Connais-tu le métier de technicien de maintenance ? En immersion vidéo chez Keolis Armor, je t’emmène découvrir le quotidien de Frédéric et son équipe, dans leur atelier très agréable. Ici, bus et cars sont entretenus par ces professionnels passionnés. Mécanique, hydraulique, pneumatique, électronique… Tout est passé en revue : environ 70% de préventif (entretien courant et contrôle technique) et 30% d’actions curatives comme les pannes et réparations.

Son quotidien

Les techniciens de maintenance préparent les véhicules au contrôle technique, aussi bien les moteurs au diesel que les nouveaux ensembles au gaz naturel GNV. Une centaine de points sont à vérifier. « Il faut être polyvalent, c’est ça l’avantage du métier. Aucun jour ne ressemble à un autre ! »

Un métier pasion

Frédéric est passionné depuis son plus jeune âge par la mécanique. Il était d’ailleurs plutôt de la team 103 en mobylette… Moi c’était la 102 ! Et il travaille chez Keolis Armor depuis plus de 15 ans. Il a évolué et il est même chef d’équipe aujourd’hui. « Si tu fiabilises ton véhicule, tu as une sorte de satisfaction. Tu sais que les élèves vont arriver à l’heure et en sécurité à l’école, les clients à l’heure au travail… tout le monde est content. On travaille dans l’ombre mais on fiabilise le matériel pour la satisfaction du client« , confie Frédéric.

Au niveau diplômes, il a décroché son bac technologique après un BEP. Puis, Frédéric a obtenu un BTS option véhicules industriels. Ses qualités pour ce métier ? « Il faut de la rigueur, de l’organisation et de la passion ! »

Merci et bravo à Frédéric  et toute l’équipe de l’entreprise pour leur accueil. Envie de devenir toi aussi technicien de maintenance (H/F)❓ Keolis Armor te recrute 🙋🏻‍♂️🙋🏽‍♀️
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📞 02.99.26.16.00.

De Marseille à Jeumont, de l’est à l’ouest en passant par Toulouse, Bordeaux… Ces entreprises recrutent tous azimuts en France. Voici un Top10 des PME-PMI qui cumulent près de 2.000 emplois à pourvoir immédiatement en régions. Peut-être ton futur métier ?

KB2M : 230 emplois à Bordeaux

A Bordeaux, l’opérateur du réseau de transports urbains Keolis Bordeaux Métropole Mobilités (KB2M), qui compte 2.800 salariés (CA : 304 M€), offre 230 postes en 2025. Sont les bienvenus des conducteurs de bus et de tramway (200) mais aussi des profils pour les fonctions supports : contrôle de gestion, marketing, numérique, etc.

70 postes chez Jeumont Electric au Nord

Filiale des groupes Framatome (69 %) et Naval Group (31 %), Jeumont Electric bosse pour les secteurs industriels porteurs, naval et nucléaire. Basé à Jeumont près de Maubeuge dans le Nord, cet équipementier majeur de production et conversion d’électricité lance un job dating pour un plan de recrutement de 70 personnes en CDI. De la main-d’œuvre nécessaire à fabriquer les alternateurs et moteurs électriques maison. Ils sont déjà 650 à travailler chez Jeumont Electric, répartis sur quatre sites industriels.

Chez Septeo à Montpellier, 350 emplois en vue

Basé à Montpellier en région Occitanie, l’éditeur de logiciels des professionnels du droit, du chiffre et de l’immobilier, Septeo (3.100 salariés, 420 M€ de CA) ouvre 350 postes. L’entreprise en pleine croissance (+20%), grâce notamment à huit acquisitions en 2024, recherche des profils experts en cybersécurité, data science et intelligence artificielle (IA). Son ambition 2030 : un milliard d’euros de revenus !

A Marignane +500 chez Airbus Helicopters

600 millions d’euros, c’est le montant d’investissements annoncés par Airbus Helicopters (13.00 salariés) à Marignane, dans la banlieue marseillaise où 500 nouveaux emplois sont en jeu. Un vaste plan pour moderniser ce site industriel vieux de 80 ans et dédié à la fois aux secteurs militaire et au civil : 200 à 250 appareils fabriqués par an, grâce à plus de 200 métiers représentés. Le carnet de commandes est au plus haut et représente même trois années de production ! Ce plan s’inscrit dans une enveloppe globale d’un milliard d’euros pour la filière hélicoptères dans le sud de la France avec 6.000 personnes à recruter d’ici à 2031. Airbus Marignane embauche et devient, lui, un « centre d’expertise » du groupe pour tous les rotors et transmissions.

350 postes chez Cash Piscine Bordeaux

A Mérignac, aux portes de Bordeaux, le réseau de distribution de produits de piscine et spa Cash Piscine (1.000 salariés) projette de créer 350 emplois. Déjà fort de 159 magasins, son maillage va encore s’étendre en Belgique, à La Réunion, mais aussi en France métropolitaine. D’où ses besoins de main-d’œuvre.

15 emplois à Grasse

La nouvelle usine de Cosmo International Fragrances à Grasse mobilise un investissement de 12 millions d’euros qui va générer la création d’une quinzaine d’emplois dans un premier temps. Ce site de 2.000 m² produira des ingrédients naturels issus de procédés verts pour la parfumerie et la cosmétique. Mise en route prévue en 2026.

En Normandie, Socotec vise 130 emplois

Ses métiers : test, inspection et certification pour les secteurs de la construction, de l’immobilier, des infrastructures et de l’industrie. Socotec (14.000 salariés) recherche des techniciens, ingénieurs, managers, commerciaux et directeurs d’agences. En Normandie, où il emploie 450 collaborateurs dans 24 agences, le groupe a ouvert deux nouveaux centres de formation à Cherbourg-en-Cotentin et souhaite embaucher 130 salariés en 2025, pour répondre à ses projets notamment de monitoring de la corrosion des fondations d’un parc d’éoliennes offshore (Courseulles-sur-Mer).

140 postes chez Harmonie Mutuelle (44)

Dans les Pays de la Loire, Harmonie Mutuelle projette la création de 140 emplois sur l’année (contre 100 en 2024). La mutuelle a notamment besoin de commerciaux en agences mais aussi dans ses centres d’appels.

Carrier : nouvelle usine et 100 emplois

Dans l’Ain, à Montluel, Carrier vient d’investir 30 millions d’euros pour s’étendre et se moderniser. C’est là qu’est basé le siège européen de la firme américaine Carrier Global Corporation, mais aussi un centre de production, de R&D et d’essais thermiques de l’expert mondial en chauffage, ventilation et climatisation (CVC). Ce pôle emploie déjà 800 salariés, mais doit se renforcer d’une centaine de postes supplémentaires : des opérateurs, des ingénieurs… En 2024, Carrier y a embauché 30 techniciens de maintenance. Un rythme qu’il compte garder jusqu’en 2030. Son site de l’Ain est spécialisé dans les refroidisseurs de liquide et des pompes à chaleur pour le tertiaire et l’industrie. Il travaille notamment pour les data centers à refroidir ou les réseaux de chaleur urbains.

Elanco : 50 de plus dans l’Est

Le producteur de médicaments pour les animaux de compagnie Elanco agrandit de 5.000 m² son usine à Huningue, dans le Haut-Rhin. Un projet d’investissement de 35 millions d’euros, assortis de la création de 50 emplois, en plus des 230 salariés déjà en place. Filiale du groupe américain Elanco Animal Health Incorporated (9.000 salariés, 4,1 Md€ de CA), cette unité produit chaque année quelque 300 millions de comprimés et ampoules.

✔️ Vous aussi, vous recrutez ? Faites-le nous savoir… Détaillez-nous votre projet et nous en parlerons via notre média ! Ecrivez-nous par ici 👈

Source : Le Journal des Entreprises (à lire ici 👈)

Ces sept prochaines années, l’industriel lorrain St-Hubert va investir 50 millions d’euros à Ludres, près de Nancy. Cet investissement massif doit en grande partie servir à la décarbonation du site de production des célèbres plaquettes de margarine « riche en oméga3 ». Avec l’explosion des factures énergétiques, l’entreprise veut notamment récupérer les calories perdues de ses machines et améliorer son isolation. Objectif affiché : réduire de 63% ses émissions de CO2, soit quelque 1.100 tonnes par an.
St-Hubert veut aussi en profiter pour augmenter ses capacités de production avec quelques recrutements à la clé. Actuellement, elle produit 27.500 tonnes de margarine chaque année.

230 emplois

L’entreprise créée en 1904 fête ses 120 ans (sous un nouveau logo) et compte à ce jour 230 salariés dont 110 à Ludres spécialisé dans la margarine. En France où St-Hubert dit détenir 43,3% de parts de marché, il se vend une de ses barquettes chaque seconde, soit 12.000 barquettes par heure, selon Jérôme Stein, le directeur industriel de la marque propriété des fonds chinois Beijing Sanyuan Foods Co et Fosun Group depuis 2018. C’est ce dernier qui détient aussi le Club Med.

France, Italie, Chine…

En 2023, St-Hubert a réalisé plus de 115 millions d’euros de chiffre d’affaires. « Nous sommes également présents en Italie sur le marché des matières grasses végétales à tartiner et des pâtes à dérouler sous la marque Valle’, indique l’entreprise. Et depuis 2020 nous sommes présents en Chine sur le marché des boissons végétales. »

Ils recrutent, postulez !

St-Hubert recrute.
Pour rejoindre ses équipes 👉 postulez ici !

Fermez les yeux, faites une pause… Installez-vous confortablement. Vous entendez le vent ? Montez avec moi dans une éolienne à 70m du sol, à la découverte du job d’Alexis, technicien de maintenance éolien.

👷🏻‍♂️Chaussures de sécurité, harnais et casque : go ! Nous voilà équipés pour mon baptême d’éolienne. Direction la Picardie. Aujourd’hui, je vous emmène bosser avec Alexis, technicien de maintenance éolien chez Innovent. Cette entreprise basée à Villeneuve-d’Ascq, dans le Nord, est l’un des tout premiers acteurs industriels de l’éolien en France. Innovent imagine, installe et exploite des fermes éoliennes et solaires dans le monde entier. Notre mission du jour : changer un automate électronique dans le « hub », au cœur de la machine.

Sensations fortes

On va prendre l’air frais et un peu de hauteur ensemble dans cet épisode de dingue. Ascension à 70 m sans ascenseur ! Sortie sur le toit de l’éolienne… Moi qui ai assez peur du vide, j’avoue que je me suis toujours senti en totale sécurité. Et vous, avez-vous le vertige ?  Sensations étranges : d’abord l’impression de monter dans une fusée, ensuite de se trouver sur un bateau à tanguer dans la carlingue et le rotor, puis sur un avion en plein air.

Après un bac STI2D…

Si vous ne savez pas quoi faire après un Bac de la filière STI2D, Sciences et Technologies de l’Industrie et du Développement Durable, j’ai une idée… Suivez-nous dans cette aventure exceptionnelle et extraordinaire pour nous, mais qui est l’ordinaire de ces funambules éoliens, réparateurs du ciel.

Ils recrutent, postulez !

Merci InnoVent pour ce baptême d’éolienne en Picardie, en partenariat avec Hachette Education #HachetteTechnique
Merci à Alexis et son équipe technique pour leur accueil !
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📺 Regardez aussi cet épisode 👉  en vidéo
*Épisode aimablement sponsorisé par HACHETTE TECHNIQUE
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En 2024, la RATP prévoit le recrutement de 5.300 agents. En détails, ce sont 3.700 CDI, 1.000 contrats d’alternance et 600 contrats d’insertion. Les JO de Paris y sont pour beaucoup mais pas seulement. Des départs sont naturellement à remplacer et le président du groupe, l’ancien Premier ministre Jean Castex veut aussi redresser la qualité de service délivrée avec des moyens humains supplémentaires. L’an dernier déjà, l’entreprise avait annoncé un vaste plan de 6.600 emplois à pourvoir, « sans diplôme à Bac+5« . Un millier de nouveaux alternants sont aussi attendus dont 850 au sein de son propre Centre de formation des apprentis (CFA) de la mobilité urbaine durable (MUD).

Conducteurs bienvenus !

Parmi ces 5.300 promesses d’embauches, la RATP a surtout besoin de conducteurs. Le besoin s’élève à 1.350 chauffeurs de bus (dont 1.200 sur Paris et petite couronne et 150 en grande couronne avec RATP Cap Île-de-France), 120 conducteurs de métro. Les deux autres métiers les plus recherchés concernent les techniciens de maintenance (350 postes à pourvoir) et les agents en gares et stations (900 recrutements) notamment pour l’accueil et l’information des passagers, la vente et la sécurité (120). « Nous recrutons notamment pour les postes de mécanicien d’entretien des trains et des métros, technicien de dépannage des trains, électromécanicien, électronicien, électricien, mainteneur en signalisation ferroviaire et en pilotage automatique« , indique le groupe.

Des ingénieurs et cadres aussi

Parmi l’ensemble de ces besoins, près de 550 emplois d’ingénieurs et cadres sont aussi à pourvoir, « principalement des ingénieurs et chefs de projet des métiers du digital et de la cybersécurité, de la maintenance, des infrastructures et systèmes industriels, mais aussi des postes de managers d’exploitation« .

Postulez !

La Régie autonome des transports (RATP), 3e opérateur mondial des transports urbains, ce sont plus de 250 métiers différents. Peut-être le vôtre demain ? Pour postuler à la RATP 👉 c’est ici

✔️ Tous nos contenus sur les métiers de la RATP 👉 à retrouver ici

Valère, responsable maintenance, me materne aujourd’hui… Suite de notre web-série spéciale Je viens bosser chez Materne, avec Valère, qui travaille en maintenance sur le site de Boué dans l’Aisne. Valère est responsable maintenance et automatisme chez Materne depuis 11 ans.

Des pâtes oui, mais des jobs aussi ! Panzani recrute dans les Bouches-du-Rhône, pour son site de production de couscous à Vitrolles, aux portes de Marseille. Dans l’équipe de maintenance, les techniciens sont les bienvenus. Je découvre ce métier passionnant en compagnie de Laïd, au cœur du conditionnement de semoules diverses.

Changement de métier à 47 ans

Laïd exerce ce métier depuis 2022. « C’est récent… » Courageux, volontaire et déterminé, il a repris des études à l’âge de 47 ans. Il vient d’obtenir un CQP, Certificat de Qualification Professionnelle en maintenance, grâce à une formation d’un an en alternance avec l’IFRIA Sud Paca. Laïd est un bon exemple de reconversion professionnelle réussie.

Quel parcours ?

Arrivé en 1997 en tant qu’intérimaire, il a été embauché en deux ans plus tard comme opérateur puis conducteur de ligne à divers postes de l’entreprise. « J’avais pour objectif de devenir technicien de maintenance, précise-t-il. Il suffit de le vouloir. J’ai eu plusieurs formations, j’ai dû repartir à l’école… »
Laïd a bénéficié d’évolutions professionnelles grâce à sa motivation et Panzani qui lui a fait confiance. Pour être un bon technicien de maintenance, selon lui, « il faut plusieurs qualités : le sérieux, travailler dans l’humour, l’esprit et le sens de l’équipe. »

C’est d’ailleurs en équipe pluridisciplinaire qu’il participe régulièrement à des dégustations au laboratoire qualité de l’entreprise. Le technicien de maintenance participe pleinement à la production et donc à la qualité des semoules produites ici. Laïd est incollable sur les divers formats.

« Touche à tout »

Ce qu’il aime le plus dans son nouveau métier de technicien de maitenance ? « Ce qui me plaît c’est qu’on touche à tout, confie-t-il. Il y a plusieurs compétences : la mécanique, l’électricité, le pneumatique, l’automatisme… » Il commence sa prise de poste par un débriefing en équipe, pour connaître ses missions de prévention et de réparation. « Nous sommes une équipe, il y a de l’entraide entre les collègues ! C’est bien et c’est ça qui fait la magie du boulot« , ajoute-t-il, épanoui au travail. Laïd bosse en 3×8 soit de matinée, soit d’après-midi ou soit de nuit. Il est plutôt du matin, pour profiter de son après-midi… à la plage par exemple, à proximité. Il est aussi fan de l’Olympique de Marseille (OM) et ne manquerait un match pour rien au monde. « Tu as tout compris« , lance-t-il, toujours le sourire aux lèvres.

Un message à faire passer Laïd ? « Il ne faut jamais rien lâcher et toujours avoir un objectif dans la vie. Jamais se dire que c’est trop tard pour atteindre ses objectifs ! Il faut bosser et il y aura toujours un résultat. »

Panzani recrute, postulez !

Merci et bravo à Laïd et toute l’équipe de l’entreprise pour leur accueil.
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Panzani et l’agroalimentaire recrutent, avec ou sans diplôme…
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✔️ En savoir + sur les formations 👉  l’IFRIA Sud Paca

🇫🇷 Cette vidéo est le 93e épisode de notre websérie spéciale tour de France de l’agroalimentaire. Suivez nos aventures en immersion dans les entreprises de la filière qui recrute partout en France.

Dans les coulisses de la fabrique des fameux calissons d’Aix du Roy René (mon péché mignon;) je découvre le métier de technicien de maintenance avec mon guide formateur Augustin. Aussi important que les métiers de la production, il est complémentaire et soutient ses collègues pour que leur outil de travail soit 100% opérationnel. Ça sent pour le nougat dans cet atelier XXL…

Au menu : prévention et réparation

Dans ce site de production en Provence, qui compte une centaine de salariés, Augustin fait partie d’une équipe d’une petite dizaine de techniciens prêts à intervenir, en cas de panne, comme des urgentistes. Le reste du temps, la maintenance mène des opérations préventives. Graissage de chaînes, contrôle de machines, réglage de robots… « Il n’y a pas une journée pareille !« , s’enthousiasme Augustin, entré dans l’entreprise comme stagiaire et aujourd’hui responsable adjoint du service maintenance. Il a évolué en deux ans, vu ses compétences et sa motivation.

Son parcours

Après un baccalauréat technique en sciences de l’ingénieur, le jeune homme a poursuivi ses études par un BTS assistant technique d’ingénieur et une école d’ingénieur en mécanique et en automatismes. Il a pu valider son stage chez Le Roy René où il a été embauché. Ce qui lui plaît dans ce job : « L’intervention très courte, les urgences ! Ce n’est jamais la même chose… » Au beau milieu des calissons et des pâtes de nougat, Augustin en voit de toutes les couleurs : mécanique, électricité, hydraulique, pneumatique…

Une fabrique, un musée…

Et la boutique et le musée (qui accueille 70.000 visiteurs par an) ne sont jamais loin pour une pause bien méritée ! Le calisson d’Aix du Roy René ou de la Reine Jeanne, vous les aimez à quel parfum vous ? Ils font partie des 13 desserts provençaux qui trônent sur nos tables de fête l’hiver. L’été, venez goûter la glace maison… Labellisée Entreprise du Patrimoine Vivant (EPV), la fabrique centenaire du Roy René est installée dans un bâtiment éco-responsable, labellisé Bâtiment Durable Méditerranéen, une première dans le secteur de l’agro-alimentaire en région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Ce dernier est composé de 1.000 blocs de pierre de Castillon qui rappelle les rues d’Aix.

Le Roy René recrute, postulez !

Merci à Augustin et toute l’équipe de l’entreprise pour leur accueil.
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Le Roy René et l’agroalimentaire recrutent 🙋🏻‍♂️🙋🏽‍♀️
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📩 recrutement@calisson.com / 04.42.39.11.58.
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🇫🇷 Cette vidéo est le 90e épisode de notre websérie spéciale tour de France de l’agroalimentaire. Suivez nos aventures en immersion dans les entreprises de la filière qui recrute partout en France.

Connaissez-vous le cinnamon bun ? Découvrez-le dans ce nouvel épisode de notre tour de France de l’agroalimentaire, en immersion sur le site industriel de Délifrance qui recrute à Béthune. J’ai rendez-vous avec David, technicien de maintenance depuis 7 ans ici, au sein d’une équipe de dix techniciens. Il intervient dans les domaines de l’électrique, la mécanique et l’hydraulique, tant sur du préventif, et du palliatif que du curatif.

Pas de routine dans son métier

Ce que David apprécie le plus dans son métier ? « Je n’ai jamais deux fois la même journée ! », affirme-t-il. Les qualités pour être un bon technicien de maintenance : « Il faut être rigoureux, posé, réfléchi et savoir s’adapter aux nouvelles technologies. »

Qui est l’entreprise Délifrance ?

Délifrance qui appartient au groupe coopératif céréalier français Vivescia, est un des leaders mondiaux de la viennoiserie et de la boulangerie industrielle. Depuis sa création en France en 1978, Délifrance développe des produits de boulangerie, viennoiserie, pâtisserie et traiteur pour les professionnels de la restauration, les artisans boulangers et la grande distribution.
Le site Béthunois de Délifrance exporte dans plus de 50 pays et compte environ 200 salariés afin de fabriquer les viennoiseries : pains au chocolat, croissants, torsades et buns. D’ailleurs leur cinnamon bun vient de recevoir le prix de la Pépite 2023 de la boulangerie ! 🥯

Délifrance recrute, postulez !

Merci à David et toute l’équipe de l’entreprise pour leur accueil.
Envie de devenir toi aussi technicien de maintenance (H/F) ?
Délifrance et l’agroalimentaire recrutent, avec ou sans diplôme 🙋🏻‍♂️🙋🏽‍♀️
✔️ Pour rejoindre la team Délifrance 👉 c’est juste ici
✔️ Tout savoir sur l’agroalimentaire 👉 en Région Hauts-de-France

🇫🇷 Cette vidéo est le 89e épisode de notre websérie spéciale tour de France de l’agroalimentaire. Suivez nos aventures en immersion dans les entreprises de la filière qui recrute partout en France.

Dans la Région Pays-de-la-Loire à Ancenis (49), le groupe international laitier Laïta bien connu pour sa marque Paysan Breton recrute, notamment dans son service maintenance. Découvrez le métier de technicien de maintenance avec Damien. Un épisode vidéo authentique de marque employeur !