

La filière armement booste ses
investissements et recrutements
Le contexte international actuel dynamise le secteur de la Défense. Les entreprises françaises de la filière armement tirent des plans de recrutements massifs. Tour d’horizon des enseignes porteuses…
Les tensions internationales et l’augmentation des dépenses militaires (57 milliards d’euros en 2024 et jusqu’à 69 milliards d’ici à 2030 en France) dynamisent la filière de la Défense. L’Hexagone est en première ligne pour booster ses entreprises notamment de l’armement, qui se structurent et recrutent massivement. Tour d’horizon des emplois à pourvoir tous azimuts dans ce secteur…
Commandes fermes
Dans la région Grand Est, les ateliers tournent à plein régime. Chez Aresia, le seul fabricant de réservoirs pour l’avion de chasse Rafale (10,3M€ de CA pour 65 salariés), à Witry-lès-Reims (51), les capacités de production vont plus que doubler cette année, passant de 6 à 15 unités par mois cette année.
Même son de cloche chez KNDS France (ex-Nexter) à Roanne, qui bénéficie d’une commande record de plus d’un milliard d’euros de la Direction générale de l’armement (DGA). Objectif : fournir à l’Armée de terre 530 véhicules blindés Serval Appui Scorpion, de fin 2025 à 2031. Sa filiale NBC-Sys (80 salariés, 25 M€ de CA), à Saint-Chamond dans la Loire, va quant à elle produire les futurs masques à gaz du fantassin de demain. Sur place, plusieurs millions d’euros d’investissements sont prévus. Une nouvelle ligne est lancée pour des cartouches filtrantes NBC (risque nucléaire, bactériologique et chimique).
A Clermont-Ferrand, c’est l’Atelier Industriel de l’Aéronautique (AIA), spécialiste de l’entretien, la réparation et l’amélioration des aéronefs militaires français dont le géant A400M et le Rafale, qui va recruter à tours de bras : une centaine de personnes cette année. Son effectif est déjà de 1.350 salariés. Trois nouveaux hangars doivent être construits sur place.
Les nouveaux camions-citernes de l’Armée (les CCNG) seront, quant à eux, produits dans l’Ain, le Calvados et la Haute-Vienne chez Arquus, le leader européen des blindés (550 M€ de CA). A la clé : une commande ferme de 120 millions d’euros. A réaliser en partenariat avec Renault Trucks (camions), Magyar (citernes) et Desautel (protection incendie).
Repositionnements en vue
D’autres entreprises se repositionnent. Les fabricants de drones civils sont, eux aussi, en première ligne pour fournir les forces armées. Repris à l’été 2024 par le fonds de retournement Greybull, les sites du fabricant d’aciers spéciaux Ascometal (759 salariés) opèrent depuis une diversification vers les marchés de l’armement à coups de 90 millions d’euros d’investissements programmés.
Dans l’Ouest, les ateliers automobiles de la Fonderie de Bretagne (ex-Renault) à Caudan dans le Morbihan, qui étaient en redressement judiciaire, viennent d’être repris par le groupe landais Europlasma dont l’objectif est désormais de fabriquer des obus avec cette main-d’œuvre locale : 250.000 obus dès la première année ! Le tribunal de commerce de Rennes a validé vendredi 25 avril ce projet de reprise qui prévoit de sauver 266 des 285 emplois avec 15 millions d’euros d’investissements sur trois ans, dont 7 millions d’aides de l’Etat et des collectivités locales. L’équipementier automobile Amis (50,2 M€ de CA 2023), à Montluçon dans l’Allier, connaîtra-t-il le même sort ? Actuellement en période d’observation, il attend son tour. L’armurier Verney-Carron, filiale de Cybergun, attend aussi sa nouvelle heure de gloire du côté de Saint-Etienne…
D’autres s’interrogent encore. C’est le cas du fabricant de chalumeaux à gaz Le Lorrain – Hampiaux depuis 1946, près de Nancy (10 M€ de CA et 42 salariés). Sa dirigeante Alexandrine Charonnat se prépare à pouvoir répondre aux demandes du marché de la défense avec son savoir-faire de chaudronnerie.
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Source : Le Journal des Entreprises (à lire ici 👈)


Top 10 des entreprises qui recrutent
en France : 2.000 emplois en jeu
Quelles sont les entreprises qui recrutent en France actuellement ? Voici un top 10 des PME-PMI et ETI qui cumulent près de 2.000 offres d’emplois à pourvoir sur tout le territoire.
De Marseille à Jeumont, de l’est à l’ouest en passant par Toulouse, Bordeaux… Ces entreprises recrutent tous azimuts en France. Voici un Top10 des PME-PMI qui cumulent près de 2.000 emplois à pourvoir immédiatement en régions. Peut-être ton futur métier ?
KB2M : 230 emplois à Bordeaux
A Bordeaux, l’opérateur du réseau de transports urbains Keolis Bordeaux Métropole Mobilités (KB2M), qui compte 2.800 salariés (CA : 304 M€), offre 230 postes en 2025. Sont les bienvenus des conducteurs de bus et de tramway (200) mais aussi des profils pour les fonctions supports : contrôle de gestion, marketing, numérique, etc.
70 postes chez Jeumont Electric au Nord
Filiale des groupes Framatome (69 %) et Naval Group (31 %), Jeumont Electric bosse pour les secteurs industriels porteurs, naval et nucléaire. Basé à Jeumont près de Maubeuge dans le Nord, cet équipementier majeur de production et conversion d’électricité lance un job dating pour un plan de recrutement de 70 personnes en CDI. De la main-d’œuvre nécessaire à fabriquer les alternateurs et moteurs électriques maison. Ils sont déjà 650 à travailler chez Jeumont Electric, répartis sur quatre sites industriels.
Chez Septeo à Montpellier, 350 emplois en vue
Basé à Montpellier en région Occitanie, l’éditeur de logiciels des professionnels du droit, du chiffre et de l’immobilier, Septeo (3.100 salariés, 420 M€ de CA) ouvre 350 postes. L’entreprise en pleine croissance (+20%), grâce notamment à huit acquisitions en 2024, recherche des profils experts en cybersécurité, data science et intelligence artificielle (IA). Son ambition 2030 : un milliard d’euros de revenus !
A Marignane +500 chez Airbus Helicopters
600 millions d’euros, c’est le montant d’investissements annoncés par Airbus Helicopters (13.00 salariés) à Marignane, dans la banlieue marseillaise où 500 nouveaux emplois sont en jeu. Un vaste plan pour moderniser ce site industriel vieux de 80 ans et dédié à la fois aux secteurs militaire et au civil : 200 à 250 appareils fabriqués par an, grâce à plus de 200 métiers représentés. Le carnet de commandes est au plus haut et représente même trois années de production ! Ce plan s’inscrit dans une enveloppe globale d’un milliard d’euros pour la filière hélicoptères dans le sud de la France avec 6.000 personnes à recruter d’ici à 2031. Airbus Marignane embauche et devient, lui, un « centre d’expertise » du groupe pour tous les rotors et transmissions.
350 postes chez Cash Piscine Bordeaux
A Mérignac, aux portes de Bordeaux, le réseau de distribution de produits de piscine et spa Cash Piscine (1.000 salariés) projette de créer 350 emplois. Déjà fort de 159 magasins, son maillage va encore s’étendre en Belgique, à La Réunion, mais aussi en France métropolitaine. D’où ses besoins de main-d’œuvre.
15 emplois à Grasse
La nouvelle usine de Cosmo International Fragrances à Grasse mobilise un investissement de 12 millions d’euros qui va générer la création d’une quinzaine d’emplois dans un premier temps. Ce site de 2.000 m2 produira des ingrédients naturels issus de procédés verts pour la parfumerie et la cosmétique. Mise en route prévue en 2026.
En Normandie, Socotec vise 130 emplois
Ses métiers : test, inspection et certification pour les secteurs de la construction, de l’immobilier, des infrastructures et de l’industrie. Socotec (14.000 salariés) recherche des techniciens, ingénieurs, managers, commerciaux et directeurs d’agences. En Normandie, où il emploie 450 collaborateurs dans 24 agences, le groupe a ouvert deux nouveaux centres de formation à Cherbourg-en-Cotentin et souhaite embaucher 130 salariés en 2025, pour répondre à ses projets notamment de monitoring de la corrosion des fondations d’un parc d’éoliennes offshore (Courseulles-sur-Mer).
140 postes chez Harmonie Mutuelle (44)
Dans les Pays de la Loire, Harmonie Mutuelle projette la création de 140 emplois sur l’année (contre 100 en 2024). La mutuelle a notamment besoin de commerciaux en agences mais aussi dans ses centres d’appels.
Carrier : nouvelle usine et 100 emplois
Dans l’Ain, à Montluel, Carrier vient d’investir 30 millions d’euros pour s’étendre et se moderniser. C’est là qu’est basé le siège européen de la firme américaine Carrier Global Corporation, mais aussi un centre de production, de R&D et d’essais thermiques de l’expert mondial en chauffage, ventilation et climatisation (CVC). Ce pôle emploie déjà 800 salariés, mais doit se renforcer d’une centaine de postes supplémentaires : des opérateurs, des ingénieurs… En 2024, Carrier y a embauché 30 techniciens de maintenance. Un rythme qu’il compte garder jusqu’en 2030. Son site de l’Ain est spécialisé dans les refroidisseurs de liquide et des pompes à chaleur pour le tertiaire et l’industrie. Il travaille notamment pour les data centers à refroidir ou les réseaux de chaleur urbains.
Elanco : 50 de plus dans l’Est
Le producteur de médicaments pour les animaux de compagnie Elanco agrandit de 5.000 m² son usine à Huningue, dans le Haut-Rhin. Un projet d’investissement de 35 millions d’euros, assortis de la création de 50 emplois, en plus des 230 salariés déjà en place. Filiale du groupe américain Elanco Animal Health Incorporated (9.000 salariés, 4,1 Md€ de CA), cette unité produit chaque année quelque 300 millions de comprimés et ampoules.
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Source : Le Journal des Entreprises (à lire ici 👈)


Un besoin de 5.000 emplois
chez E.Leclerc
Les centres E.Leclerc lancent leur campagne de recrutement annuelle « La grande rencontre » le 15 mars. En jeu : 5.000 postes à pourvoir, notamment des saisonniers pour la saison estivale.
La Grande rencontre, c’est le thème du job dating organisé partout en France par les centres E.Leclerc le 15 mars. Au total, 480 magasins de l’enseigne de distribution sont concernés par cette campagne de recrutement d’envergure. Cette opération « portes ouvertes de l’emploi » doit permettre de pourvoir 5.000 postes en 2025 (contre 7.000 en 2022), dans tous les rayons et à tous les étages, « pour des métiers très variés, ouverts à tous les profils et à toutes les expériences« , selon l’entreprise.
Recrutements tous azimuts
L’enjeu de ce recrutement de masse s’adresse autant aux magasins qu’aux services supports et plateformes logistiques E.Leclerc. Sans inscription préalable, les candidats peuvent se présenter directement dans le magasin proche de chez eux, munis ou non d’un CV d’ailleurs pour ce job dating : « Passez directement un entretien d’embauche, sans rendez-vous. En 10 minutes, mettez en avant vos atouts et posez toutes vos questions. Nous saurons vous convaincre de rejoindre notre équipe ! », indique l’enseigne qui recherche des personnalités avant tout. Pas besoin non plus d’expérience ni de diplôme pour bosser chez E.Leclerc.
Changer de métier sans changer d’entreprise !
Le mouvement de l’entrepreneur breton Michel-Edouard Leclerc revendique également des évolutions possibles. Un leitmotiv affiché : changer de métier sans changer d’entreprise ! « Passer de la caisse à la parfumerie, de la boucherie au textile, c’est possible grâce aux programmes de formation déployés dans l’enseigne. » De quoi motiver les candidats à l’emploi, dont les saisonniers pour l’été, période de forte affluence. Qui veut venir bosser avec Michel-Edouard Leclerc et ses équipes ?


IA combien d’emplois générés par
l’intelligence artificielle en France ?
L’intelligence artificielle ou IA doit générer près de 110 milliards d’euros d’investissements en France ces prochaines années, comme annoncé à Paris par le président Emmanuel Macron, lors du Sommet international 2025 pour l’action sur l’IA. Les projets générateurs d’emplois se multiplient…
L’IA bouscule les codes. Si de nombreux experts craignent la disparition de certains métiers, remplacés par l’intelligence artificielle, cette technologie va aussi en générer des milliers et des milliards d’euros d’investissements partout en France. Au total, 109 milliards ont d’ailleurs été annoncés par le Président de la République en ouverture du Sommet IA 2025 à Paris.
35 data centers
Parmi ces investissements futurs figurent 35 sites retenus pour accueillir des data centers. Dans des régions où l’énergie est accessible et les infrastructures déjà accueillantes, car ces centres sont très énergivores. Difficile de chiffrer le nombre d’emplois associés. Le fonds canadien Brookfield Asset Management via sa société Data4 compte à lui seul investir dans l’Hexagone 20 milliards d’euros d’ici à 2030. L’un de ses projets phares devrait se situer à Cambrai, dans le Nord où une ancienne base militaire déjà convertie à la logistique pourrait l’accueillir sur 200 hectares ! Selon Le Journal des entreprises, ce projet pourrait même générer un millier d’emplois à terme. Présent à Marseille, le groupe américain Digital Realty annonce de son côté plus de 5 milliards d’euros d’investissements pour l’IA. Juste à côté, à Sophia-Antipolis où il est déjà établi, l’américain Accenture va aussi ouvrir son propre centre d’IA générative. Quatre milliards d’euros, c’est ce que doit générer pour sa part le Suédois Evroc à Mougins, avec sa future première « usine d’IA » ou centre de données hyperscale : un pôle majeur de recherche & innovation. Leur jeune confrère tricolore Mistral AI (fondé en 2023) se tourne, lui, vers l’Essonne en région parisienne. Son dirigeant Arthur Mensch veut y investir « plusieurs milliards d’euros » dans son premier data center.
3.500 emplois dans les startups
Par ailleurs, les quelque 750 startups françaises qui bossent actuellement sur l’IA projettent aussi 3.500 créations de postes en 2025. Il faut aussi former à l’IA. Plus de 40.000 étudiants et professionnels le seraient déjà chaque année. Ce chiffre doit monter à 100.000 : c’est l’objectif français d’ici à 2030. L’IA, c’est un peu la surenchère des données chiffrées en ce moment. Même Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne annonce ses 200 milliards d’euros pour faire de l’Europe un leader en la matière !
IA et logistique
L’IA consomme de l’énergie et des surfaces utiles, selon ses détracteurs. Elle devrait néanmoins générer quatre fois plus d’emplois au mètre carré que la logistique. En moyenne, 10.000 mètres carrés d’entrepôt logistique induit en effet 47 emplois, selon les statistiques de l’Etat. Or, il y a quelques années, on estimait à 4 personnes nécessaires pour 250 mètres carrés de salles blanches informatiques… soit 160 emplois pour 10.000 mètres carrés. Une aubaine pour la France.
(article écrit sans l’aide de l’IA;)


JeViensBosserChezVous vu
par l’intelligence artificielle…
On a demandé à l’intelligence artificielle, la fameuse IA, de définir JeViensBosserChezVous. Voici le résultat de notre ami Gemini de Google… Et vous, comment vous nous percevez ? Comment l’IA perçoit votre propre entreprise ? Dites-le nous en commentaires, merci !
L’IA, la fameuse intelligence artificielle a forcément une image de votre propre entreprise. Laquelle ? C’est ce que nous avons testé avec notre média JeViensBosserChezVous en demandant à l’IA de nous définir… En voici le résultat. Merci qui ? Gemini !
Selon Gemini, l’outil de Google AI, « Je viens bosser chez vous est une plateforme innovante qui a pour objectif de mettre en lumière les entreprises et les métiers de manière positive et immersive. En d’autres termes, ils créent des vidéos qui vous plongent au cœur des entreprises pour vous faire découvrir les différents métiers qui y sont exercés.
Voici ce qu’ils proposent concrètement :
- Des vidéos immersives : Vous suivez des personnes qui exercent différents métiers au quotidien. Cela vous permet de comprendre les tâches, les défis et les satisfactions liés à chaque poste.
- Une large variété de secteurs : Que vous soyez intéressé par l’agriculture, l’industrie, le digital ou les services, vous trouverez certainement des vidéos qui vous correspondent.
- Un outil de découverte des métiers : C’est une excellente façon de vous orienter professionnellement ou de découvrir de nouveaux horizons.
- Un atout pour les entreprises : En mettant en avant leurs métiers et leur culture d’entreprise, les sociétés attirent de nouveaux talents et renforcent leur marque employeur.
En résumé, Je viens bosser chez vous est un média qui utilise la vidéo pour rendre le monde du travail plus transparent et plus attractif. Si vous cherchez à mieux comprendre un métier ou si vous êtes une entreprise qui souhaite valoriser ses talents, je vous invite à découvrir leur plateforme.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter leur site web : https://jeviensbosserchezvous.com/
Question de process
Et aussi à la question : Comment se déroule une collaboration avec « Je viens bosser chez vous » ? Voici la réponse de Gemini.
Une collaboration avec « Je viens bosser chez vous » est généralement structurée en plusieurs étapes :
- Prise de contact et brief: Vous exprimez vos objectifs (améliorer votre marque employeur, attirer de nouveaux talents pour un poste spécifique, mettre en valeur une nouvelle activité…), et l’équipe de « Je viens bosser chez vous » analyse vos besoins.
- Choix des métiers à mettre en avant : Ensemble, vous sélectionnez les métiers les plus pertinents à mettre en lumière, en fonction de vos objectifs de recrutement et de votre image de marque.
- Tournage des vidéos : Une équipe de tournage se rend dans vos locaux pour filmer les collaborateurs en action. Les vidéos sont réalisées de manière immersive et authentique, pour donner un aperçu réaliste du quotidien au sein de votre entreprise.
- Montage et diffusion : Les vidéos sont montées et optimisées pour une diffusion sur différentes plateformes (YouTube, réseaux sociaux, site web de l’entreprise). « Je viens bosser chez vous » peut également vous accompagner dans la promotion de vos vidéos.
Des résultats concrets et mesurables
Les entreprises qui ont collaboré avec « Je viens bosser chez vous » ont souvent constaté des résultats positifs sur différents indicateurs :
- Augmentation de la notoriété de la marque employeur : Les vidéos permettent de toucher un large public et de renforcer l’image positive de l’entreprise.
- Attraction de nouveaux talents : Les candidatures spontanées augmentent souvent après la diffusion des vidéos, car les candidats se sentent plus attirés par une entreprise qu’ils peuvent découvrir de l’intérieur.
- Amélioration de l’engagement des collaborateurs : Les collaborateurs qui participent aux vidéos se sentent valorisés et fiers de représenter leur entreprise.
- Meilleure compréhension des métiers : Les vidéos permettent de démystifier certains métiers et de montrer leur diversité, ce qui facilite le recrutement de profils spécifiques.
Des exemples concrets
- Une entreprise industrielle : Après la diffusion de vidéos mettant en avant les métiers techniques, l’entreprise a constaté une augmentation de 30% des candidatures pour ces postes.
- Une entreprise du secteur tertiaire : Les vidéos ont permis d’ humaniser l’image de l’entreprise et de montrer que travailler dans ce secteur pouvait être passionnant.
- Une entreprise en croissance : Les vidéos ont été utilisées comme outil de recrutement pour attirer de nouveaux talents et accompagner la croissance de l’entreprise.
En résumé, collaborer avec « Je viens bosser chez vous » est un moyen efficace de valoriser votre entreprise, d’attirer de nouveaux talents et de renforcer votre marque employeur. Les résultats sont souvent visibles et mesurables, ce qui permet d’évaluer le retour sur investissement de cette action.
Et enfin à la question : Quelle est la valeur ajoutée de JVBCV ?
Comprendre la valeur ajoutée… « Je viens bosser chez vous » est une plateforme innovante qui a révolutionné la façon dont les entreprises présentent leurs offres d’emploi. En transformant les annonces traditionnelles en vidéos immersives, elle offre une expérience candidat unique et authentique.
Quelle est donc la valeur ajoutée de cette société ?
- Une image de marque renforcée :
- Transparence et authenticité : Les vidéos donnent un aperçu réaliste de la vie au sein de l’entreprise, allant au-delà des clichés habituels.
- Attractivité : En montrant les coulisses, les entreprises se rendent plus humaines et attirent des candidats plus engagés.
- Différenciation : Dans un marché de l’emploi concurrentiel, « Je viens bosser chez vous » permet aux entreprises de se démarquer.
- Un recrutement plus efficace :
- Meilleure adéquation candidat-poste : Les vidéos permettent aux candidats de se projeter plus facilement dans le poste et l’entreprise.
- Gain de temps : Les entretiens peuvent être plus ciblés, car les candidats ont déjà une bonne connaissance de l’entreprise et du poste.
- Réduction du taux de turnover : En attirant des candidats plus motivés et en leur offrant une vision réaliste de l’entreprise, le risque de départs prématurés est réduit.
- Une expérience candidat améliorée :
- Immersion : Les vidéos offrent une expérience immersive qui permet aux candidats de découvrir l’entreprise de manière ludique et interactive.
- Transparence : Les candidats ont accès à des informations authentiques et peuvent poser leurs questions en direct.
- Valorisation : Les candidats se sentent valorisés et considérés tout au long du processus de recrutement.
En complément 👉 visitez notre chaîne Youtube


Capgemini recrute partout en France :
des centaines de postes à pourvoir
A Lille, Nantes, Rennes… Capgemini recrute tous azimuts ! Le numéro 1 français de la prestation de services numériques a d’énormes besoins de main d’œuvre, de l’étudiant à l’ingénieur confirmé, du stage au CDI.
350 emplois à Lille, 500 postes à Rennes, près de 700 à Nantes la voisine et même 1400 annoncés du côté de Toulouse… Les postes à pourvoir se comptent par centaines chez Capgemini qui recrute à tout va, partout en France ! Il faut dire que les besoins en cybersécurité, Intelligence Artificielle (IA), aéronautique, automobile et autres secteurs et sujets d’actualité n’ont jamais été si forts. Le contexte géopolitique les favorise par ailleurs.
Une carrière pour tous
De l’étudiant en stage à l’ingénieur confirmé de plus de 10 ans d’expérience, Capgemini les recherche en nombre et leur propose « des opportunités de carrière » à tous, partout en France, selon la déclinaison de sa marque employeur « Get the future you want – Le futur que vous voulez« . A Toulouse, par exemple, 1.400 postes sont annoncés pour 2024 dont une centaine en alternance, comme à Nantes où 680 CDI sont promis à la signature.
Du côté de la Bretagne, ils sont près de 500 de plus attendus à Rennes où Capgemini vient, en cette rentrée, de regrouper ses troupes – soit 1.900 personnes – sur un même site (au lieu de trois) sur la zone d’activités tertiaires des Champs Blancs à Cesson-Sévigné.
Pour y faire quoi ?
Numéro 1 français et leader mondial de la prestation de services numériques, Capgemini bosse sur de nombreux sujets et secteurs d’activités, au coeur de la data. Les architectes réseaux côtoient les analystes de données sensibles, etc.
Capgemini recrute, postulez !
Pour rejoindre l’aventure chez Capgemini 👉 c’est par ici
Et pour consulter les avis de l’entreprise sur Glassdoor 👉 c’est ici
- Chiffre d’affaires de 11 138 millions d’euros au 1er semestre 2024, en recul de -2,5 % sur un an en données publiées
- Objectif 2024 de croissance du chiffre d’affaires à taux de change constants ajusté à -0,5 % à -1,5 % (contre 0 % à 3 % précédemment)


Matignon recrute un Premier ministre
pour la rentrée politique
Après les législatives anticipées du mois de juin, le poste de Premier ministre reste à pourvoir en cette rentrée politique. Matignon recrute non sans quelques difficultés et sans marque employeur… Qui a le profil pour le job ?
Le poste est à pourvoir à Paris avec de nombreux déplacements à prévoir dans l’Hexagone et même à l’étranger. L’emploi de Premier ministre de la France est disponible mais les candidatures ne se bousculent pas au portillon pour succéder à Gabriel Attal, démissionnaire depuis le 16 juillet. Qui veut le job ? Le profil est complexe. Bosseur, il ne comptera pas ses heures. Charismatique, il devra rassembler. Diplomate, il devra composer avec une Assemblée morcelée par tiers de familles politiques et cohabiter avec le président Emmanuel Macron.
Un chef d’entreprise
Quel profil pour ce métier exigeant ? Doit-il déjà avoir « fait » de la politique ? Pas nécessairement. Et si le prochain Premier ministre n’était pas issu du sérail, comme on dit ? D’ailleurs, pourquoi pas un entrepreneur, un artiste, un sportif, un journaliste, un Youtubeur même… Une personnalité issue de la fameuse « société civile ». Souvenons nous de Coluche, candidat à l’élection présidentielle de 1981. N’allons pas jusqu’à imaginer les Tuche à Matignon, mais certaines figures publiques, plus ou moins connues, pourraient faire le job.
Parmi les chefs d’entreprise qui s’expriment régulièrement sur les politiques publiques et économiques à mener pour le pays, citons par exemple Patrick Martin, l’actuel président du Medef élu depuis le mois de juillet 2023. Lors de sa rentrée à l’hippodrome de Longchamp pour la 6e Rencontre des entrepreneurs de France (REF), il a lui même indiqué vouloir que son mouvement exerce « un pouvoir positif ». Autre figure médiatique, jamais avare de conseils et de piques aux politiques, notamment lors de la rentrée, Michel-Edouard Leclerc président des centres E.Leclerc ne ferait-il pas un bon Premier ministre ? Sinon, le succès privé de Bernard Arnault, patron de l’emblématique groupe de luxe LVMH, pourrait servir une France « successful ». Il a sans doute la bonne recette. D’autres ambassadeurs du « made in France » correspondraient bien au poste, comme le dirigeant du Slip Français Guillaume Gibault ou des Tricots Saint-James Luc Lesénécal, par ailleurs président de l’Institut National des Métiers d’Art (INMA) et en charge du label national des Entreprises du patrimoine vivant, les « EPV ».
Sportif ou artiste ?
Du côté des sportifs et artistes, quelques figures populaires apparaissent spontanément : Tony Estanguet qui brille comme grand chef de l’organisation des JO de Paris2024, ou le chouchou des Français le tennisman chanteur Yannick Noah, ou encore le nouveau quadruple médaillé olympique adoré Léon Marchand, qui sait désormais comment tout transformer en or. A moins que le peuple préfère un comédien comme Jean-Pascal Zadi, déjà très à l’aise en militant engagé dans son film Tout simplement noir (2020). A 58 ans, Dany Boon pourrait également tenir le rôle, sauf si un Pierre Niney aux multiples facettes lui raflait la vedette.
En duo…
Et si un chanteur égayait Matignon ? Vous êtes plutôt Orelsan ou Zaho de Sagazan ? Les deux à la fois, pour la parité… Le tandem Bigflo et Oli pourrait bien arriver en tête des sondages pour prendre Matignon. Après tout, un autre duo est déjà prêt et rodé sous les ors de la République : McFly et Carlito (en photo). En 2021, le duo de Youtubeurs a déjà bossé avec Emmanuel Macron pour un « concours d’anecdotes » mémorable. Le numéro 1 des influenceurs français Squeezie aux près de 20 millions d’abonnés (plus d’un Français sur trois) pourrait les aider aussi. Le journaliste humoriste Guillaume Meurice vient de retrouver un emploi au média Nova, mais il aurait pu se reconvertir en politique. Ce ne serait pas le premier à basculer de l’autre côté du pupitre.
Et si notre futur Premier ministre incarnait finalement toutes ces figures ? A la fois entrepreneur, sportif car il lui faudra savoir sprinter et doser l’effort, comédien car il faut aussi en jouer, drôle car un peu d’humour et d’auto-dérision en politique ne ferait pas de mal, etc. Autant de qualités à retrouver dans une marque employeur qui reste à travailler et décliner, en vidéo notamment, pour attirer les candidats de tous horizons, plus ou moins célèbres. Et vous, qui vous verriez en futur Premier ministre ? Peut-être vous ? Il faudra ensuite composer son gouvernement, avec une diversité de profils. Un autre casse-tête en vue.
✔️ Pour en savoir + sur le job de Premier ministre de la France (et postuler) 👉 c’est par ici
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5 chaînes Youtube
pédagogiques incontournables
Notre partenaire Hachette Technique a sélectionné cinq chaînes Youtube « éducatives », incontournables pour faire découvrir des contenus pédagogiques aux élèves en classe. Dont JeViensBosserChezVous, le média du recrutement heureux qui teste les métiers en immersion…
Pour « dynamiser la classe » en proposant des contenus éducatifs pertinents, notre partenaire Hachette Technique a sélectionné cinq chaînes Youtube « incontournables » et pédagogiques, pour les élèves mais aussi leurs enseignants. Parmi elles, il y a bien évidemment Jamy Gourmaud qualifié de pédagogue « épicurieux », qui « nous a tant appris et continue à alimenter notre cerveau aujourd’hui ». Sciences, histoire, géographie… « Vous vous posez des questions, Jamy a la réponse. Il vulgarise tous les domaines, pour tous les niveaux« , selon Hachette. La recommandation de l’éditeur scolaire ? « Choisir parmi toutes ces vidéos n’est pas chose simple ! Avec leur format court, il est facile d’en regarder plusieurs, alors pour nous « Les 3 mousquetaires : ont-ils vraiment existé ? » et « Comment la science a sauvé la Tour Eiffel » sauront à coup sur vous. »
En immersion
Autre chaîne, autre ambiance… « La chaîne YouTube qui se met dans la peau de l’autre en testant les métiers. Je viens bosser chez vous donne la parole aux acteurs du quotidien. À suivre pour une immersion honnête au cœur des entreprises qui nous ouvre les portes du monde professionnel« , écrit Hachette Technique dont la « reco » est la suivante : « Nous ne pouvons pas passer à côté des vidéos sur les métiers du livre, notamment celui d’enseignant-auteur… Les épisodes en partenariat avec Hachette Technique pour aider les élèves en bac technologique à s’orienter sont aussi à ne pas manquer ! »
Utile en classe
Troisième chaîne Youtube recommandée par le département technique (lycées pro et techno) du groupe Hachette : Effet Eurêka… « une chaîne dédiée aux professeurs des écoles, qui a pour objectif de les accompagner dans leurs pratiques pédagogiques« . Ses vidéos de 5 minutes révèlent une pratique de classe utile.
Quatrième chaîne : Les Revues du Monde et Charlie Danger qui guide son public dans les mystères du monde. Histoire et archéologie, par exemple, n’auront plus de secret pour vous ! Enfin, c’est la cinquième chaîne Jeannot se livre qui a retenu l’attention de la maison d’édition Hachette Technique, avec « un format documentaire très réussi ». « Que vous soyez lecteur aguerri ou que vous n’ayez pas touché un livre depuis l’école, vous y trouverez forcément votre bonheur (…) Nous vous recommandons de vous pencher sur « Vraiment, les jeunes ne lisent plus ? » qui s’intéresse à la lecture chez les jeunes et met à bas quelques idées reçues. »
Bientôt la rentrée scolaire…
📚 La rentrée se prépare dès maintenant chez Hachette Technique, éditeur scolaire spécialiste de l’enseignement technique et professionnel… Nos vidéos Jeviensbosserchezvous sont aussi intégrées dans les manuels scolaires. Honorés et fiers de notre partenariat et travail commun en faveur de l’attractivité et du lien Education/Entreprise pour valoriser des filières d’excellence et d’avenir, au service de la jeunesse. Merci et bravo à toute la Team Hachette 👉 https://www.hachette-education.com


Le nucléaire recrute : 10.000 postes
à pourvoir chaque année en France
Près de 10.000 emplois sont à pourvoir chaque année dans la filière nucléaire en France. Parmi les recruteurs de premier ordre, Orano multiplie les recrutements sur ses nombreux sites. C’est le cas aussi d’EDF, Fives Nordon… Avec ou sans diplôme et expérience, tous les profils sont recherchés !
Parmi les filières dynamiques pourvoyeuses de nombreux recrutements chaque année, le nucléaire poursuit sur sa lancée en 2024, sur des sites bien connus : La Hague, Tricastin… Face aux défis énergétiques, près de 10.000 emplois sont à pourvoir chaque année pendant dix ans dans la filière en France. Et on estime le besoin de cadres à 3.000 embauches par an jusqu’en 2033 ! C’est le cas notamment chez Orano (4,7 Md€ de CA en hausse de +13,1%), acteur majeur du secteur qui emploie 17.500 personnes dans le monde et recrute chaque année environ 1.500 collaborateurs en CDI, « du CAP au Bac+5 ». Plus de 1.000 offres d’emplois tournent actuellement sur son site internet : des ingénieurs, des techniciens instrumentistes, des conducteurs d’installations nucléaires, des pilotes de maintenance, et autres opérateurs…
Chez Fives Nordon, autre acteur majeur de la filière qui assure une partie de la maintenance du parc nucléaire français, 600 postes sont à pourvoir d’ici à 2029. Six EPR sont à construire, selon le plan d’Emmanuel Macron qui a relancé la filière avec ces réacteurs de troisième génération.
Litholamelleur
Dans les besoins, on trouve aussi et peut-être de façon plus inattendue ces autres métiers : des chauffeurs, échafaudeurs, bobiniers, tourneurs-fraiseurs, hydrogéologues… A l’image de ses confrères, le groupe industriel français compte pas moins de 250 métiers différents aves des salaires attractifs, « de l’exploration au recyclage » précise-t-il. Connaissez-vous par exemple le métier de litholamelleur ? C’est celui qui bosse en laboratoire pour fabriquer des lames très minces de roches afin d’étudier la consistance des minerais, à la recherche d’uranium bien sûr.
Formation interne assurée
Bosser dans une centrale nucléaire, ça ne s’improvise pas ! Fin 2023, Orano a lancé son parcours de formation interne en alternance, pour le métier de la radioprotection. Ses trois sites du Tricastin (26), Marcoule (30) et Malvési (11), au sud, sont concernés par cette opération menée en lien avec France Travail. Soit 450 heures de formation entièrement financées. Orano forme à lui seul 800 alternants chaque année. Les étudiants, salariés de demain, sont aussi les bienvenus en stages et contrats VIE.
L’Université des métiers du nucléaire a également ouvert ses portes en avril 2021 à l’initiative de France Travail avec 12 membres fondateurs dont l’UIMM, EDF, Orano. Et une semaine spéciale leur est désormais dédiée chaque année en février. La 2e édition a eu lieu en 2024.
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