Trois giga-usines et 1.700 emplois
grâce au projet Neomat à Dunkerque
Les batteries de véhicules électriques auront, à Dunkerque, leurs trois usines dédiées, des composants au recyclage. A la clé : 1.700 emplois à créer. C’est le projet Neomat, officialisé par le constructeur chinois XTC et le groupe nucléaire français Orano.
L’horizon dunkerquois est dégagé. A fin 2026, de nouvelles usines liées aux batteries de véhicules électriques doivent voir le jour. Ce projet, baptisé Neomat, a été officialisé à Paris mardi 10 décembre 2024 par Orano, le géant français du nucléaire, et le constructeur chinois XTC New Energy. Leur ambition commune : couvrir 10% des besoins du marché européen. Le duo industriel donné naissance à deux co-entreprises Neomat CAM et Neomat PCAM qui doivent créer un centre de recherche et développement ainsi que trois giga-factories : deux pôles de fabrication de composants et un de recyclage. Cette nouvelle plateforme industrielle doit s’étendre sur 53 hectares sur le port ouest de Dunkerque, entre les communes de Gravelines et Loon-Plage.
1.300 emplois directs
Leur plan de développement prévoit la création de 1.700 postes d’ici à 2030 : 1.300 emplois directs et 400 indirects, sur le territoire dunkerquois. Les promesses d’embauches se traduiront en 2025, liées à la décision finale d’investissement. Seront alors recherchés des techniciens, des ingénieurs chimistes, qualité et R&D, mais aussi des profils pour les nombreuses fonctions supports tertiaires (RH, comptabilité, finance…). « L’emploi local sera privilégié« , promet déjà Philippe Hatron, directeur du programme batteries chez Orano. Les recrutement se feront notamment via les forums emplois organisés sur le territoire.
A horizon 2026, 2027…
La première mise en route pourrait avoir lieu fin 2026 pour la production et en 2027 pour la partie recyclage. « Ce projet s’appuie sur un procédé innovant, aujourd’hui en cours d’essai, développé au Centre d’Innovation en Métallurgie Extractive (CIME) sur le site d’Orano à Bessines-sur-Gartempe (Nouvelle-Aquitaine)« , explique-t-on chez Orano qui emploie déjà 17.500 collaborateurs. Tandis que son confrère XTC compte 5.000 employés.
Leurs réactions en chaîne
Pour Guillaume Dureau, directeur des activités ingénierie, R&D, Innovation et nouvelles activités d’Orano : « Le déploiement des trois usines de CAM, PCAM et de recyclage, a pour ambition de contribuer au développement en France d’une chaîne de valeur pour la production et le recyclage des batteries pour véhicules électriques, ainsi qu’à la souveraineté française pour la fabrication de matériaux critiques pour les batteries. Notre priorité vise à disposer d’un plan de développement répondant aux attentes du marché, à sa concrétisation et à ses évolutions. »
Pour Long JIANG, directeur général de XTC New Energy : « le projet XTC New Energy et Orano est une illustration importante de la coopération approfondie entre la Chine et la France dans le domaine du développement durable, en associant les technologies de pointe des deux pays dans la recherche et la production de matériaux destinés aux nouvelles mobilités. Nous restons confiants quant au développement de l’industrie des véhicules électriques en Europe. XTC New Energy souhaite continuer à collaborer avec le groupe Orano pour contribuer au développement de l’industrie des énergies bas carbone en Europe à long terme ».
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L’entreprise Alegina
veut investir 12M€ en Vendée
Pour changer d’échelle et industrialiser le recyclage de coquilles d’huitres, en éléments de BTP notamment, le groupe vendéen Alegina projette d’investir 12 millions d’euros dans une nouvelle usine. C’est le site de l’ancienne fonderie Vrignaud, au Poiré-sur-Vie (85), qui est retenu pour 2026.
Des pavés drainants à base de coquilles d’huîtres ! C’est l’une des nombreuses applications pour le BTP imaginée par Alegina. Cette entreprise vendéenne recycle les coquilles d’huîtres depuis 2018. D’un millier de tonnes actuellement traitées par an, Alegina veut passer à 40.000 tonnes. Une nouvelle usine doit ainsi voir le jour fin 2026 pour cette industrialisation à grande échelle. Un investissement estimé à 12 millions d’euros dont cinq millions rien que pour les équipements et machines.
Fort potentiel
Déjà implantée au Poiré-sur-Vie en Vendée, Alegina compte y rester et transformer, sur place, l’ancienne fonderie Vrignaud pour les besoins de son projet de développement : 10.000 mètres carrés à construire sur un terrain de trois hectares. Sa toiture sera peut-être végétalisée en contenant des coquilles d’huîtres recyclées. Il n’y a pas que le BTP qui constitue ses débouchés « verts » dits biosourcés.
L’entreprise, qui organise la collecte en amont, alimente aussi déjà les secteurs de la bijouterie, de décoration, des arts de la table sous sa marque Kaomer et sa pâte à porcelaine… « Chaque année en France, plus de 150.000 tonnes de coquilles d’huîtres pourraient être réemployées dans l’industrie ! C’est la mission que nous nous assignons« , indique-t-on chez Alegina qui recrutera pour ses besoins en main-d’oeuvre, soit une quinzaine d’embauches à la clé. Et son président Philippe Gaboriau, associé à Thierry et Alexandre Didelon, d’ajouter : « Notre projet avance bien, l’Ademe et l’État nous soutiennent et toutes les planètes sont alignées. »
Le groupe finistérien Squiban
investit et recrute dans l’Ouest
Repris à l’été 2024 par ses managers avec Unigrains et trois autres fonds, le groupe brestois Squiban spécialiste des constructions horticoles investit 13,5 millions d’euros dans le Finistère et en Ille-et-Vilaine, où il recrute aussi !
Basé depuis 1972 à Plougastel-Daoulas dans le Finistère, le groupe industriel Squiban a été repris à l’été 2024 par son management avec le soutien financier des fonds Unigrains, Unexo (Crédit Agricole), Epopée Gestion et Bpifrance. Le spécialiste des installations horticoles, maraîchères, industrielles et tertiaire bénéficie ainsi d’un nouvel élan qui lui permet d’investir, porté par la transition écologique et les énergies renouvelables associées au Bâtiment. Patrice Borali, président du groupe Squiban, a déclaré : « Cette opération s’inscrit pleinement dans notre projet d’entreprise, initié par Mickaël Squiban (Ndlr, le fils du fondateur) et accéléré lors de mon arrivée il y a 8 ans. » L’intérêt de cette transmission pour lui ? « Mieux nous structurer, maitriser les développements à venir et garantir le maintien de notre qualité de service tout en étant en mesure d’offrir à nos clients de nouvelles solutions efficientes ».
Un nouveau siège
Deux projets de développement majeurs sont en cours dans le Finistère et en Ille-et-Vilaine, pour un total de 13,5 millions d’euros. Le plus important concerne Bédée, aux portes de Rennes Métropole : 10 millions d’euros à investir dans un nouvel atelier de production de postes à haute tension. Les recrutements ont commencé pour ce pôle. Ce nouveau site industriel de près de 10.000 mètres carrés doit être livré d’ici à fin 2025. Il viendra soulager le site actuel saturé dans le Morbihan, à Plescop (56). La demande est en effet soutenue avec le boom des installations photovoltaïques, éoliennes, et autres méthaniseurs.
Les 3,5 millions d’euros restants à investir concernent un nouveau siège social à Plougastel-Daoulas (29), livré en septembre 2025 pour accueillir une vingtaine de collaborateurs (visuel ci-dessus).
Bpifrance salue cet essor : « Le groupe Squiban s’est diversifié au cours des 15 dernières années, à travers de nombreuses croissances externes, dans la gestion de l’énergie, l’optimisation des ressources en eau et l’ensemble des métiers du génie climatique et électrique, intelligence artificielle inclue. »
Cap sur 100 M€ de CA
Le spécialiste breton de l’équipement des serres réalise actuellement un chiffre d’affaires de 72 millions d’euros, fort de 320 collaborateurs et 23 agences. Il vise les 100 millions d’euros à horizon 2027. Pour servir cette croissance, le groupe recrute des profils divers : électrotechniciens, techniciens de maintenance, monteurs-câbleurs, mais aussi deviseurs, techniciens de bureau d’études, chargés d’affaires, etc. Squiban entend « devenir un acteur incontournable de la gestion de l’énergie et de l’optimisation des ressources ».
Le groupe Squiban recrute pour son expansion !
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Plus de 700 emplois en vue
au Port du Havre
Le port du Havre accueille de nouvelles implantations industrielles synonymes de créations d’emplois : 700 postes directs sont prévus pour 2,6 milliards d’euros investis par le Français Qair, l’Américain Air Products et le Luwxembourgeois Livista Energy.
C’est une visite ministérielle au Grand Port maritime du Havre qui a officialisé le dossier d’implantation le 7 novembre 2024 : trois nouveaux projets industriels vont drainer quelque 720 créations d’emplois. La zone portuaire doit en effet accueillir trois nouvelles usines d’ici à 2028-2029 ont annoncé les ministres Catherine Vautrin (Partenariat avec les territoires et Décentralisation), François Durovray (Transports) et Antoine Armand (Économie, Finances et Industrie).
Décarbonation
Ces projets de décarbonation entrent dans le cadre du plan de relance France2030 et la redynamisation du pôle industriel normand, au même titre que ses homologues de Dunkerque et Marseille. Au Havre, il s’agit de projets de construction de batteries au lithium pour véhicules électriques, de l’hydrogène renouvelable et du méthanol. Ces trois implantations représenteraient un investissement global de 2,6 milliards d’euros sur près de 60 hectares.
Qui sont les porteurs de projet ?
Les trois porteurs de projets sont Français, Américains et Luxembourgeois. C’est l’industriel français producteur d’énergie Qair qui va développer une usine de production d’hydrogène dit « vert » et de méthanol renouvelable : 500 millions d’euros investis pour 150 emplois à créer. Son objectif ? Produire 200.000 tonnes d’e-méthanol pour le transport maritime mais aussi l’aérien et l’industrie. « L’ambition de Qair est de tripler ses actifs mis en service pour atteindre 3 GW d’ici 2027 », indique le groupe hexagonal.
Le fournisseur américain de gaz industriels Air Products (19.000 salariés), quant à lui, doit investir le double, soit un milliard d’euros. Son projet : importer de l’hydrogène issu d’énergies renouvelables. 270 emplois à la clé pour une mise en service en 2030 !
Enfin, le groupe industriel luxembourgeois Livista Energy prévoit 1,2 milliard d’euros pour créer sa raffinerie de lithium, avec 300 emplois en jeu, plus 1.200 indirects ! Objectif : contribuer au recyclage des véhicules électriques et de leurs batteries en fin de cycle pour alimenter 750.000 nouveaux véhicules par an, soit 40.000 tonnes de lithium à produire dès 2028. Livista a construit sa première raffinerie de lithium en Europe sur le site d’Emden, en Basse-Saxe.
Un port en pleine expansion
Rappelons aussi qu’en 2022, la société Terminal Investment Limited (TIL), seul actionnaire des terminaux de conteneurs de TPO/TNMSC du Havre depuis fin 2021 avait annoncé un programme d’investissements de 700 millions d’euros, avec « la création sur les six années à venir de 900 emplois destinés aux ouvriers dockers mais aussi de 200 emplois pour le personnel de maintenance« .
Ces entreprises recrutent !
Plus d’infos ici 👉 sur le Grand Port du Havre qui recrute aussi
Standing Véranda recrute
dans les Hauts-de-France
Pour ses 20 ans à Vendin-Le-Vieil, dans le Pas-de-Calais, l’entreprise Standing Véranda bosse sa marque employeur pour recruter une dizaine de salariés. Sont recherchés des commerciaux, des métreurs, des poseurs…
La véranda, comme la pergola, a le vent en poupe en ce moment dans la région des Hauts-de-France. Chez Standing Véranda, on recrute même une dizaine de talents liés à cette production « made in France » !
Forte d’une trentaine de salariés contre cinq à sa création en 2004, cette entreprise de Vendin-le-Vieil, près de Lens dans le Pas-de-Calais, a un nouveau dirigeant depuis début 2024. Charles-Henry Carlier nourrit de grandes ambitions. Pour développer l’enseigne industrielle, il a besoin de commerciaux, mais aussi de métreurs, de poseurs et, en amont, d’ouvriers en atelier.
Nouveaux marchés
A son catalogue, les vérandas en aluminium côtoient désormais les pergolas « bioclimatiques » – un segment de marché en pleine croissance – mais aussi des carports, des extensions d’habitations, etc. Et pourquoi pas des ombrières photovoltaïques demain ? Son atelier de quelque 5.000 mètres carrés a encore de la capacité pour produire et accueillir de nouveaux talents, y compris dans son bureau d’études intégré. Sans oublier ses agences commerciales réparties sur tout le territoire régional.
Standing Véranda recrute, postulez !
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EN IMMERSION DANS VOTRE FUTUR JOB…
Je me forme en alternance à l’Icam
Aujourd’hui, j’ai rendez-vous avec Khalil, en formation alternante à l’Icam, site de Lille, en maintenance industrielle. Le jeune homme est actuellement en formation de technicien supérieur de maintenance industrielle et nous ouvre les portes de son quotidien !
« Docteur des machines »
Nous vous proposons ici une visite exclusive de l’atelier où Khalil passe une semaine par mois pour ses travaux pratiques de mécanique avec le formateur. Il réalise également des schémas pneumatiques et hydrauliques, essentiels dans son parcours de formation. Khalil travaille chez Delacre qui fabrique les fameux biscuits sur le site de Dieppe depuis 124 ans ! Depuis 8 mois, Khalil est en contrat d’alternance dans l’entreprise qui appartient au groupe Ferrero, ce qui lui permet de : modifier des programmes de lignes de production et de robots ; réaliser des tâches de prévention sur les machines ; relever des défis quotidiens en réparant et dépannant des équipements, devenant ainsi le « docteur des machines »
Portes ouvertes le jeudi
L’avantage de l’Icam : intégration possible à tout moment de l’année et à tout âge. Portes ouvertes tous les jeudis à 9 heures.
Merci à Khalil et toute l’équipe de l’Icam Lille et de l’entreprise Delacre pour leur accueil. Intéressé(e) par l’alternance en formation professionnelle ? Rejoins l’Icam et découvre toutes les opportunités qui s’offrent à toi ! Postule, ils recrutent des techniciens supérieurs en maintenance industrielle !
✔️ Pour rejoindre la team ICAM Lille 👉 c’est juste ici
📩 Tu peux aussi écrire directement à l’ICAM 👉 qui recrute ici
Marque employeur
Pourquoi l’ICAM bosse son attractivité en vidéo
L’ICAM site de Lille a fait appel aux équipes de tournage audiovisuel de Jeviensbosserchezvous pour bosser sa marque employeur en vidéo. Les salariés, acteurs du quotidien, témoignent de leur quotidien à micro et caméra ouverts.
La vidéo ainsi réalisée et largement diffusée contribue à booster l’attractivité de l’entreprise pour des retombées positives, tant en interne qu’en externe. La vie au Travail, la vraie !
Innoplate projette de créer 120 emplois
dans l’est de la France
A Haguenau, en Alsace, la nouvelle entreprise Innoplate crée 50 emplois et en prévoit 120 d’ici à 2030… Objectif : produire des millions de plaques bipolaires de piles à combustible, un dispositif pour générer de l’énergie électrique utile à la filière automobile.
Innoplate est une jeune joint venture (JV) créée à Haguenau, dans la région Grand Est, par les groupes industriels Schaeffler et Symbio, elle-même co-entreprise de Faurecia et Michelin. Leur objectif commun : produire à grande échelle des plaques bipolaires (type BPP), composant essentiel pour les piles à combustible pour l’automobile et les futurs véhicules à hydrogène.
120 emplois, 100 M€
A horizon 2030, environ 50 millions de ces plaques doivent être produites par an contre quatre millions actuellement. Telle est l’ambition d’Innoplate qui recrute. Déjà 50 postes d’ingénieurs et techniciens ont été créées pour lancer cette activité d’avenir. A terme, le projet soutenu par France 2030 et les acteurs institutionnels locaux prévoit même 120 emplois. L’entreprise recrute déjà des opérateurs de production et de contrôle qualité, mais aussi des administrateurs réseaux & infrastructures, des techniciens de maintenance…
Le nouvel atelier de 5.500 mètres carrés au sein de l’équipementier automobile Schaeffler a été inauguré le 6 juin 2024 en Alsace. Un exemple et futur fleuron de la collaboration industrielle franco-allemande. L’investissement global représentera environ 100 millions d’euros.
Innoplate recrute, postulez !
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Quatre bonnes pratiques RH inspirantes pour les entreprises…
Mettre en valeurs et partager les bonnes pratiques RH des entreprises, c’est aussi ça la team JeViensBosserChezVous. Objectif : faire rayonner ensemble l’attractivité des marques et talents. Aux lauréats du concours Alim’Acteurs AREA Normandie, tout simplement bravo !
Le concours Alim’Acteurs des bonnes pratiques en Ressources Humaines (RH) des entreprises agroalimentaires normandes a révélé ses lauréats 2024 lors de l’assemblée générale du réseau professionnel AREA Normandie.Des initiatives innovantes et inspirantes chez Isigny-Ste-Mère, Nexira, La Cidrerie de la Brique et la Fromagerie Gillot.
RH inspirant
« Ce concours a pour objectif de valoriser nos métiers et nos entreprises (attractivité) mais aussi de favoriser les échanges de bonnes pratiques entre elles (travail collaboratif) », explique-t-on chez l’organisateur, l’AREA Normandie. Les quatre lauréats normands ont pu bénéficier d’une vidéo de marque employeur JeViensBosserChezVous pour valoriser leur bonne pratique en images et gagner en notoriété et attractivité. Un coup de cœur sera décerné lors des Trophées de l’Agroalimentaire le 10 octobre 2024 et au SIAL de Paris le 22 octobre.
Frigo connecté chez Isigny
Chez la coopérative Isigny-Ste-Mère, le service des RH a mis en place un frigo connecté avec des plats traiteurs accessible 24h/24, 7 jours sur 7, avec l’aide du partenaire Foodles. Nicolas Courtier, DRH de l’entreprise normande revient sur cette demande interne satisfaite et récompensée dans la catégorie SST (Santé Sécurité au Travail).
Plus qu’une expo chez Nexira…
L’entreprise Nexira est, quant à elle, lauréate dans la catégorie Marque Employeur pour son projet « Arbres de vie » sur son engagement RSE. Il s’agit de mettre en avant l’engagement et les valeurs de Nexira à travers l’art pour développer le sentiment d’appartenance et fidéliser les salariés.
4 jours chez la Cidrerie de la Brique
Chez la Cidrerie de la Brique, la direction RH a mis en place de la semaine de 4 jours… Une initiative récompensée dans la catégorie QVTC (qualité de vie et conditions au travail).
Formation au changement à la fromagerie Gillot
Chez Gillot, on a accompagné le changement d’ère de la fromagerie avec une session sur l’excellence opérationnelle, récompensée dans la catégorie formation.
> Retrouvez toutes les bonnes pratiques RH et + d’informations 👉 sur le portail de l’Area Normandie
EN IMMERSION DANS VOTRE FUTUR JOB…
Opératrice en bout de ligne conditionnement
chez SNV qui recrute en Mayenne
Découvrez en immersion le métier d’opérateur de production en bout de ligne de conditionnement. Chez SNV qui recrute à Chailland en Mayenne, Angélique nous partage son quotidien à la pesée vrac et son évolution professionnelle dans cet atelier industriel du secteur agroalimentaire.
La websérie chez VolénaAptitudes
PROFESSIONNELLES
Travailler en binôme tout en faisant preuve d’autonomie
Être organisé à son poste de travail et réactif par rapport aux commandes
Être rigoureux et veiller à la qualité et l’hygiène
Angélique rime avec dynamique ! Opératrice de conditionnement dans l’industrie agroalimentaire, elle bosse en bout de ligne à la « pesée vrac » des volailles chez SNV à Chailland, entité du pôle Volena qui recrute en Mayenne.
Travail d’équipe
Dans son atelier de découpe de poulets, Angélique peut compter sur quelque 80 collègues. Cela démarre par la zone parage, puis la mise en barquette pour arriver au conditionnement, dans un environnement propre. Un travail d’équipe coordonné avec les autres ateliers et services supports.
Sur ce site industriel, environ 250.000 poulets sont livrés chaque semaine. Des volailles gages de qualité, puisque nous sommes sur du Label Rouge et Bien Être Animal. Son poste est intéressant car polyvalent. Le quotidien d’Angélique ne consiste pas uniquement « à coller des étiquettes ». Il s’agit d’un poste clé, dernier maillon de la chaîne avant le client final (supermarchés, traiteurs, restaurants, collectivités…), allant de la préparation de commandes à la gestion d’un poste informatique. La rigueur est essentielle car le poste nécessite de contrôler informatiquement et physiquement toutes les commandes avant expédition.
Ses qualités ?
Rigueur, autonomie et solidarité sont les maîtres-mots d’Angélique, fière de son travail : « Je m’assure que tous les colis sont conformes avant d’arriver chez le client. Je nourris mamie, papy, les petits-enfants… Tout le monde en somme ! On a tous des préjugés sur notre secteur d’activité, alors que l’escalope que vous mettez dans votre poêle, c’est la même qu’on met en barquette ! J’aime l’idée de retrouver nos produits en grande surface et dans les écoles de nos enfants« , souligne-t-elle tout sourire.
Des avantages…
Sa journée de travail commence à 7h30 pour commencer à gérer les flux et se termine généralement vers 16 heures par le nettoyage de son poste. Angélique a un parcours atypique. « Chaque journée est différente et nous avons plein d’avantages en tant que salarié du Groupe LDC, comme la possibilité d’acheter des produits du groupe à un tarif préférentiel. Mais le déclic ce sont mes collègues qui m’ont permis de l’avoir : on s’entend vraiment bien ! On se sent écoutés, avec des responsables toujours accessibles et avec bienveillance. »
SNV Chailland, ce sont plus de 200 collaborateurs réunis autour d’une mission : bien nourrir en élevant durablement, en respectant la terre et grâce au mieux vivre en équipe. Le site a été rattaché commercialement à SNV en 2016 et est désormais un pilier de Volena, acronyme de « Volaillers Engagés pour l’Avenir », spécialiste de la volaille française avec un chiffre d’affaires de plus d’un milliard d’euros. Historique, le site de Chailland est implanté depuis plus de 30 ans dans le territoire mayennais.
SNV – Voléna recrute, postulez !
Merci à Angélique et toute l’équipe de l’entreprise pour leur accueil.
Envie de devenir toi aussi opérateur en bout de ligne (H/F) ?
SNV – pôle VOLENA (groupe LDC) et l’agroalimentaire recrutent, postule !
✔️ Pour rejoindre la team VOLENA 👉 c’est juste ici
Zoom entreprise
Pourquoi travailler
chez SNV – Voléna (groupe LDC) ?
Marque employeur
Pourquoi SNV – Voléna bosse son attractivité en vidéo
Le groupe LDC et son pôle SNV – Voléna a fait appel aux équipes de tournage audiovisuel de Jeviensbosserchezvous pour bosser sa marque employeur en vidéo. Un projet qui s’inscrit dans le cadre d’une websérie sur les territoires.
Les salariés, acteurs du quotidien, témoignent de leur quotidien à micro et caméra ouverts. La vidéo ainsi réalisée et largement diffusée contribue à booster l’attractivité de l’entreprise pour des retombées positives, tant en interne qu’en externe. La vie au Travail, la vraie !
En région Sud, Carbon vise 3.000 emplois
pour sa giga-usine photovoltaïque
A Fos-sur-Mer, sur le Grand port maritime de Marseille au cœur de la région Sud Paca, le groupe Carbon Solar va investir 1,5 milliard d’euros pour créer une giga-usine de fabrication de panneaux solaires. Sa mise en service est prévue fin 2025, avec 3.000 emplois directs.
Déjà annoncée comme « la plus grand usine de panneaux photovoltaïques d’Europe », contribuant ainsi à l’autonomie industrielle de la France, Carbon Solar voit grand à Fos-sur-Mer en région Sud. Un plan d’investissements d’1,5 milliard d’euros est enclenché pour créer cette unité de fabrication de panneaux solaires sur 45 hectares environ, dont 30 hectares « artificialisés » avec 24,5 hectares de surface plancher (dont 210.000 m² pour la production sur deux étages). Le permis de construire a été officiellement déposé dans ce sens par Nicolas Chandellier, directeur général de Carbon, le 18 avril 2024.
« Ce dépôt de la demande de permis de construire marque une étape opérationnelle importante pour notre projet industriel d’ampleur », précise Pierre-Emmanuel Martin, son président fondateur qui entend construire le leader européen de l’industrie photovoltaïque, en mettant au cœur de sa stratégie « la durabilité, la compétitivité et l’innovation, et en déployant le seul projet européen garantissant une entière souveraineté industrielle (du lingot au module). »
Un giga-campus
L’entreprise prévoit de recruter directement 3.000 personnes dans ce projet de giga-usine qui aurait une capacité de production annuelle de 5 GW de cellules photovoltaïques et 3,5 GW de modules. Véritable campus industriel rayonnant au sein du Grand Port Maritime de Marseille, Carbon Solar devrait être opérationnel mi-2025, avec une montée en puissance progressive en 2026.
La Région Sud soutient ce projet à travers une première subvention de 15 millions d’euros, de même que le géant marseillais du transport CMA-CGM via son fonds privé Energies. L’activité de Carbon devrait générer un flux de 20.000 containers par an environ.
Sa marque employeur
Les recrutements sont lancés et Carbon Solar bosse sa marque employeur. Pour son attractivité, l’entreprise annonce la couleur aux candidats potentiels : « En intégrant Carbon, vous vous engagez aux côtés d’un futur leader européen de l’industrie verte. Vous aurez l’opportunité de collaborer avec les meilleurs experts du photovoltaïque et de participer à la concrétisation d’une vision souveraine et décarbonée de l’Europe. Rejoindre Carbon, c’est rejoindre une équipe passionnée, expérimentée et diversifiée, unie par des valeurs communes et des objectifs ambitieux. »
Ils recrutent, postulez !
Carbon Solar recrute…
Pour rejoindre ses équipes 👉 postulez ici !
Voir le manifeste de Carbon en vidéo ⤵️