moon walk, nommé aussi backside ou « rétroglissade » pour la France. Je suis sûr que certains savent le danser ici (allez, postez votre vidéo). Plus sérieusement, connaissez-vous le work walk ? On parle aussi de talk and walk mais on préfère le mot work walk.
> Temps de lecture : environ 400-500 pas
Qu’est-ce que le work walk ? C’est un mouvement qui consiste à travailler en marchant ou à marcher en travaillant. Les deux fonctionnent. Il n’y a rien d’officiel dans cette méthode de travail, mais on le constate de plus en plus : dans la période actuelle, de nombreux workers, pardon, de nombreux professionnels aiment à travailler à l’air libre.
Sortir du bocal pour les esprits créatifs
Attention, il ne s’agit pas de sortir marcher dehors pour prolonger son bureau, ce qui serait rester connecté aux objets électroniques de notre quotidien. Ni bien sûr de rester « dans » son bureau et d’y installer un tapis de marche à coups de pression : 10 000 pas par jour, tu feras ! Certaines sociétés ont fait leur business de ces walking desks d’intérieur. Ce n’est pas ce dont on parle aujourd’hui.
Le work walk une pratique à part entière, une déconnexion de son espace de bureau. L’expression « sortir de son bocal » prend ici tout son sens. On ne fait pas les mêmes choses assis (ou debout) à son bureau, « enfermé », qu’en extérieur.
Dehors, on contemple la nature, ou la ville, et les idées créatives fusent souvent. L’esprit ailleurs, l’Homme – comprendre l’homme et la femme – est beaucoup plus inventif.
Certains esprits créatifs – le mien par exemple – ont leurs meilleures idées la nuit, au calme. Alors à l’extérieur, en pleine lumière naturelle, la créativité s’exprime d’autant plus. C’est bon pour la santé. Et pour le travail, et réciproquement.
Un entretien de recrutement pas-à-pas
Parlez-en autour de vous et vous verrez : beaucoup pratiquent ce work walk, notamment des entrepreneurs. On en connaît même qui en ont fait un outil de recrutement : l’entretien d’embauche en marchant. Très pratique actuellement.
Au lieu d’un face-à-face, c’est un côte-à-côte plus convivial et plus détendu, dans un environnement extérieur propice. La nature regorge d’endroits qui se prêtent à ce jeu. Ma recommandation est d’ailleurs de choisir un bout de forêt, une berge, un parc, ou un bord de fleuve. Et faire ainsi un pas de côté, comme on l’aime, hors cadre formel.
C’est l’occasion de remarquer si l’on regarde bien la même direction, pour construire peut-être ensemble une même ligne d’horizon professionnelle commune. La parole se fait plus libre. Les échanges et les réactions sont littéralement différents que ceux qui se déroulent dans un open space. La conversation est plus naturelle, moins codée. L’humain est fait pour marcher. Alors la rencontre humaine d’autant plus.
Simple comme un coup de fil dehors
On en connaît d’autres (ils se reconnaîtront aussi) qui réservent ce temps de plein air à leur liste de coups de fil à passer. Attention cependant au vent qui pourrait être désagréable pour l’interlocuteur à l’autre bout du fil. Croyez-en mon expérience ! Par temps calme, la tête libre, il est plus facile de se concentrer sur ces conversations hors cadre – hors champ mais à travers les champs. En revanche, ne prévoyez pas d’écrire quelque chose lors de ces marches, c’est plutôt scabreux.
À vous de jouer !
Alors, en ville ou à la campagne, en solo ou en duo, sous le soleil ou même sous un parapluie, racontez-nous votre plus belle balade professionnelle. Quelles idées géniales sont nées lors d’une virée à l’air frais ? Quels nouveaux projets ont jailli à l’issue d’une marche à pied en mode équipe réduite ? Quelle perle avez-vous recruté après un entretien d’un autre type ?
Dites-nous tout. Mieux encore, envoyez-nous votre selfie de work walk (ou de moon walk), ou les deux 😉
* Cet article fonctionne aussi en mode footing 🏃♀️🏃🏼♂️🚶🏻♂️
À LIRE (en marchant ou non)…
« Pourquoi Michel Cymes vous encourage à travailler en marchant » – Article de Quentin Marchal pour RTL :
« Pourquoi et comment je me suis mis à travailler en marchant » – Article de FitOffice :
https://www.fitoffice.ch/pourquoi-je-me-suis-mis-a-travailler-en-marchant/
« Travailler en marchant, une idée pas si folle » – Article de Fabrice Mazoir pour HelloWork Place (Regionsjob) :
https://www.helloworkplace.fr/travailler-en-marchant/
« Les pensées viennent en marchant » – Article de Sébastien Bohler pour La Science :
https://www.pourlascience.fr/sd/neurosciences/les-pensees-viennent-en-marchant-10504.php
C’est quoi un bon assureur ?
Réponse chez GAN à Laval
C’est quoi un bon assureur ? Quel est son métier au quotidien ? Réponses en compagnie de Jérémie Périn et de ses clients Freddu et Cécile chez GAN à Laval…
C’est quoi un bon assureur ? Quel est son métier au quotidien ? Réponses en compagnie de Jérémie et de ses clients Freddu et Cécile chez GAN à Laval…
Ne dites pas à Jeremie qu’il est « assureur », même s’il assure ! Il est « agent général d’assurance » chez GAN à Laval. Je vous emmène bosser avec lui dans ce nouvel épisode en immersion professionnelle. Nous allons d’abord questionner ses clients : Freddy, imprimeur à la tête de la société Imprim’Services, et Cécile, opticienne Optic2000. Pour eux, c’est quoi un bon assureur ? Chacun a sa petite idée, en fonction de son vécu.
Quotidien sur le terrain
Puis, je rejoins Jérémie et son équipe au bureau, pour qu’il nous partage son quotidien. D’accord, il est plus souvent sur le terrain « à vos côtés » qu’ici… En tant qu’expert et entrepreneur aussi, l’agent général d’assurance est là en cas de besoin mais surtout en amont.
Anticiper les risques et gérer les sinistres
Il anticipe tous les risques, visite régulièrement sa clientèle, de professionnels mais aussi de particuliers, pour coller au plus près de leurs réalités professionnelles. Et en cas de pépin – ça arrive malheureusement : 250 par an pour Jeremie -, il répond présent évaluer le sinistre (incendie, inondation, casse machine…), déclencher les indemnités qui vont bien et suivre le dossier. Jeremie conseille aussi ses clients en gestion de patrimoine et épargne.
Merci à Jeremie, toute son équipe et leurs clients pour l’accueil. Merci aussi au groupe GAN de bosser l’attractivité de ses agents généraux avec notre team !
✔️ Contactez Jeremie 📲 02.43.53.50.15. 📥 laval-perrine@gan.fr
✔️ Envie de devenir agent général d’assurance❓GAN recrute !
Les salariés ambassadeurs sont-ils des consuls ou des empereurs ?
Les salariés sont vos meilleurs ambassadeurs et ambassadrices sur les réseaux sociaux… bla bla bla bla… On a lu cela 100 fois.
Les salariés sont vos meilleurs ambassadeurs et ambassadrices sur les réseaux sociaux… bla bla bla bla… On a lu cela 100 fois. Aujourd’hui, parlons en toute transparence du dessous des cartes.
> Temps de lecture : 5 minutes
Faut-il nommer les ambassadeurs comme au Ministère des Affaires étrangères ? Ou accompagner l’émergence d’un réseau agile de nouveaux consuls ? Une chose est certaine. L’entreprise qui veut construire un empire sur LinkedIn en levant une armée de fantassins risque plutôt de compter les déserteurs.
N’est-on pas avant tout l’ambassadeur
de soi-même ?
Sur toute une vie, LinkedIn est un avant tout un espace sur lequel on est ambassadeur de soi-même. Et c’est LA bonne stratégie pour provoquer des opportunités professionnelles. Celles et ceux qui initient des programmes de salariés ambassadeurs le font pour eux-mêmes lorsqu’ils changent de poste 😉 Halte à ce non-dit de l’Employee Advocacy. Quand la visibilité du collaborateur et celle de l’entreprise font un « bout de chemin » ensemble, c’est toujours en bonne intelligence.
LinkedIn est un pays libre : chacun
est propriétaire de son profil
Qu’ils travaillent pour des TPE, de belles PME ou de grands groupes, les salariés n’ont jamais demandé d’autorisation à leur employeur pour créer un profil LinkedIn. De nombreuses personnes le créent d’ailleurs lorsqu’ils sont entre deux postes.
Le profil LinkedIn est un passeport individuel « sacré ». Seul LinkedIn peut le confisquer si les règles d’usage de la plateforme ne sont pas respectées.
Quand est-ce que liker un Post
devient une affaire d’État ?
Qui ne s’est pas posé, en tant que salarié, la question : est-il opportun de liker le Post d’une entreprise du même secteur ou d’un ancien collègue ? Qui peut le voir ? Est-ce que cela ne va pas être mal vu ? Si je mets à jour mon profil, mon boss ou mon DRH va-t-il croire que je veux partir ?
Il y a deux catégories
d’êtres vivants sur LinkedIn
Les consultants et consultantes, entrepreneuses et entrepreneurs, personnes en transition professionnelle.
Ils sont libres d’agir et d’interagir sur LinkedIn à leur guise. Liker, commenter, publier et partager. Entrer dans des discussions publiques, voire même, polémiquer et faire un bad buzz. Ils ne rendent de compte à personne.
Les salariés et les salariées
Lorsque l’on rejoint une entreprise, il est courant d’ajouter son nouveau poste. On le met même souvent en avant en le faisant savoir à son réseau. Le profil individuel est rattaché à l’entreprise et réciproquement.
Le réseau de contacts et la messagerie privée resteront toujours du ressort de l’individu. Chacun le nourrit et noue des échanges individuels en toute confidentialité. C’est la botte secrète moderne pour sécuriser un parcours professionnel sur le long terme. Mais qu’en est-il pour les interactions publiques lorsque l’on change de crèmerie ?
À qui appartiennent (vraiment) les likes
et les publications du salarié ?
À la différence des échanges en messagerie privée, les likes et les publications des salariés sont visibles par tous, et donc par ses nouveaux managers (et managés). L’objectif d’être actif sur LinkedIn de manière publique est d’ailleurs justement d’être vu et de montrer aux autres qu’on les voit. Mais le fait-on alors toujours en son nom ou au nom de son nouveau pays d’adoption ?
Les likes et les publications rejoignent-ils symboliquement le giron de la nouvelle entreprise ? Au regard des usages constatés dans cette nouvelle entreprise, peut-on se sentir privé d’une liberté d’expression que l’on avait dans une entreprise ou une vie pro précédente ? Combien de salariés osent conserver une liberté de parole complète quand l’entreprise ne l’encourage pas ?
On peut à l’inverse dans ce nouveau poste, avoir davantage envie de prendre le micro pour ce nouvel employeur qui nous donne des ailes. Et c’est là que l’on devient consul, sans même savoir, que l’on a devant soi une carrière d’ambassadeur.
On peut devenir un ambassadeur officiel ou rester un consul officieux. Tout dépend de l’approche et de la posture du programme ambassadeurs de l’entreprise. Nous vous partageons plusieurs retours d’expérience dans notre revue de presse ci-dessous (Capital, Agefi Hebdo, Le Temps, Infopresse).
Et quand l’ambassadeur passe à l’ennemi ?
Aïe ! C’est le sujet tabou ! Pourtant c’est la vie. Et c’est la raison pour laquelle il ne faut pas tout miser sur une élite autorisée à prendre la parole pour l’entreprise. Plus la visibilité est répartie, moins elle sera déstabilisée lorsque les forces en présence évoluent.
On n’aime pas perdre un bon élément. Encore moins s’il portait une part de l’image de l’entreprise sur les réseaux sociaux. Pour autant, les personnes actives avec des communautés dynamiques sortent, tout comme elles entrent, dans les entreprises. Quand c’est dans le « bon » sens, cela est moins gênant. La prise de parole sur les réseaux sociaux fait partie du portefeuille de compétences. Un collaborateur qui en est doté sera réticent à rejoindre une entreprise qui a l’image ou la réputation de « driver » un peu trop ce que les salariés ont le droit de dire ou pas.
Les départs et les arrivées de salariés ne sont pas chose nouvelle. Avec les réseaux sociaux, c’est certes davantage visible. Mais il n’y a pas de drame. Combien de professionnels restent toute une vie dans la même entreprise ? Il y en aura de moins en moins.
Ambassadeurs, consuls et futurs empereurs d’eux-mêmes : laissez-les briller en toute liberté!
- Plus il est libre de prendre la parole, sans se sentir contraint par un carcan, plus le collaborateur sera bienveillant envers son entreprise.
- Les Posts publiés sur LinkedIn par les salariés doivent rester variés et refléter l’ensemble de leur identité professionnelle.
- Il est contre-productif de bâtir des calendriers éditoriaux trop millimétrés qui ne laissent plus la place à la liberté et à la spontanéité. Mais une ligne éditoriale claire et partagée est de mise, assortie d’une charte de bonne conduite et de qualité. Fixer un cadre, mais laisser libre d’agir et d’évoluer en toute conscience de liberté.
- On doit pouvoir écrire un commentaire ou un Post sans aucune relecture nécessaire. Par contre, si l’on a une question, avoir un référent spécialisé est apprécié.
- Un salarié qui se sent obligé de montrer à quel point son entreprise est « super » alors qu’il envisage d’en partir, est un collaborateur perdu d’avance.
On ne sait pas faire fonctionner un phare si l’on n’est pas formé
On sait tous se servir d’un téléphone pour téléphoner. Mais pour les options avancées des applications, ça se discute. C’est la même chose pour LinkedIn. A la différence que tout le monde peut y observer vos habiletés, puisque (presque) tout est public.
Un profil LinkedIn rempli trop rapidement ne fait pas bonne impression. Une maîtrise aléatoire des @, des # et des 👍 limite les retombées positives de l’activité. Un mauvais réglage des préférences peut générer des frictions.
Des collaborateurs bien outillés, ce sont des ressources qui n’ont pas envie de quitter le navire. Un matelot qui veut changer de flotte n’attend pas d’être formé par son employeur pour aller proposer ses services ailleurs.
Voyez la communauté des consuls et des ambassadeurs volontaires comme une équipe à échelle variable dans laquelle chacun se sent invité. Pour autant, on peut y prendre part plus ou moins intensément sans craindre un blâme ou une exclusion.
Bref tout cela doit rester fun !
À lire :
« Stratégie employés-ambassadeurs: 2 exemples (Amazon et Kanuk), 1 grande leçon » – Article de Renaud Margairaz pour Infopresse.
https://www.infopresse.com/article/2019/11/21/programme-d-employes-ambassadeurs-3-lecons-a-retenir
« Ils « tweetent » pour leur employeur » – Article de Lucile Chevalier pour L’AGEFI Hebdo (07/03/2019)
https://www.agefi.fr/emploi/actualites/hebdo/20190307/ils-tweetent-leur-employeur-268857
« Ces employés qui jouent les influenceurs pour leur entreprise » – Article de Julie Eigenmann pour Le Temps (13/09/2019).
https://www.letemps.ch/economie/employes-jouent-influenceurs-entreprise
« Et si vos employés devenaient les ambassadeurs de votre marque ? » – Article de Julie Krassovsky pour Capital (17/03/2020).
Viens bosser chez nous : JeViensBosserChezVous recrute !
Tu as envie de porter la marinière, en immersion dans les entreprises et territoires, pour bosser leur attractivité comme nous ? Sans oublier ta caméra au poing… JeViensBosserChezVous recrute. Rejoins notre équipe de reporters dynamiques et positifs !
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Partout en France
Aimer l’Entreprise
La logistique du livre chez Hachette Livre Distribution
Notre hommage vidéo à tous les bosseurs et bosseuses du transport et de la logistique, mais aussi de la gestion et de l’exploitation de tous ces entrepôts. Sans leurs talents, nos commandes resteraient au fond d’un carton…
Voir la vidéo
Notre hommage vidéo à tous les bosseurs et bosseuses du transport et de la logistique, mais aussi de la gestion et de l’exploitation de tous ces entrepôts. Sans leurs talents, nos commandes resteraient au fond d’un carton…
Ils diffusent la culture
Nous connaissons l’importance des livres et la diffusion de la culture dans nos vies. Bienvenue en vol immersif chez Hachette Livre Distribution à Maurepas, en région parisienne (78).
Une « cathédrale » du livre
Dans cette véritable « cathédrale » du livre, 350 personnes travaillent pour expédier chaque jour près de 500.000 ouvrages, selon 90.000 références. Au total, une trentaine de métiers participent à cette chaîne de valeur.
Un secteur d’activité qui recrute partout en France
Rendez-vous au prochain épisode pour découvrir ensemble tous ces métiers utiles, dans un secteur qui recrute partout en France. Nous allons enfin savoir d’où proviennent et où transitent nos manuels scolaires…
📚 La rentrée se prépare dès maintenant chez Hachette Technique, éditeur scolaire spécialiste de l’enseignement technique et professionnel… Nos vidéos Jeviensbosserchezvous sont aussi intégrées dans les manuels scolaires. Honorés et fiers de notre partenariat et travail commun en faveur de l’attractivité et du lien Education/Entreprise pour valoriser des filières d’excellence et d’avenir, au service de la jeunesse. Merci et bravo à toute la Team Hachette 👉 https://www.hachette-education.com
Un DRH recrute mais est aussi un influenceur chez Sixt…
Directeur des ressources humaines et influenceur : c’est le quotidien de Thierry Jouzier, DRH de Sixt France (200 agences, 800 salariés). Dans cet épisode inédit, on inverse les rôles et je lui fais passer un entretien…
Directeur des ressources humaines et influenceur : c’est le quotidien de Thierry Jouzier, DRH de Sixt France (200 agences, 800 salariés). Dans cet épisode inédit, on inverse les rôles et je lui fais passer un entretien…
Sélectionner, développer, former
🔎 Sa vision du job ? « Chef d’orchestre ou sélectionneur comme Didier Deschamps »
Ses missions ? « Sélectionner, développer et former : choisir les meilleurs profils, développer leurs compétences et les garder toujours très motivés »
Attention : ce ne sont pas que des entretiens d’embauches, de la paye ou même des licenciements ! C’est aussi analyser, discuter, innover, être en veille permanente et se déplacer sur le terrain.
Un métier accessible
Ce métier et la filière des ressources humaines sont accessibles par de nombreuses voies et études : BTS, DUT, écoles de commerce, économie, gestion, psychologie, comptabilité, administration, droit… Découvrez dans cette vidéo le parcours de Thierry et les qualités requises pour faire son job : la persévérance, l’intelligence émotionnelle et situationnelle, l’humour aussi ! Un job lié au capital humain qui a du sens.
Retrouvez cette vidéo dans les manuels scolaires
📚 La rentrée 2021 se prépare dès maintenant chez Hachette Technique, éditeur scolaire spécialiste de l’enseignement technique et professionnel… Nos vidéos Jeviensbosserchezvous sont aussi intégrées dans les manuels scolaires. Honorés et fiers de notre partenariat et travail commun en faveur de l’attractivité et du lien Education/Entreprise pour valoriser des filières d’excellence et d’avenir, au service de la jeunesse.
Merci et bravo à toute la Team Hachette 👏👏
👉 https://www.hachette-education.com
✅ Sixt se développe et recrute : vous aussi, venez bosser chez Sixt ! 👉 recrutement@sixt.com
Je viens bosser chez vous a une chaîne Youtube et un site internet avec plein de choses dessus, et pas que des vidéos. Des Podcasts par exemple.
Mon premier CDI Apprenant signé chez Adecco qui recrute !
Signé ! Mon premier CDI Apprenant est dans la poche. Un dispositif idéal pour se former sur des métiers qui recrutent tout en ayant une rémunération mensuelle garantie et un accompagnement personnalisé par Adecco
Signé ! Mon premier CDI Apprenant est dans la poche 📝 Un dispositif idéal pour se former sur des métiers qui recrutent tout en ayant une rémunération mensuelle garantie et un accompagnement personnalisé par Adecco 😉
Dispositif emploi gagnant
On connaît tous l’intérim, le CDD, le CDI… mais le CDI Apprenant ? Ce nouveau dispositif gagnant pour l’emploi a été créé par Adecco, en réponse à la crise sanitaire actuelle. D’un côté des candidats qui recherchent un emploi, de l’autre des entreprises qui recrutent. 🎯 L’objectif : mettre en relation les deux grâce à un parcours de formation dédié pour faciliter les reconversions vers des métiers pour lesquels il existe des besoins. C’est l’adéquation entre l’offre et la demande ! Grâce un contrat signé avec Adecco, le candidat devient employé de la marque et se voit financer sa formation vers l’un des 15 métiers concernés 🙌
15 métiers ciblés
👩🏻💻👷🏻♂️👨🏽🏭👩🏼💼👷♀️👩🏽🏭 Ces 15 métiers dits « en tension » ont ainsi été identifiés : conducteur d’engins de chantier, électricien BTP, maçon coffreur, maçon VRD, monteur câbleur électricité, plombier chauffagiste, technicien énergétique / thermique, monteur réseau / technicien télécom / technicien fibre optique, électromécanicien / électrotechnicien, technicien de maintenance, tuyauteur / soudeur, conducteur de machine / de ligne de fabrication, conducteur PL / SPL / TC, mécanicien VU / VL / PL / VI, conseiller chargé de clientèle.
💡 La formation est assurée, à proximité de son domicile et avec une garantie de salaire (dès le premier jour de formation) pris en charge à 100% par Adecco. Un dispositif innovant donc, en faveur de la création d’emplois et des reconversions professionnelles sur tout le territoire national.
Damien raconte son expérience
🆕 Dans ce nouvel épisode, Alexandre (directeur du pôle de compétences partagées chez Adecco à Corbas, près de Lyon) nous explique tout. Il m’invite ensuite à rencontrer Damien, ex-manœuvre dans les travaux publics qui nous emmène bosser avec lui au centre Aftral de Saint-Quentin-Fallavier (69) où il termine sa formation pour apprendre son futur métier de conducteur routier. « Grâce à ce CDI Apprenant, je vais pouvoir m’acheter ma maison », témoigne-t-il fièrement au volant de son beau camion école 🚛
Objectif : 15000 CDI ApprenantS à fin 2021
📝📝📝 Déjà près de 3000 contrats de CDI Apprenant ont été signés à ce jour, pour plus de 10000 candidatures. Objectif d’Adecco : 15000 d’ici à fin 2021 📈 Entrez, échangez, réussissez ! 👍
👏 Bravo et merci à Alexandre, Damien et toutes les équipes d’Adecco et @AFTRAL pour leur accueil chaleureux 🙏
✅ ADECCO RECRUTE : TOI AUSSI POSTULE iCi❗️
✅ EN SAVOIR iCi +
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Franchisés, Diagmater vous recrute
pour étendre son réseau !
Réseau national de 160 agences spécialistes du diagnostic immobilier, Diagamter recrute des franchisés sur toute la France. Pourquoi pas vous ? Rencontre dans le sud-ouest avec Grégory.
Réseau national de 160 agences spécialistes du diagnostic immobilier, Diagamter recrute des franchisés sur toute la France. Pourquoi pas vous ? Rencontre dans le sud-ouest avec Grégory.
Une franchise de diagnostic immobilier en croissance
Avec près de 25 ans d’expérience, +42% de CA en 3 ans et 16% de parts de marché avec 105.000 clients en 2020, Diagamter a des atouts pour plaire !
Le parcours de Grégory
📍 Suivez-moi aujourd’hui dans cette nouvelle expérience en immersion en toute franchise (et sans langue de bois) avec Grégory, franchisé dans le sud-ouest. Vous avez remarqué son léger accent❓ Passé la quarantaine, cet entrepreneur dans l’âme a quitté son job de salarié pour devenir franchisé. Un choix et une réorientation professionnelle qu’il ne regrette en rien. Grégory ambitionne même d’étendre sa franchise… Il n’était pas du métier et pourtant, il en a fait son quotidien.
👏 Bravo et merci à Grégory et toute la team Diagamter pour l’accueil chaleureux 🙏
✅ DIAGAMTER RECRUTE partout en France 👉 POSTULEZ VOUS AUSSI iCi❗️
Je viens bosser chez vous a une chaîne Youtube et un site internet avec plein de choses dessus, et pas que des vidéos. Des Podcasts par exemple.
Aléa Contrôles recrute en amont des chantiers BTP de désamiantage
Chez Aléa Contrôles, filiale du réseau Diagamter, j’ai ouvert la « boîte à ouvrages » avec Hélène, experte en prévention du risque des polluants du bâtiment. On pense à l’amiante, au plomb…
Chez Aléa Contrôles, filiale de Diagmater, j’ai ouvert la « boîte à ouvrages » avec Hélène, experte en prévention du risque des polluants du bâtiment. On pense à l’amiante, au plomb…
Indépendance
Cette société indépendante et accréditée accompagne ses partenaires dans la conformité de leurs chantiers par rapport à la réglementation en cours. Ses clients BtoB sont des donneurs d’ordre publics et privés : des bailleurs sociaux, des collectivités, des mairies et également des entreprises du BTP et de l’industrie.
📍 Aléa Contrôles dont le siège est à Toulouse (où je vous emmène bosser aujourd’hui) intervient partout en France grâce à son réseau de plus de 110 agences. Ses 40 salariés sont souvent d’anciens spécialistes et professionnels du Bâtiment.
Conseil et formation
🔎 Ses missions ? Conseil, formation et prélèvements sur chantiers. Aléa Contrôles dispose même de sa propre plateforme technique, de formation en conditions réelles, et de son laboratoire de prélèvement d’air et d’eau ainsi que de tests d’appareils de protection respiratoire. Ses agences réalisent également des missions de « repérage travaux/démolition » Bref, Aléa Contrôles sert à sauver des vies quoi ! OPQIBI, ça vous parle ? Après avoir vu cet épisode, vous serez incollable…
👏 Bravo j’ai tout compris et merci à Hélène et toute la team Aléa Contrôles pour l’accueil chaleureux 🙏
✅ ALÉA CONTRÔLES RECRUTE partout en France et dans tous ses pôles d’activités… POSTULEZ VOUS AUSSI❗️
👉 https://www.aleacontroles.com
Je viens bosser chez vous a une chaîne Youtube et un site internet avec plein de choses dessus, et pas que des vidéos. Des Podcasts par exemple.
Faire entrer la vidéo dans ma boîte,
oui mais comment ?
Plus de 80% du flux média actuel, c’est de la vidéo ! 2020. Il est temps de s’y mettre et il n’est pas trop tard. Dans cet article, on vous montre comment passer à l’action et embarquer vos équipes. Ou comment faire entrer la vidéo dans ma boîte.
Plus de 80% du flux média actuel, c’est de la vidéo ! 2020. Il est temps de s’y mettre et il n’est pas trop tard. Dans cet article, on vous montre comment passer à l’action et embarquer vos équipes. Ou comment faire entrer la vidéo dans ma boîte.
Temps de lecture : 4 min
- Tous journalistes, tous Youtubeurs
- Editorialiser : charte, ligne et planning
- LA question du matériel
- Prêts à tourner, action !
Pas encore de vidéo ? Peur de la vidéo ? Pas de panique. C’est tout à fait normal. La vidéo, ou plutôt la caméra qui permet de la réaliser, fait naturellement peur. On n’est pas à l’aise face à une machine car on ne sait pas qui regarde derrière l’objectif. Commençons donc par nous fixer un objectif clair : pourquoi faire une vidéo ? Quel message je veux faire passer ? Quelles images je veux montrer de mon entreprise, de mes équipes, de mon environnement et de mon ambiance de travail, de moi ? Une fois déterminé ce « brief » de cadrage, on peut commencer à passer à l’action.
Tous Journalistes, tous Youtubeurs
Aujourd’hui, n’importe qui peut filmer avec un smartphone, n’importe quoi (ou presque). N’oublions jamais le droit à l’image de chaque individu ! Ce n’est pas pour rien qu’un débat fait actuellement rage quant au projet de loi de sécurité globale pour encadrer notamment les prises de vue lors des manifestations publiques. Liberté d’informer d’un côté ; droit à la vie privée de l’autre. Les deux ne sont pas antinomiques si l’on prend quelques précautions, surtout dans le cadre d’une entreprise privée.
Il y a quelques années, nous avons assisté à un phénomène bien connu : tout le monde de l’Entreprise est devenu journaliste en herbe pour produire du contenu, toujours du contenu, encore du contenu. Utile au référencement soit dit en passant. De plus en plus, demain, l’Entreprise va vouloir (se) filmer. En première ligne, les salariés vont vouloir se filmer au travail. Et dites-vous bien que les bad buzz partaient souvent d’une bonne intention. Mais parce que l’entreprise n’a pas cadré et anticipé collectivement ces réalisations vidéos amateurs, c’est un mot de passe compromettant qui se retrouve par exemple à l’écran. Pour ne citer que le moins gênant.
Éditorialiser : charte, ligne et planning
Nous vous proposons donc 3 règles simples à mettre en œuvre avec un seul mot d’ordre : AN-TI-CI-PER.
1. Commencer par écrire une charte éditoriale
Ce document de référence d’une page (pas plus) sera écrit en concertation avec toutes les parties prenantes de l’entreprise. Il établit et rappellera les règles et les limites que se fixe l’entreprise en matière de vidéo… et de photographie aussi, profitons-en. C’est le moment de poser le cadre : les lieux et services sensibles à ne jamais filmer par exemple. Si une entreprise se doit de communiquer, elle n’est pas obligée de tout montrer ni de révéler des secrets de fabrique. Les brevets qui ont permis de créer des process spécifiques et autres modèles déposés sont à protéger. Autrement dit, ce qui se passe dans l’arrière-cuisine reste l’arrière-cuisine. Nous avons été surpris, lors d’un tournage dans l’agroalimentaire, de pouvoir filmer tout un process industriel, en l’occurrence une ligne de produits frais, mais surtout pas la largeur du tapis roulant transportant ledits produits. On ne pouvait pas le deviner. Ce qui écrit est mieux compris. Bonnes pratiques rime avec bonne conduite.
2. Garder la ligne éditoriale
Une ligne éditoriale c’est comme un cap à fixer en équipe. Une question à se poser : de quels sujets veut-on et doit-on parler ? Il y a les incontournables, les « marronniers » (ceux qui reviennent à des moments précis), les surprises et les interdits, ceux qu’on n’abordera jamais par conviction, déontologie… Quels sujets et thématiques, mais aussi quel ton je veux donner à mon média : voilà la deuxième question à se poser. 3e ambition : quels sont mes objectifs et cibles ? Bien sûr, la ligne éditoriale se décline par support (site web, newsletter…), par réseau social également. N’oublions jamais la clarté du message ! Et en matière de communication, la règle c’est 1 message = 1 support.
3. Accrocher son planning éditorial
A quel rythme prendre la parole ? Voilà une question essentielle à se poser. Ecrire son planning éditorial doit aider à y voir clair dans ses communications tout au long de l’année. Souvent, nous entendons des entreprises confier : « Mais je n’ai rien à dire ». Très différent de « je ne sais pas quoi dire ». Créer son planning éditorial doit aider à faire émerger plein d’idées de sujets. Ce travail d’équipe sous forme de brainstorming posera les jalons importants d’une période donnée. Planifier ne veut pas dire s’interdire la surprise, bien au contraire. Réservez lui une belle place.
La question du matériel
Si tout le monde peut aujourd’hui filmer avec son smartphone, va rapidement se poser la question du matériel. Sans tomber dans la grosse production, l’entreprise doit s’équiper un minimum et penser cadrage, lumière, son. En la matière, le son est tout aussi, voire beaucoup plus important que l’image ! Les vidéastes en herbe l’oublient trop souvent. Une mauvaise qualité sonore desservira forcément l’image, alors que des micro-cravates à tarif accessible peuvent très bien faire le job. Sans être technicien professionnel, leur usage est facile pour tous. On aurait tort de s’en priver. Si vous voulez créer votre signature sonore et visuelle, ajouter des effets, en revanche, mieux vaut faire appel à un pro car ce genre d’outil peut vite être chronophage !
Un logiciel de montage vidéo sera aussi nécessaire. Certains existent en applications sur smartphone ou tablette, simple d’utilisation en totale autonomie. Pour se former à leur usage, de nombreux tutoriels existent sur le web. Et pourquoi pas s’offrir ou offrir à ses salariés une formation avec un pro ? La période est propice.
Enfin, pourquoi pas créer son propre studio interne ? Certaines entreprises vont jusqu’à s’équiper de cette solution en totale autonomie. Très utile en période de crise sanitaire lorsque les commerciaux ne peuvent plus se rendre chez leurs clients par exemple. Rien de tel que de les inviter à partager en immersion live un moment d’échange au cœur de l’entreprise, autour d’une innovation produit ou d’une démo par exemple. Certains industriels comme Edixia [LIEN WEB vers STUDIO LIVE) l’ont bien compris. Ce que permet ce type de studio nécessitant aussi une phase d’apprentissage.
Prêts à tourner ? Action !
Si vous avez lu ces lignes jusqu’ici, bravo ! Vous êtes (presque) prêts à passer à l’action. Nous vous souhaitons maintenant de belles réalisations à concrétiser et à partager. Faites-en des moments de management interne et de valorisation de l’entreprise. Ces projets doivent servir la fierté d’appartenance et plein d’autres leviers. Avant même leur diffusion à l’externe, ces vidéos doivent rayonner en interne, lors d’avant-premières réservées aux salariés par exemple. Ce serait trop bête de ne pas les mettre sous les feux des projecteurs pour les remercier et les féliciter non ?
🔎 Vous avez réalisé des vidéos, partagez-les nous en commentaires ! Merci 😉