Orion se lance dans la maroquinerie et offre 120 postes dans la Loire
Le groupe Cera avait prévenu : il lancerait une nouvelle activité à l’automne 2019. C’est chose faite chez Orion !
L’atelier de la société Orion, dans la Loire, est très tourné vers le textile, en sous-traitance.
Le groupe Cera avait prévenu : il lancerait une nouvelle activité à l’automne 2019. C’est chose faite chez Orion ! Dans la Loire, il s’agit d’un nouvel atelier de maroquinerie pour lequel ce spécialiste du façonnage, de la coupe et de l’assemblage de matériaux souples, notamment pour l’industrie textile, amorce une vague de 120 recrutements à Veauche (42) d’ici à fin 2020 dont la moitié espérés dès fin 2019. Des postes d’ouvriers pour la plupart, qui recevront 400 heures de formation avec Pôle Emploi, en partenaire.
Le luxe textile à la française
Objectif : créer un nouvel atelier textile de maroquinerie. Un secteur industriel qui a le vent en poupe, notamment lié au luxe en plein essor sur des croissances à deux chiffres à l’international. Orion intervient en sous-traitance pour ses clients qui ont eux-mêmes des difficultés à recruter. Ce nouvel atelier répond à la demande d’un des grands noms du luxe en France qui souhaite rester confidentiel.
Un pôle industriel et 2 M€ investis
Cette société fait partie du groupe Cera qui regroupe Cera Engineering (concepteur et fabricant de machines spéciales), Mabotex (machines pour le pliage et le conditionnement de textile à usage médical) et Mecaxi (usinage mécanique). Deux millions d’euros ont été investis pour cette nouvelle activité de maroquinerie.
En Bretagne, c’est à Liffré que les Ateliers FIM vont construire un nouvel atelier de maroquinerie. A la clé : 150 à 250 emplois à créer !
À Amiens, le laboratoire
Unither recrute !
Leader mondial de production de formes galéniques de type unidoses stériles, mais aussi de stick-packs, comprimés effervescents et suppositoires, Unither Pharmaceuticals a actuellement une trentaine de postes à pourvoir.
Leader mondial de production de formes galéniques de type unidoses stériles, mais aussi de stick-packs, comprimés effervescents et suppositoires, Unither Pharmaceuticals a actuellement une trentaine de postes à pourvoir du côté d’Amiens, son siège social et site de production historique dans la Somme (80). C’est la création d’une nouvelle ligne de production sur place qui entraîne ce lot de recrutements. Cette entreprise dispose de six usines dans le monde et d’un laboratoire R&D à Bordeaux. Elle vient aussi de s’implanter en Chine avec de grandes ambitions économiques.
Vers les 1.400 salariés…
Unither fête en 2019 son 25e anniversaire avec 1.387 salariés et de nouveaux emplois en vue. Ce groupe indépendant (avec le fonds Ardian au capital) travaille notamment en sous-traitance pour l’industrie pharmaceutique. Il propose des opportunités d’emploi « quel que soit le niveau de poste recherché », précise sa direction. « Notre effectif est composé à 33% d’ouvriers, à 36% techniciens supérieurs, à 31% de cadres et agents de maîtrise. »
Quels profils d’emploi recherchés ?
Pharmaciens, responsables qualité, assistants de laboratoire, techniciens… Voici les divers profils qu’Unither recherche en ce moment, pas qu’à Amiens d’ailleurs, mais aussi pour ses différents sites dans le monde.
Géry
Chez ESDI, 80 postes à pourvoir du côté de Belfort
Créée en l’an 2000, cette entreprise de Belfort (90) a connu des heures très sombres, à la limite de l’asphyxie, mais ESDI retrouve aujourd’hui le chemin de l’emploi.
Créée en l’an 2000, cette entreprise de Belfort (90) a connu des heures très sombres, à la limite de l’asphyxie, mais ESDI retrouve aujourd’hui le chemin de l’emploi. Dans ce groupe qui emploie 120 salariés, 80 postes sont à pourvoir. Bienvenue aux techniciens informatiques, superviseurs, gestionnaires de connaissance, delivery managers… car il s’agit bien d’une PME spécialisée dans les systèmes d’information qui offre toutes ces opportunités.
Profils recherchés
« Nous créons des postes en informatique et en gestion de la relation client », indique l’entreprise experte en études et développement, réseaux et télécommunications, administration technique, mais aussi assistance aux utilisateurs, accueil client, standard téléphonique, renseignements généraux, vente à distance… ESDI se targue d’un « faible turnover ». En 2016, son dirigeant Bernard Barsznica, a lancé le projet Perf’Ambiance.
Il est alors question d’amélioration de la vie interne de l’entreprise, d’accomplissement personnel et professionnel, etc. Des valeurs qui portent visiblement leurs fruits au vu du développement de l’entreprise qui est devenue bien plus que le centre de relation client pour lequel elle était connue à l’origine.
Géry Bertrande
Chez MerAlliance, une vague de 250 emplois à pourvoir en CDI, CDD, saisonnier…
Si vous achetez du saumon fumé en supermarché, il y a de fortes chances pour qu’il provienne de MerAlliance.
Si vous achetez du saumon fumé en supermarché, il y a de fortes chances pour qu’il provienne de MerAlliance. Ce leader français de poissons fumés à marques de distributeurs (MDD) en France en transforme plus de 5.000 tonnes par an (saumon, truite, poissons sauvages). L’entreprise créée à Quimper en 1971 fait désormais partie du groupe asiatique Thai Union Group, le leader mondial du thon en conserve. Meralliance possède cinq sites industriels en Europe dont deux en France : à Quimper et Landivisiau (plateforme logistique).
Anticiper les fêtes de fin d’année
Dès le printemps, MerAlliance prépare les fêtes de fin d’année et anticipe un pic d’activités en faisant appel à un recrutement massif. C’est pourquoi l’entreprise annonce une vague de 250 postes à pourvoir, que ce soit en CDI, CDD, saisonnier… Des opérateurs.trices de production polyvalent.e.s pour la plupart, avec ou sans CV et qualifications. MerAlliance emploie 950 salariés, pour un chiffre d’affaires de 190 millions d’euros. Le groupe Thai Union, lui, réalise 4 Md$ pour 49.000 salariés.
Formations, shiatsu…
Pour ses salariés, l’entreprise met les petits plats dans les grands : séances d’échauffement avant prise de poste, shiatsu, formations, covoiturage, salle de pause avec bibliothèque, etc.
Géry Bertrande
TP. Colas met 3.200 jobs en route
Les 500 offres d’emplois actuellement en ligne sur le site web du groupe de TP Colas (à prononcer « Colasse ») masquent en fait un total de 3.200 postes à pourvoir en 2018 dans la maison.
Les 500 offres d’emplois actuellement en ligne sur le site web du groupe de TP Colas (à prononcer « Colasse ») masquent en fait un total de 3.200 postes à pourvoir en 2018 dans la maison. Cet « acteur majeur de la construction et de l’entretien des infrastructures de transport dans le monde » emploie déjà 55.000 personnes dans le monde entier (50 pays) dont 31.300 compagnons et 28.000 salariés en France. Son carnet de commandes est plein et affichait une croissance de +7% à fin 2017, pour un chiffre d’affaires de 11,7 milliards d’euros, lui aussi en hausse (+6%) et réalisé à 52% en France.
UNE DIVERSITÉ DE MÉTIERS
L’innovation reste au cœur du groupe Colas, qui travaille à la route connectée, au recyclage, à l’environnement… Bien connu pour ses routes, Colas œuvre aussi à la production de matériaux de construction, au ferroviaire, à l’étanchéité, à la signalisation, etc. Bref, toute une palette de métiers à pourvoir, tous azimuts. Mais surtout des conducteurs(trices) de travaux, des ingénieurs travaux & études et des chefs de chantier (90.000 chantiers par an).
UN TIERS D’EMPLOIS EN RENOUVELLEMENT, DEUX TIERS EN CRÉATION
L’an dernier déjà, le groupe Colas affirmait avoir embauché 3.100 salariés. « Le renouvellement ne représente qu’un tiers de ce chiffre (…) 1.600 sont des compagnons, » a déclaré Philippe Tournier, directeur des ressources humaines de Colas, invité du Club Média RH sur BFM Business le 10 mars. « Plus de 40% de ces candidats que nous recherchons sont des débutants. Le meilleur apprentissage, c’est sur le terrain ! » Et pour soigner l’attractivité de Colas, notamment auprès du public féminin, Philippe Tournier reconnaît qu’il lui faut encore travailler son image.
POUR QUELLES VALEURS ?
Parmi ses valeurs affichées, le groupe qui fêtera des 90 ans en 2019, revendique notamment un « dialogue social de qualité », une « rémunération attractive », « l’ouverture à la diversité »… Colas entend attirer, fidéliser, développer. Pour être en phase, mieux vaut avoir le sens de l’initiative, la responsabilité, la confiance, le respect, l’exemplarité et l’humilité. Chez Colas, « chaque collaborateur est un « entrepreneur » animé par une volonté de conquête, d’engagement et de réussite ». Avis aux candidats pour ces « métiers durables et d’avenir » !
Qu’attendez-vous pour postuler ? En route ! C’est ICI et c’est MAINTENANT…
@GBertrande
Le constructeur automobile Toyota promet 800 emplois à Valenciennes
C’est à Onnaing précisément, dans la banlieue de Valenciennes vers la Belgique que Toyota recrute !
C’est à Onnaing précisément, dans la banlieue de Valenciennes vers la Belgique que Toyota recrute ! Pas moins de 800 emplois dont 700 en CDI annoncés pour ce site industriel de premier plan en Europe pour le constructeur automobile japonais. Une nouvelle vague d’embauches qui va de pair avec une enveloppe d’investissements de 300 millions d’euros. Objectif : produire 300.000 véhicules par an soit 60.000 de plus par rapport à aujourd’hui.
Une seule voiture à succès européen !
La Yaris, aujourd’hui hybride, fait le succès de ce pôle automobile au Nord qui doit recevoir un deuxième véhicule lié à ce plan d’embauches. Née il y a 20 ans, l’usine Toyota exemplaire – que j’ai déjà eu le plaisir de visiter – a drainé plus d’un milliard d’euros d’investissements depuis 1997 et trois millions de véhicules !
Le site emploie quelque 4.000 salariés et son ancien directeur Didier Leroy est même devenu vice-président monde de la firme nippone. Il faisait partie de la visite présidentielle du 22 janvier, aux côtés de Jean-Louis Borloo, maire de Valenciennes à l’époque de la création de ce que l’on appelle « TMMF » : Toyota Motor Manufacturing France.
@GBertrande
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