

Les Laboratoires Gilbert embauchent et forment en Normandie
Basés dans la banlieue de Caen, à Hérouville-Saint-Clair, les Laboratoires Gilbert recrutent ! Fondée il y a 110 ans, l’entreprise compte aujourd’hui un millier d’emplois pour 177 millions d’euros de chiffre d’affaires réalisés dans 86 pays à l’export.
Basés dans la banlieue de Caen, à Hérouville-Saint-Clair, les Laboratoires Gilbert recrutent ! Fondée il y a 110 ans, l’entreprise compte aujourd’hui un millier d’emplois pour 177 millions d’euros de chiffre d’affaires réalisés dans 86 pays à l’export. Chaque année, entre 50 et 100 postes sont à pourvoir. En 2018, 24 demandeurs d’emploi ont intégré les équipes comme conducteurs de ligne, formés en interne avec le soutien de la Région et de Pôle Emploi. C’est l’un des postes de travail les plus « pénuriques » de l’entreprise qui recherche aussi des techniciens de maintenance, délégués pharmaceutiques, etc.
Des avantages sociaux
Pour attirer les meilleurs talents, les Laboratoires Gilbert sortent le grand jeu : cantine subventionnée (56% du prix du repas pris en charge), salle de sport, conciergerie, crèche d’entreprise, magasin d’usine, aide au logement, vélos à disposition… « Plus de 100 millions d’euros ont été investis dans le parc industriel ces dix dernières années », indique l’entreprise.
Multimarques
C’est aussi une entreprise centenaire stable où l’innovation est permanente, sous un panel de marques variées. Gilbert produit des unidoses de sérum physiologique, des produits anti-poux, des cosmétiques Algotherm, des tests de grossesse… et vend une qualité de vie à 12 kilomètres des plages normandes, entre terre et mer.
Géry


Spectaculaires «recrute» des entreprises pour faire causer leurs murs la nuit
Réputés dans le monde entier pour leurs réalisations monumentales sur des bâtiments historiques qu’ils subliment de nuit, les « Allumeurs d’images » de la société bretonne Spectaculaires se lancent dans Pigments.
Réputés dans le monde entier pour leurs réalisations monumentales sur des bâtiments historiques qu’ils subliment de nuit, les « Allumeurs d’images » de la société bretonne Spectaculaires se lancent dans Pigments. Cette nouvelle marque maison, symbole d’innovation, se destine aux entreprises et organisations privées ou publiques qui veulent bénéficier de tout ce talent. « Pigments est une mise en lumière innovante qui valoriser l’entreprise et le patrimoine », souligne Benoît Quero, dirigeant de la société de 30 salariés (7 M€ de CA) qui a repris son indépendance totale en 2018.
Les murs, des écrans de valeurs
Les premiers à avoir testé (et approuvé) cette solution visuelle communicante – qui n’est pas de la publicité précise-t-on chez Spectaculaires – s’appellent Triballat (Sojasun), Max Sauer ( le Pinceaux Raphaël) et Spectaculaires bien entendu. Sur des axes routiers importants, ces façades habillées de touches de couleurs poétiques révèlent les valeurs des entreprises. Chaque projet est fait sur-mesure à leur image et personnalisable à l’infini (sur abonnement), notamment en fonction de telle ou telle actualité, avec pilotage du décor à distance !
L’autonomie énergétique en projet
Soucieux de l’environnement, Pigments concentre la lumière pour éviter toute pollution lumineuse avec la promesse de « zéro lux dans le ciel ». Les vidéoprojecteurs sont aussi de basse consommation et Spectaculaires travaille à leur autonomie : l’énergie captée la journée serait restituée la nuit. L’équipe de Benoit Quero, qui en a profité pour dévoiler une nouvelle identité visuelle, entend « embellir le paysage nocturne et étonner ». Leur projet a déjà été primé « Trophée des conquérants bretons – habitat et bien-être ». Il s’agit d’un nouveau relais de croissance pour l’entreprise de Saint-Thurial (35) dont l’activité phare – la plus populaire, d’animations nocturnes de monuments – représente 50% de son business, complété par des prestations techniques et scéniques pour équiper et gérer des salles de spectacles, des événementiels privés…
Géry


10 trucs et astuces pour faire rayonner votre vidéo de marque employeur
Cela faisait un moment que je voulais rédiger cet article, au vu des demandes et questionnements nombreux que je reçois sur le sujet. Je livre donc aujourd’hui à votre lecture mes trucs et astuces liés à mes projets vidéo Jeviensbosserchezvous.
Cela faisait un moment que je voulais rédiger cet article, au vu des demandes et questionnements nombreux que je reçois sur le sujet. Je livre donc aujourd’hui à votre lecture mes trucs et astuces liés à mes projets vidéo Jeviensbosserchezvous. On me demande en effet souvent l’impact de mes vidéos, comment mes clients entreprises appréhendent ces projets inédits, innovants et originaux, en amont dès la préparation du tournage et jusqu’à la diffusion et les divers leviers actionnés. Objectif : faire rayonner la fameuse « marque employeur ». Voici donc quelques bonnes pratiques – non exhaustives et souvent liées à du bon sens – que je suis heureux de vous dévoiler dans ces quelques lignes. Je n’ai pas de leçons à vous donner, mais simplement des retours d’expérience partagés par mes clients eux-mêmes qui peuvent être réadaptés. Play !🎬
1. Rendez vous intéressant !
C’est décidé, vous voulez et vous allez vous lancer dans la vidéo ? Cisco et son rapport indiquant que la vidéo représentera 82% du trafic internet mondial en 2022, vous ont convaincu. STOP ! Posez-vous d’abord une seule question : qu’ai-je à raconter ? Faire l’intéressant c’est bien (mais ça vous a sans doute déjà joué des tours, souvenez-vous dans la cour de récré) ; se rendre intéressant, c’est déjà mieux. Pour cela, identifiez les messages et contenus pertinents que vous souhaitez valoriser. Vous avez forcément de l’actualité à partager : innovation, produit, investissement, export, recrutement… Hiérarchisez vos priorités et vos temporalités, et faites-en des rendez-vous intéressants !
2. Faites-en avant tout un projet de management
Je le dis souvent à mes clients en préambule de chacun de mes projets vidéo et même dès le début de nos discussions : avant de rendre visible à l’externe votre vidéo, faites-en un projet interne de management ! On ne reçoit pas tous les jours dans son entreprise un tournage vidéo et son équipe associée. Profitons-en ! Pour sa réussite, il est nécessaire que chaque acteur de l’entreprise y soit associé le plus en amont possible, pour qu’il s’implique, dans l’écriture du scénario notamment, et s’investisse aussi personnellement le plus possible. Un projet lisible en interne sera d’autant plus visible en externe. Mon maître-mot : RESPONSABILISER. Cela générera un impact en aval du projet… mais nous reviendrons sur ce point plus loin.
3. Vivez d’abord un moment de communication interne !
En lien avec le point précédent, tout projet vidéo doit générer son flux de communication interne bien avant de le communiquer à l’externe. Ce levier permettra notamment de travailler la fierté d’appartenance à l’entreprise et donc favorisera la cooptation directe et indirecte.
Des salariés acteurs, responsables et associés dès le début à un tel projet deviennent les meilleurs ambassadeurs de leur Entreprise. Et ils seront plus enclins à partager ce projet professionnellement, à en faire même une référence dans leur parcours, et parfois même dans leurs cercles privés ! Or, on sait que le sujet de l’emploi par exemple dépasse le simple cadre de l’entreprise. Il s’invite à l’apéro du samedi soir, à la table du dimanche… On connaît tous quelqu’un qui cherche un job ou à en changer, et des entreprises qui recrutent. Mon maître-mot : FAIRE CONFIANCE. Comme on a les clients qui nous ressemblent, je crois que les entreprises ont aussi les salariés qui leur ressemblent (et qu’elles méritent, avouons-le !;) Et attention à respecter la vie et l’avis de chacun : si des salariés, associés ou autres ne veulent pas être filmés, c’est leur droit et n’y voyez surtout pas une défiance à votre égard.
4. Créez un événement fédérateur
Recevoir et mener un projet vidéo dans son entreprise doit être l’occasion de fédérer ses équipes. On l’a vu dans les points précédents. Bon nombre de mes clients profitent de ces moments pour « créer l’événement » en interne. Un tournage peut être perçu comme une contrainte s’il est subi par les équipes, alors qu’il peut être un super moment de détente et de complicité entre tous : une respiration dans une journée de travail souvent routinière, disons-le. Le tournage va perturber l’activité habituelle. Il faut le prévoir, l’anticiper (y compris économiquement) et surtout dédramatiser : KEEP COOL !
A la fin de chacun de mes tournages, les sourires affichés et remerciements en disent long sur le moment de convivialité vécu et partagé. Et avant la diffusion publique de la vidéo, mes clients organisent souvent une « avant-première » interne, avec ou sans ma participation d’ailleurs. Cette diffusion peut s’envisager dans le cadre d’un afterwork, par exemple. L’objectif est bien de remercier les équipes, de clore le projet et de le fêter ensemble. Vous améliorerez ainsi la fierté d’appartenance à votre marque.
5. Profitez-en pour faire des photos 😉
Focalisés sur le tournage vidéo, on en oublierait presque l’essentiel : l’image ! Profitez d’avoir une équipe de professionnels à vos côtés pour leur demander de réaliser un shooting photo (à anticiper et à chiffrer en amont bien sûr 😉
Ces autres visuels complémentaires vous permettront d’alimenter vos communications internes comme externes et, au fil de l’année, de pouvoir piocher dans une photothèque à disposition. Les entreprises en ont toujours besoin et souvent en urgence ! Vous-mêmes pouvez prendre quelques clichés le jour J mais attention à la qualité et à toujours bien valider avec l’équipe du tournage en amont !
6. Appuyez-vous sur un relais médiatique fort
Photo ©JVBCV FNIMAL
Ces projets vidéo s’accompagnent souvent d’actualités à partager autour du développement de l’entreprise : recrutement, mais aussi investissement, croissance, innovation… Ils doivent donc être l’occasion de communiquer via notamment une campagne de relations presse par l’organisation de communiqués, dossiers ou même conférences de presse. Le support vidéo à relayer est tout trouvé ! Chacun son job : si vous devez bien évidemment diffuser largement votre vidéo au sein de vos réseaux, confiez-le aussi à des hommes et des femmes de l’art, à des médias diffuseurs qui feront le job pour vous et amplifieront les effets. C’est mon métier !
7. Multipliez les supports de diffusion : newsletters, signatures mails…
Pour faire caisses de résonance communes avec mes clients, associées à la chaîne Youtube Jeviensbosserchezvous, il est nécessaire d’associer nos réseaux sociaux respectifs. Chacun va relayer cette vidéo sur ses communautés et amplifier ainsi l’impact en termes de visibilité. Mais il n’y a pas que les réseaux sociaux connus et habituels !
Un truc tout simple est de commencer par intégrer cette vidéo dans les signatures mail de tous les collaborateurs de l’entreprise (encore une fois les meilleurs ambassadeurs). En voici quelques exemples…
Ce lien vidéo peut également alimenter une newsletter spécifique (interne comme externe) et bien sûr « habiller » un site web, des écrans de diffusion interne, une page spéciale recrutement/emploi sur le web, et évidemment des offres d’emploi. Certains de mes clients créent une rubrique spécifique « en coulisses », par exemple.
8. Suivez ceux qui vous suivent !
Votre vidéo est maintenant en ligne, diffusée au plus grand nombre et optimisée. Bravo ! Les interactions vont se multiplier autour de ce support original. Mes clients recruteurs scrutent, par exemple, avec attention toutes les marques d’intérêt engagées vis-à-vis de leurs vidéos Jeviensbosserchezvous. Invitez chaque personne qui a montré un intérêt (en partageant, commentant ou simplement en likant vos contenus ou les contenus produits par d’autres à votre égard) à échanger avec vous, pourquoi pas à vous rencontrer lors d’un entretien sans engagement. Ce sont des candidats à l’embauche que je nomme souvent « improbables » ou « qui s’ignorent »… et que vous ignorez sans doute aussi. La diffusion d’un de mes podcasts audio a également généré ce genre de candidature, parce que mon invité avait donné envie de le contacter, pour partager avec lui et poursuivre la discussion. On ne sera souvent pas sur un levier quantitatif, mais vraiment qualitatif. Bref, tout le monde gagnera du temps dans cette affaire !
9. Vous aussi likez, partagez et commentez
Vous aussi vous pouvez générer une audience supplémentaire. C’est très simple : likez, partagez et commentez vos propres projets vidéos. Vous en êtes des témoins privilégiés et votre expérience compte. Au-delà du fait qu’elle va servir à d’autres, elle va aussi générer son flux d’interactions. Et plus il y a d’interactions sur le web, plus votre trafic et votre audience (liés à votre référencement) augmenteront en conséquence. Invitez également vos partenaires qu’ils soient salariés, client, fournisseurs, investisseurs… à interagir avec ces projets.
10. Faites appel aux ressources du webmarketing
Le social selling, l’inbound marketing, l’adwords… sont pour vous des termes barbares. Pas de panique ! Vous pouvez aussi faire appel à des spécialistes du webmarketing pour vous aider à amplifier encore plus l’impact de vos contenus et donc vos audiences. Des agences sont là pour ça et ont négocié pour vous des partenariats avec les plus grandes plateformes du web. Encore une fois, chacun son métier !
Géry
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J’ai testé le théâtre d’improvisation comme outil de recrutement…
Lors d’un forum emploi organisé par L4M, j’ai eu l’occasion de participer à un atelier de recrutement un peu spécial… Suivez-moi dans cette expérience originale, dans la peau d’un candidat tout aussi spécial !

Lors d’un forum emploi organisé par L4M, j’ai eu l’occasion de participer à un atelier de recrutement un peu spécial… Suivez-moi dans cette expérience originale, dans la peau d’un candidat tout aussi spécial ! Un espace neutre d’une dizaine de mètres carrés avait été aménagé au cœur des stands. Nous étions sept cobayes, plus l’animatrice du Criporteur, pour cette séance de théâtre d’improvisation. A priori, personne ne se connaît et on ne sait pas qui sont les candidats ni les recruteurs. L’observation sera primordiale.
Se lâcher sous le regard des autres
Premières minutes, premiers échauffements d’abord ! Quelques exercices de gestes et de voix, pour se mettre à l’aise, se détendre aussi. Ça stresse un peu… c’est normal. L’animatrice bienveillante dédramatise la scène. Un seul mot d’ordre : lâchez-vous ! Soyez comme vous êtes. Ça me rappelle un slogan… Pas facile sous le regard inquisiteur des autres dont on sait que certains sont là pour vous recruter.
En équipe ou en solo
Allez, on se jette dans le bain ! Il s’agit, dans un premier temps, de marcher dans l’espace. Chacun affiche un beau sourire de circonstance. Première consigne : 3 secondes pour former une ligne devant l’animatrice. Perdu : nous étions en colonne ! D’où l’importance de bien écouter. Deuxième consigne : les jeans d’un coté ; les sans-jeans de l’autre… Chacun s’organise en fonction des autres. Le résultat est correct. Troisième jeu : se ranger du plus petit au plus grand. Beau travail d’équipe : certains se baissent pour se mettre au diapason de l’équipe.
Improviser et recruter
Le vif du sujet arrive : les fameuses saynètes d’improvisation. C’est là que ça se corse… Serai-je à la hauteur ? Comment faire ? En trio, nous jouons chacun un rôle : l’un pose le décor, l’autre amène une situation de crise et le troisième a la solution. L’occasion de percevoir comment chacun s’exprime, occupe l’espace, ose ou non… Il faut jouer et s’amuser finalement.
Bas les masques !
Les recruteurs observent mais jouent aussi. Après trois quarts d’heure, bas les masques ! Chacun se présente. Fin de l’atelier. Les échanges se poursuivent. Après l’observation des attitudes et savoir-être, les recruteurs (du groupe immobilier Giboire ce jour-là) s’intéressent maintenant aux parcours des uns et des autres, avec bienveillance, toujours.
En première approche efficace
Une jeune femme en reconversion attire les regards et l’intérêt. Son dynamisme et son aisance ont joué en sa faveur. Une proposition de rendez-vous lui sera sans doute faite. Quant à moi, je repars tester d’autres recruteurs, avec l’impression d’avoir vécu une belle expérience… Et vu l’enthousiasme des recruteurs présents ce jour-là, je me dis que c’est vraiment un outil humain efficace pour une première approche, qui casse les codes du recrutement classique. Avec le mérite de briser la glace tout de suite dans des situations de partage où l’attitude compte beaucoup et traduit les personnalités. Merci à tous de m’avoir accepté et recruté en intrus pour cet atelier 😉
Géry Bertrande


Youtube pour recruter :
ils l’ont fait !
Les offres d’emploi sont souvent toutes les mêmes. Ajouter des néons qui clignotent n’y change rien. Pour donner envie aujourd’hui, la vidéo caracole en tête. Encore faut-il qu’elles soient authentiques, voire originales, et surtout vues.
Parce que vos candidats
qui s’ignorent
sont sur Youtube
Chaque mois, plus de 40 millions de Français âgés de plus de 18 ans regardent des vidéos sur Youtube, d’après Mediamétrie. Pour faire connaître son entreprise et ses métiers, autant être là où tout se passe. On pourrait se dire « les sites et rubriques emploi sont faits pour ça ». Oui, mais ils ne sont plus les seuls. Vos futurs collaborateurs ne savent pas toujours qu’ils sont de potentiels candidats. Avoir envie de changer de job traverse souvent l’esprit. On peut visiter de temps en temps un site emploi. Mais de là à cliquer sur une annonce dans son fil d’actualité et à y répondre, c’est une autre affaire. Il faut créer le déclic et provoquer la surprise.
Parce que vous avez besoin de la génération Youtube
Lorsque l’informatique a fait son entrée dans le monde du travail, les entreprises ont d’abord recruté des personnes qui s’amusaient à coder le week-end. Puis l’email est devenu la boîte aux lettres des temps modernes. Les entreprises ont vite repéré ceux qui envoyaient leur candidature par voie électronique, plutôt que par La Poste. Recruter des précurseurs, des défricheurs, fait gagner du temps.
Il en est de même pour Youtube. La plate-forme est devenue si prépondérante qu’un grand nombre d’entreprises vont devoir y être visibles. Alors si vous recevez une candidature sous la forme d’une vidéo, saisissez la chance de recevoir la personne en entretien. On se donne combien de temps pour que l’on tape tous demain sur Youtube le métier souhaité et la ville dans laquelle on veut travailler ?
Parce que les mots, c’est bien, mais pas trop !
Les mots mis les uns à la suite des autres, ça finit par être barbant et c’est d’ailleurs pour cela que cet article va s’arrêter là. Enfin presque.
Je voulais juste ajouter : Youtube pour recruter, on a testé et ça cartonne
Nous avons posé nos caméras dans plus de 150 entreprises de tous secteurs depuis plus de 5 ans maintenant. Les vidéos de Je viens bosser chez vous cumulent près de 8 millions de vues sur Youtube. Ce qui représente 340.000 heures de visionnage à ce jour. Voici nos pépites. Vous retrouverez toutes les autres vidéos sur notre chaîne Youtube.
Si tu es plutôt 🚚📍📲🛣⏱ prends la route avec les transports Prémat
Les transports Prémat ont acquis 150 véhicules neufs l’an passé. Il en faut des bras pour les conduire. Alors on est monté dans la cabine d’un poids lourd avec Bernard. Après avoir été conducteur en citerne pulvée basculante pendant 12 ans, il est maintenant formateur au sein du pôle de formation interne. Une cabine d’un 33 tonnes avec informatique embarqué : on s’y faufile ? C’est parti ! La vidéo vient de dépasser le compteur des 80 000 vues de la vidéo sur Youtube.
Si tu es plutôt 🚘🥛🐄🛒🌳 deviens chef de secteur chez Lactel
Réaliser 100 bornes par jour et avoir la mission de visiter 100 magasins tous les mois, ça ne fait pas peur à Sélina, chef de secteur chez Lactel (groupe Lactalis). Dans le rayon Lait des supermarchés, l’opération coup de baguette magique relève d’une stratégie en mode Tetris. Prêt à relever le challenge ? Dépêche-toi, car près de 44 000 personnes ont vu la vidéo avant toi sur Youtube.
Si tu es plutôt 🔌📍⚙️🔧📐 pointe-toi chez Serupa
Chaussures de sécurité, un bleu de travail qui n’est pas bleu, un tablier, des gants et des bouchons d’oreilles, c’est l’attirail requis pour manier la pointe à tracer. Au moment d’apposer le point de soudure, ça fait même des étincelles. Avec David, dans les ateliers de Serupa, pas une journée ne passe sans prendre un air de Daft Punk. Tu veux savoir pourquoi ? On y va ensemble avec cette vidéo qui dépasse les 16 000 vues sur Youtube.
Posez-nous vos questions, partagez vos remarques, envoyez-nous vos vidéos. On regardera tout et l’on vous répondra, et peut-être même en vidéo. Car la vidéo, toute l’équipe de Je viens bosser chez vous a ça dans la peau, pour toujours et jusqu’à l’infini.
✒️ Et chez vous, comment ça se passe ? Partagez-nous vos idées en commentaires.
Géry, Laetitia, Henri, « Youtubosseurs » d’entreprise, toujours en marinière, en mode On ou Off.
Je viens bosser chez vous a une chaîne Youtube et un site internet avec plein de choses dessus, et pas que des vidéos. Des Podcasts par exemple, mais ça je vous en parle dans un prochain article.
Recrutement et RH : Vous aussi, vous vous êtes déjà dit… ?
Ce que les entreprises nous disent quand on les rencontre :
« Je publie des offres d’emploi, mais je ne reçois pas de candidatures en phase avec l’entreprise, ou si peu. On me dit que c’est normal. Pourtant, je sais que certains réussissent à attirer de nouveaux talents.»
« Je voudrais impliquer les équipes pour faire connaître notre entreprise, notamment sur les réseaux sociaux. Mais ils n’ont pas le temps, me disent-ils, et ils ne savent pas trop quoi dire.»
« Quand je présente nos métiers, je me perds dans les détails, j’utilise du jargon ou je veux tout dire d’un coup. Je sens que je perds mon interlocuteur ou mon interlocutrice. Il y a une recette ?»
« On fait vraiment du bon boulot. Nos clients sont contents. On a de bons retours. Mais au-delà, on ne nous connaît pas. On s’en rend compte sur les salons. On doit pouvoir changer ça.»
« Je ne sais pas comment rendre nos métiers attirants pour la jeune génération. Faire du fun pour faire du fun, non merci.»
« Je me suis rendu compte que mon gamin de 12 ans, n’avait aucune idée de ce que je fais, ni ma grand-mère d’ailleurs. Comment les faire entrer dans mon univers ?»
« Je ne pense pas être le/la mieux placée pour parler de mon entreprise. Un regard extérieur serait bénéfique. »
Après l’opération JVBCV, ce qu’ils nous disent…
Ce sont les entreprises qui se sont jetées à l’eau qui en parlent le mieux. Certains en témoignent même… en vidéo. Les liens sont ci-dessous.
« Les interactions sur les réseaux sociaux avec des professionnels de notre éco-système ont décuplé. La vidéo cartonne aussi sur les salons professionnels.»
« De nombreux commentaires positifs ont été publiés sur les réseaux sociaux. Les salarié.e.s partagent la vidéo à leurs proches. On n’a jamais vu ça.»
« On nous dit qu’on a envie de venir travailler chez nous. C’était très rare avant. Nos postes techniques sont devenus plus sexy.»
« On reçoit (enfin) des candidatures de profils plus jeunes pour bosser sur des postes d’opérateurs / d’opératrices.»
« Les candidats nous parlent de la vidéo en entretien d’embauche. C’est une super accroche pour engager l’échange.»
« On est encore plus fiers de nos métiers qu’avant. Cela se voit dans les témoignages des collaborateurs et collaboratrices.»
« C’est comme si les candidats se sentaient appartenir à l’entreprise, avant même l’embauche. Ils se sont projetés immédiatement dans le job, ça fait chaud au cœur. Ils savent pourquoi ils viennent.»
Les impacts sur votre entreprise en résumé
Si tout devait être dit en 12 lignes, un projet média axé Attractivité, RH et Recrutement avec Je viens bossez chez vous, c’est :
✚ de fierté d’appartenance des collaborateurs et d’engagement
– de collaborateurs qui nous quittent
✚ de collaborateurs actifs sur les réseaux sociaux
– de peur et moins de tabous au sujet de l’image
✚ de candidats qui se positionnent spontanément
✚ de candidatures pertinentes
– de temps perdu en entretien
✚ de recrutements durables
– de départs pendant la période d’essai
✚ d’image positive auprès des clients
✚ de gens qui disent « je vous connais »
✚ de temps à consacrer au business


Dans la Sarthe, Chastagner embauche de nombreux profils !
PMI de 140 employés basée à la Ferté-Bernard dans la Sarthe, à seulement 170 kilomètres de Paris, Chastagner lance une campagne de recrutement.
PMI de 140 employés basée à la Ferté-Bernard dans la Sarthe, à seulement 170 kilomètres de Paris, Chastagner lance une campagne de recrutement. Un job dating est organisé le 11 décembre toute la journée pour ses besoins : tourneurs-fraiseurs, contrôleurs météorologues, techniciens, préparateurs outils, maquettistes, chefs d’équipes à l’usinage… Les profils recherchés par cette entreprise de 70 ans présidée par Christophe Camaret sont variés dans un objectif de « mécanique de solutions ».
Ingénierie industrielle et high-tech
Spécialisée dans l’ingénierie, Chastagner conçoit et fabrique des machines, pièces mécaniques et outillages pour l’industrie. Ses clients travaillent dans les domaines des transports, de l’aéronautique, de la défense, du luxe, du design, de la high-tech… La société qui réalise 14 millions d’euros de chiffre d’affaires donne vie à des prototypes, machines, pièces uniques, entre autres. Actuellement « en plein essor », Chastagner revendique un esprit « familial et convivial ».
> Job dating organisé par Chastagner (Route ZI de Mamers à La Ferté-Bernard) mercredi 11 décembre 2019 de 9 à 17h. Contacts : 02 43 60 11 88 et recrutement@chastagner.com


Orion se lance dans la maroquinerie et offre 120 postes dans la Loire
Le groupe Cera avait prévenu : il lancerait une nouvelle activité à l’automne 2019. C’est chose faite chez Orion !
L’atelier de la société Orion, dans la Loire, est très tourné vers le textile, en sous-traitance.
Le groupe Cera avait prévenu : il lancerait une nouvelle activité à l’automne 2019. C’est chose faite chez Orion ! Dans la Loire, il s’agit d’un nouvel atelier de maroquinerie pour lequel ce spécialiste du façonnage, de la coupe et de l’assemblage de matériaux souples, notamment pour l’industrie textile, amorce une vague de 120 recrutements à Veauche (42) d’ici à fin 2020 dont la moitié espérés dès fin 2019. Des postes d’ouvriers pour la plupart, qui recevront 400 heures de formation avec Pôle Emploi, en partenaire.
Le luxe textile à la française
Objectif : créer un nouvel atelier textile de maroquinerie. Un secteur industriel qui a le vent en poupe, notamment lié au luxe en plein essor sur des croissances à deux chiffres à l’international. Orion intervient en sous-traitance pour ses clients qui ont eux-mêmes des difficultés à recruter. Ce nouvel atelier répond à la demande d’un des grands noms du luxe en France qui souhaite rester confidentiel.
Un pôle industriel et 2 M€ investis
Cette société fait partie du groupe Cera qui regroupe Cera Engineering (concepteur et fabricant de machines spéciales), Mabotex (machines pour le pliage et le conditionnement de textile à usage médical) et Mecaxi (usinage mécanique). Deux millions d’euros ont été investis pour cette nouvelle activité de maroquinerie.
En Bretagne, c’est à Liffré que les Ateliers FIM vont construire un nouvel atelier de maroquinerie. A la clé : 150 à 250 emplois à créer !


À Amiens, le laboratoire
Unither recrute !
Leader mondial de production de formes galéniques de type unidoses stériles, mais aussi de stick-packs, comprimés effervescents et suppositoires, Unither Pharmaceuticals a actuellement une trentaine de postes à pourvoir.
Leader mondial de production de formes galéniques de type unidoses stériles, mais aussi de stick-packs, comprimés effervescents et suppositoires, Unither Pharmaceuticals a actuellement une trentaine de postes à pourvoir du côté d’Amiens, son siège social et site de production historique dans la Somme (80). C’est la création d’une nouvelle ligne de production sur place qui entraîne ce lot de recrutements. Cette entreprise dispose de six usines dans le monde et d’un laboratoire R&D à Bordeaux. Elle vient aussi de s’implanter en Chine avec de grandes ambitions économiques.
Vers les 1.400 salariés…
Unither fête en 2019 son 25e anniversaire avec 1.387 salariés et de nouveaux emplois en vue. Ce groupe indépendant (avec le fonds Ardian au capital) travaille notamment en sous-traitance pour l’industrie pharmaceutique. Il propose des opportunités d’emploi « quel que soit le niveau de poste recherché », précise sa direction. « Notre effectif est composé à 33% d’ouvriers, à 36% techniciens supérieurs, à 31% de cadres et agents de maîtrise. »
Quels profils d’emploi recherchés ?
Pharmaciens, responsables qualité, assistants de laboratoire, techniciens… Voici les divers profils qu’Unither recherche en ce moment, pas qu’à Amiens d’ailleurs, mais aussi pour ses différents sites dans le monde.
Géry


Chez ESDI, 80 postes à pourvoir du côté de Belfort
Créée en l’an 2000, cette entreprise de Belfort (90) a connu des heures très sombres, à la limite de l’asphyxie, mais ESDI retrouve aujourd’hui le chemin de l’emploi.
Créée en l’an 2000, cette entreprise de Belfort (90) a connu des heures très sombres, à la limite de l’asphyxie, mais ESDI retrouve aujourd’hui le chemin de l’emploi. Dans ce groupe qui emploie 120 salariés, 80 postes sont à pourvoir. Bienvenue aux techniciens informatiques, superviseurs, gestionnaires de connaissance, delivery managers… car il s’agit bien d’une PME spécialisée dans les systèmes d’information qui offre toutes ces opportunités.
Profils recherchés
« Nous créons des postes en informatique et en gestion de la relation client », indique l’entreprise experte en études et développement, réseaux et télécommunications, administration technique, mais aussi assistance aux utilisateurs, accueil client, standard téléphonique, renseignements généraux, vente à distance… ESDI se targue d’un « faible turnover ». En 2016, son dirigeant Bernard Barsznica, a lancé le projet Perf’Ambiance.
Il est alors question d’amélioration de la vie interne de l’entreprise, d’accomplissement personnel et professionnel, etc. Des valeurs qui portent visiblement leurs fruits au vu du développement de l’entreprise qui est devenue bien plus que le centre de relation client pour lequel elle était connue à l’origine.
Géry Bertrande


Chez MerAlliance, une vague de 250 emplois à pourvoir en CDI, CDD, saisonnier…
Si vous achetez du saumon fumé en supermarché, il y a de fortes chances pour qu’il provienne de MerAlliance.
Si vous achetez du saumon fumé en supermarché, il y a de fortes chances pour qu’il provienne de MerAlliance. Ce leader français de poissons fumés à marques de distributeurs (MDD) en France en transforme plus de 5.000 tonnes par an (saumon, truite, poissons sauvages). L’entreprise créée à Quimper en 1971 fait désormais partie du groupe asiatique Thai Union Group, le leader mondial du thon en conserve. Meralliance possède cinq sites industriels en Europe dont deux en France : à Quimper et Landivisiau (plateforme logistique).
Anticiper les fêtes de fin d’année
Dès le printemps, MerAlliance prépare les fêtes de fin d’année et anticipe un pic d’activités en faisant appel à un recrutement massif. C’est pourquoi l’entreprise annonce une vague de 250 postes à pourvoir, que ce soit en CDI, CDD, saisonnier… Des opérateurs.trices de production polyvalent.e.s pour la plupart, avec ou sans CV et qualifications. MerAlliance emploie 950 salariés, pour un chiffre d’affaires de 190 millions d’euros. Le groupe Thai Union, lui, réalise 4 Md$ pour 49.000 salariés.
Formations, shiatsu…
Pour ses salariés, l’entreprise met les petits plats dans les grands : séances d’échauffement avant prise de poste, shiatsu, formations, covoiturage, salle de pause avec bibliothèque, etc.
Géry Bertrande