EN IMMERSION DANS VOTRE FUTUR JOB…
Je me forme en alternance au métier
de technicien de maintenance avec l’Icam
Aujourd’hui, j’ai rendez-vous avec Khalil, en formation alternante à l’Icam, site de Lille, en maintenance industrielle. Le jeune homme est actuellement en formation de technicien supérieur de maintenance industrielle et nous ouvre les portes de son quotidien !
« Docteur des machines »
Nous vous proposons ici une visite exclusive de l’atelier où Khalil passe une semaine par mois pour ses travaux pratiques de mécanique avec le formateur. Il réalise également des schémas pneumatiques et hydrauliques, essentiels dans son parcours de formation. Khalil travaille chez Delacre qui fabrique les fameux biscuits sur le site de Dieppe depuis 124 ans ! Depuis 8 mois, Khalil est en contrat d’alternance dans l’entreprise qui appartient au groupe Ferrero, ce qui lui permet de : modifier des programmes de lignes de production et de robots ; réaliser des tâches de prévention sur les machines ; relever des défis quotidiens en réparant et dépannant des équipements, devenant ainsi le « docteur des machines »
Portes ouvertes le jeudi
L’avantage de l’Icam : intégration possible à tout moment de l’année et à tout âge. Portes ouvertes tous les jeudis à 9 heures.
Merci à Khalil et toute l’équipe de l’Icam Lille et de l’entreprise Delacre pour leur accueil. Intéressé(e) par l’alternance en formation professionnelle ? Rejoins l’Icam et découvre toutes les opportunités qui s’offrent à toi ! Postule, ils recrutent des techniciens supérieurs en maintenance industrielle !
✔️ Pour rejoindre la team ICAM Lille 👉 c’est juste ici
📩 Tu peux aussi écrire directement à l’ICAM 👉 qui recrute ici
Marque employeur
Pourquoi l’ICAM bosse son attractivité en vidéo
L’ICAM site de Lille a fait appel aux équipes de tournage audiovisuel de Jeviensbosserchezvous pour bosser sa marque employeur en vidéo. Les salariés, acteurs du quotidien, témoignent de leur quotidien à micro et caméra ouverts.
La vidéo ainsi réalisée et largement diffusée contribue à booster l’attractivité de l’entreprise pour des retombées positives, tant en interne qu’en externe. La vie au Travail, la vraie !
Innoplate projette de créer 120 emplois
dans l’est de la France
A Haguenau, en Alsace, la nouvelle entreprise Innoplate crée 50 emplois et en prévoit 120 d’ici à 2030… Objectif : produire des millions de plaques bipolaires de piles à combustible, un dispositif pour générer de l’énergie électrique utile à la filière automobile.
Innoplate est une jeune joint venture (JV) créée à Haguenau, dans la région Grand Est, par les groupes industriels Schaeffler et Symbio, elle-même co-entreprise de Faurecia et Michelin. Leur objectif commun : produire à grande échelle des plaques bipolaires (type BPP), composant essentiel pour les piles à combustible pour l’automobile et les futurs véhicules à hydrogène.
120 emplois, 100 M€
A horizon 2030, environ 50 millions de ces plaques doivent être produites par an contre quatre millions actuellement. Telle est l’ambition d’Innoplate qui recrute. Déjà 50 postes d’ingénieurs et techniciens ont été créées pour lancer cette activité d’avenir. A terme, le projet soutenu par France 2030 et les acteurs institutionnels locaux prévoit même 120 emplois. L’entreprise recrute déjà des opérateurs de production et de contrôle qualité, mais aussi des administrateurs réseaux & infrastructures, des techniciens de maintenance…
Le nouvel atelier de 5.500 mètres carrés au sein de l’équipementier automobile Schaeffler a été inauguré le 6 juin 2024 en Alsace. Un exemple et futur fleuron de la collaboration industrielle franco-allemande. L’investissement global représentera environ 100 millions d’euros.
Innoplate recrute, postulez !
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Chez Yoplait une nouvelle ligne
de briques et de l’emploi au Mans
Une nouvelle ligne de production de briques de yaourts Yoplait a nécessité près de dix millions d’euros d’investissements au Mans. L’usine du groupe coopératif Sodiaal se renforce et recrute. Ses capacités de production doivent augmenter d’ici à 2025.
En France, Yoplait dispose de trois usines pour fabriquer ses fameux yaourts déclinés sous toutes ses formes d’emballages et marques : dans l’Yonne et en Isère (pour les Petits Filous, Yop et Frulos), et au Mans son site historique (pour le Panier de Yoplait, Skyr et autres Câlins)… L’entreprise, dans le giron du groupe coopératif laitier Sodiaal depuis 3 ans, vient de lancer un nouveau format, plus familial et très anglo-saxon, de briques de 750 grammes déclinées sous 9 parfums de yaourt brassé, à verser. Objectif : réduire les emballages grâce à la juste dose de yaourt consommée.
Eco-conçue, cette brique équivaut à six pots de yaourts traditionnels avec 50% d’emballage en moins, selon la marque. Yoplait s’engage à avoir 100% d’emballages recyclables d’ici à 2025, « réduits à la source » et conçus avec de la matière renouvelable d’ici à 2040…
300 emplois
Cette nouveauté et l’objectif de doubler la production de Skyr en 2025 a nécessité la création d’une nouvelle ligne de production dans l’usine sarthoise dirigée par Guillaume Bavant, soit un investissement de dix millions d’euros. Ici, quelque 350 salariés transforment le lait de 3.000 éleveurs partenaires dans le Grand Ouest. Encore marginale, cette nouvelle production de briques doit représenter 6.000 tonnes par an à terme (sur les 145.000 tonnes du site) avec environ 10% des effectifs dédiés à cette ligne.
Qui est Yoplait-Sodiaal ?
Chaque minute 20.000 produits Yoplait sont consommés dans 50 pays au monde. La célèbre marque à la petite fleur fondée en 1965, qui emploie 1.250 collaborateurs, recrute sans cesse pour les fabriquer. Une cinquantaine d’emplois sont ainsi à pourvoir actuellement sur son portail dédié. Après avoir appartenu au fonds américain General Mills, Yoplait fait désormais partie du groupe Sodiaal, qui s’affiche comme la première coopérative laitière française avec 10.000 salariés, 17.000 éleveurs, 70 sites de transformation en France et un chiffre d’affaires annuel de près de 800 millions d’euros. La coopérative Sodiaal bosse sa marque employeur, notamment en vidéo avec une websérie de portraits collaborateurs face caméra nommée L’interview Coop’. Chacun partage son quotidien et les qualités pour son job. Yoplait bénéficie aussi des retombées. En quelque sorte : une fleur, la vie… au Travail, la vraie !
Yoplait recrute, postulez !
Pour rejoindre l’aventure du yaourt à la petite fleur 👉 c’est par ici
En région Sud, Carbon vise 3.000 emplois
pour sa giga-usine photovoltaïque
A Fos-sur-Mer, sur le Grand port maritime de Marseille au cœur de la région Sud Paca, le groupe Carbon Solar va investir 1,5 milliard d’euros pour créer une giga-usine de fabrication de panneaux solaires. Sa mise en service est prévue fin 2025, avec 3.000 emplois directs.
Déjà annoncée comme « la plus grand usine de panneaux photovoltaïques d’Europe », contribuant ainsi à l’autonomie industrielle de la France, Carbon Solar voit grand à Fos-sur-Mer en région Sud. Un plan d’investissements d’1,5 milliard d’euros est enclenché pour créer cette unité de fabrication de panneaux solaires sur 45 hectares environ, dont 30 hectares « artificialisés » avec 24,5 hectares de surface plancher (dont 210.000 m² pour la production sur deux étages). Le permis de construire a été officiellement déposé dans ce sens par Nicolas Chandellier, directeur général de Carbon, le 18 avril 2024.
« Ce dépôt de la demande de permis de construire marque une étape opérationnelle importante pour notre projet industriel d’ampleur », précise Pierre-Emmanuel Martin, son président fondateur qui entend construire le leader européen de l’industrie photovoltaïque, en mettant au cœur de sa stratégie « la durabilité, la compétitivité et l’innovation, et en déployant le seul projet européen garantissant une entière souveraineté industrielle (du lingot au module). »
Un giga-campus
L’entreprise prévoit de recruter directement 3.000 personnes dans ce projet de giga-usine qui aurait une capacité de production annuelle de 5 GW de cellules photovoltaïques et 3,5 GW de modules. Véritable campus industriel rayonnant au sein du Grand Port Maritime de Marseille, Carbon Solar devrait être opérationnel mi-2025, avec une montée en puissance progressive en 2026.
La Région Sud soutient ce projet à travers une première subvention de 15 millions d’euros, de même que le géant marseillais du transport CMA-CGM via son fonds privé Energies. L’activité de Carbon devrait générer un flux de 20.000 containers par an environ.
Sa marque employeur
Les recrutements sont lancés et Carbon Solar bosse sa marque employeur. Pour son attractivité, l’entreprise annonce la couleur aux candidats potentiels : « En intégrant Carbon, vous vous engagez aux côtés d’un futur leader européen de l’industrie verte. Vous aurez l’opportunité de collaborer avec les meilleurs experts du photovoltaïque et de participer à la concrétisation d’une vision souveraine et décarbonée de l’Europe. Rejoindre Carbon, c’est rejoindre une équipe passionnée, expérimentée et diversifiée, unie par des valeurs communes et des objectifs ambitieux. »
Ils recrutent, postulez !
Carbon Solar recrute…
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Voir le manifeste de Carbon en vidéo ⤵️
EN IMMERSION DANS VOTRE FUTUR JOB…
Je teste le métier de chaudronnier
soudeur chez Serap Industries
Connaissez-vous le job de chaudronnier soudeur dans l’industrie ? Chez Serap, qui recrute et bosse sa marque employeur en Mayenne, je teste ce travail avec Mickaël à la fabrication de tanks à lait et cuves vinicoles. Bienvenue en immersion vidéo dans votre futur job !
Connais-tu le job de chaudronnier ? Non, il ne bosse pas dans un chaudron magique et n’est pas tombé dans la potion quand il était petit ! Quoique… Mickaël nous fait découvrir son métier passion, qu’il exerce depuis 27 ans maintenant chez Serap Industries qui recrute et bosse sa marque employeur en vidéo, en Mayenne, à Gorron. Cette entreprise à l’esprit familial est spécialisée dans la conception et la fabrication de tanks à lait et cuves vinicoles.
N°1 mondial
Numéro 1 mondial de son secteur, le groupe industriel les exporte dans le monde entier. A partir de tôles brutes, les chaudronniers, pointeurs, soudeurs… créent ces cuves de 900 à 30.000 litres. Serap, c’est le spécialiste de la chaudronnerie inox et des échanges thermiques. L’entreprise qui a fêté ses 60 ans en 2023, réalise 53 millions d’euros de chiffre d’affaires (comme le département 53;) Serap dispose de cinq usines : deux en France (Gorron et Mâcon), une en Inde, une au Brésil et il une au Mexique. Serap emploie 530 salariés dont 260 à Gorron où nous avons testé le métier de chaudronnier.
Son parcours après un CAP…
Après son service militaire et un niveau CAP plâtrier, Mickaël a travaillé en intérim et multiplié les jobs : monteur de meubles, opérateur machine, imprimeur, magasinier… Puis, il a fait un stage en soudure qui lui a bien plu. Trois mois plus tard, était embauché par Serap qui recrute directement tous les talents pour ses ateliers ! Et il y est resté, épanoui au travail et en équipe. J’ai personnellement été surpris par la modernité et la propreté des ateliers. Ici, la robotisation est partout, comme les aides à la manutention. Métier sale, physique, dangereux et solitaire ? Pas du tout ! Le travail de l’inox, à 100% ici, est vraiment noble et les compétences sont diversifiées.
Qui est Serap Industries ?
Serap défend également une politique RH très engagée qui sert sa marque employeur attractive avec, par exemple, une assistante sociale chaque semaine à dispo des salariés gratuitement, sur leur temps de travail, un budget formation plus élevé que la plupart des entreprises (6% de la masse salariale), une Charte du bien-être… Société indépendante, Serap a même ouvert à ses salariés l’accès au capital sur la base du volontariat. « Aujourd’hui 85% des salariés sont actionnaires et détiennent un tiers de l’entreprise« , explique la direction qui met en avant la « transparence de l’information et des projets de l’entreprise et un investissement plus engagé des salariés« .
Serap recrute, postule !
Merci et bravo à Mickaël et à l’équipe de l’entreprise et toutes les actrices et acteurs de ce projet d’attractivité !
✔️ Toi aussi, tu as envie de venir bosser chez Groupe Serap 👉 postule ici
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Aptitudes
PROFESSIONNELLES
Être organisé et minutieux
Être autonome
Travailler en équipe
Marque employeur
Pourquoi Serap Industries bosse son attractivité en vidéo
Serap Industries a fait appel aux équipes de tournage audiovisuel de Jeviensbosserchezvous pour bosser sa marque employeur en vidéo. Les salariés, acteurs du quotidien, témoignent de leur quotidien à micro et caméra ouverts.
La vidéo ainsi réalisée et largement diffusée contribue à booster l’attractivité de l’entreprise pour des retombées positives, tant en interne qu’en externe. La vie au Travail, la vraie !
Un projet qui s’inscrit dans le cadre d’une valorisation des métiers de l’industrie et de la chaudronnerie en particulier. Merci pour ce témoignage vidéo au duo Nathalie Maucourt, chargée de communication & marketing, et Noémie Angot, chargée de recrutement & formation chez Serap qui recrute en Mayenne…
Bobcat embauche en Loire-Atlantique
pour élever ses engins télescopiques
A Pontchâteau, en Loire-Atlantique où il fête ses 60 ans, l’industriel Bobcat recrute et bosse sa marque employeur pour attirer de nouveaux profils. Cette filiale du groupe coréen Doosan, leader mondial des engins de construction compacts et autres chariots élévateurs, y emploie 340 salariés.
Ils sont plus de 300 salariés français (3.000 dans le monde) et fabriquent chaque année près de 3.000 chariots élévateurs à la célèbre marque Bobcat. Bienvenue sur le site de production de Pontchâteau, en Loire-Atlantique, qui recrute ! L’entreprise indique y avoir investi 30 millions d’euros ces 10 dernières années.
Soudeurs, peintres…
Né il y a 60 ans, le site de Pontchâteau est à la fois un pôle de production des fameux engins télescopiques, mais aussi un centre de recherche et développement (R&D) pour le groupe. Les soudeurs et peintres industriels sont les bienvenus et très attendus en ce moment sur la chaîne d’assemblage qui tourne à plein régime. L’effectif de quelque 340 salariés pourrait même doubler si… les recrutements suivent. Le groupe international a pourtant des atouts à faire valoir pour booster sa marque employeur.
Marque reconnue dans le monde entier, Bobcat a franchi en France, en 2023, « une étape impressionnante » en fabriquant sa 111.000e machine et son 40.000e télescopique ! « Notre gamme actuelle de télescopiques se compose de 14 modèles sur cinq plates-formes, avec des marchés clés dans les domaines de l’agriculture, de la construction et de la location, explique Philippe Marescot, le directeur du site ligérien Doosan Bobcat EMEA. La gestion d’un portefeuille aussi complet n’est possible que grâce à notre équipe d’ingénieurs expérimentés, qui supervisent toutes les activités européennes de développement des chargeurs télescopiques et contribuent également à l’échelle mondiale. Plus de 80 % de notre production est destinée à l’exportation », ajoute le patron de ce pôle fleuron européen.
Présent dans 38 pays
Doosan Group, firme sud-coréenne à laquelle appartient Bobcat, emploie plus de 43.000 personnes dans 38 pays. Autant dire que les opportunités de carrières et passerelles dans le monde ne manquent pas non plus ! « Le succès de Doosan Bobcat repose en grande partie sur ses employés. Grâce à notre culture de la victoire et à notre esprit d’équipe, nous proposons à nos clients des produits et des services de très grande qualité, et contribuons à rendre le monde meilleur« , indique le groupe qui bosse sa marque employeur pour attirer les candidats. Avis aux amateurs.
Ils recrutent, postulez !
Bobcat recrute…
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En Vendée, Arcade Cycles investit 17 M€
pour doubler sa production et recrute
Pour doubler ses capacités et produire un plan annuel ambitieux de 120.000 cycles, Arcade Cycles investit 17 millions d’euros à La Roche-sur-Yon en Vendée où elle a un nouveau bâtiment. L’entreprise recrute et bosse son attractivité pour 60 embauches en vue.
Spécialiste des flottes de vélos pour entreprises et collectivités revendiquant près de 200 villes de 28 pays au monde, l’entreprise vendéenne Arcade Cycles double ses capacités de production et embauche. Un vaste plan d’investissements de 17 millions d’euros, dans le cadre de France Relance, lui a déjà permis d’agrandir son site industriel et siège actuel pour le porter à 15.000 mètres carrés début 2024, soit « 2,5 fois plus grand que l’ancien », à La Roche-sur-Yon. Quelque 60.000 vélos dont la moitié électriques sont assemblés par an. Ce chiffre doit doubler voire même tripler d’ici à 2030 !
Cap sur 200 emplois
Née grâce aux loueurs de vélos sur la côte atlantique en 1995, Arcade Cycles exporte depuis son savoir-faire d’assembleur. Aujourd’hui forte de 130 salariés, l’entreprise recrute et prévoit même une soixantaine d’embauches pour ses besoins d’expansion. Elle recherche des techniciens cycles, mais aussi assistants commerciaux, services supports…
Une extension de son bâtiment est encore possible grâce à une réserve foncière. « Nos actions se tournent vers l’avenir et l’émergence du vélo électrique connecté. En 25 ans, Arcade a ainsi développé une large gamme de beaux vélos faits pour durer« , indique l’entreprise.
100 M€ d’ici à 2030…
Ça roule pour Arcade Cycles ! En 2010, elle réalisait 8 millions d’euros de chiffre d’affaires. En 2022, c’était 38 millions d’euros, à 80% en BtoB avec 20% à l’export. L’entreprise vend aussi en ligne aux particuliers et à travers un réseau d’une centaine de distributeurs. Désormais, son dirigeant Frédéric Lucas, qui vient de succéder à son père à la tête de l’enseigne familiale, vise les 100 millions d’euros en 2030…
Ils recrutent, postulez !
Arcade Cycles recrute…
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Le nucléaire recrute : 10.000 postes
à pourvoir chaque année en France
Près de 10.000 emplois sont à pourvoir chaque année dans la filière nucléaire en France. Parmi les recruteurs de premier ordre, Orano multiplie les recrutements sur ses nombreux sites. C’est le cas aussi d’EDF, Fives Nordon… Avec ou sans diplôme et expérience, tous les profils sont recherchés !
Parmi les filières dynamiques pourvoyeuses de nombreux recrutements chaque année, le nucléaire poursuit sur sa lancée en 2024, sur des sites bien connus : La Hague, Tricastin… Face aux défis énergétiques, près de 10.000 emplois sont à pourvoir chaque année pendant dix ans dans la filière en France. Et on estime le besoin de cadres à 3.000 embauches par an jusqu’en 2033 ! C’est le cas notamment chez Orano (4,7 Md€ de CA en hausse de +13,1%), acteur majeur du secteur qui emploie 17.500 personnes dans le monde et recrute chaque année environ 1.500 collaborateurs en CDI, « du CAP au Bac+5 ». Plus de 1.000 offres d’emplois tournent actuellement sur son site internet : des ingénieurs, des techniciens instrumentistes, des conducteurs d’installations nucléaires, des pilotes de maintenance, et autres opérateurs…
Chez Fives Nordon, autre acteur majeur de la filière qui assure une partie de la maintenance du parc nucléaire français, 600 postes sont à pourvoir d’ici à 2029. Six EPR sont à construire, selon le plan d’Emmanuel Macron qui a relancé la filière avec ces réacteurs de troisième génération.
Litholamelleur
Dans les besoins, on trouve aussi et peut-être de façon plus inattendue ces autres métiers : des chauffeurs, échafaudeurs, bobiniers, tourneurs-fraiseurs, hydrogéologues… A l’image de ses confrères, le groupe industriel français compte pas moins de 250 métiers différents aves des salaires attractifs, « de l’exploration au recyclage » précise-t-il. Connaissez-vous par exemple le métier de litholamelleur ? C’est celui qui bosse en laboratoire pour fabriquer des lames très minces de roches afin d’étudier la consistance des minerais, à la recherche d’uranium bien sûr.
Formation interne assurée
Bosser dans une centrale nucléaire, ça ne s’improvise pas ! Fin 2023, Orano a lancé son parcours de formation interne en alternance, pour le métier de la radioprotection. Ses trois sites du Tricastin (26), Marcoule (30) et Malvési (11), au sud, sont concernés par cette opération menée en lien avec France Travail. Soit 450 heures de formation entièrement financées. Orano forme à lui seul 800 alternants chaque année. Les étudiants, salariés de demain, sont aussi les bienvenus en stages et contrats VIE.
L’Université des métiers du nucléaire a également ouvert ses portes en avril 2021 à l’initiative de France Travail avec 12 membres fondateurs dont l’UIMM, EDF, Orano. Et une semaine spéciale leur est désormais dédiée chaque année en février. La 2e édition a eu lieu en 2024.
Ils recrutent, postulez !
Orano recrute…
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Safran va créer une fonderie
avec 200 emplois à Rennes
A Rennes, Safran va implanter pour 80 M€ un nouveau site de production de pièces de moteurs d’avion : des aubages de turbines. Cette entité Safran Turbine Airfoils comptera 200 emplois en 2027 sur le pôle industriel de La Janais où est historiquement basé le constructeur automobile PSA.
200, c’est le nombre d’emplois promis par Safran sur sa nouvelle fonderie bretonne, à Rennes. L’industriel veut y investir 80 millions d’euros. Opérationnel en 2027, ce pôle sera dédié à la production d’aubages de turbine pour ses programmes de motorisation dits majeurs. C’est au coeur du site automobile de La Janais, historiquement dédié à PSA (devenu Stellentis) et en cours de réindustrialisation, que l’avionneur basera son entité nommée Safran Turbine Airfoils, en soutien à son réseau mondial de production de pièces de moteurs d’avions et en lien étroit avec sa fonderie mère à Gennevilliers, en région parisienne.
« Une vitrine »
« Nous sommes très heureux d’annoncer la création de ce nouveau site de production sur un territoire dynamique et attractif, a déclaré Olivier Andriès, directeur général de Safran. L’implantation de Safran Turbine Airfoils est une décision stratégique qui témoigne de notre soutien à la souveraineté nationale et à la renaissance industrielle de la France. Nous voulons faire de Safran Turbine Airfoils une vitrine pour le groupe en matière d’innovation, d’efficacité industrielle et de performance énergétique. »
De son côté, Jean-Paul Alary, le président de Safran Aircraft Engines, précise la destination de ces futures pièces : « Safran Turbine Airfoils nous permettra de répondre à nos enjeux de montée en cadence sur le moteur militaire M88, dont les pièces sont majoritairement produites sur notre territoire, et de renforcer la chaîne d’approvisionnement du moteur LEAP en fabriquant en France une partie de la production de pièces critiques. » Ce type de moteur en service depuis 2016 permet de réduire de 15% la consommation de carburant et les émissions de CO2 des avions monocouloirs de nouvelle génération : familles d’avions Airbus A320neo et Boeing 737 MAX.
Une industrie en forte croissance
Safran emploie quelque 92.000 salariés sur 276 sites dans le monde (présent dans 27 pays), pour un chiffre d’affaires de 23,19 milliards d’euros en 2023, en hausse de 21,9%. En 2023, son résultat opérationnel courant a atteint 3,16 milliards d’euros, en augmentation de 31,5%, pour un résultat net à deux milliards d’euros. Pour 2024, l’industriel s’attend à un chiffre d’affaires de 27,4 Md€.
Ils recrutent, postulez !
Safran recrute des passionnés de technologies et annonce « 12.000 opportunités cette année ». En Bretagne, Safran propose déjà des offres d’emplois pour ses sites de Cesson-Sévigné, Dinard, Fougères en Ille-et-Vilaine et Guidel dans le Morbihan.
Pour rejoindre ses équipes 👉 postulez ici !
Qui veut fabriquer du paracétamol
en France chez Ipsophène ou Seqens ?
Au sud de Toulouse, dans la région Occitanie, la startup Ipsophène veut ouvrir la première usine de paracétamol en Europe en 2025. A la clé : 28 M€ investis et 40 emplois. A moins que son confrère Seqens la double en Isère…
Annoncée déjà comme la première usine européenne de paracétamol, Ipsophène doit produire 3.000 à 4.000 tonnes (par an) de ce médicament au premier semestre 2025. La commercialisation, elle, est attendue au printemps 2025 auprès de laboratoires notamment français. C’est au sud de Toulouse, dans un bâtiment de 5.000 mètres carrés sur l’Oncopole, que ce projet porté par Jean Boher doit voir le jour avec un investissement conséquent de 28 millions d’euros, financé à 15% par la région Occitanie.
Jobs en vue
En jeu : 35 à 40 créations d’emplois prévus. Ce projet doit remédier en partie à la pénurie de médicaments dans l’Hexagone suite au Covid. Les coûts de production seront réduits et l’usine innovante et respectueuse de l’environnement, promet son promoteur, même si le prix de vente resterait 30 à 40% plus élevé que les produits d’importation.
Retrouver une souveraineté
La course à la souveraineté pharmaceutique est lancée ! En Isère, le confrère Seqens investit aussi pour produire 10.000 tonnes du fameux antalgique par an sur son site historique de Roussillon. En 2021, il avait annoncé une centaine d’emplois et 75 M€ liés à ce projet de délocalisation. Le projet, initialement annoncé pour 2024, est reporté à 2026…
Aujourd’hui, environ 85% du principe actif du paracétamol est importé d’Inde, de Chine ou des Etats-Unis. Et depuis 2009 et la fermeture de la dernière usine, l’Europe n’en fabrique plus. A Toulouse, Jean Boher joue la carte de la souveraineté européenne, si chère aux politiques.
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