Le célèbre camembert Président recrute en Normandie
La Société fromagère de Domfront, basée au cœur de la Normandie dans l’Orne (61) lance une campagne de recrutements. Cette filiale du groupe Lactalis fabrique le célèbre camembert Président.
Notre Tour de France de l’agroalimentaireLa Société fromagère de Domfront, basée au cœur de la Normandie dans l’Orne (61) lance une campagne de recrutements. Cette filiale du groupe Lactalis fabrique le célèbre camembert Président. En pleine extension, le site industriel de l’agroalimentaire compte déjà 400 emplois. L’entreprise bosse son attractivité par sa marque employeur en vidéo en vue de recruter 100 personnes supplémentaires dans les deux années à venir. Visite guidée avec Virginie, conductrice d’installation.
Le saviez-vous ? Rond, notre camembert préféré est en fait fabriqué à partir de petits cubes de lait caillé… C’est ici, à Domfront dans l’Orne (61) en Normandie qu’on fabrique le fameux camembert Président : 100 millions de pièces par an ! Je vous emmène bosser aujourd’hui à la Société fromagère de Domfront, du groupe Lactalis, en compagnie de Virginie.
400 emplois pour 100 millions de camemberts par an
Son métier ? Conductrice d’installation en horaires postés en 3×8, elle assure en équipe la bonne conduite de la ligne de production, dans le strict respect des normes d’hygiène et de sécurité. C’est un coagulateur automatique qui transforme petit à petit le lait liquide en bon fromage. Elle a les yeux partout Virginie, scrutant le moindre détail, en coordination avec ses collègues. Issue de l’école nationale d’industrie laitière, elle a pu gravir les échelons au sein du groupe Lactalis qui lui a offert plusieurs évolutions partout en France. Avec ou sans diplôme ou expérience, toute personne est la bienvenue ici et sera formée en interne.
100 postes à pourvoir
Son équipe a beau toujours fabriquer du camembert, ce n’est jamais le même produit, selon Virginie : « Le lait est un produit vivant ! » Un produit associé au plaisir gustatif et à la gastronomie française. Dans le magnifique bocage normand, au vert, ce site industriel en pleine expansion recrute, autour d’une nouvelle unité ultra-moderne. La Société fromagère de Domfront emploie 400 personnes et prévoit encore une centaine d’embauches pour son extension dans les deux ans à venir.
Merci à Virginie et toute l’équipe de l’entreprise pour leur accueil. Envie de devenir toi aussi conducteur d’installation (H/F) ? La Société fromagère de Domfront – groupe Lactalis et l’agroalimentaire recrutent partout en France.
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🇫🇷 Cette vidéo est le 2e épisode de notre websérie « spécial tour de France de l’agroalimentaire » 2021/2022. Suivez nos aventures en immersion dans les entreprises de la filière, qui recrute partout en France. Il y a forcément un job pour vous ! Épisode aimablement sponsorisé par l’AREA Normandie avec le soutien de la Région Normandie et de la Direction Régionale de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Forêt (DRAAF) de Normandie.
Je bosse comme tourier
chez Biscuiterie Dutoit qui recrute
Basée à Bohain-en-Vermandois, dans l’Aisne (02), au cœur de la Région Hauts-de-France, la Biscuiterie Dutoit recrute ! Cette PME artisanale d’une vingtaine de salariés bosse son attractivité et sa marque employeur en vidéo.
Basée à Bohain-en-Vermandois, dans l’Aisne (02), au cœur de la Région Hauts-de-France, la Biscuiterie Dutoit recrute ! Cette PME artisanale d’une vingtaine de salariés bosse son attractivité et sa marque employeur en vidéo. Ses offres d’emplois concernent notamment le métier de tourier qui consiste à tourer la pâte feuilletée pour créer des pâtisseries, comme des fonds de tartelettes que l’entreprise exporte jusqu’au Japon.
Connaissez-vous le job de tourier ? Il ne monte pas dans les tours mais a un bon tour de main pour « tourer » la pâte. En compagnie du jeune Eugène, 22 ans, notre team vous emmène bosser à la découverte de son métier à Bohain-en-Vermandois (02), dans le département de l’Aisne.
Pâtisseries prêtes à garnir
C’est ici, au cœur de la région Hauts-de-France que la Biscuiterie Dutoit fabrique des pâtes feuilletées, pour créer des vole-au-vent, des biscuits, fonds de tartes et autres tartelettes, prêts à garnir. Des créations qui s’exportent dans le monde entier, jusqu’au Japon très friand de ces pâtisseries « made in France ». Un régal pour les yeux et les papilles !
Un métier accessible sans diplôme
Eugène apprend à notre reporter positif et enthousiaste Géry son métier qui consiste à plier la pâte successivement. Ensemble, ils lui donnent des tours, c’est-à-dire qu’ils l’abaissent en rectangle et la replient plusieurs fois de suite. Une opération délicate et rapide, répétée en tournant d’un quart de tour le feuilletage entre chaque mouvement étiré par un tapis automatique ou « allonge ».
En contrat d’insertion professionnelle
Eugène n’était pas prédestiné à ce métier de tourier, encore moins au secteur agroalimentaire dans lequel il ne pensait pas travailler un jour. En décrochage scolaire, il a fait un stage grâce à la Maison de l’Emploi de son territoire. Dans cette biscuiterie artisanale, le dirigeant lui a donné sa chance et il a signé un contrat d’insertion professionnelle pour un job qui lui plaît énormément. Il aime notamment la cadence, qu’a beaucoup de mal à suivre Géry dans cette vidéo. Les autres qualités pour son job : persévérance et endurance. Sans oublier la cohésion d’équipe. « Il ne faut pas avoir peur de demander », confie Eugène. Et son produit préféré ? Un biscuit maison, fait main, à la pâte feuilletée caramélisée. Un régal !
Merci et bravo à Eugène et toute l’équipe de l’entreprise Dutoit, dirigée par Emmanuel Daumy, pour leur accueil. Envie de devenir toi aussi tourier (H/F). La Biscuiterie Dutoit et l’agroalimentaire recrutent.
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Cette vidéo est le premier épisode de notre websérie spécial tour de France de l’agroalimentaire. Suivez nos aventures en immersion dans les entreprises de la filière qui recrute partout en France. *Épisode aimablement sponsorisé par AGRO-SPHÈRES avec le soutien de la Région Hauts de France et de la Direction Régionale de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Forêt (DRAAF) des Hauts de France.
Soreal recrute des conducteurs de machines agroalimentaires
Basé en Bretagne à Brie (35), au sud de Rennes, le producteur de sauces pour la restauration Soreal Ilou recrute des conducteurs de machines. Suivez cette immersion vidéo dans l’entreprise avec l’interview d’Hélène et de Dylan et la visite de l’atelier… Des emplois à la clé !
Basé en Bretagne à Brie (35), au sud de Rennes, le producteur de sauces pour la restauration Soreal Ilou recrute des conducteurs de machines. Suivez cette immersion vidéo dans l’entreprise avec l’interview d’Hélène et de Dylan et la visite de l’atelier… Des emplois à la clé !
César ou teriyaki ? Votre sauce, vous la préférez comment ? A moins que ce ne soit une vinaigrette ou une mayonnaise… Depuis plus de 30 ans, en Bretagne au sud de Rennes, Soreal Ilou fabrique des sauces sur-mesure conditionnées dans une large gamme de contenants allant de 4g à 6kg, à destination de 500 clients, en France et dans 25 pays !
Producteur de sauces pour les rois du burger
Avec plus de 3.000.000 de consommateurs par jour, vous avez probablement consommé une de leur sauce si vous avez l’habitude de manger chez Planet Sushi, Brioche Dorée, ou encore les rois du burger et de la pizza… Plus de 1.000 recettes de sauces sont référencées. Il y en a forcément à votre goût. Question job, c’est pareil : ils recrutent principalement des conducteurs de machine ! Et ça tombe bien, je suis allé à la rencontre d’Hélène, responsable de production pour découvrir le métier de conducteur de machine avec Dylan, salarié-passionné depuis 2 ans chez Soreal.
Une usine agroalimentaire moderne
Impressionnante cette usine et ses outils modernes ! Les sauces naviguent ici comme des flacons de parfum et ça sent bon les épices. Dans l’atelier, Dylan peut compter sur ses collègues pour la mise en place des machines, les réglages, etc. Ici, on bosse en équipe. L’agroalimentaire ? Dylan n’y pensait pas après ses études de graphisme et un premier emploi sans découché. En quête de sens, il a trouvé sa voie chez Soreal où il compte bien évoluer à l’avenir.
Croissance à toutes les sauces
Soreal est une entreprise en croissance qui recrute dans les métiers de production. Alors si vous êtes motivé(e), dynamique et que vous aimez les sauces, rejoignez Soreal. Ils vous attendent avec impatience. Des conditions agréables et une bonne ambiance vous attendent ! Pssss : Ils ont plein de sauces en salle de pause 😉
👏 Merci à Dylan, Hélène et toute l’équipe pour l’accueil. Envie de devenir toi aussi conducteur de machine (H/F)❓
Soreal Ilou recrute 🙋🏻♂️🙋🏽♀️
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Emploi agroalimentaire : Lou recrute des cueilleurs de champignons
L’entreprise agroalimentaire Lou produit sans pesticides et récolte des champignons en France, soucieux de l’environnement et de la santé. Né en Bretagne à Poilley, en 2009, cet industriel ouvre sa deuxième champignonnière en Mayenne et recrute !
L’entreprise agroalimentaire Lou produit sans pesticides et récolte des champignons en France, soucieux de l’environnement et de la santé. Né en Bretagne à Poilley, en 2009, cet industriel ouvre sa deuxième champignonnière en Mayenne et recrute ! Un troisième site va ouvrir en Auvergne Rhône-Alpes. Lou recrée une filière et des emplois agroalimentaires sur tout le territoire. Il recrute notamment grâce à une vidéo originale en immersion au cœur de sa production.
Cueille ou cueillette ? Chez Lou, à cheval entre la Normandie et la Bretagne, sur la commune de Poilley (Ille-et-Vilaine), Fatima dit « cueille » et nous accueille avec son sourire pour aller cueillir de bons champignons frais. Car ici, dans ces salles de pousse, on en cueille en grandes quantités, alors que la cueillette est réservée pour les tout petits paniers. Ici, Lou recrute et crée des emplois durables dans l’agroalimentaire. Pour travailler son attractivité, le producteur a fait appel à une vidéo originale de visite de son entreprise réalisée par l’équipe Je-viens-bosser-chez-vous et Géry, dans la peau d’un cueilleur.
Travailler dans l’agroalimentaire
Géry s’attendait à bosser dans l’humidité totale, au fond d’une cave sombre à lueur d’une lampe de poche… Tout faux ! Pour sa première journée, Fatima l’a inscrit dans l’équipe de la chambre « noire » mais elle est toute blanche et lumineuse. Ici, il fait 16 à 17°C et c’est plutôt agréable de travailler en toute sécurité, que ce soit au sol ou sur les lits situés à 5 mètres de hauteur. Là où poussent, en 15 jours, les jolis champignons Lou. Le boulot ne lui a pas paru compliqué mais Fatima a avoué qu’elle l’a ménagé pour mon premier jour. C’est sûr que les autres cueilleurs ont une autre cadence que la sienne… Fatima a débuté à la cueille aussi. Elle avoue avoir eu pour son premier job quelques appréhensions, vite dissipées par l’ambiance et les bonnes conditions de travail. Depuis, elle a évolué et elle est même cheffe d’équipe aujourd’hui, à encadrer entre 20 et 60 personnes, selon le volume à cueillir : de 4 à 10 tonnes chaque jour, soit entre 20 et 30 kg par jour par cueilleur.
Recréer une filière agroalimentaire française du champignon frais
Depuis 2009, Lou relance la filière agroalimentaire du champignon en France. Le saviez-vous ? Seulement trois champignons sur dix consommés en France… poussent en France ! Or, la consommation de champignons augmente d’année en année. Crus à l’apéro, farcis au four ou grillés au barbecue ou à la plancha : le champignon est roi sur nos tables. Alors, il faut en produire beaucoup des champignons de Paris, des Portobellos, des Bella rosés…
Culture sans pesticide et récolte à la main
Chez Lou, membre du label « Demain la Terre », c’est sans pesticide, dans le respect de la fraîcheur, de la qualité, mais aussi de la main-d’œuvre, dans une ambiance familiale. Dynamique acteur de l’agroalimentaire, Lou a ouvert une première champignonnière (c’est comme ça qu’on dit) qui emploie aujourd’hui quelque 150 personnes de 25 nationalités différentes. Quelle richesse culturelle !
120 à 150 emplois créés par site
Emmanuelle, Benoît et Fabrice, les fondateurs ne comptent pas s’arrêter en si bon chemin. Une deuxième unité de production ouvre cette année à Landivy (53), village de Mayenne distant d’une vingtaine de kilomètres. Et une troisième champignonnière est en projet dans la région Auvergne Rhône-Alpes. Vive le « cultivé et récolté à la main en France » ! A chaque site, c’est une centaine d’emplois supplémentaires qui sont créés, la plupart en CDI.
> Recrutements agroalimentaires
🙌 Merci à Fatima et toute l’équipe pour l’accueil.
Envie de devenir cueilleur ou cueilleuse❓
LOU recrute sur ses trois sites 🙋🏻♂️🙋🏽♀️
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Géry, Youtubeur d’entreprise et entrepreneur, toujours en marinière. En mode On ou Off, dynamiseur d’attractivité industrielle et réalisateur d’attractivité.
👉 Je viens bosser chez vous a une chaîne Youtube et un tout nouveau site internet avec plein de choses dessus, et pas que des vidéos. A lire aussi, notre article : « A qui tendre le micro ? »
Industrie agroalimentaire : un tour de France vidéo
Le média « Je-viens-bosser-chez-vous » lance un tour de France de l’industrie agroalimentaire en websérie vidéo. Objectif : valoriser les métiers de la filière agroalimentaire dynamique, qui recrute sur tout le territoire national.
Tous les épisodes de la websérieLe média « Je-viens-bosser-chez-vous » lance un tour de France de l’industrie agroalimentaire en websérie vidéo. Objectif : valoriser les métiers de la filière agroalimentaire dynamique, qui recrute sur tout le territoire national. Les entreprises de toutes tailles, mais aussi les emplois et produits emblématiques qu’elles représentent seront valorisés à travers une web série. Clap de début : 2e semestre 2021.
> Temps de lecture : 5 min
Industrie vieillotte, usines poisseuses, main-d’œuvre peu qualifiée, sans débouchés ni carrières… Les clichés sur le secteur « agro », souvent associé et restreint (à tort) à la seule agriculture, ne manquent pas. En France, la filière agroalimentaire représente le premier secteur industriel, tant en termes d’emplois que de chiffre d’affaires. Ce premier employeur français porte 461.544 salariés (ETP), répartis dans 15.040 entreprises (au 31 décembre 2017 – hors artisanat commercial et commerce de gros). C’est aussi une filière en plein essor. En 2017 leur chiffre d’affaires global s’élevait à 213 milliards d’euros, en croissance de plus de 4 milliards d’euros par rapport à 2016 (+2,5%).
Agroalimentaire : 98% de TPE-PME
Derrière les enseignes les plus connues comme Bigard, Bonduelle, Cocorette, Lactalis, Terreos… on trouve une mutlitude de petites sociétés, souvent familiales. 98% des entreprises du secteur sont en effet des TPE-PME. Et gros avantage pour qui cherche un job : il peut le trouver quasiment à sa porte tant les entreprises produisent partout. Dans ce paysage, quelques grandes régions agroalimentaires comptent : Bretagne, Hauts de France, Normandie, Paca… C’est d’ailleurs à Rennes qu’a lieu le CFIA (du 9 au 11 juin en 2021), le Carrefour des fournisseurs de l’industrie agroalimentaire, véritable salon des innovations. Ces sous-traitants représentent aussi des milliers emplois indirects.
Le public applaudit volontiers celles et ceux qui le soignent et c’est bien normal. En revanche, pas d’applaudissement pour tous ces talents qui nous nourrissent au quotidien et qui ont répondu présent aux avant-postes, tout au long de la crise Covid. Cette crise sanitaire a d’ailleurs été un révélateur de plus sur le rôle important de ces acteurs « essentiels » qui remplissent nos assiettes. L’occasion de les mettre en lumière.
Entreprises agroalimentaires : elles recrutent partout
Sur tout le territoire, ces entreprises cherchent des talents, avec plus ou moins de difficultés et de notoriété. En Normandie, dans l’Orne (61), Lactalis va ainsi embaucher 115 personnes dans les deux ans qui viennent, grâce à un projet d’extension de son unité de production qui emploie déjà 380 personnes. Là où est produit le fameux Camembert Président !
Un peu plus au nord, en Picardie, Bigard employait 280 personnes il y a 4 ans à Flixecourt. Son site de 3e transformation de viande (steaks hachés, brochettes et paupiettes) compte aujourd’hui 385 emplois – ils étaient 80 à la création en 2004. Bigard recrute encore, notamment des opérateurs de ligne de fabrication et de conditionnement. Ici, pas d’intérim : que du CDD et rapidement du CDI ! Sans parler de la maintenance qui cherche des bras aussi. Et en la matière, plus la peine de jouer les gros bras : les tâches se sont mécanisées et allégées. Dans certaines usines, les exo-squelettes font même leur apparition. Le bien-être des salariés est au cour de l’atelier avec échauffements à la prise de poste, formations… Au sud, à Marseille, le spécialiste des fruits secs ColorFoods vient de passer en 2×8. Il emploie déjà 80 salariés mais recrute sans cesse pour monter à 120 personnes en saison.
Cap au sud aussi pour Lou, le producteur breton de champignons ouvre quant à lui sa 2e champignonnière en Mayenne à Landivy (53), après une première près du Mont Saint-Michel à Poilley (35). Et une 3e est même prévue en Auvergne-Rhône-Alpes. Chaque site compte 150 à 200 emplois. « Seulement trois champignons sur 10 consommés en France sont produits ici. Notre objectif est de recréer une filière française du champignon », ambitionne Emmanuelle Roze, dirigeante qui a lancé l’affaire avec son mari Fabrice Chapuzet et son frère Benoît Roze.
Tour de France agroalimentaire : un tour de force ?
Un tour de France de l’agroalimentaire : un tour de force ? L’idée est née dans les Hauts de France de la rencontre entre les équipes d’Agro-Sphères, l’Association régionale des industries agroalimentaires (Aria), et de Jeviensbosserchezvous, média national spécialisé dans l’attractivité des entreprises et des territoires par l’immersion de ses journalistes au travail, en immersion. « Notre projet très soutenu en région a fait boule de neige sur de nombreux autres territoires », se félicite Fanny Desrousseaux, chargée de mission chez Agro-Sphères, qui veut jouer en collectif pour un impact démultiplié. Les tournages et chaque vidéo d’entreprise originale vont en effet s’enchaîner dès le mois de juin et les diffusions dès l’automne. Une trentaine d’épisodes vidéos sont prévus, pour le moment. Les premiers tournages ont eu lieu en Picardie, chez Bigard et Cocorette, le 9 juin. Les salariés ambassadeurs passent en mode interview vidéo, pour faire découvrir au public leur quotidien, en immersion dans leur job.
Usine agroalimentaire en mode routard authentique
L’équipe de Jeviensbosserchezvous plantera sa tente et posera ses micros et caméras dans les entreprises agroalimentaires en mode routard et découverte, pour partager un job avec un des salariés qui acceptera de jouer le jeu. « Nous partirons toujours du produit agroalimentaire pour s’intéresser à celles et ceux qui le fabriquent directement ou indirectement dans la chaîne de valeur de l’entreprise accueillante », souligne Fanny Desrousseaux. Spontanéité et authenticité sont le leitmotiv de Jeviensbosserchezvous. Un format vidéo inédit qui séduit notamment les entreprises industrielles et agroalimentaires, puisque la chaîne Youtube compte plus d’une centaine de vidéos en 3 ans d’existence. Certaines dépassent les 100.000 vues ! Le challenge est lancé.
Autant d’occasions de valoriser tel ou tel métier, tel ou tel savoir-faire, en production comme en maitenance ou même en support administratif, marketing, commercial, export… Et si le même métier sera parfois filmé pour deux épisodes distincts, c’est l’humain et le parcours de la personne filmée, forcément singuliers, qui priment ! Chaque entreprise a également son propre ADN, son ambiance…
Terroirs et territoires
Organiser un tour de France de l’agroalimentaire, c’est parcourir des terroirs riches de saveurs et de sens, à la rencontre d’hommes et de femmes passionnés, mais aussi de savoir-faire parfois séculaires et souvent à la pointe de l’innovation, pour en révéler l’existence. « Beaucoup de gens ne connaissent pas notre univers et nos métiers, ou en ont une fausse image », témoigne cette chargée de ressources humaines. Elle et ses confrères se battent tous les jours pour faire bouger les lignes. Cette websérie va permettre d’amplifier l’image d’un secteur porteur et conjuguer Agro – Aliment – Terre, élémentaire !
>À LIRE, À VOIR AUSSI…
https://agriculture.gouv.fr/le-panorama-des-industries-agroalimentaires
https://www.ania.net/presentation-ania/nos-chiffres-cles
Géry, Youtubeur d’entreprise et entrepreneur, toujours en marinière. En mode On ou Off, dynamiseur d’attractivité industrielle et réalisateur d’attractivité.
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Mon emploi de technicien fromager chez Beillevaire qui recrute !
Plutôt fromage ou dessert ? Moi, je suis gourmand et ça tombe bien puisque Beillevaire fabrique les deux et recrute dans ses fromageries et commerces.
Plutôt fromage ou dessert❓Moi, je suis gourmand et ça tombe bien puisque Beillevaire fabrique les deux et recrute 😉
Brie de Meaux, de Melun et Brillat-Savarin
Dans ce nouvel épisode, je vous emmène bosser avec Régis comme technicien fromager dans la Brie (77). Chez Bries de Saint-Rémy, la quarantaine de salariés élabore 11 recettes différentes, du Brie de Meaux et du Brie de Melun, mais aussi du Brillat-Savarin.
📍 Venez découvrir toutes les étapes de cette fabrication artisanale à Saint-Rémy-la-Vanne. Prise de poste à 6 h ! Cette société familiale dispose de 4 caves d’affinage et 6 ateliers de production partout en France : camembert de Normandie AOP, Chabichou du Poitou AOP, Beurre, Picodon AOP, yaourts, Brie de Meaux AOP, Brie de Melun AOP.
Moulé à la louche
🧀🥛 Maintenant je sais ce que veux dire « moulé à la louche » 👍 Régis est un passionné depuis qu’il a 18 ans et m’a tout expliqué dans cette vidéo. Il a fait l’école de laiterie de Mamirolle dans le Doubs : 3 ans de formation nécessaire ! Ce qui lui plaît, c’est l’amour du produit, travaillé au lait cru et labellisé AOP. « Cela fait partie de notre patrimoine français ! », s’exclame-t-il fièrement 🇫🇷
🔎 Ses qualités : être passionné, rigoureux, manuel… et aimer le fromage quand même. Au fait, savez-vous ce qu’est un hâloir ? Regardez bien la vidéo 🎥
🏅Les Ets Beillevaire, dont le siège est à Machecoul près de Nantes, ont reçu le Prix de l’entrepreneur de l’année de la Région Ouest 2019 par EY.
👏 Bravo et merci à Régis et toute la team Beillevaire pour l’accueil chaleureux 🙏
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Je viens bosser chez vous a une chaîne Youtube et un site internet avec plein de choses dessus, et pas que des vidéos. Des Podcasts par exemple.
Comment Isigny Sainte-Mère recrute
la crème de la crème ?
Quand le spécialiste des laitages cherche à attirer de nouveaux talents, il applique la même recette que pour ses produits frais : maillage local, technicité, modernité et authenticité.
Quand le spécialiste des laitages cherche à attirer de nouveaux talents, il applique la même recette que pour ses produits frais : maillage local, technicité, modernité et authenticité. Avec Simon Frileux, responsable marketing et communication de la coopérative Isigny Sainte-Mère, on décrypte la campagne de recrutement engagée en 2019-2020 et qui porte ses fruits. Interview.
Temps de lecture : 5 minutes
- Recruter est un travail d’équipe, au sens large
- Se faire connaître de profils qui n’auraient pas pensé à nous
- La vidéo est partout et elle parle à tout le monde
- Ce sont ceux qui exercent le métier qui en parlent le mieux
Isigny Sainte-Mère, le spécialiste normand du beurre, de la crème et du fromage est également en pointe pour la poudre de lait infantile.. Une nouvelle unité de production dédiée à cette activité, sort de terre sur la commune d’Isigny-sur-Mer. Elle sera opérationnelle pour l’été 2021. Pour accompagner cette expansion, le plan de recrutement lancé en septembre 2019 joue la transparence grâce à des vidéos en immersion dans le quotidien de l’entreprise.
La production de poudre de lait est une activité sensible qui nécessite des équipements de haute technicité et des équipes affûtées pour garantir une qualité d’excellence. « Nos produits sont connus dans le monde entier, et bien évidemment par les habitants du Calvados et de la Manche. On a voulu aller plus loin que cette image de marque en montrant comment se fabriquent les produits et de quelle manière se déroule le travail dans l’entreprise : outils, machines, techniques, règles de sécurité, tenues, horaires… » indique Simon Frileux, responsable marketing et communication d’Isigny Sainte-Mère. Pour lancer sa campagne de recrutement, la coopérative agroalimentaire a choisi d’allier le maillage des acteurs locaux de l’emploi au tournage d’une web-série en complémentarité d’autres leviers actionnés parallèlement et simultanément.
Recruter est un travail d’équipe, au sens large
Avec 1.100 salariés, l’entreprise est un employeur phare en Normandie. Alors, évidemment, les premières actions pour recruter se sont ancrées dans le territoire. « Nous nous sommes associés aux acteurs locaux et régionaux pour être visibles du plus grand nombre de personnes en recherche d’emploi. » Les connexions ont été nombreuses avec la Région Normandie, Pôle emploi, la Direccte, l’organisme de financement de la formation Opcalim (devenu Ocapiat), l’agence d’attractivité « Latitude Manche » ainsi que les organismes de formation FIM, ENIL Saint-Lô Thère et la société de formation Gosselin.
Se faire connaître de profils qui n’auraient pas pensé à nous
Une campagne de communication multi-directionnelle se justifiait d’autant plus que les métiers comme les profils recherchés sont très variés et souvent méconnus. Production, maintenance, qualité, laboratoire… Des candidats allant du bac pro au diplôme d’ingénieur, en passant par le BTS sont les bienvenus.
Et lorsque les candidats n’ont pas encore de formation dans le domaine, il y a des solutions : « Notre objectif est d’accueillir également des apprentis et des stagiaires à qui l’on propose une formation continue professionnalisante. Pour les métiers pénuriques, on a besoin de ces partenaires pour rendre nos offres visibles au plus près du marché de l’emploi local. » Une fois les fondations de la campagne de recrutement posées, la vidéo peut faire son entrée.
La vidéo est partout et elle parle à tout le monde
« Pour participer au tournage d’une web-série vidéo sur les métiers d’Isigny Sainte-Mère, on n’a pas manqué de volontaires. C’est aussi la preuve que les collaborateurs sont fiers de l’entreprise et ont envie de le dire. » La web-série préparée avec Je viens bosser chez vous s’est articulée autour de 4 épisodes de 4 minutes environ présentent 4 métiers de l’entreprise. Quoi de mieux en effet que de faire dire à un tiers de confiance (ici un média), non pas que son entreprise est la meilleure, mais qu’elle existe et qu’elle a des actualités et des messages à faire passer… plutôt que de le dire soi-même ! « Comme on peut le voir sur les vidéos qui sont accessibles sur YouTube, nous voulions qu’elles racontent chacune une histoire. Il ne s’agissait pas juste de tendre un micro et de filmer. On a joué la transparence en montrant comment se passe le travail au quotidien et en accueillant Géryoutubeur, comme s’il allait venir travailler chez nous dès le lendemain. »
Ce sont ceux qui exercent le métier qui en parlent le mieux
Parmi les moments clés des vidéos, il y a notamment David qui explique comment on enlève, grâce à une tour de 30 mètres de haut et de 15 mètres de diamètre, l’humidité contenue dans le lait, pour qu’il se transforme en poudre. « Enfiler une blouse, se laver les mains, porter une charlotte, manier des machines comme des ordinateurs… c’est beaucoup plus parlant à l’écran qu’en le disant. On y parle aussi du fonctionnement en 3/8 ou encore des qualités recherchées pour chaque métier. » Des vidéos qui peuvent aussi servir de support d’intégration – et même de formation – des nouvelles recrues.
« Outre le grand de nombre de candidatures reçues (plus de 2.000, du jamais vu !) grâce à toutes les actions menées (relations presse, événements, site carrières…), on a eu de très nombreux retours de partenaires, qui soulignaient l’originalité du format vidéo et appréciaient ce « discours vrai ». On a voulu tenir en haleine en diffusant un épisode par semaine. Avec plus 100.000 vues cumulées sur YouTube, on a atteint notre cible : faire parler de nos métiers au-delà des cercles habituels ». De l’ouvrier de production au dirigeant de la coopérative, tout le monde a joué le jeu devant la caméra sans tabou, pour incarner au mieux l’entreprise. Les candidats à l’emploi peuvent ainsi mieux s’identifier aux valeurs de l’enseigne.
🎙 A écouter aussi en podcast ⤵️
Géry, Youtubeur d’entreprise, toujours en marinière, en mode On ou Off.
Je viens bosser chez vous a une chaîne Youtube et un site internet avec plein de choses dessus, et pas que des vidéos. Des Podcasts par exemple.
Le Duff va créer 500 emplois de plus dans sa 10e usine Bridor
Sa 10e usine à l’enseigne de sa filiale Bridor, Louis Le Duff la projette dans son fief breton en Ille-et-Vilaine, à Liffré, au nord de Rennes.
Sa 10e usine à l’enseigne de sa filiale Bridor, Louis Le Duff la projette dans son fief breton en Ille-et-Vilaine, à Liffré, au nord de Rennes. A son démarrage en 2022, ce site de production de pains et viennoiseries, la spécialité du groupe agroalimentaire, emploiera déjà quelque 150 talents mais ils seront 500 sur place, à terme.
250 M€ investis
Un nouvel investissement de 250 millions d’euros, qui vient compléter celui de 200 millions consacrés récemment en Amérique du Nord. « Ce plan d’investissement démarrera dès 2020, s’étalera sur les 5 prochaines années et s’accompagnera de la création de 500 emplois », précise le groupe.
3e site de production dans l’Ouest
Bridor a déjà deux sites de production à l’Ouest. « Cette nouvelle usine à Liffré viendra renforcer les capacités de production actuelles des sites de Servon-sur-Vilaine (35) et de Louverné/Laval (Mayenne) ». L’entreprise réalise un chiffre d’affaires de 800 millions d’euros et emploie 2.500 salariés. Bridor entend « franchir le cap du milliard d’euros de chiffre d’affaires dans le monde à horizon 2021 ».
Géry
Je mets en boîte les managers du conditionnement
chez Isigny Sainte-mère !
Nouvel épisode chez Isigny Sainte-Mère qui recrute ! Aujourd’hui je vous mets en boîtes et vous emmène bosser comme chef d’équipe au service conditionnement de poudre de lait infantile.
Nouvel épisode chez Isigny Sainte-Mère qui recrute ! Aujourd’hui je vous mets en boîtes et vous emmène bosser comme chef d’équipe au service conditionnement de poudre de lait infantile.
15.000 boîtes à l’heure
En compagnie de Romain, responsable de cette unité inaugurée en 2015, je découvre un métier et un site parmi les plus performants en Europe : 15.000 boîtes à l’heure ! Au conditionnement, Isigny recrute des chefs d’équipe, contrôleurs labo et conducteurs de ligne.
Chefs d’équipe, contrôleurs labo et conducteurs de ligne bienvenus !
Alexandre me présente d’ailleurs son management au quotidien en tant que chef d’une équipe de 8 personnes. « Tous les jours, de nouvelles situations à résoudre… » Organisation, rigueur et écoute sont ses principales qualités. Un bac pro suffit pour bosser ici. Quelques années d’expérience, c’est toujours un plus 😉
Géry
🤝 Merci et bravo à toute l’équipe d’Isigny Sainte-Mère pour cette réalisation 👍
☑️ TOi AUSSi POSTULE (ils ont sûrement 1job pour toi;) 👉 www.isigny-ste-mere.com
Je monte dans les tours chez Isigny Sainte-Mère qui recrute des conducteurs
La coopérative laitière Isigny Sainte-Mère annonce 150 recrutements. J’ai postulé et je vous emmène bosser en Normandie, chez cette belle enseigne de l’agroalimentaire, labellisée Entreprise du Patrimoine Vivant (EPV) et Meilleur employeur 2019.
La coopérative laitière Isigny Sainte-Mère annonce 150 recrutements. J’ai postulé et je vous emmène bosser en Normandie, chez cette belle enseigne de l’agroalimentaire, labellisée Entreprise du Patrimoine Vivant (EPV) et Meilleur employeur 2019. Après avoir été accueilli par le directeur général Daniel Delahaye (épisode #1), me voici équipé pour monter dans les tours… de séchage de poudre de lait infantile.
Transformer le lait en poudre
Isigny Sainte-Mère nourrit en effet plus de 2 millions de bébés chaque jour. Au quotidien, ils sont donc aux petits soins dans l’usine pour produire toutes ces boîtes. Un site sensible et un job passionnant pour transformer le lait frais en poudre pour biberon…🐄🍼🥛
Ma marinière au vestiaire…
Savez-vous ce qu’est un DAV ? Ici on laisse la marinière au vestiaire pour s’équiper de la tête aux pieds grâce au Distributeur Automatique de Vêtements… Suivez-moi, en compagnie de Mickaël et David, ces conducteurs de tour de l’ombre qui partagent leur passion au quotidien…
🤝 Merci et bravo à toute l’équipe d’Isigny Sainte-Mère pour cette réalisation 👍
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