SNV – Voléna recrute
Découvrez en immersion les métiers chez SNV – Voléna qui recrute partout en France. Fleuron de l’industrie agroalimentaire, ce pô…
Vous rêvez de vivre une aventure extraordinaire et inédite avec vos collègues ? Alors ce jeu d’aventure inédit pour un séminaire d’entreprise est fait pour vous… Un partenariat original entre le Conservatoire d’espaces naturels de Normandie (CEN) et JeViensBosserChezVous.
Le Conservatoire d’espaces naturels de Normandie (CEN) propose aux entreprises de découvrir le patrimoine naturel et culturel normand de manière ludique en participant à un grand jeu : le CEN Express. En partenariat avec JeViensBosserChezVous, qui a testé l’aventure pour vous !
Ce jeu est une version adaptée de jeux d’aventure télévisés comme Pékin Express ou Koh Lanta, bien sûr. Il vous faudra faire preuve d’une grande cohésion d’équipe et d’une motivation certaine pour remporter ce défi. Plusieurs missions sont proposées afin de gagner le maximum de points. Les missions peuvent être sportives, culturelles, sensorielles et ludiques.
Découvrez la nature d’une manière originale et ludique en participant à une journée de cohésion (team building) pour votre séminaire d’entreprise, organisée par le CEN Normandie, association qui préserve la biodiversité.
Vous avez le choix parmi deux superbes espaces naturels en Normandie : les coteaux de Belbeuf (76) et les coteaux d’Ezy-sur-Eure (27). Le jeu se déroule sur une journée ou une demi-journée.
✔️ + d’informations ? Contactez 👉 notre team
*Épisode #165 aimablement sponsorisé par le Conservatoire d’espaces naturels de Normandie (CEN)
Lancée il y a 6 ans, la chaîne Youtube JeViensBosserChezVous JVBCV, « le média du recrutement heureux », comptabilise déjà plus de 10.000 abonnés ! Son équipe bosse l’attractivité et marque employeur des entreprises et de leurs métiers en vidéo. Déjà plus de 350 épisodes en ligne pour 280 entreprises.
Découvrez la chaîneLancée il y a 6 ans par le journaliste économique Géry Bertrande, la chaîne professionnelle Youtube Jeviensbosserchezvous comptabilise déjà plus de 10.000 abonnés ! Son format original et inédit séduit les entreprises qui veulent bosser leur attractivité et leur marque employeur par la vidéo en immersion et en authenticité, en donnant la parole à leurs salariés ambassadeurs, acteurs du quotidien, partout en France et même à l’étranger…
VIDéO D’ENTREPRISE : POURQUOI IL VOUS FAUT UN SCéNARIO
L’écriture du scénario permet d’organiser tous les éléments utiles au tournage. Écrire un scénario ? Pour des vidéos d’entreprise authentiques et originales qui servent l’attractivité et la marque employeur ? C’est parti !
Écrire un scénario ? Pour des vidéos d’entreprise authentiques et originales qui servent l’attractivité et la marque employeur ? L’idée peut paraître farfelue, voire un peu prétentieuse. Mais pas du tout. Une vidéo de 3 à 5 minutes mérite un scénario, tout autant qu’un film sur grand écran. La clé, c’est d’écrire noir sur blanc « Qui dit quoi, où et quand ? » Ce document de travail de 2 à 3 pages, que l’on peut aussi appeler script ou déroulé, est la colonne vertébrale de votre projet. Prêt pour l’écrire ensemble ?
Rédiger le préambule du scénario
Raconter une histoire, oui, mais quelle histoire ?
Construire la structure du scénario
Les 8 commandements du scénario
Le scénario est le document de référence utilisé par tous les protagonistes du projet. Ceux qui seront présents sur le tournage, comme ceux qui ont participé à sa préparation. Tout ce qui est important doit être indiqué, de manière ultra-synthétique dans ce script. Avec le préambule, vous préparez déjà le déroulé de la vidéo en déblayant ce qui doit rester hors-champ.
L’objectif de la vidéo : résumez l’objectif visé en introduction du document. Qu’est-ce que vous cherchez à résoudre ou à améliorer en créant cette vidéo ou ce Podcast ? Quand vous doutez sur le contenu du scénario, revenez à cet objectif.
Les messages clés : choisissez-en 3, maximum, qui devront absolument être transmis. Ce peut être un message clé par personne qui prend la parole ou trois messages transversaux.
Ce que ne sera pas votre vidéo : indiquez en 2 phrases les termes que vous ne souhaitez pas employer. Le fait de les écrire permet de l’évacuer. Cette « zone rouge » doit être connue de tous. Elle est à mentionner dans le document de scénario que tout le monde doit avoir a la main.
On ne peut pas tout dire dans une vidéo de 3 à 5 minutes. Le fil rouge, c’est l’histoire que vous allez raconter. Il y a un début, une fin et des rôles clairs pour chacun des personnages. Celui, ou celle, qui présente l’entreprise, la personne qui explique son métier… Un personnage qui joue son propre rôle sera le plus convaincant 😉 Choisissez des personnalités qui vont s’exprimer avec le cœur, le plus naturellement possible. Ce ne sont pas toujours les personnes les plus loquaces au quotidien.
Une histoire, c’est de l’intrigue, des surprises et même du suspense. Les anecdotes et le vécu doivent tenir en haleine. On n’est pas dans un catalogue d’éléments de langage.
Un scénario se découpe en scènes et en dialogues.
Les scènes. Une scène est une séquence vidéo qui se filme au même endroit. Vous pouvez avoir 3 à 4 scènes pour une vidéo de 3 à 5 minutes. Elles se tournent dans des lieux différents. Intérieur, extérieur, magasin, arrière-boutique, atelier de fabrication, laboratoire R&D… Le lieu peut aussi être mobile en prenant place dans un 33 tonnes, ou une camionnette de livraison, selon votre activité.
Les images tournées pourront servir d’illustration aux propos d’une interview filmée dans un endroit statique.
Les dialogues. Pour une vidéo d’entreprise, on vous conseille d’adopter la forme d’un échange entre deux personnes, plutôt qu’un monologue. Le scénario précise la question qui est posée à la personne interviewée, ça c’est facile. La réponse peut également être rédigée, mais ce qui compte, ce sont les mots-clés qui seront à mémoriser. Le but n’est pas d’apprendre une leçon et de la réciter, mais de s’assurer qu’à travers tout ce qui est dit, les messages soient bien transmis.
La mémoire visuelle aide à se souvenir de mots-clés ou images, pictos, plutôt que de longues phrases.
De tout dire, tu n’essaieras pas. Tout ne passera pas dans le temps de la vidéo qui doit être courte pour accrocher, interpeller et donner envie. Ne vous interdisez pas de faire plusieurs vidéos, lancez-vous dans une série à la Netflix.
« À qui tu t’adresses », tu te rappelleras. Impossible de parler à tout le monde en même temps. Il faut penser la vidéo comme un tête-à-tête.
À la place du spectateur, tu te mettras. Montrez au maximum ce que l’on aime découvrir soi-même (coulisses, astuces, anecdotes…). On aime le plus souvent regarder des vidéos dynamiques qui nous surprennent à des moments précis.
Tu ne te justifieras pas. Expliquer ne veut pas dire se justifier, ni même chercher à convaincre. L’objectif est de se dévoiler tel que l’on est vraiment.
La vidéo « publicitaire », tu éviteras. Une vidéo est un voyage pour faire vivre l’entreprise de l’intérieur. On aime découvrir ce qui se cache derrière une enseigne, plutôt que de regarder des spots publicitaires.
Aux exemples et anecdotes, tu penseras. Plus on est concret, mieux on est compris, surtout de personnes à qui vous avez envie d’expliquer votre métier.
Tu changeras de décor. Chaque scène se tourne dans un endroit différent. De préférence, des lieux qui ne se ressemblent pas, pour montrer toutes les facettes de l’entreprise.
Tu ne feras pas du scénario les Tables de la loi. Un scénario est un guide, mais ce n’est pas du « par cœur ». Il permet de rassurer tout le monde, et d’abord le réalisateur, mais il laisse de la place aux aléas et à la surprise.
Avant de construire le scénario, écrivez sur un Post-it au-dessus de votre bureau cette citation de Nicolas Boileau « Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément ». Et hop, lancez-vous.
Écrire un scénario ? Pour des vidéos d’entreprise authentiques et originales qui servent l’attractivité et la marque employeur ? L’idée peut paraître farfelue, voire un peu prétentieuse. Mais pas du tout. Une vidéo de 3 à 5 minutes mérite un scénario, tout autant qu’un film sur grand écran.
Rédiger le préambule du scénario
Raconter une histoire, oui, mais quelle histoire ?
Construire la structure du scénario
Le scénario est le document de référence utilisé par tous les protagonistes du projet. Ceux qui seront présents sur le tournage, comme ceux qui ont participé à sa préparation. Tout ce qui est important doit être indiqué, de manière ultra-synthétique dans ce script. Avec le préambule, vous préparez déjà le déroulé de la vidéo en déblayant ce qui doit rester hors-champ.
L’objectif de la vidéo : résumez l’objectif visé en introduction du document. Qu’est-ce que vous cherchez à résoudre ou à améliorer en créant cette vidéo ou ce Podcast ? Quand vous doutez sur le contenu du scénario, revenez à cet objectif.
Les messages clés : choisissez-en 3, maximum, qui devront absolument être transmis. Ce peut être un message clé par personne qui prend la parole ou trois messages transversaux.
Ce que ne sera pas votre vidéo : indiquez en 2 phrases les termes que vous ne souhaitez pas employer. Le fait de les écrire permet de l’évacuer. Cette « zone rouge » doit être connue de tous. Elle est à mentionner dans le document de scénario que tout le monde doit avoir a la main.
On ne peut pas tout dire dans une vidéo de 3 à 5 minutes. Le fil rouge, c’est l’histoire que vous allez raconter. Il y a un début, une fin et des rôles clairs pour chacun des personnages. Celui, ou celle, qui présente l’entreprise, la personne qui explique son métier… Un personnage qui joue son propre rôle sera le plus convaincant 😉 Choisissez des personnalités qui vont s’exprimer avec le cœur, le plus naturellement possible. Ce ne sont pas toujours les personnes les plus loquaces au quotidien.
Une histoire, c’est de l’intrigue, des surprises et même du suspense. Les anecdotes et le vécu doivent tenir en haleine. On n’est pas dans un catalogue d’éléments de langage.
Un scénario se découpe en scènes et en dialogues.
Les scènes. Une scène est une séquence vidéo qui se filme au même endroit. Vous pouvez avoir 3 à 4 scènes pour une vidéo de 3 à 5 minutes. Elles se tournent dans des lieux différents. Intérieur, extérieur, magasin, arrière-boutique, atelier de fabrication, laboratoire R&D… Le lieu peut aussi être mobile en prenant place dans un 33 tonnes, ou une camionnette de livraison, selon votre activité.
Les images tournées pourront servir d’illustration aux propos d’une interview filmée dans un endroit statique.
Les dialogues. Pour une vidéo d’entreprise, on vous conseille d’adopter la forme d’un échange entre deux personnes, plutôt qu’un monologue. Le scénario précise la question qui est posée à la personne interviewée, ça c’est facile. La réponse peut également être rédigée, mais ce qui compte, ce sont les mots-clés qui seront à mémoriser. Le but n’est pas d’apprendre une leçon et de la réciter, mais de s’assurer qu’à travers tout ce qui est dit, les messages soient bien transmis.
La mémoire visuelle aide à se souvenir de mots-clés ou images, pictos, plutôt que de longues phrases.
De tout dire, tu n’essaieras pas. Tout ne passera pas dans le temps de la vidéo qui doit être courte pour accrocher, interpeller et donner envie. Ne vous interdisez pas de faire plusieurs vidéos, lancez-vous dans une série à la Netflix.
« À qui tu t’adresses », tu te rappelleras. Impossible de parler à tout le monde en même temps. Il faut penser la vidéo comme un tête-à-tête.
À la place du spectateur, tu te mettras. Montrez au maximum ce que l’on aime découvrir soi-même (coulisses, astuces, anecdotes…). On aime le plus souvent regarder des vidéos dynamiques qui nous surprennent à des moments précis.
Tu ne te justifieras pas. Expliquer ne veut pas dire se justifier, ni même chercher à convaincre. L’objectif est de se dévoiler tel que l’on est vraiment.
La vidéo « publicitaire », tu éviteras. Une vidéo est un voyage pour faire vivre l’entreprise de l’intérieur. On aime découvrir ce qui se cache derrière une enseigne, plutôt que de regarder des spots publicitaires.
Aux exemples et anecdotes, tu penseras. Plus on est concret, mieux on est compris, surtout de personnes à qui vous avez envie d’expliquer votre métier.
Tu changeras de décor. Chaque scène se tourne dans un endroit différent. De préférence, des lieux qui ne se ressemblent pas, pour montrer toutes les facettes de l’entreprise.
Tu ne feras pas du scénario les Tables de la loi. Un scénario est un guide, mais ce n’est pas du « par cœur ». Il permet de rassurer tout le monde, et d’abord le réalisateur, mais il laisse de la place aux aléas et à la surprise.
Avant de construire le scénario, écrivez sur un Post-it au-dessus de votre bureau cette citation de Nicolas Boileau « Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément ». Et hop, lancez-vous.
Entretien avec le journaliste économique Géry Bertrande (alias Géryoutubeur), fondateur et animateur du concept JeViensBosserChezVous #JVBCV.
Entretien avec le journaliste économique Géry Bertrande (alias Géryoutubeur), fondateur et animateur du concept JeViensBosserChezVous #JVBCV. Depuis 2018, son équipe bosse l’attractivité et la marque employeur des entreprises et des organisations de toutes tailles et de tous secteurs, grâce au média vidéo, réseaux sociaux et Youtube. Zoom sur une belle aventure entrepreneuriale en équipe, partout en France et même au-delà.
Temps de lecture : 8 min
> Article publié dans le cadre d’une newsletter adressée par Hachette x Bpifrance à 30.000 enseignants de France
Journaliste de profession, Géry, tu as décidé de créer ton entreprise il y a 4 ans maintenant. Un concept inédit associé à une chaîne Youtube : Je Viens Bosser Chez Vous. Quel a été le déclic ?
A force de côtoyer des entrepreneurs et de visiter des entreprises pour valoriser leurs actualités pendant une vingtaine d’années, ce quotidien m’a donné envie de me lancer dans l’entrepreneuriat. Je voyais bien qu’il me fallait également réinventer mon métier, à l’époque très lié à la presse écrite. La vidéo représente aujourd’hui 80% du flux média web. En tant qu’homme de projets et de réseaux, il fallait passer à l’action !
D’où est née l’idée de ton concept Je Viens Bosser Chez Vous ?
Géry : J’avais envie de créer mon propre média, de partager ce que je voyais au quotidien dans les entreprises dynamiques. J’avoue que j’en avais un peu marre aussi d’entendre des dirigeants me confier qu’ils n’avaient pas d’image de leur boîte, qu’ils galéraient à recruter… Tout le monde ne s’appelle pas Airbus ! L’immersion et l’authenticité ont guidé la création du concept. Des émissions m’ont aussi inspiré. Souvenez-vous de StripTease : une caméra filme le quotidien des « vrais » gens. Sans commentaire. Il me fallait trouver ma voie et proposer une adaptation au monde professionnel. Le leitmotiv de notre équipe : faire les lignes et faire le job. Partager le quotidien de celles et ceux qui bossent pour donner envie de travailler.
Comment s’est passée la création de l’entreprise ? Quels conseils à donner ?
Géry : C’est assez paradoxal. Mûrement réfléchi, le lancement s’est fait un peu sur un coup de tête. Il fallait se lancer. Pas de conseil à donner, si ce n’est d’oser et de croire en ses rêves. Après tout, qu’a-t-on à perdre à essayer ? Pas grand chose finalement… Parler de ses projets à son entourage, personnel comme professionnel, permet de confronter ses idées, des les challenger et de tracer sa route avec des jalons importants et un réseau. Ceux qui veulent vous aider se manifesteront naturellement.
Pourquoi avoir créé une chaîne Youtube ?
Géry : Youtube s’est imposé rapidement. La plateforme reste le n°1 mondial. Mettre un peu de pro au milieu des vidéos d’humour, de santé, beauté, bien-être, voyage… ça ne fait pas de mal non ? Bon d’accord, on est encore une goutte d’eau dans cet océan, mais le public tombe forcément sur nous ici. C’est gagné !
Quel bilan 4 ans après ?
Géry : Le bilan est très positif. En moyenne, depuis 4 ans, nous produisons et diffusons un épisode chaque semaine sur nos réseaux : Youtube, mais aussi Linkedin, Facebook, Twitter, Instagram et notre site web. Je vous laisse compter le nombre de jobs ainsi testés et mis en lumière. Ils sont souvent méconnus. Qui connaît le métier de pointeur, celui de formaliste, de tourier… ? Sans compter nos formats spéciaux, moins visibles, créés et personnalisés aux couleurs et à l’image de nos clients. Ils sont nombreux, de toutes tailles, de tous horizons et secteurs. Notre format s’adapte à tous. J’en profite d’ailleurs pour les remercie de leur fidélité. Je vais vous faire une confidence : nous ne les démarchons pas. C’est notre production qui fait notre prospection. Autant vous dire que nous sommes visibles et surtout nos clients à travers nous. Quel plaisir et quel confort de travailler avec et pour des personnes qui ont envie de bosser avec vous ! Ensemble, nous tissons des liens forts.
Quels retours ont-ils de leur côté ?
Géry : Là aussi, les retours sont bénéfiques, notamment en terme de marque employeur. Nous n’avons pas de baguette magique : nous n’allons pas recruter à leur place. Aux DRH, nous disons : « Arrêtez de chercher à recruter ! Bossez plutôt votre attractivité. » Et ça marche ! Des « candidats improbables » ou qui s’ignorent, comme je les appelle, marquent un intérêt parce qu’ils ont vu leurs futurs collègues, environnement de travail… Après, c’est leur job de les recruter et les fidéliser. Nos clients bénéficient de plusieurs caisses de résonance : d’abord la leur, mais aussi celle de leurs salariés (plus enclins à partager une vidéo dans laquelle ils sont acteurs), la nôtre à travers nos communautés et celle de nos partenaires.
Quelles sont vos perspectives à présent ?
Géry : Aujourd’hui, le concept s’élargit. Techniquement d’abord : vidéos originales, mais aussi podcasts, photos, événements d’entreprises, drone extérieur comme intérieur… Et puis l’équipe s’est agrandie. Dès l’origine, j’avais à coeur d’incarner dans ma propre entreprise la diversité de la Société dans laquelle nous vivons. Cela passe par un alter ego féminin, devant la caméra : Laetitia, basée à Lille, fait désormais rayonner la marinière JVBCV. D’autres nous rejoindront, dans d’autres régions, pourquoi pas à l’international… Notre duo a d’ailleurs entamé un tour de France de l’agroalimentaire, sous forme de websérie. Nous formons aussi des « salariés ambassadeurs » de leur entreprise, de futurs Youtubeurs internes au cœur même des organisations pour les valoriser. Et puis, derrière les caméras, œuvre une équipe de professionnels engagés : des femmes et des hommes de l’ombre, au talent immense. Ce sont des emplois que nous portons avec fierté. Au total, JVBCV représente aujourd’hui une dizaine de personnes.
Les salariés sont vos meilleurs ambassadeurs et ambassadrices sur les réseaux sociaux… bla bla bla bla… On a lu cela 100 fois.
Les salariés sont vos meilleurs ambassadeurs et ambassadrices sur les réseaux sociaux… bla bla bla bla… On a lu cela 100 fois. Aujourd’hui, parlons en toute transparence du dessous des cartes.
> Temps de lecture : 5 minutes
Faut-il nommer les ambassadeurs comme au Ministère des Affaires étrangères ? Ou accompagner l’émergence d’un réseau agile de nouveaux consuls ? Une chose est certaine. L’entreprise qui veut construire un empire sur LinkedIn en levant une armée de fantassins risque plutôt de compter les déserteurs.
Sur toute une vie, LinkedIn est un avant tout un espace sur lequel on est ambassadeur de soi-même. Et c’est LA bonne stratégie pour provoquer des opportunités professionnelles. Celles et ceux qui initient des programmes de salariés ambassadeurs le font pour eux-mêmes lorsqu’ils changent de poste 😉 Halte à ce non-dit de l’Employee Advocacy. Quand la visibilité du collaborateur et celle de l’entreprise font un « bout de chemin » ensemble, c’est toujours en bonne intelligence.
Qu’ils travaillent pour des TPE, de belles PME ou de grands groupes, les salariés n’ont jamais demandé d’autorisation à leur employeur pour créer un profil LinkedIn. De nombreuses personnes le créent d’ailleurs lorsqu’ils sont entre deux postes.
Le profil LinkedIn est un passeport individuel « sacré ». Seul LinkedIn peut le confisquer si les règles d’usage de la plateforme ne sont pas respectées.
Qui ne s’est pas posé, en tant que salarié, la question : est-il opportun de liker le Post d’une entreprise du même secteur ou d’un ancien collègue ? Qui peut le voir ? Est-ce que cela ne va pas être mal vu ? Si je mets à jour mon profil, mon boss ou mon DRH va-t-il croire que je veux partir ?
Ils sont libres d’agir et d’interagir sur LinkedIn à leur guise. Liker, commenter, publier et partager. Entrer dans des discussions publiques, voire même, polémiquer et faire un bad buzz. Ils ne rendent de compte à personne.
Lorsque l’on rejoint une entreprise, il est courant d’ajouter son nouveau poste. On le met même souvent en avant en le faisant savoir à son réseau. Le profil individuel est rattaché à l’entreprise et réciproquement.
Le réseau de contacts et la messagerie privée resteront toujours du ressort de l’individu. Chacun le nourrit et noue des échanges individuels en toute confidentialité. C’est la botte secrète moderne pour sécuriser un parcours professionnel sur le long terme. Mais qu’en est-il pour les interactions publiques lorsque l’on change de crèmerie ?
À la différence des échanges en messagerie privée, les likes et les publications des salariés sont visibles par tous, et donc par ses nouveaux managers (et managés). L’objectif d’être actif sur LinkedIn de manière publique est d’ailleurs justement d’être vu et de montrer aux autres qu’on les voit. Mais le fait-on alors toujours en son nom ou au nom de son nouveau pays d’adoption ?
Les likes et les publications rejoignent-ils symboliquement le giron de la nouvelle entreprise ? Au regard des usages constatés dans cette nouvelle entreprise, peut-on se sentir privé d’une liberté d’expression que l’on avait dans une entreprise ou une vie pro précédente ? Combien de salariés osent conserver une liberté de parole complète quand l’entreprise ne l’encourage pas ?
On peut à l’inverse dans ce nouveau poste, avoir davantage envie de prendre le micro pour ce nouvel employeur qui nous donne des ailes. Et c’est là que l’on devient consul, sans même savoir, que l’on a devant soi une carrière d’ambassadeur.
On peut devenir un ambassadeur officiel ou rester un consul officieux. Tout dépend de l’approche et de la posture du programme ambassadeurs de l’entreprise. Nous vous partageons plusieurs retours d’expérience dans notre revue de presse ci-dessous (Capital, Agefi Hebdo, Le Temps, Infopresse).
Aïe ! C’est le sujet tabou ! Pourtant c’est la vie. Et c’est la raison pour laquelle il ne faut pas tout miser sur une élite autorisée à prendre la parole pour l’entreprise. Plus la visibilité est répartie, moins elle sera déstabilisée lorsque les forces en présence évoluent.
On n’aime pas perdre un bon élément. Encore moins s’il portait une part de l’image de l’entreprise sur les réseaux sociaux. Pour autant, les personnes actives avec des communautés dynamiques sortent, tout comme elles entrent, dans les entreprises. Quand c’est dans le « bon » sens, cela est moins gênant. La prise de parole sur les réseaux sociaux fait partie du portefeuille de compétences. Un collaborateur qui en est doté sera réticent à rejoindre une entreprise qui a l’image ou la réputation de « driver » un peu trop ce que les salariés ont le droit de dire ou pas.
Les départs et les arrivées de salariés ne sont pas chose nouvelle. Avec les réseaux sociaux, c’est certes davantage visible. Mais il n’y a pas de drame. Combien de professionnels restent toute une vie dans la même entreprise ? Il y en aura de moins en moins.
On sait tous se servir d’un téléphone pour téléphoner. Mais pour les options avancées des applications, ça se discute. C’est la même chose pour LinkedIn. A la différence que tout le monde peut y observer vos habiletés, puisque (presque) tout est public.
Un profil LinkedIn rempli trop rapidement ne fait pas bonne impression. Une maîtrise aléatoire des @, des # et des 👍 limite les retombées positives de l’activité. Un mauvais réglage des préférences peut générer des frictions.
Des collaborateurs bien outillés, ce sont des ressources qui n’ont pas envie de quitter le navire. Un matelot qui veut changer de flotte n’attend pas d’être formé par son employeur pour aller proposer ses services ailleurs.
Voyez la communauté des consuls et des ambassadeurs volontaires comme une équipe à échelle variable dans laquelle chacun se sent invité. Pour autant, on peut y prendre part plus ou moins intensément sans craindre un blâme ou une exclusion.
Bref tout cela doit rester fun !
« Stratégie employés-ambassadeurs: 2 exemples (Amazon et Kanuk), 1 grande leçon » – Article de Renaud Margairaz pour Infopresse.
https://www.infopresse.com/article/2019/11/21/programme-d-employes-ambassadeurs-3-lecons-a-retenir
« Ils « tweetent » pour leur employeur » – Article de Lucile Chevalier pour L’AGEFI Hebdo (07/03/2019)
https://www.agefi.fr/emploi/actualites/hebdo/20190307/ils-tweetent-leur-employeur-268857
« Ces employés qui jouent les influenceurs pour leur entreprise » – Article de Julie Eigenmann pour Le Temps (13/09/2019).
https://www.letemps.ch/economie/employes-jouent-influenceurs-entreprise
« Et si vos employés devenaient les ambassadeurs de votre marque ? » – Article de Julie Krassovsky pour Capital (17/03/2020).
Tu as envie de porter la marinière, en immersion dans les entreprises et territoires, pour bosser leur attractivité comme nous ? Sans oublier ta caméra au poing… JeViensBosserChezVous recrute. Rejoins notre équipe de reporters dynamiques et positifs !
Tu as envie de porter la marinière, en immersion dans les entreprises et territoires, pour bosser leur attractivité comme nous ? Sans oublier ta caméra au poing… JeViensBosserChezVous recrute. Rejoins notre équipe de reporters dynamiques et positifs !
Plus de 80% du flux média actuel, c’est de la vidéo ! 2020. Il est temps de s’y mettre et il n’est pas trop tard. Dans cet article, on vous montre comment passer à l’action et embarquer vos équipes. Ou comment faire entrer la vidéo dans ma boîte.
Plus de 80% du flux média actuel, c’est de la vidéo ! 2020. Il est temps de s’y mettre et il n’est pas trop tard. Dans cet article, on vous montre comment passer à l’action et embarquer vos équipes. Ou comment faire entrer la vidéo dans ma boîte.
Temps de lecture : 4 min
Pas encore de vidéo ? Peur de la vidéo ? Pas de panique. C’est tout à fait normal. La vidéo, ou plutôt la caméra qui permet de la réaliser, fait naturellement peur. On n’est pas à l’aise face à une machine car on ne sait pas qui regarde derrière l’objectif. Commençons donc par nous fixer un objectif clair : pourquoi faire une vidéo ? Quel message je veux faire passer ? Quelles images je veux montrer de mon entreprise, de mes équipes, de mon environnement et de mon ambiance de travail, de moi ? Une fois déterminé ce « brief » de cadrage, on peut commencer à passer à l’action.
Aujourd’hui, n’importe qui peut filmer avec un smartphone, n’importe quoi (ou presque). N’oublions jamais le droit à l’image de chaque individu ! Ce n’est pas pour rien qu’un débat fait actuellement rage quant au projet de loi de sécurité globale pour encadrer notamment les prises de vue lors des manifestations publiques. Liberté d’informer d’un côté ; droit à la vie privée de l’autre. Les deux ne sont pas antinomiques si l’on prend quelques précautions, surtout dans le cadre d’une entreprise privée.
Il y a quelques années, nous avons assisté à un phénomène bien connu : tout le monde de l’Entreprise est devenu journaliste en herbe pour produire du contenu, toujours du contenu, encore du contenu. Utile au référencement soit dit en passant. De plus en plus, demain, l’Entreprise va vouloir (se) filmer. En première ligne, les salariés vont vouloir se filmer au travail. Et dites-vous bien que les bad buzz partaient souvent d’une bonne intention. Mais parce que l’entreprise n’a pas cadré et anticipé collectivement ces réalisations vidéos amateurs, c’est un mot de passe compromettant qui se retrouve par exemple à l’écran. Pour ne citer que le moins gênant.
Nous vous proposons donc 3 règles simples à mettre en œuvre avec un seul mot d’ordre : AN-TI-CI-PER.
Ce document de référence d’une page (pas plus) sera écrit en concertation avec toutes les parties prenantes de l’entreprise. Il établit et rappellera les règles et les limites que se fixe l’entreprise en matière de vidéo… et de photographie aussi, profitons-en. C’est le moment de poser le cadre : les lieux et services sensibles à ne jamais filmer par exemple. Si une entreprise se doit de communiquer, elle n’est pas obligée de tout montrer ni de révéler des secrets de fabrique. Les brevets qui ont permis de créer des process spécifiques et autres modèles déposés sont à protéger. Autrement dit, ce qui se passe dans l’arrière-cuisine reste l’arrière-cuisine. Nous avons été surpris, lors d’un tournage dans l’agroalimentaire, de pouvoir filmer tout un process industriel, en l’occurrence une ligne de produits frais, mais surtout pas la largeur du tapis roulant transportant ledits produits. On ne pouvait pas le deviner. Ce qui écrit est mieux compris. Bonnes pratiques rime avec bonne conduite.
Une ligne éditoriale c’est comme un cap à fixer en équipe. Une question à se poser : de quels sujets veut-on et doit-on parler ? Il y a les incontournables, les « marronniers » (ceux qui reviennent à des moments précis), les surprises et les interdits, ceux qu’on n’abordera jamais par conviction, déontologie… Quels sujets et thématiques, mais aussi quel ton je veux donner à mon média : voilà la deuxième question à se poser. 3e ambition : quels sont mes objectifs et cibles ? Bien sûr, la ligne éditoriale se décline par support (site web, newsletter…), par réseau social également. N’oublions jamais la clarté du message ! Et en matière de communication, la règle c’est 1 message = 1 support.
A quel rythme prendre la parole ? Voilà une question essentielle à se poser. Ecrire son planning éditorial doit aider à y voir clair dans ses communications tout au long de l’année. Souvent, nous entendons des entreprises confier : « Mais je n’ai rien à dire ». Très différent de « je ne sais pas quoi dire ». Créer son planning éditorial doit aider à faire émerger plein d’idées de sujets. Ce travail d’équipe sous forme de brainstorming posera les jalons importants d’une période donnée. Planifier ne veut pas dire s’interdire la surprise, bien au contraire. Réservez lui une belle place.
Si tout le monde peut aujourd’hui filmer avec son smartphone, va rapidement se poser la question du matériel. Sans tomber dans la grosse production, l’entreprise doit s’équiper un minimum et penser cadrage, lumière, son. En la matière, le son est tout aussi, voire beaucoup plus important que l’image ! Les vidéastes en herbe l’oublient trop souvent. Une mauvaise qualité sonore desservira forcément l’image, alors que des micro-cravates à tarif accessible peuvent très bien faire le job. Sans être technicien professionnel, leur usage est facile pour tous. On aurait tort de s’en priver. Si vous voulez créer votre signature sonore et visuelle, ajouter des effets, en revanche, mieux vaut faire appel à un pro car ce genre d’outil peut vite être chronophage !
Un logiciel de montage vidéo sera aussi nécessaire. Certains existent en applications sur smartphone ou tablette, simple d’utilisation en totale autonomie. Pour se former à leur usage, de nombreux tutoriels existent sur le web. Et pourquoi pas s’offrir ou offrir à ses salariés une formation avec un pro ? La période est propice.
Enfin, pourquoi pas créer son propre studio interne ? Certaines entreprises vont jusqu’à s’équiper de cette solution en totale autonomie. Très utile en période de crise sanitaire lorsque les commerciaux ne peuvent plus se rendre chez leurs clients par exemple. Rien de tel que de les inviter à partager en immersion live un moment d’échange au cœur de l’entreprise, autour d’une innovation produit ou d’une démo par exemple. Certains industriels comme Edixia [LIEN WEB vers STUDIO LIVE) l’ont bien compris. Ce que permet ce type de studio nécessitant aussi une phase d’apprentissage.
Si vous avez lu ces lignes jusqu’ici, bravo ! Vous êtes (presque) prêts à passer à l’action. Nous vous souhaitons maintenant de belles réalisations à concrétiser et à partager. Faites-en des moments de management interne et de valorisation de l’entreprise. Ces projets doivent servir la fierté d’appartenance et plein d’autres leviers. Avant même leur diffusion à l’externe, ces vidéos doivent rayonner en interne, lors d’avant-premières réservées aux salariés par exemple. Ce serait trop bête de ne pas les mettre sous les feux des projecteurs pour les remercier et les féliciter non ?
🔎 Vous avez réalisé des vidéos, partagez-les nous en commentaires ! Merci 😉
On nous demande souvent « ça nous apporte quoi une vidéo ? » pour
notre attractivité et nos recrutements. On a fouillé dans nos carnets et voilà ce que nous ont dit les entreprises : avant et après.
On nous demande souvent « ça nous apporte quoi une vidéo ? » pour
notre attractivité et nos recrutements. On a fouillé dans nos carnets et voilà ce que nous ont dit les entreprises : avant et après.
Temps de lecture : 4 minutes
Quand on manque de collaboratrices et de collaborateurs pour faire tourner l’entreprise, ou tout simplement d’image pour la faire (re)connaître, on y pense le matin, le midi… le soir. Si c’est votre cas, vous n’êtes pas le ou la seul.e. On ne va pas vous dire, qu’avec Je viens bosser chez vous, on a la solution miracle. En revanche, on a un « 3 en 1 » :
✚ de candidatures pertinentes
✚ de fierté d’appartenance
✚ de recrutements durables.
Ce que les entreprises nous disent sur le recrutement quand on les rencontre :
« Je publie des offres d’emploi, mais je ne reçois pas de candidatures en phase avec l’entreprise, ou si peu. On me dit que c’est normal. Pourtant, je sais que certains réussissent à attirer de nouveaux talents.»
« Peu de candidats viennent de la part de nos collaborateurs et collaboratrices, pourtant ils disent être contents de leur job. En même temps, est-ce que je leur donne assez d’infos sur nos postes ouverts ?»
« Je voudrais impliquer les équipes pour faire connaître notre entreprise, notamment sur les réseaux sociaux. Mais ils n’ont pas le temps, me disent-ils, et ils ne savent pas trop quoi dire.»
« Quand je présente nos métiers, je me perds dans les détails, j’utilise du jargon ou je veux tout dire d’un coup. Je sens que je perds mon interlocuteur ou mon interlocutrice. Il y a une recette ?»
« Mes séminaires ronronnent un peu, ça n’envoie pas des paillettes. Pourtant, notre entreprise a bonne réputation. Comment réveiller les énergies ? Bousculer les codes sans tout casser ?»
« On fait vraiment du bon boulot. Nos clients sont contents. On a de bons retours. Mais au-delà, on ne nous connaît pas. On s’en rend compte sur les salons. On doit pouvoir changer ça.»
« La moyenne d’âge de mon entreprise est élevée, il faut préparer la relève. Je ne sais pas comment rendre nos métiers attirants pour la jeune génération. Faire du fun pour faire du fun, non merci.»
« Je me suis rendu compte que mon gamin de 12 ans, n’avait aucune idée de ce que je fais, ni ma grand-mère d’ailleurs. Comment les faire entrer dans mon univers en 1 minute 30 ?»
« Je ne pense pas être le/la mieux placée pour parler de mon entreprise. Un regard extérieur serait bénéfique. »
Quand l’équipe de Je viens bosser chez vous débarque (chez vous), ça se passe comment ? On a aussi un Kit « Prêt pour l’opération Je viens bosser chez vous ? », disponible ci-dessous.
Une vidéo de trois minutes ne se tourne pas en trois secondes. Pour que votre vidéo porte ses fruits, vous allez devoir bosser. Nous aussi.
Qu’est-ce que vous voulez dire ? À qui ? Quelles sont vos forces ? Quels sont les avantages, mais aussi les inconvénients, de vos métiers ? Qu’est-ce que vous pensez que l’on dit de vous ? Et est-ce que c’est vrai ? Qu’est-ce que vous montreriez à Michèle Obama si elle visitait votre entreprise ? Qu’est-ce qui vous rend le plus fier ? Et pour vos équipes ?
À partir de là, après quelques rasades de café, on écrit le scénario de votre vidéo, la vôtre, et celle de personne d’autre.
Vous, nous, votre équipe, on va rire, ça c’est sûr. On va s’énerver quand cela ne se passe pas comme on le voudrait. On va recommencer. On va bégayer. On va se recoiffer entre deux prises. On va essayer d’être comme on est dans la vraie vie.
Bref, on va vivre un moment dont on se souviendra longtemps. Et les images pourront en témoigner. N’oubliez pas d’en faire un projet de management interne et de valorisation des équipes, ça marche !
Ce sont les entreprises qui se sont jetées à l’eau qui en parlent le mieux. Certains en témoignent même… en vidéo. Les liens sont ci-dessous.
« Les interactions sur les réseaux sociaux avec des professionnels de notre éco-système ont décuplé. La vidéo cartonne aussi sur les salons professionnels.»
« De nombreux commentaires positifs ont été publiés sur les réseaux sociaux. Les salarié.e.s partagent la vidéo à leurs proches. On n’a jamais vu ça.»
« On nous dit qu’on a envie de venir travailler chez nous. C’était très rare avant. Nos postes techniques sont devenus plus sexy.»
« On reçoit (enfin) des candidatures de profils plus jeunes pour bosser sur des postes d’opérateurs / d’opératrices.»
« Les candidats nous parlent de la vidéo en entretien d’embauche. C’est une super accroche pour engager l’échange.»
« On est encore plus fiers de nos métiers qu’avant. Cela se voit dans les témoignages des collaborateurs et collaboratrices.»
« Le séminaire 2019, avec le projet vidéo Je viens bosser chez vous, tout le monde en parle encore autour de la machine à café. On a la pression pour faire encore mieux en 2020.»
« Quand un candidat visite notre entreprise, il engage facilement la discussion, y compris avec la direction. Il les a vus en vidéo, alors il a l’impression de les connaître.»
« C’est comme si les candidats se sentaient appartenir à l’entreprise, avant même l’embauche. Ils se sont projetés immédiatement dans le job, ça fait chaud au cœur. Ils savent pourquoi ils viennent.»
Si tout devait être dit en 12 lignes, un projet média axé Attractivité, RH et Recrutement avec Je viens bossez chez vous, c’est :
✚ de fierté d’appartenance des collaborateurs et d’engagement.
– de collaborateurs qui nous quittent.
✚ de collaborateurs actifs sur les réseaux sociaux.
– de peur et moins de tabous à ce sujet.
✚ de candidats qui se positionnent spontanément.
✚ de candidatures pertinentes.
– de temps perdu en entretien.
✚ de recrutements durables.
– de départs pendant la période d’essai.
✚ d’image positive auprès des clients.
✚ de gens qui disent « je vous connais ».
✚ de temps à consacrer au business.
Et n’oubliez jamais : ne cherchez pas à recruter, mais à rendre votre entreprise attractive, oui ! 😉
Toutes nos vidéos sont disponibles sur la chaîne Youtube Jeviensbosserchezvous.
Vous voulez l’entendre de vos propres oreilles ? On vous met en contact avec : Les entreprises qui témoignent.
On n’aime pas toujours parler de soi. Qu’il s’agisse de sa personne ou de son entreprise. Il y a ce que l’on a envie de faire passer, et puis les paroles qui sortent de notre bouche… et qui ne remplissent pas toujours l’effet voulu.
On n’aime pas toujours parler de soi. Qu’il s’agisse de sa personne ou de son entreprise. Il y a ce que l’on a envie de faire passer, et puis les paroles qui sortent de notre bouche… et qui ne remplissent pas toujours l’effet voulu. Miroir, mon beau miroir, dis-moi si mon authenticité fait de moi le Phénix de ce bois ? Mais non, il ne s’agit pas d’être plus authentique que son voisin. Il faut, il faut, il faut… être soi, en toute transparence. Prêt à relever le challenge ?
Temps de lecture : 6 minutes
Quand on s’exprime pour parler de son entreprise, on peut avoir le défaut de se cacher derrière un « nous », ou de vouloir prendre toute la lumière en abusant du « je ».
Nos conseils :
– Dites « je » pour votre métier, votre compétence, vos missions, si c’est le sujet de la vidéo ou du podcast.
– Dites « nous » pour l’entreprise en tant qu’entité en mouvement.
Pour être « vrai », on peut être tenté de vouloir parler comme on le fait tous les jours. Oui, mais pas tout à fait. On peut dire à l’oral en mode informel : « on prépare un super projet », il y a une « très bonne ambiance » dans l’équipe, le produit que l’on va sortir est « carrément innovant ». Mais là, concrètement, vous ne nous avez rien dit. L’authenticité, ce n’est pas essayer de convaincre par les mots, c’est laisser paraître, en n’ayant pas peur de donner des détails. Car choisir ces détails clarifie votre pensée.
Nos conseils :
– Traquez les adjectifs comme des cafards. Et encore plus l’association Adjectif + Adverbe. C’est « hyper important ».
– Prenez un crayon et écrivez : pourquoi notre projet est super ? Pourquoi l’ambiance est-elle bonne ? Pourquoi notre produit est-il innovant ? Et voilà, vous avez sous les yeux ce qu’il est opportun de dire pour intéresser votre auditoire, que ce soit filmé ou pas, en 1 minute ou en 10 minutes, à l’écrit ou à l’oral.
Quand on regarde une vidéo, l’image l’emporte sur le texte prononcé. Quelle que soit la source d’une nouvelle information, on est réticent à celui qui veut nous convaincre. Tout comme à ceux qui veulent nous vendre quelque chose. Alors, stop à l’envie de donner envie avec emphase et de trop jolies phrases. Jouez l’humilité et la simplicité.
Nos conseils :
– Évitez les « notre force c’est de » ou « on est fiers d’annoncer… » Bref tout ce qui ressemble à « Vous n’en croirez pas vos yeux » ou « L’herbe est plus verte chez nous, que dans le champ d’à côté ».
– Ne vous comparez pas aux concurrents ou autres acteurs du marché, même de manière indirecte. Halte au « On a été les premiers à » ou « Nous avons le plus grand parc de machines-outils de taille moyenne classe C du département ». Et alors ? Quelle est l’info ?
Si l’on sort du champ de la sincérité des sentiments, on trouve comme expression proche :
Du côté des synonymes, ça donne :
Et ses contraires : la contrefaçon, la fausseté… On rajouterait bien comme antonyme : « la mauvaise foi », ou encore « l’illusion que l’on se crée de soi-même ».
Quand on lance un produit ou une offre de services, scruter ce qui se fait déjà est de mise. Mais avec mesure quand il s’agit de créativité. L’authenticité, elle, ne se fabrique pas sur plan. Elle s’observe et se constate. Elle ne se décrète pas ni ne s’invente. Regarder dans le trou de la serrure comment ça se passe chez le voisin pour détecter les signaux faibles de sa stratégie de communication est superflu. Tout comme dépouiller les vidéos et les articles de presse au sujet d’un confrère pour vouloir faire mieux ou même autrement. C’est du temps perdu, assurément.
L’idée n’est pas d’arrêter sa veille sur le marché. Mais quand il s’agit d’image, c’est la vôtre qui est authentique.
L’authenticité, c’est transmettre des informations que personne ne pourra vous reprocher d’exprimer. Elles vous définissent tel que vous êtes vraiment. Il ne peut pas y avoir matière à polémique, car ce sont des faits et des caractéristiques qui s’observent et se constatent. C’est avoir comme objectif d’être aligné : mots, images, ton de la voix, posture et sourire.
Devant la caméra et au micro, n’en faites pas trop…
– Laissez la place à l’inattendu et à la surprise.
– Ne retenez pas vos émotions. Au contraire, acceptez-les.
– Acceptez-vous et assumez-vous tel que vous êtes.
– Ne fuyez pas l’autodérision. Rire de soi, ça fédère. L’humour est aussi votre meilleur allié.
Si on devait résumer en quatre mots : Osez, montrez, foncez et partagez. On n’est pas authentique tout seul, c’est dans l’échange que vous allez vous révéler.
Je viens bosser chez vous a une chaîne Youtube et un site internet avec plein de choses dessus, et pas que des vidéos. Des Podcasts par exemple.