
Vidéo de marque employeur : l’aventure entrepreneuriale JeViensBosserChezVous
Entretien avec le journaliste économique Géry Bertrande (alias Géryoutubeur), fondateur et animateur du concept JeViensBosserChezVous #JVBCV.
Entretien avec le journaliste économique Géry Bertrande (alias Géryoutubeur), fondateur et animateur du concept JeViensBosserChezVous #JVBCV. Depuis 2018, son équipe bosse l’attractivité et la marque employeur des entreprises et des organisations de toutes tailles et de tous secteurs, grâce au média vidéo, réseaux sociaux et Youtube. Zoom sur une belle aventure entrepreneuriale en équipe, partout en France et même au-delà.

Temps de lecture : 8 min
> Article publié dans le cadre d’une newsletter adressée par Hachette x Bpifrance à 30.000 enseignants de France
Journaliste de profession, Géry, tu as décidé de créer ton entreprise il y a 4 ans maintenant. Un concept inédit associé à une chaîne Youtube : Je Viens Bosser Chez Vous. Quel a été le déclic ?
A force de côtoyer des entrepreneurs et de visiter des entreprises pour valoriser leurs actualités pendant une vingtaine d’années, ce quotidien m’a donné envie de me lancer dans l’entrepreneuriat. Je voyais bien qu’il me fallait également réinventer mon métier, à l’époque très lié à la presse écrite. La vidéo représente aujourd’hui 80% du flux média web. En tant qu’homme de projets et de réseaux, il fallait passer à l’action !
D’où est née l’idée de ton concept Je Viens Bosser Chez Vous ?
Géry : J’avais envie de créer mon propre média, de partager ce que je voyais au quotidien dans les entreprises dynamiques. J’avoue que j’en avais un peu marre aussi d’entendre des dirigeants me confier qu’ils n’avaient pas d’image de leur boîte, qu’ils galéraient à recruter… Tout le monde ne s’appelle pas Airbus ! L’immersion et l’authenticité ont guidé la création du concept. Des émissions m’ont aussi inspiré. Souvenez-vous de StripTease : une caméra filme le quotidien des « vrais » gens. Sans commentaire. Il me fallait trouver ma voie et proposer une adaptation au monde professionnel. Le leitmotiv de notre équipe : faire les lignes et faire le job. Partager le quotidien de celles et ceux qui bossent pour donner envie de travailler.
Comment s’est passée la création de l’entreprise ? Quels conseils à donner ?
Géry : C’est assez paradoxal. Mûrement réfléchi, le lancement s’est fait un peu sur un coup de tête. Il fallait se lancer. Pas de conseil à donner, si ce n’est d’oser et de croire en ses rêves. Après tout, qu’a-t-on à perdre à essayer ? Pas grand chose finalement… Parler de ses projets à son entourage, personnel comme professionnel, permet de confronter ses idées, des les challenger et de tracer sa route avec des jalons importants et un réseau. Ceux qui veulent vous aider se manifesteront naturellement.
Pourquoi avoir créé une chaîne Youtube ?
Géry : Youtube s’est imposé rapidement. La plateforme reste le n°1 mondial. Mettre un peu de pro au milieu des vidéos d’humour, de santé, beauté, bien-être, voyage… ça ne fait pas de mal non ? Bon d’accord, on est encore une goutte d’eau dans cet océan, mais le public tombe forcément sur nous ici. C’est gagné !

Quel bilan 4 ans après ?
Géry : Le bilan est très positif. En moyenne, depuis 4 ans, nous produisons et diffusons un épisode chaque semaine sur nos réseaux : Youtube, mais aussi Linkedin, Facebook, Twitter, Instagram et notre site web. Je vous laisse compter le nombre de jobs ainsi testés et mis en lumière. Ils sont souvent méconnus. Qui connaît le métier de pointeur, celui de formaliste, de tourier… ? Sans compter nos formats spéciaux, moins visibles, créés et personnalisés aux couleurs et à l’image de nos clients. Ils sont nombreux, de toutes tailles, de tous horizons et secteurs. Notre format s’adapte à tous. J’en profite d’ailleurs pour les remercie de leur fidélité. Je vais vous faire une confidence : nous ne les démarchons pas. C’est notre production qui fait notre prospection. Autant vous dire que nous sommes visibles et surtout nos clients à travers nous. Quel plaisir et quel confort de travailler avec et pour des personnes qui ont envie de bosser avec vous ! Ensemble, nous tissons des liens forts.
Quels retours ont-ils de leur côté ?
Géry : Là aussi, les retours sont bénéfiques, notamment en terme de marque employeur. Nous n’avons pas de baguette magique : nous n’allons pas recruter à leur place. Aux DRH, nous disons : « Arrêtez de chercher à recruter ! Bossez plutôt votre attractivité. » Et ça marche ! Des « candidats improbables » ou qui s’ignorent, comme je les appelle, marquent un intérêt parce qu’ils ont vu leurs futurs collègues, environnement de travail… Après, c’est leur job de les recruter et les fidéliser. Nos clients bénéficient de plusieurs caisses de résonance : d’abord la leur, mais aussi celle de leurs salariés (plus enclins à partager une vidéo dans laquelle ils sont acteurs), la nôtre à travers nos communautés et celle de nos partenaires.
Quelles sont vos perspectives à présent ?
Géry : Aujourd’hui, le concept s’élargit. Techniquement d’abord : vidéos originales, mais aussi podcasts, photos, événements d’entreprises, drone extérieur comme intérieur… Et puis l’équipe s’est agrandie. Dès l’origine, j’avais à coeur d’incarner dans ma propre entreprise la diversité de la Société dans laquelle nous vivons. Cela passe par un alter ego féminin, devant la caméra : Laetitia, basée à Lille, fait désormais rayonner la marinière JVBCV. D’autres nous rejoindront, dans d’autres régions, pourquoi pas à l’international… Notre duo a d’ailleurs entamé un tour de France de l’agroalimentaire, sous forme de websérie. Nous formons aussi des « salariés ambassadeurs » de leur entreprise, de futurs Youtubeurs internes au cœur même des organisations pour les valoriser. Et puis, derrière les caméras, œuvre une équipe de professionnels engagés : des femmes et des hommes de l’ombre, au talent immense. Ce sont des emplois que nous portons avec fierté. Au total, JVBCV représente aujourd’hui une dizaine de personnes.



Créer son studio vidéo en entreprise avec JeViensBosserChezVous ?
Vu la situation sanitaire, les déplacements professionnels se font plus rares, tout comme les salons, forums, prospections commerciales… Vive le distanciel !
Vu la situation sanitaire, les déplacements professionnels se font plus rares, tout comme les salons, forums, prospections commerciales… Vive le distanciel ! Encore faut-il savoir le gérer. Des entreprises créent leur propre studio vidéo interne. Il faut ensuite se former à la prise de parole en public et gérer l’interview face caméra en live. Exemple de mission réussie chez l’équipementier automobile Cooper Standard…

Nouveau duo avec ma complice Aline Jalliet chez CooperStandard à Vitré, en Bretagne où il dispose de son centre R&D… L’équipementier automobile américain a créé son propre studio vidéo pour apporter à ses équipes françaises des solutions de communication innovantes à distance. C’est parti pour le live maîtrisé à distance avec présentations et interview vidéo !
Moins de déplacements pros, plus de vidéo à distance !
Le contexte ? Vu la situation sanitaire, les déplacements professionnels se font plus rares, tout comme les salons, forums, prospections commerciales… Vive le distanciel ! Encore faut-il savoir le gérer.
Créer son studio vidéo en 3 étapes
Notre mission en 3 temps pour gérer des sessions live en distanciel avec ses clients :
1. S’équiper en studio live mobile
Il faut d’abord s’équiper en caméras, micros cravates, régie mobile autonome… Des prestataires comme notre partenaire Veo-Labs ont la compétence pour aider les entreprises à créer leur studio vidéo de manière très simple.
2. Former ses équipes
Le matériel c’est bien, mais ça ne fait pas tout ! Devant une caméra, en conditions « live » en direct, il faut savoir s’exprimer avec clarté et concision. D’où la nécessité de se former à la prise de parole en public pour être à l’aise face à la caméra. C’est la partie d’Aline Jalliet, notre partenaire, formatrice coach de la voix.
3. Écrire un scénario pertinent
Après la formen place au fond ! Il faut creer un contenu pertinent pour le live vidéo. L’écriture de scénario avec des professionnels, comme des journalistes, est indispensable. Les entreprises peuvent aussi créer des capsules vidéo qui vont venir ponctuer une session live vidéo à distance, de type visioconférence. Ce seront des respirations pour les personnes qiui animeront le live devant la caméra.
🎬 Prêts à passer à l’action ? Ça tourne ! Bravo et merci à la team Cooper Standard, pour sa confiance. L’équipe bretonne de cet industriel a relevé le défi en s’équipant d’un studio vidéo autonome. Une première session live en visioconférence a été réussie, avec un client important à distance réunissant une vingtaine de personnes.
✅ Un renseignement complémentaire ?
Contactez-nous, c’est par ici ⤵️
https://www.jeviensbosserchezvous.com
https://www.alinejalliet.com
https://www.veo-labs.com


Industrie agroalimentaire : un tour de France vidéo
Le média « Je-viens-bosser-chez-vous » lance un tour de France de l’industrie agroalimentaire en websérie vidéo. Objectif : valoriser les métiers de la filière agroalimentaire dynamique, qui recrute sur tout le territoire national.
Tous les épisodes de la websérieLe média « Je-viens-bosser-chez-vous » lance un tour de France de l’industrie agroalimentaire en websérie vidéo. Objectif : valoriser les métiers de la filière agroalimentaire dynamique, qui recrute sur tout le territoire national. Les entreprises de toutes tailles, mais aussi les emplois et produits emblématiques qu’elles représentent seront valorisés à travers une web série. Clap de début : 2e semestre 2021.

> Temps de lecture : 5 min
Industrie vieillotte, usines poisseuses, main-d’œuvre peu qualifiée, sans débouchés ni carrières… Les clichés sur le secteur « agro », souvent associé et restreint (à tort) à la seule agriculture, ne manquent pas. En France, la filière agroalimentaire représente le premier secteur industriel, tant en termes d’emplois que de chiffre d’affaires. Ce premier employeur français porte 461.544 salariés (ETP), répartis dans 15.040 entreprises (au 31 décembre 2017 – hors artisanat commercial et commerce de gros). C’est aussi une filière en plein essor. En 2017 leur chiffre d’affaires global s’élevait à 213 milliards d’euros, en croissance de plus de 4 milliards d’euros par rapport à 2016 (+2,5%).
Agroalimentaire : 98% de TPE-PME
Derrière les enseignes les plus connues comme Bigard, Bonduelle, Cocorette, Lactalis, Terreos… on trouve une mutlitude de petites sociétés, souvent familiales. 98% des entreprises du secteur sont en effet des TPE-PME. Et gros avantage pour qui cherche un job : il peut le trouver quasiment à sa porte tant les entreprises produisent partout. Dans ce paysage, quelques grandes régions agroalimentaires comptent : Bretagne, Hauts de France, Normandie, Paca… C’est d’ailleurs à Rennes qu’a lieu le CFIA (du 9 au 11 juin en 2021), le Carrefour des fournisseurs de l’industrie agroalimentaire, véritable salon des innovations. Ces sous-traitants représentent aussi des milliers emplois indirects.
Le public applaudit volontiers celles et ceux qui le soignent et c’est bien normal. En revanche, pas d’applaudissement pour tous ces talents qui nous nourrissent au quotidien et qui ont répondu présent aux avant-postes, tout au long de la crise Covid. Cette crise sanitaire a d’ailleurs été un révélateur de plus sur le rôle important de ces acteurs « essentiels » qui remplissent nos assiettes. L’occasion de les mettre en lumière.
Entreprises agroalimentaires : elles recrutent partout
Sur tout le territoire, ces entreprises cherchent des talents, avec plus ou moins de difficultés et de notoriété. En Normandie, dans l’Orne (61), Lactalis va ainsi embaucher 115 personnes dans les deux ans qui viennent, grâce à un projet d’extension de son unité de production qui emploie déjà 380 personnes. Là où est produit le fameux Camembert Président !
Un peu plus au nord, en Picardie, Bigard employait 280 personnes il y a 4 ans à Flixecourt. Son site de 3e transformation de viande (steaks hachés, brochettes et paupiettes) compte aujourd’hui 385 emplois – ils étaient 80 à la création en 2004. Bigard recrute encore, notamment des opérateurs de ligne de fabrication et de conditionnement. Ici, pas d’intérim : que du CDD et rapidement du CDI ! Sans parler de la maintenance qui cherche des bras aussi. Et en la matière, plus la peine de jouer les gros bras : les tâches se sont mécanisées et allégées. Dans certaines usines, les exo-squelettes font même leur apparition. Le bien-être des salariés est au cour de l’atelier avec échauffements à la prise de poste, formations… Au sud, à Marseille, le spécialiste des fruits secs ColorFoods vient de passer en 2×8. Il emploie déjà 80 salariés mais recrute sans cesse pour monter à 120 personnes en saison.
Cap au sud aussi pour Lou, le producteur breton de champignons ouvre quant à lui sa 2e champignonnière en Mayenne à Landivy (53), après une première près du Mont Saint-Michel à Poilley (35). Et une 3e est même prévue en Auvergne-Rhône-Alpes. Chaque site compte 150 à 200 emplois. « Seulement trois champignons sur 10 consommés en France sont produits ici. Notre objectif est de recréer une filière française du champignon », ambitionne Emmanuelle Roze, dirigeante qui a lancé l’affaire avec son mari Fabrice Chapuzet et son frère Benoît Roze.


Tour de France agroalimentaire : un tour de force ?
Un tour de France de l’agroalimentaire : un tour de force ? L’idée est née dans les Hauts de France de la rencontre entre les équipes d’Agro-Sphères, l’Association régionale des industries agroalimentaires (Aria), et de Jeviensbosserchezvous, média national spécialisé dans l’attractivité des entreprises et des territoires par l’immersion de ses journalistes au travail, en immersion. « Notre projet très soutenu en région a fait boule de neige sur de nombreux autres territoires », se félicite Fanny Desrousseaux, chargée de mission chez Agro-Sphères, qui veut jouer en collectif pour un impact démultiplié. Les tournages et chaque vidéo d’entreprise originale vont en effet s’enchaîner dès le mois de juin et les diffusions dès l’automne. Une trentaine d’épisodes vidéos sont prévus, pour le moment. Les premiers tournages ont eu lieu en Picardie, chez Bigard et Cocorette, le 9 juin. Les salariés ambassadeurs passent en mode interview vidéo, pour faire découvrir au public leur quotidien, en immersion dans leur job.
Usine agroalimentaire en mode routard authentique
L’équipe de Jeviensbosserchezvous plantera sa tente et posera ses micros et caméras dans les entreprises agroalimentaires en mode routard et découverte, pour partager un job avec un des salariés qui acceptera de jouer le jeu. « Nous partirons toujours du produit agroalimentaire pour s’intéresser à celles et ceux qui le fabriquent directement ou indirectement dans la chaîne de valeur de l’entreprise accueillante », souligne Fanny Desrousseaux. Spontanéité et authenticité sont le leitmotiv de Jeviensbosserchezvous. Un format vidéo inédit qui séduit notamment les entreprises industrielles et agroalimentaires, puisque la chaîne Youtube compte plus d’une centaine de vidéos en 3 ans d’existence. Certaines dépassent les 100.000 vues ! Le challenge est lancé.
Autant d’occasions de valoriser tel ou tel métier, tel ou tel savoir-faire, en production comme en maitenance ou même en support administratif, marketing, commercial, export… Et si le même métier sera parfois filmé pour deux épisodes distincts, c’est l’humain et le parcours de la personne filmée, forcément singuliers, qui priment ! Chaque entreprise a également son propre ADN, son ambiance…

Terroirs et territoires
Organiser un tour de France de l’agroalimentaire, c’est parcourir des terroirs riches de saveurs et de sens, à la rencontre d’hommes et de femmes passionnés, mais aussi de savoir-faire parfois séculaires et souvent à la pointe de l’innovation, pour en révéler l’existence. « Beaucoup de gens ne connaissent pas notre univers et nos métiers, ou en ont une fausse image », témoigne cette chargée de ressources humaines. Elle et ses confrères se battent tous les jours pour faire bouger les lignes. Cette websérie va permettre d’amplifier l’image d’un secteur porteur et conjuguer Agro – Aliment – Terre, élémentaire !
>À LIRE, À VOIR AUSSI…
https://agriculture.gouv.fr/le-panorama-des-industries-agroalimentaires
https://www.ania.net/presentation-ania/nos-chiffres-cles
Géry, Youtubeur d’entreprise et entrepreneur, toujours en marinière. En mode On ou Off, dynamiseur d’attractivité industrielle et réalisateur d’attractivité.
👉 Je viens bosser chez vous a une chaîne Youtube et un tout nouveau site internet avec plein de choses dessus, et pas que des vidéos. A lire aussi, notre article : « A qui tendre le micro ? »

Quel est le job d’un franchisé dans le commerce : chez Carrefour ?
Le quotidien d’un franchisé en commerce de proximité est très varié. Dans ce nouveau podcast, Nicolas nous partage la vie dans son magasin Carrefour, qui recrute ce type d’entrepreneur à Paris et en province.
4e épisode de notre série « Au Carrefour de la proximité » qui donne la parole aux actrices et aux acteurs de la franchise chez Carrefour.
Gestion et management
Aujourd’hui, découvrons ensemble du quotidien de franchisé en compagnie de Nicolas, locataire-gérant d’un Carrefour Express rue Legendre à Paris. En quoi consistent le job de franchisé et ses missions au jour le jour ? Combien investir ? Comment s’organise-t-il et manage-t-il son magasin ? Comment gère-t-il son équilibre vie pro / vie perso ?
Un profil d’entrepreneur
Nicolas nous présente son parcours et répond à toutes les questions que vous vous posez. On parle ici du rôle du franchisé au quotidien comme un chef d’entreprise et entrepreneur, mais aussi de gestion, de management, de proximité… Un contrat gagnant-gagnant !
Proximité et distribution
Cette série de 5 épisodes pratiques permet de tout savoir sur la franchise en donnant la parole aux actrices et aux acteurs franchisés chez Carrefour, dans le commerce de proximité et la distribution. Ensemble, découvrons le process de recrutement du franchisé, mais aussi son parcours de formation et d’intégration et sa vie au quotidien. Sans oublier 10 idées reçues à casser, en toute franchise !
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Au Carrefour de la franchise : l’accompagnement
Nouvel épisode de notre série spécial franchise « Au Carrefour de la proximité »… Après le recrutement et la formation du franchisé, nous parlons aujourd’hui de son accompagnement ! Comment se passe-t-il au quotidien ? Qui entoure le franchisé ?
Nouvel épisode de notre série spécial franchise « Au Carrefour de la proximité »… Après le recrutement et la formation du franchisé, nous parlons aujourd’hui de son accompagnement ! Comment se passe-t-il au quotidien ? Qui entoure le franchisé ? Dans ce podcast, Stéphanie et Nicolas répondent à toutes nos questions…
Dans ce 3e épisode de notre série « Au Carrefour de la proximité » qui donne la parole aux actrices et aux acteurs de la franchise chez Carrefour, nous découvrons ensemble l’accompagnement des futurs franchisés en compagnie de Stéphanie, conseillère de franchise Carrefour, et Nicolas, locataire-gérant d’un Carrefour Express rue Legendre à Paris.
Le rôle du conseiller de franchise
En quoi consiste cet accompagnement ? Combien de temps dure le suivi ? Quel est le rôle du conseiller de franchise ? Stéphanie et Nicolas répondent à toutes les questions que vous vous posez. On parle ici du quotidien du franchisé, de proximité et de management, de partage d’informations au cours des « visites » du conseiller, mais aussi des outils et soutiens qu’il reçoit… Tout au long de son parcours, le franchisé peut s’appuyer sur une structure et des équipes professionnelles, tant au niveau économique que juridique.
Bonne écoute chez vous !
Merci au groupe Carrefour pour cette immersion dans le quotidien de la franchise.
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Comment faire vivre à distance les temps forts de son entreprise ?
Se recevoir les uns les autres à distance, par visio interposée, personne n’y était préparé. On a tous rebondi pour que la vie continue. C’est la même chose en entreprise. Le télétravail s’est organisé au pied levé partout où c’était possible.
Se recevoir les uns les autres à distance, par visio interposée, personne n’y était préparé. On a tous rebondi pour que la vie continue. C’est la même chose en entreprise. Le télétravail s’est organisé au pied levé partout où c’était possible. Mais qu’en était-il des moments en marge du cœur du travail : inaugurations, lancements, visites d’entreprise… ?

> Temps de lecture : 4 min
Inauguration, lancement de produits, visite d’entreprise… Comment organiser autrement ces temps forts que l’on aime vivre les yeux dans les yeux ? Passé la frustration du « c’était bien mieux avant », c’est l’heure du « et si l’on pouvait maintenant organiser notre événement et convier plus de monde ».
Lancement de produits
Présenter un nouveau produit, c’est comme l’annonce d’un premier né dans la famille. On est tellement fier que l’on souhaite le montrer à tout le monde. Il y a toujours eu des absents à la fête qui étaient pris ailleurs et l’on ne s’en offusquait pas. Aujourd’hui, on se demande comment faire pour qu’un plus grand nombre soit de la partie qu’importe leur localisation. Penser à ceux qui sont loin devient un réflexe.
Nos idées pour un lancement de produits (en partie) à distance :
- Multiplier les types de vidéo lors du lancement de vidéo présentiel : séquence d’ambiance avec les invités sur place, mais aussi des vidéos de présentation du produit. Elles sont proposées en visionnage à l’heure dite du lancement et pourront être réutilisées sur les réseaux sociaux.
Lorsque c’est possible, envoyer un échantillon du produit par La Poste et fixer l’heure à laquelle chacun ouvre le paquet au même moment. Une séquence en visioconférence, avec un kaléidoscope de visages peut être filmée et utilisée pour la communication interne comme externe.
Inauguration de locaux et visites d’entreprise
Un nouveau bâtiment ou de nouvelles machines, l’envie est tout aussi grande de partager le moment avec un grand nombre d’invités. L’idée de l’inauguration, c’est d’emmener les personnes se promener dans ce nouvel univers. Pour recréer le principe d’une « balade » à distance, tout repose sur le mouvement. Vidéos « vues du ciel », visite virtuelle en avançant par clic de souris, mais aussi chasse au trésor. Ces différents formats permettent de faire vivre l’événement en direct ou de choisir le moment de la découverte.
Nos idées pour une inauguration de locaux à la carte :
- Enregistrer en vidéo avec une partie du contenu en amont (visite des locaux, présentation de l’équipe, des process et des nouveautés).
- Réserver le « live » pour la partie plus officielle : mot de bienvenue, discours…
- Proposer une visite des locaux avec des vidéos tournées à l’aide d’un drone.
- Créer une visite en réalité virtuelle.
- Mettre en place un jeu de pistes avec des énigmes à résoudre pour progresser dans le parcours.
- Envoyer un kit festif aux participants pour qu’ils soient acteurs de la cérémonie, en communion avec tous les invités.
Accueil et rencontre de futurs apprentis
Les outils de visite de type drone ou réalité virtuelle sont tout autant utiles pour offrir des visites d’entreprises aux étudiants en recherche d’une alternance. Ajoutez à cette plongée visuelle dans l’entreprise des temps d’échange approfondis pour créer le lien. En trouvant une alternative à un échange en face à face de visu, celles et ceux qui ne peuvent se déplacer le jour dit peuvent y participer.
Nos idées pour des rencontres entre entreprise et étudiants :
- En visioconférence : organiser un temps de Questions/Réponses par petits groupes avec des membres d’équipes différentes de l’entreprise.
- Créer des binômes collaborateur/étudiant pour une présentation personnalisée des métiers.
- Présenter les modalités opérationnelles de stage/alternance de travail à distance pour ceux qui comprennent du télétravail.
- Faire témoigner celles et ceux qui vivent ce parcours dans votre entreprise : les tuteurs salariés et les étudiants déjà présents.
Ce n’est pas toujours dans les vieux pots que l’on réalise les meilleures soupes. Il faut savoir changer de recette pour enclencher une reconquête. On peut le regretter et y aller à reculons au départ… mais c’est au final la réinvention des formats qui crée un nouvel engouement. Plutôt que de mettre les projets en stand by en attendant des jours plus cléments, osons tout. Chacun avec son budget. C’est la créativité et l’originalité plus que les moyens investis qui comptent. On n’a rien à perdre, mais tout à gagner avec des retombées auxquelles on n’aurait pas pensé.
Racontez-nous vos meilleurs événements à distance. Partagez vos bonnes idées !
Géry, Youtubeur d’entreprise, toujours en marinière, en mode On ou Off.
👉 Je viens bosser chez vous a une chaîne Youtube et un tout nouveau site internet avec plein de choses dessus, et pas que des vidéos. A lire aussi, notre article : « A qui tendre le micro ? »

Au Carrefour de la franchise : la formation
Notre série spécial franchise « Au Carrefour de la proximité » se poursuit avec ce nouvel épisode. Après le recrutement du franchisé, place à sa formation ! Comment se déroule-t-elle ? Dans ce podcast, tout le cursus décrypté pour vous…
Notre série spécial franchise « Au Carrefour de la proximité » se poursuit avec ce nouvel épisode. Après le recrutement du franchisé, place à sa formation ! Comment se déroule-t-elle ? Dans ce podcast, tout le cursus décrypté pour vous…
Dans ce 2e épisode de notre série « Au Carrefour de la proximité », intéressons-nous à la formation des franchisés en compagnie de Brahim TAKALI, responsable d’un magasin école Carrefour City – il en existe 6 en France -, et Nicolas LECREVISSE, locataire-gérant d’un Carrefour Express rue Legendre à Paris.
Un esprit d’entrepreneur
En quoi consiste cette formation, de la théorie à la pratique ? Combien de temps ? Est-ce rémunéré ? Brahim et Nicolas répondent à toutes les questions que vous vous posez. On parle ici d’immersion, d’entraide, d’entrepreneuriat…
Bonne écoute chez vous !
Merci au groupe Carrefour pour cette immersion dans le quotidien de la franchise.
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Le « work walk » ou l’art de bosser,
recruter… en marchant !
On connaît tous le pas de danse appelé le moon walk, nommé aussi backside ou « rétroglissade » pour la France. Je suis sûr que certains savent le danser ici (allez, postez votre vidéo).
On connaît tous le pas de danse appelé le moon walk, nommé aussi backside ou « rétroglissade » pour la France. Je suis sûr que certains savent le danser ici (allez, postez votre vidéo). Plus sérieusement, connaissez-vous le work walk ? On parle aussi de talk and walk mais on préfère le mot work walk.

> Temps de lecture : environ 400-500 pas
Qu’est-ce que le work walk ? C’est un mouvement qui consiste à travailler en marchant ou à marcher en travaillant. Les deux fonctionnent. Il n’y a rien d’officiel dans cette méthode de travail, mais on le constate de plus en plus : dans la période actuelle, de nombreux workers, pardon, de nombreux professionnels aiment à travailler à l’air libre.
Sortir du bocal pour les esprits créatifs
Attention, il ne s’agit pas de sortir marcher dehors pour prolonger son bureau, ce qui serait rester connecté aux objets électroniques de notre quotidien. Ni bien sûr de rester « dans » son bureau et d’y installer un tapis de marche à coups de pression : 10 000 pas par jour, tu feras ! Certaines sociétés ont fait leur business de ces walking desks d’intérieur. Ce n’est pas ce dont on parle aujourd’hui.
Le work walk une pratique à part entière, une déconnexion de son espace de bureau. L’expression « sortir de son bocal » prend ici tout son sens. On ne fait pas les mêmes choses assis (ou debout) à son bureau, « enfermé », qu’en extérieur.
Dehors, on contemple la nature, ou la ville, et les idées créatives fusent souvent. L’esprit ailleurs, l’Homme – comprendre l’homme et la femme – est beaucoup plus inventif.
Certains esprits créatifs – le mien par exemple – ont leurs meilleures idées la nuit, au calme. Alors à l’extérieur, en pleine lumière naturelle, la créativité s’exprime d’autant plus. C’est bon pour la santé. Et pour le travail, et réciproquement.
Un entretien de recrutement pas-à-pas
Parlez-en autour de vous et vous verrez : beaucoup pratiquent ce work walk, notamment des entrepreneurs. On en connaît même qui en ont fait un outil de recrutement : l’entretien d’embauche en marchant. Très pratique actuellement.
Au lieu d’un face-à-face, c’est un côte-à-côte plus convivial et plus détendu, dans un environnement extérieur propice. La nature regorge d’endroits qui se prêtent à ce jeu. Ma recommandation est d’ailleurs de choisir un bout de forêt, une berge, un parc, ou un bord de fleuve. Et faire ainsi un pas de côté, comme on l’aime, hors cadre formel.
C’est l’occasion de remarquer si l’on regarde bien la même direction, pour construire peut-être ensemble une même ligne d’horizon professionnelle commune. La parole se fait plus libre. Les échanges et les réactions sont littéralement différents que ceux qui se déroulent dans un open space. La conversation est plus naturelle, moins codée. L’humain est fait pour marcher. Alors la rencontre humaine d’autant plus.
Simple comme un coup de fil dehors
On en connaît d’autres (ils se reconnaîtront aussi) qui réservent ce temps de plein air à leur liste de coups de fil à passer. Attention cependant au vent qui pourrait être désagréable pour l’interlocuteur à l’autre bout du fil. Croyez-en mon expérience ! Par temps calme, la tête libre, il est plus facile de se concentrer sur ces conversations hors cadre – hors champ mais à travers les champs. En revanche, ne prévoyez pas d’écrire quelque chose lors de ces marches, c’est plutôt scabreux.
À vous de jouer !
Alors, en ville ou à la campagne, en solo ou en duo, sous le soleil ou même sous un parapluie, racontez-nous votre plus belle balade professionnelle. Quelles idées géniales sont nées lors d’une virée à l’air frais ? Quels nouveaux projets ont jailli à l’issue d’une marche à pied en mode équipe réduite ? Quelle perle avez-vous recruté après un entretien d’un autre type ?
Dites-nous tout. Mieux encore, envoyez-nous votre selfie de work walk (ou de moon walk), ou les deux 😉
* Cet article fonctionne aussi en mode footing 🏃♀️🏃🏼♂️🚶🏻♂️
À LIRE (en marchant ou non)…
« Pourquoi Michel Cymes vous encourage à travailler en marchant » – Article de Quentin Marchal pour RTL :
« Pourquoi et comment je me suis mis à travailler en marchant » – Article de FitOffice :
https://www.fitoffice.ch/pourquoi-je-me-suis-mis-a-travailler-en-marchant/
« Travailler en marchant, une idée pas si folle » – Article de Fabrice Mazoir pour HelloWork Place (Regionsjob) :
https://www.helloworkplace.fr/travailler-en-marchant/
« Les pensées viennent en marchant » – Article de Sébastien Bohler pour La Science :
https://www.pourlascience.fr/sd/neurosciences/les-pensees-viennent-en-marchant-10504.php

Au Carrefour de la franchise : le recrutement
Premier épisode de notre série « Au Carrefour de la proximité » qui donne la parole aux actrices et aux acteurs franchisés chez Carrefour. Dans ce podcast, le process de recrutement…
Premier épisode de notre série « Au Carrefour de la proximité » qui donne la parole aux actrices et aux acteurs franchisés chez Carrefour. Dans ce podcast, le process de recrutement…
Aujourd’hui, découvrons ensemble le process de recrutement et les profils recherchés en compagnie de Virginie Lubais, responsable recrutement franchise, et Nicolas Lecrevisse, locataire-gérant d’un Carrefour Express rue Legendre à Paris.
Process et profils
En quoi consiste ce recrutement ? Quels profils recherchés ? Virginie et Nicolas répondent à toutes les questions que vous vous posez. On parle ici de compétences, d’écoute, de partage, d’entrepreneuriat…
✔️ Et si vous aussi, vous deveniez franchisés chez Carrefour❓
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En immersion au cœur d’un Technicentre SNCF
Le saviez-vous ? C’est au Technicentre SNCF de Rennes qu’est assurée la maintenance des systèmes de freinage des trains de France entière.
Le saviez-vous ? C’est au Technicentre SNCF de Rennes qu’est assurée la maintenance des systèmes de freinage des trains de France entière. Bienvenue au cœur d’un centre d’excellence ferroviaire de plus de 300 emplois où le numérique est au service de la maintenance.
Bienvenue au Technicentre industriel SNCF de Rennes – Saint-Jacques ! Ce centre d’excellence ferroviaire, spécialisé dans les systèmes de freinage, assure chaque année la maintenance de 120.000 pièces en provenance de toute la France et comprend 2.900 références.
Réparation des panneaux de frein
Suivons dans cette vidéo inédite le parcours de réparation d’un panneau de frein, la commande de freinage d’un train… Une pièce technique aussi essentielle que sensible ! Dans cet atelier moderne, pôle technique de référence au plan national, le numérique est partout au service de la maintenance. Traçabilité, flux optimisés, qualité, précision, performance opérationnelle : autant de valeurs clés véhiculées au cœur de ce site de plus de 300 emplois.
Engagement, efficacité et ouverture
Objectif : la sécurité ferroviaire, des passagers, des marchandises, du matériel et des infrastructures. Engagement, efficacité, ouverture sont les maîtres-mots de cette usine du futur. Quand on parle d’usine 4.0, en voici un bel exemple !
Merci aux équipes de la SNCF pour leur accueil, le partage de leur quotidien et bravo pour leurs savoir-faire.
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