Chez Eurial, coopérative laitière, Franck est chef de projets travaux neufs. Ce jeune professionnel travaille en support des équipes, pour les aider dans leur quotidien grâce à ses études de faisabilité. Investissements de nouvelles lignes de production, extensions d’ateliers, mécanisation et automatisation, ergonomie des postes de travail… Franck est de toutes les modernisations ! Il adore les casse-têtes et résoudre des problèmes en prenant en compte l’environnement existant. Apporteur de solutions, il simplifie la vie de ses collègues.

Après son BTS

Plutôt ingénieux qu’ingénieur, Franck a suivi un BTS en alternance, après son bac STI pour Sciences et technologies industrielles. Et ce n’est pas qu’un boulot de bureau, sur plans ! Animer des groupes de travail avec analyse de pratiques fait aussi partie de son quotidien. Aujourd’hui, le chef de projet navigue aussi de site de production en site de production (800 à 1.000 km par semaine en moyenne), à la recherche des améliorations possibles, pour une meilleure productivité mais aussi pour le bien-être de ses collègues, opérateurs sur les lignes des bons fromages, par exemple.

Amélioration continue et compétences

Son leitmotiv : l’amélioration sans perturber la production. Franck n’hésite d’ailleurs pas à mettre sa tenue de chantier le plus souvent possible, en prise directe avec le terrain opérationnel. Ce qui lui plaît le plus chez Eurial ? « Les relations qu’on a dans l’entreprise… Il y a beaucoup de confiance ! On laisse la parole aux opérateurs et ce n’est pas le cas dans toutes les entreprises« , se réjouit Franck. Chaque nouveau projet lui offre de nouvelles compétences et des perspectives de projets plus ambitieux qu’il peut conseiller au mieux demain.

Qui est Eurial, la branche lait de la coopérative Agrial ?

Connais-tu Eurial ? C’est la branche lait du groupe coopératif Agrial qui recrute partout en France. Autour de ses 4.800 salariés et 29 sites de production, pour 2,5 milliards d’euros de chiffre d’affaires (dont 38% à l’international), ses marques de lait, beurre et fromages sont réputées et régulièrement médaillés : Agrilait, Soignon, Grand Fermage, Maestrella, Pavé d’Affinois…

👏 👏 Merci à Franck et toute l’équipe de l’entreprise pour leur accueil.
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Un milliard d’euros, c’est le montant qu’a déjà investi Lactalis en 2024 sur ses sites industriels à l’échelon international. La même somme va être consacrée ces cinq prochaines années par le géant de l’agroalimentaire mayennais, soit 250 millions d’euros par an, pour ses sites français cette fois. Objectif : « Moderniser et améliorer la performance. » De la collecte à la distribution, de nombreux sites vont en bénéficier : laiteries, fromageries, entrepôts logistiques…

Le numéro 1 mondial des produits laitiers mise sur la qualité et veut notamment intensifier ses productions de yaourts (type Skyr) mais aussi de fromages râpés dont les Français raffolent. Moins de marques distributeurs (MDD), c’est aussi son mot d’ordre !

Un colosse

Lactalis France compte à ce jour 16.000 collaborateurs (85.500 dans le monde) pour 5,7 milliards d’euros de chiffre d’affaires (30 milliards au plan international). Un colosse qui revendique 10.000 producteurs de lait « partenaires » et quelque 70 pôles de production et transformation. Un signal fort pour tous, alors que l’industriel avait annoncé il y a quelques mois sa volonté de réduire sa collecte de lait de 9% d’ici à 2030… « Lactalis ne désinvestit pas le marché français !« , insiste Jean-Marc Bernier, le directeur général du groupe qui recrute tous azimuts : 860 personnes ont été embauchées en France.

Des projets tous azimuts

Ces nouveaux investissements se traduiront sur les sites avec de nouveaux pôles R&D (7M€ à Retiers), l’augmentation des capacités de production (5M€ à Vitré) ou encore l’amélioration des flux de production (3M à L’Hermitage). Lactalis est réputé pour ses marques Lactel, Président, Galbani, La Laitière, Roquefort Société, etc.

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Chez Eurial, coopérative laitière, Grigori est manager en excellence opérationnel : ex’op. En quoi consiste son métier ? C’est lui qui assure en équipe le suivi des projets industriels d’une usine en particulier. Rattaché à un site de production dans les Deux-Sèvres, Grigori gère de A à Z le suivi des chantiers. « Mon métier, c’est de faire des projets d’amélioration avec les équipes sur toute l’usine : sécurité, qualité, performance de lignes… C’est de faire travailler l’intelligence collective au service de la performance« , résume-t-il.

Sa journée type

Direction le « Point 15 » ! En 15 minutes, Grigori fait le point avec une équipe mixte : production, qualité et maintenance. « Ce point permet un point de coordination quotidiennement. » Le manager Ex’op intervient en service support. « Mon job est d’aider les équipes à créer des indicateurs qui soient le plus proche du terrain et le plus cohérent. »

Selon 6 axes de travail

6 axes guident son travail : sécurité, qualité, coût, délais, vie de l’équipe et environnement. Son rôle est de questionner en permanence les équipes et de les accompagner pour améliorer leur quotidien, en lien avec la qualité de vie au travail bien sûr. Formation et information font partie de ses moteurs. Exemple concret dans l’atelier de maintenance où un établi standard a été mis en place avec un référentiel précis…

Amélioration continue

Ce qui lui plaît dans ce job ? « C’est le contact humain ! » Grigori aide à concrétiser des idées émanant du terrain. Chaque opérateur est en effet acteur de l’amélioration de tous et peut apporter son point de vue constructif. Chez Eurial, « la diversité des sujets » motive le jeune manager qui fait par ailleurs la chasse aux gaspillages. Ses qualités ? Communication, rigueur, pragmatisme, exemplarité et diplomatie aussi. Grigori est un facilitateur. Son job est fait de groupes de travail, d’animation de réunions et de partage de bonnes pratiques avec ses autres collègues managers Ex’op des autres usines du groupe Eurial.

Qui est Eurial, la branche lait de la coopérative Agrial ?

Connais-tu Eurial ? C’est la branche lait du groupe coopératif Agrial qui recrute partout en France. Autour de ses 4.800 salariés et 29 sites de production, pour 2,5 milliards d’euros de chiffre d’affaires (dont 38% à l’international), ses marques de lait, beurre et fromages sont réputées et régulièrement médaillés : Agrilait, Soignon, Grand Fermage, Maestrella, Pavé d’Affinois…

👏 👏 Merci à Grigori et toute l’équipe de l’entreprise pour leur accueil.
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Les salariés de Solarys témoignent de leur parcours et leur évolution au sein de l’entreprise du groupe Agromousquetaires, spécialiste de la transformation des fruits et basée près de Nîmes dans la région Occitanie.

Un challenge

Ce projet d’attractivité vidéo est parti d’un challenge interne et cette demande ainsi formulée : « Nous souhaiterions ton intervention pour une vidéo sur la mobilité interne dans notre belle société Solarys… » Puis ce cahier des charges : « Par cette vidéo nous souhaiterions mettre à l’honneur des salariés qui ont évolués chez nous par des interviews sur leurs parcours. »

L’équipe JeViensBosserChezVous a alors proposé un concept pour promouvoir ces évolutions professionnelles, mais aussi en profiter pour mettre en avant la diversité des profils de l’entreprise et de ses équipes, à tous les services : du dirigeant à l’ouvrier, de la production aux services supports. Sept salariés ont été sélectionnés et préparés lors d’un casting interne.

Le jour du tournage

Jour J : chaque salarié est venu témoigner de son parcours dans l’entreprise, en mode interview conversationnelle. Deux caméras pour deux plans variés, face à notre journaliste intervieweur qui sait mettre à l’aise le public. Les questions portaient sur la chronologie de formation, d’intégration et d’évolution de chacun, avec quelques dates clés. Et surtout ce que lui a apporté cette mobilité et évolution interne. Pour détendre la personne interviewée, un jeu a été proposé avec une pomme, le symbole de l’activité de l’entreprise. Il s’agissait de recevoir une pomme d’un collègue en début d’interview et de la lancer à un autre, comme un passage de relais, en fin de vidéo. Et comme on ne sait jamais quoi faire de ses mains face à une caméra, cette pomme a permis à tous d’occuper l’espace aussi.

Un prix RH obtenu

Le résultat est bluffant. Chaque capsule vidéo dure entre une et deux minutes. Il a été proposé à l’entreprise un film final de type « medley » de dix minutes, rassemblant l’ensemble des vidéos avec les transitions fluides des pommes. Une scène finale a même été proposée et tournée avec l’ensemble des participants pour valoriser l’esprit d’équipe. Chacun a jeté sa pomme en l’air pour un effet de groupe dynamique. Bravo à l’entreprise qui a remporté le prix des Etoiles RH du concours interne au groupement des Mousquetaires ! Le titre retenu : « Du fruit à l’arbre, cultivez votre parcours. » Merci à toute l’équipe de l’entreprise pour leur accueil.

Solarys – Agromousquetaires recrutent, postulez !

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Un travail de saisonnier dans le Pays nantais ? C’est le métier de Kenny, conducteur de ligne au conditionnement de salades chez Johann, maraîcher de l’OP Ydeal qui recrute !

Grâce à Kenny, je découvre le métier de conducteur de ligne au conditionnement de salades des maraîchers nantais. La spécialité ? La mâche et les jeunes pousses. C’est la 5e saison professionnelle qu’a décidé de vivre Kenny. Un contrat flexible, qui correspond aux attentes du jeune homme. Son rythme de travail lui offre du temps libre. « A chaque fois que je reviens, l’ambiance est super ici !« , confie-t-il enthousiaste.

Sans qualification

Sans diplôme ni formation particulière, Kenny a vite trouvé sa place au sein d’une équipe pluridisciplinaire. Il apprécie son autonomie au travail et a été formé en interne après avoir débuté comme agent de conditionnement. Curieux, il a pu évoluer en interne. Lancement de machines, contrôles réguliers, suivi de sa feuille de route : son quotidien est varié et accessible à toutes et tous !

👏 👏 Merci à Johann, Kenny et toute l’équipe de l’entreprise pour leur accueil.
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Un travail de saisonnier dans le Pays nantais ? C’est le métier d’Alexis, cueilleur de tomates chez Anne-Claire, dirigeante d’une exploitation familiale de l’OP Ydeal, qui recrute !

Alexis adore son job, au vert. « J’aime bien travailler avec les plantes. C’est mieux que d’être enfermé et on s’entend tous bien ici. L’ambiance est super« , confie Alexis. La cueille mais aussi l’effeuillage des plants : voilà ses deux missions au quotidien. Il s’occupe d’une douzaine de rangs chaque jour. Pas de pénibilité ici : tout le travail se fait à hauteur d’humain.

Ses horaires ?

Ils varient en fonction de la saison : de 8h à 16h30 en général, et l’été de 6h à 14h, à la fraîche ! Il a tous ses après-midi pour son temps libre. Son contrat de saisonnier court sur 8 mois, de février à septembre. Mais Ydeal recrute aussi en CDI, sans qualifications particulières. Avis aux amateurs !

👏 👏 Merci à Anne-Claire, Alexis et toute l’équipe de l’entreprise pour leur accueil.
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« J’assure la satisfaction et la sécurité des consommateurs de nos produits« , résume Cécile, à ce poste essentiel depuis 3 ans. « Avant, j’ai fait des études de biologie et microbiologie« , explique la jeune femme.

Son quotidien

Son quotidien est ponctué de contrôles, de tests, de rapports, etc. Une partie de son travail se fait au bureau pour l’administratif et les enregistrements de documents ; une autre directement à toutes les étapes de la production où la conformité par rapport à un cahier des charges, l’hygiène et la sécurité sont primordiales. « Nous avons un haut niveau d’exigence du fait de la certification de notre atelier« , souligne Cécile qui vient en support des équipes, déjà autonomes sur les contrôles de leur production. Elle goûte aussi les bons produits maison à base de truffes : chips, huile d’olive… « C’est obligatoire ! J’adore ce que je fais, j’ai un poste très polyvalent et je ne m’ennuie jamais« , sourit-elle. Ses horaires, du lundi au vendredi : de 8h à 16h30.
Les 3 qualités pour son job ? « Organisation, précision et sens du relationnel ! »

Qui est Truffières de Rabasse ?

Depuis 1996 en Provence, l’entreprise Truffières de Rabasse se dit le « couturier de la truffe ». Sa passion se cultive autour de trois profils experts : « Christian Étienne chef étoilé avignonnais, Alain Braud amateur de truffes et un troisième homme courtier en truffes« . De la récolte aux créations gastronomiques expédiées à l’autre bout du monde, le trio perpétue un savoir-faire artisanal et revendique une société innovante « qui propose du sur-mesure à ses clients » : des professionnels pour la plupart, comme les épiceries fines et les restaurateurs, mais aussi des particuliers via la vente en ligne. Son activité est portée à 30% par l’export à l’international.

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Près d’Avignon, j’ai trouvé où Ducros se décarcasse pour nous régaler et aussi pour l’emploi et son attractivité ! Ici, sous le soleil provençal, chez Mc Cormick, ils recrutent des conducteurs de ligne comme Nazha. Dans ce nouvel épisode de notre tour de France de l’agroalimentaire, la jeune femme me fait découvrir son métier dans son usine d’épices géante qui compte 150 salariés. En 2×8 ou en 3×8, les possibilités de job et de polyvalence sont nombreuses. Mc Cormick, ce sont trois sites de production à proximité, à Monteux et Carpentras.

Son métier

Ça sent bon les épices dans l’atelier où Nazha travaille. Son poste à l’étiqueteuse consiste à vérifier que tout est en ordre de bonne marche. Les contrôles qualité et changements de formats et de bobines, comme le fameux moulin à poivre maison, ponctuent sa mission. Sans oublier le réapprovisionnement des emballages, le changement des rouleaux d’étiquettes et le nettoyage bien sûr. Ici, on passe aussi l’aspirateur ! Le marquage sur les étiquettes est parfait aujourd’hui. La traçabilité se fait avec l’outil informatique moderne et sur tablette. Sa ligne est très robotisée. « La première des choses est de faire attention, d’être vigilant« , me prévient Nazha, très organisée.

Reconversion avec un BTS

Nazha bosse en équipe et n’est jamais seule, notamment en cas de besoin. Elle sait réparer les petites pannes, mais peut aussi s’appuyer sur ses collègues de la maintenance. En amont de son poste, son collègue doseur envoie les bonnes quantités d’épices et ravitaille sa ligne. Nazha avait un diplôme de BTS assistante de direction mais ce métier ne lui plaisait plus. La jeune femme dynamique a souhaité faire une reconversion, qu’elle a réussie chez Mc Cormick qui recrute des profils variés. « Je suis passée complètement à l’opposé. Les gens ont cette image d’usine, de travail rébarbatif et toujours répétitif… Mais pas du tout, ce n’est plus du tout le cas !« , s’exclame Nazha qui a été formée en interne, dans cette épicerie géante.

Avec ou sans diplôme…

Pas besoin de diplôme pour bosser chez Mc Cormick qui embauche, leader mondial de l’assaisonnement sous toutes ses formes. « Il faut avoir l’envie de travailler, le goût des machines… Il ne faut pas avoir peur. On nous demande quand même d’être réactif. J’aime beaucoup l’esprit d’équipe et avoir des responsabilités, on est beaucoup dans l’entraide« , ajoute Nazha, épanouie dans son choix professionnel : « Le produit est super sympa ! La marque est géniale, tout le monde connaît… C’est une bonne entreprise. » On sent ici une fierté d’appartenance.

Tu es plutôt curry ou paprika ?
Découvre la préférence de Nazha…

Mc Cormick te recrute !

👏 👏 Merci et bravo à Nazha et toute l’équipe de l’entreprise pour leur accueil. Envie de devenir toi aussi conducteur de ligne de conditionnement (H/F)❓ Mc Cormick et l’agroalimentaire recrutent, avec ou sans diplôme 🙋🏻‍♂️🙋🏽‍♀️
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🇫🇷 Cette vidéo est le 97e épisode de notre websérie spéciale tour de France de l’agroalimentaire. Suivez nos aventures en immersion dans les entreprises de la filière qui recrute partout en France.

Aujourd’hui, c’est Géry et la chocolaterie ! J’ai trouvé la source du bon chocolat… chez Le Comptoir de Mathilde où je t’emmène bosser à Camaret-sur-Aigues dans le Vaucluse (84). Louis m’apprend son métier de conducteur de ligne et surtout à fabriquer la fameuse pâte à tartiner maison, « So Frenchy ». Et il faut absolument goûter pour vérifier la qualité ! Sur la ligne d’à côté, ce sont les babas au rhum qui dégagent leur bonne odeur dans l’atelier. Le Comptoir de Mathilde fabrique quasiment tous les produits vendus en boutique à son enseigne (150 au total), partout en France et même à l’étranger. L’entreprise représente 600 salariés.

Son quotidien

Louis bosse ici depuis 1 an et demi. Il gère sa ligne « de A à Z », de la fabrication au conditionnement, sans oublier le changement de formats, les contrôles qualité et le nettoyage. Il commence son service par prendre connaissance de l’ordre de fabrication (OF) reprenant toutes les quantités de matières premières et le process nécessaires à la recette : noisette, lait, cacao. « Mon rôle est de contrôler la ligne« , explique-t-il. Avec lui, je mets la main à la pâte (à tartiner) pour la première fois de ma vie. C’est parti pour 250 kilos de pâte d’un seul coup ! Tu es plutôt pâte pétillante ou feuilletine d’ailleurs ?

Un travail d’équipe

L’équipe de Louis – 4 personnes – travaille en 2×8, soit du matin (5h30 à 13h) soit de l’après-midi (13h à 20h30). Pas de travail de nuit ici ! « Quand je suis du matin, j’ai toutes mes après-midi pour aller à la pêche à la truite« , confie-t-il, satisfait de son rythme et de ses conditions de travail. L’outil est moderne et la robotisation est partout. « Beaucoup de pièces ont été changées pour nous faciliter le travail », souligne Louis, qui cite d’autres avantages assez alléchants : une bonne convivialité, une entraide, un bon comité d’entreprise, etc.

Une « fabrique » à l’esprit familial

Au siège tout neuf de l’entreprise, on se croirait dans une boutique géante. Quelques valeurs affichées : créativité, innovation, énergie, agilité, dépassement de soi… Si tu es gourmand comme moi, viens bosser chez Mathilde ! Sais-tu d’ailleurs que c’est le prénom de la grand-mère du fondateur ? En un mois et demi, tu peux être opérationnel à la fabrique, grâce à la formation interne et décrocher rapidement un CDI. Ici, pas besoin de diplôme ou d’expérience : « Il faut être volontaire et aimer apprendre. Il n’y a rien de compliqué, c’est accessible à tout le monde. »

👏 👏 Merci et bravo à Louis et toute l’équipe de l’entreprise pour leur accueil. Envie de devenir toi aussi conducteur de ligne (H/F)❓
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🇫🇷 Cette vidéo est le 96e épisode de notre websérie spéciale tour de France de l’agroalimentaire. Suivez nos aventures en immersion dans les entreprises de la filière qui recrute partout en France.

Ex-infirmière, Amandine a réussi une reconversion dans l’industrie : « J’avais envie de changer, j’avais besoin de créativité et je me suis donc tournée vers l’agroalimentaire« , confie la jeune femme dynamique et volontaire.

Son parcours

Formée sur les machines en interne, elle a débuté comme conductrice de ligne, puis responsable depuis 6 ans. Demain, avec une formation dans le management d’équipe dispensée sur le Grand Avignon avec l’Aria Sud, elle pourrait même devenir responsable de production.

La truffe dans tous ses états

Huile d’olive, truffe fraîche, chips… La variété des produits de l’entreprise plaît à Amandine, qui n’a pas de routine. Elle gère au quotidien les différentes productions, changements de formats, contrôles qualité, emballages, etc. En équipe, Amandine assure sur toute la ligne. Avec elle, j’ai appris à « canifer » la truffe fraîche pour vérifier la qualité de ses belles nervures blanches. Et je ne vous parle pas de cette bonne odeur… J’en salive encore. Vraiment un métier sympa !

Les 3 qualités pour son job ? « Minutieux, rigoureux et polyvalent ! »

Qui est Truffières de Rabasse ?

Depuis 1996 en Provence, l’entreprise Truffières de Rabasse se dit le « couturier de la truffe ». Sa passion se cultive autour de trois profils experts : « Christian Étienne chef étoilé avignonnais, Alain Braud amateur de truffes et un troisième homme courtier en truffes« . De la récolte aux créations gastronomiques expédiées à l’autre bout du monde, le trio perpétue un savoir-faire artisanal et revendique une société innovante « qui propose du sur-mesure à ses clients » : des professionnels pour la plupart, comme les épiceries fines et les restaurateurs, mais aussi des particuliers via la vente en ligne. Son activité est portée à 30% par l’export à l’international.

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