On n’aime pas toujours parler de soi. Qu’il s’agisse de sa personne ou de son entreprise. Il y a ce que l’on a envie de faire passer, et puis les paroles qui sortent de notre bouche… et qui ne remplissent pas toujours l’effet voulu.
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On n’aime pas toujours parler de soi. Qu’il s’agisse de sa personne ou de son entreprise. Il y a ce que l’on a envie de faire passer, et puis les paroles qui sortent de notre bouche… et qui ne remplissent pas toujours l’effet voulu. Miroir, mon beau miroir, dis-moi si mon authenticité fait de moi le Phénix de ce bois ? Mais non, il ne s’agit pas d’être plus authentique que son voisin. Il faut, il faut, il faut… être soi, en toute transparence. Prêt à relever le challenge ?
Temps de lecture : 6 minutes
Prise de parole : je dis « je » ou « nous »
Communication : les adjectifs sont votre (pire) ennemi
La vidéo renforce les autres supports de communication
Ne cherchez pas convaincre, dévoilez-vous
Authenticité, authentique : relisons le dictionnaire
Benchmark de votre image : n’en faites pas et puis voilà
Authenticité : il n’y a pas de recette, mais il y a du bon sens
Prise de parole : je dis « je » ou « nous » ?
Quand on s’exprime pour parler de son entreprise, on peut avoir le défaut de se cacher derrière un « nous », ou de vouloir prendre toute la lumière en abusant du « je ».
Nos conseils :
– Dites « je » pour votre métier, votre compétence, vos missions, si c’est le sujet de la vidéo ou du podcast.
– Dites « nous » pour l’entreprise en tant qu’entité en mouvement.
Communication : les adjectifs sont votre (pire) ennemi
Pour être « vrai », on peut être tenté de vouloir parler comme on le fait tous les jours. Oui, mais pas tout à fait. On peut dire à l’oral en mode informel : « on prépare un super projet », il y a une « très bonne ambiance » dans l’équipe, le produit que l’on va sortir est « carrément innovant ». Mais là, concrètement, vous ne nous avez rien dit. L’authenticité, ce n’est pas essayer de convaincre par les mots, c’est laisser paraître, en n’ayant pas peur de donner des détails. Car choisir ces détails clarifie votre pensée.
Nos conseils :
– Traquez les adjectifs comme des cafards. Et encore plus l’association Adjectif + Adverbe. C’est « hyper important ».
– Prenez un crayon et écrivez : pourquoi notre projet est super ? Pourquoi l’ambiance est-elle bonne ? Pourquoi notre produit est-il innovant ? Et voilà, vous avez sous les yeux ce qu’il est opportun de dire pour intéresser votre auditoire, que ce soit filmé ou pas, en 1 minute ou en 10 minutes, à l’écrit ou à l’oral.
Ne cherchez pas À convaincre, dévoilez-vous
Quand on regarde une vidéo, l’image l’emporte sur le texte prononcé. Quelle que soit la source d’une nouvelle information, on est réticent à celui qui veut nous convaincre. Tout comme à ceux qui veulent nous vendre quelque chose. Alors, stop à l’envie de donner envie avec emphase et de trop jolies phrases. Jouez l’humilité et la simplicité.
Nos conseils :
– Évitez les « notre force c’est de » ou « on est fiers d’annoncer… » Bref tout ce qui ressemble à « Vous n’en croirez pas vos yeux » ou « L’herbe est plus verte chez nous, que dans le champ d’à côté ».
– Ne vous comparez pas aux concurrents ou autres acteurs du marché, même de manière indirecte. Halte au « On a été les premiers à » ou « Nous avons le plus grand parc de machines-outils de taille moyenne classe C du département ». Et alors ? Quelle est l’info ?
Authenticité, authentique : relisons le dictionnaire
Si l’on sort du champ de la sincérité des sentiments, on trouve comme expression proche :
la vérité d’un témoignage,
ce qui ne peut pas être controversé,
la conformité à la réalité,
une valeur profonde dans laquelle on s’engage,
l’expression de sa personnalité,
la qualité de ce qui fait autorité,
ce qui est intrinsèquement vrai et éminemment pur.
Du côté des synonymes, ça donne :
la profondeur,
la justesse,
la sincérité,
la valeur,
la véracité.
Et ses contraires : la contrefaçon, la fausseté… On rajouterait bien comme antonyme : « la mauvaise foi », ou encore « l’illusion que l’on se crée de soi-même ».
Benchmark de votre image : n’en faites pas et puis voilà
Quand on lance un produit ou une offre de services, scruter ce qui se fait déjà est de mise. Mais avec mesure quand il s’agit de créativité. L’authenticité, elle, ne se fabrique pas sur plan. Elle s’observe et se constate. Elle ne se décrète pas ni ne s’invente. Regarder dans le trou de la serrure comment ça se passe chez le voisin pour détecter les signaux faibles de sa stratégie de communication est superflu. Tout comme dépouiller les vidéos et les articles de presse au sujet d’un confrère pour vouloir faire mieux ou même autrement. C’est du temps perdu, assurément.
L’idée n’est pas d’arrêter sa veille sur le marché. Mais quand il s’agit d’image, c’est la vôtre qui est authentique.
Authenticité : il n’y a pas de recette, mais il y a du bon sens
L’authenticité, c’est transmettre des informations que personne ne pourra vous reprocher d’exprimer. Elles vous définissent tel que vous êtes vraiment. Il ne peut pas y avoir matière à polémique, car ce sont des faits et des caractéristiques qui s’observent et se constatent. C’est avoir comme objectif d’être aligné : mots, images, ton de la voix, posture et sourire.
Devant la caméra et au micro, n’en faites pas trop…
– Laissez la place à l’inattendu et à la surprise.
– Ne retenez pas vos émotions. Au contraire, acceptez-les.
– Acceptez-vous et assumez-vous tel que vous êtes.
– Ne fuyez pas l’autodérision. Rire de soi, ça fédère. L’humour est aussi votre meilleur allié.
Si on devait résumer en quatre mots : Osez, montrez, foncez et partagez. On n’est pas authentique tout seul, c’est dans l’échange que vous allez vous révéler.
Je viens bosser chez vous a une chaîne Youtubeet un site internet avec plein de choses dessus, et pas que des vidéos. Des Podcasts par exemple.
Faire connaître mes métiers :
pourquoi la vidéo ?
Une vidéo, c’est plus qu’une succession d’images avec une bande-son, c’est une invitation à venir voir ce qui se passe au sein même de l’entreprise. Pour expliquer à quoi ressemble un métier au quotidien, il est préférable de montrer, plutôt que de décrire.
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Une vidéo, c’est plus qu’une succession d’images avec une bande-son, c’est une invitation à venir voir ce qui se passe au sein même de l’entreprise. Pour expliquer à quoi ressemble un métier au quotidien, il est préférable de montrer, plutôt que de décrire. Mais parce que l’on ne peut pas organiser tous les jours une porte ouverte, la vidéo offre un premier niveau d’immersion, avec l’objectif, de passer de l’autre côté de l’écran.
Temps de lecture : 4 minutes
Booster l’image de vos métiers et savoir-faire
La vidéo fait monter l’audimat des métiers
La vidéo renforce les autres supports de communication
Booster l’image de vos métiers et savoir-faire
Entreprises. Vous recrutez ? Vous ne savez plus quel moyen utiliser pour attirer les candidats ? Les métiers en règle générale sont peu voire pas connus. Certains souffrent d’une mauvaise image. Imaginer le métier de votre beau-frère, ami, cousin… entre l’imaginaire et le réel, il y a souvent un grand pas… Pour faire changer le regard, inutile de chercher à convaincre. Il faut d’ailleurs déjà avoir les personnes en face de soi pour cela. En montrant à quoi ressemble leur quotidien, vous n’êtes plus dans la démonstration, mais dans l’invitation à faire tomber les a priori. Pour attirer, il faut savoir se dévoiler.
Branches professionnelles. Les métiers de votre secteur d’activité n’ont pas une cote d’enfer ? Les emplois à pourvoir ne font pas toujours partie des métiers « chouchous » notamment des jeunes lors de leurs parcours et orientations scolaires. Pour parler à une cible, il faut en adopter les codes. Avec la vidéo de jeunes en action dans l’entreprise, on peut se projeter et s’identifier. Liker et partager une vidéo, c’est déjà montrer que l’on est intéressé.
Collectivités locales. Les entreprises de votre territoire sont des pépites, mais elles peinent à se faire connaître ? Pour faire rayonner son attractivité, l’action groupée a de l’impact. En associant les savoir-faire des entreprises à la vie locale, les futurs habitants des lieux sont attirés par un ensemble : l’activité économique et la qualité de vie. On aime choisir sa prochaine séance de ciné avec une bande-annonce vidéo, plutôt qu’un texte de résumé.
La vidéo fait monter l’audimat des métiers
Certains intitulés de métiers ne déchaînent pas les foules. Nous, vous, on a tous des idées reçues. L’image et le son peuvent les faire voler en éclats. Poser une caméra dans l’entreprise et faire un gros plan sur le quotidien d’une collaboratrice / d’un collaborateur, c’est plus qu’un « spot de pub », c’est le début d’une rencontre.
C’est un visage et une voix. On n’a pas envie de discuter avec une fiche métier, par contre, lorsque c’est une personne, Alice, Paul, Nathalie ou Léo, qui nous parle, on tend l’oreille. On n’est pas loin de l’émission de télé-réalité (en plus soft) avec l’envie de voir ce qui normalement est caché.
Ce sont des outils et des gestes. Une capture vidéo de quelques secondes d’un.e professionnel.le en action en dit plus que plusieurs paragraphes d’explications. On est spectateur des objets de travail et de leur manipulation. C’est comme si on y était.
C’est un témoignage d’égal à égal. Ceux qui exercent le métier les racontent avec les mots simples de leur quotidien, comme ils parleraient à un ami ou à une personne de sa famille. C’est même parfois émouvant. C’est aussi du savoir-être.
C’est un lieu de travail et une ambiance. Une vidéo sur un métier ne se filme pas sur un fond blanc (ou un fond vert), c’est toute la vie de l’atelier ou du service qui est captée. Les couleurs, les espaces, les interactions… C’est mieux qu’un feuilleton.
La vidéo permet de valoriser des métiers souvent méconnus du grand public.
La vidéo renforce les autres supports de communication
Une série de vidéos ne vient pas détrôner les autres actions de communication. Au contraire, elle les renforce. On vous explique comment.
Site internet. Une vidéo attire l’œil dès la page d’accueil du site. Il est également intéressant de les positionner dans plusieurs rubriques en complément des articles. Le but est de répondre aux attentes des différents profils de visiteurs.
Notre tip : créez également une rubrique « Toutes nos vidéos » ou « En coulisses », sur votre site internet pour rassembler au même endroit les différentes réalisations.
Réseaux sociaux. La vidéo fait un tabac sur les réseaux sociaux : + 80% du flux média actuel, c’est de la vidéo. Un fil d’actualité varié, ce sont des liens vers des articles, des Posts et tweets d’ambiance, des clins d’œil à des initiatives de vos partenaires et des vidéos qui se déclenchent en automatique. La vidéo génère de nombreux likes et commentaires qui donnent de la lumière à vos autres publications.
Notre tip : répondez à toutes les personnes qui interagissent avec vos publications en les remerciant ou même en engageant déjà l’échange. C’est déjà un début de conversation.
Salons et événements. Sur un salon, on ne sait pas toujours dans quelle allée avancer. Des vidéos projetées sur un écran à l’intérieur d’un stand créent un espace intermédiaire. On a tous été des visiteurs parfois intimidés, ou gênés, pour engager la première phrase. La vidéo est un parfait sujet de première discussion.
Notre tip : sur les flyers et la documentation que vous laissez en main propre, indiquez le lien pour retrouver toutes vos vidéos.
Pages Carrières et Offres d’emploi. La rubrique Emploi d’un site d’entreprise contient : des informations sur la vie de l’entreprise, la description des métiers… et les offres d’emploi. Plus cette rubrique est riche, plus elle retient l’attention. La vidéo est une pièce en plus pour montrer la vie de l’entreprise et zoomer sur les savoir-faire, ambiances et savoir-être.
Notre Tip : Dans un post sur les réseaux sociaux, vous pouvez publier la vidéo et le lien vers l’Espace Carrières pour faire gagner du temps aux candidats motivés.
Les possibilités sont multiples. Notre métier, c’est de valoriser le vôtre.
Allez fini de parler et d’écrire. Ce n’est pas tout de lire un article, maintenant, justement, vous voulez voir à quoi ça ressemble. Alors, rendez-vous sur notre chaîne Youtube Jeviensbosserchezvous pour et peut-être avoir envie de changer de métier.
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Qui sont ces entreprises étrangères qui s’implantent et recrutent en France ?
Dans l’Hexagone, les entreprises étrangères emploient 1,8 million de Français et représentent la création de 30.000 emplois par an (statistique 2018) et 4 milliards d’euros d’investissements en 2020…
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Dans l’Hexagone, les entreprises étrangères emploient 1,8 million de Français et représentent la création de 30.000 emplois par an (statistique 2018) et 4 milliards d’euros d’investissements en 2020… « 87% des cadres dirigeants considèrent la France propice aux investissements(+13 points par rapport à 2016),et 82 % des entreprises étrangères installées en France tirent un bilan positif de leur investissement sur le territoire (+ 4 points en un an) », selon le Gouvernement français, premier lobbyiste via sa marque « Choose France » et ses outils comme Business France. De grands sites clés en main sont régulièrement recensés par région pour favoriser l’accueil de ces investisseurs bienvenus pour notre économie. Plus de 28.000 entreprises industrielles auraient ainsi créées en 2018.
SKF, Equippo, Geotab…
Sous les ors de Versailles, le président Emmanuel Macron leur déroule le tapis rouge chaque année. Les derniers à avoir annoncé leur implantation en France s’appellent Element Logic (intégrateur norvégien) en Bourgogne, la plateforme suisse Equippo de vente de matériels TP d’occasion (près d’Avignon), SKF dans la Vienne pour des essieux ferroviaires (reprise d’un site de 50 salariés), le Canadien Geotab à Paris, l’Espagnol Gazeley sur 140.000 mètres carrés du coté de Valence…
Investisseurs fidèles et nouveaux entrants
Sans compter les fidèles Amazon, McDonalds, AstraZeneca, Coca-Cola, Ericsson… Ce dernier vient d’ailleurs annoncer l’ouverture prochaine de son premier centre de R&D en France, dédié à la 5G. Il a choisi Massy en région parisienne. L’Anglo-suédois AstraZeneca, conforte quant à lui son site historique de Dunkerque. Il y injectera 200 millions d’euros sur les 450 qu’il investira en France ces cinq prochaines années. Il compte déjà un millier de salariés dans notre pays et bientôt 100 de plus dans le Nord… A Dunkerque toujours, Coca-Cola promet 500 millions d’euros d’investissements. L’attractivité de la France ne se dément pas. De son côté, le laboratoire américain Biogen a réaffirmé cet amour français en consacrant 22 millions d’euros supplémentaires chaque année, avec 45 emplois de plus (+ 20%) dès 2020. En Normandie, où il dispose de deux sites de 500 et 400 personnes, l’Américain Aptar Pharma s’agrandit de 4.000 m2 à Granville où plus de 130 recrutements sont en cours. Experte du caoutchouc, cette division « injectables » du groupe Aptar fabrique des aiguilles souples, des bouchons de perfusions…
L’Etat française a recensé de grands sites industriels prêts à accueillir les investisseurs étrangers, clés en main!
Que viennent-ils chercher ?
Au-delà du cadre de vie « à la française » et de l’image de qualité liée au « made in France », c’est surtout des soutiens financiers, à la fois à l’implantation (fiscalité, embauches…) et à la recherche (crédit d’impôt), sans oublier une place forte au carrefour de l’Europe de l’Ouest, dans la zone euro.
Ils font fi des grèves et des pénuries !
Malgré les grèves à répétition et des emplois dits « pénuriques », la main-d’oeuvre française séduit. En 2020, 45.000 personnes vont être formées par le n°1 mondial des « solutions en ressources humaines » (autrement dit recrutement sous toutes ses formes) : Adecco… un groupe suisse. Cette année, il va investir 100 millions d’euros dans cette opération, mais aussi recruter 15.000 personnes en CDI intérimaire et ambitionne même de former un million de personnes d’ici à 2030, soit 150.000 par an ! « Un collaborateur en CDI intérimaire a en moyenne 5,5 fois plus accès à la formation qu’un collaborateur en intérim classique », souligne Adecco. « Nous avons fait travailler 700.000 personnes en France en 2019, mais 100.000 missions n’ont pas trouvé de candidats », déplore Christophe Catoir, président d’Adecco pour la France et l’Europe du Nord, interrogé sur BFM Business.
Pour expliquer cette attractivité française, le cabinet d’audit EY met aussi en exergue un meilleur accompagnement de l’Etat et des collectivités parmi les priorités industrielles. Dans son dernier baromètre de l’attractivité, on y apprend que la France garde la première place européenne des implantations et extensions, avec 339 projets (à fin 2018). Ces investissements ont bondi de 47 % depuis 2014 !
C-Log, filiale du Groupe Beaumanoir, recrute des agents logistiques
Impressionnant, cet entrepôt logistique dédié au textile ! Dans ce nouvel épisode réalisé pour Job&Box, je vous emmène bosser en compagnie de Morgan à Saint-Malo, chez C-Log.
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Dans l’entrepôt logistique de C-Log, à Saint-Malo avec robot palettiseur et machines de tri à haute cadence. L’entreprise dispose de 5 sites en Europe et un à Shanghai.
[Article sponsorisé)
Impressionnant, cet entrepôt logistique dédié au textile ! Dans ce nouvel épisode réalisé pour Job&Box, je vous emmène bosser en compagnie de Morgan à Saint-Malo, chez C-Log. Cette filiale de 500 salariés du Groupe Beaumanoir (13.000 salariés, 1,2 Md€ de CA) assure toute la logistique des magasins à ses enseignes : Bonobo, Cache Cache, Bréal, Vib’s et… Morgan !
Reconversions professionnelles possibles
Lui était opticien avant de travailler chez C-Log mais, non content de ses horaires en boutique, il a décidé de se reconvertir dans la logistique. Un parcours exemplaire avec des horaires soit du matin (de 3h à 11h), soit d’après-midi (11h30 jusqu’à 19-20h) qu’il trouve plus adaptés à sa vie privée ! Son outil de travail très robotisé est à la pointe de la technologie pour des flux de marchandises toujours optimisés. La robotique et l’informatique l’aident dans ses tâches et l’ont aussi convaincu de bosser ici. Volontaire, Morgan apprécie particulièrement l’esprit convivial et la proximité dans cette entreprise familiale, et le respect de son travail.
300.000 pièces expédiées chaque jour
Spécialiste de la supply chain et de la logistique BtoB, créé en 2002, C-Log dispose de plusieurs plateformes logistiques, à Saint-Malo, mais aussi en région parisienne et dans le Nord, à Cambrai. C-Log expédie chaque jour plus de 300.000 pièces dans plus de 2.500 points de vente à travers le monde.
Le Duff va créer 500 emplois de plus dans sa 10e usine Bridor
Sa 10e usine à l’enseigne de sa filiale Bridor, Louis Le Duff la projette dans son fief breton en Ille-et-Vilaine, à Liffré, au nord de Rennes.
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Sa 10e usine à l’enseigne de sa filiale Bridor, Louis Le Duff la projette dans son fief breton en Ille-et-Vilaine, à Liffré, au nord de Rennes. A son démarrage en 2022, ce site de production de pains et viennoiseries, la spécialité du groupe agroalimentaire, emploiera déjà quelque 150 talents mais ils seront 500 sur place, à terme.
250 M€ investis
Un nouvel investissement de 250 millions d’euros, qui vient compléter celui de 200 millions consacrés récemment en Amérique du Nord. « Ce plan d’investissement démarrera dès 2020, s’étalera sur les 5 prochaines années et s’accompagnera de la création de 500 emplois », précise le groupe.
3e site de production dans l’Ouest
Bridor a déjà deux sites de production à l’Ouest. « Cette nouvelle usine à Liffré viendra renforcer les capacités de production actuelles des sites de Servon-sur-Vilaine (35) et de Louverné/Laval (Mayenne) ». L’entreprise réalise un chiffre d’affaires de 800 millions d’euros et emploie 2.500 salariés. Bridor entend « franchir le cap du milliard d’euros de chiffre d’affaires dans le monde à horizon 2021 ».
Vents porteurs sur l’éolien au Havre : 750 emplois à créer chez Siemens Gamesa
Une usine de production d’éoliennes va voir le jour au Havre fin 2020.
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Une usine de production d’éoliennes va voir le jour au Havre fin 2020. Pour faire tourner ce site de production hors norme, en projet sur le port industriel depuis une dizaine d’années et initié par Siemens Gamesa, 750 recrutements vont être lancés en CDI, de l’ouvrier à l’ingénieur en passant par le personnel non qualifié, à former. Sans compter les emplois indirects liés au projet, à la construction…
Former aux métiers de l’éolien
Un centre de formation ouvrira également sur place pour offrir des parcours de reconversion notamment, jusqu’à 6 mois. Des métiers proches de ceux de l’aéronautique et du naval : électro-mécaniciens, techniciens en matériaux composites, peintres, drapeurs… Arnaud Gomel, DRH spécialement nommé pour cette vague de recrutements, axera ses embauches sur « la qualité et la sécurité ».
Des pâles en composite, générateurs, nacelles…
Cette usine du futur, qui fabriquera des pâles, générateurs et nacelles d’éoliennes, devrait démarrer fin 2021, sur 36 hectares dédiés. Ce pôle de production fournira de nombreux sites éoliens de la moitié nord de la France : de Noirmoutier à Dieppe.
Chaque année, le groupe Bigard recrute énormément. En 2018, il avait opéré 736 recrutements en CDI.
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Chaque année, le groupe Bigard recrute énormément. En 2018, il avait opéré 736 recrutements en CDI. Pour 2020, par exemple à Flers, son site industriel normand de sa marque de viande Charal a besoin de recruter une trentaine de personnes en CDI. Bienvenue aux futurs talents !
En production : conducteurs, opérateurs…
L’entreprise recherche des profils spécifiques de conducteur de machines, opérateur de conditionnement, technicien de maintenance… Ce pôle normand emploie déjà 450 salariés en CDI et 70 en CDD, mais des départs à la retraite sont prévus. D’où ses besoins de main-d’œuvre actuels. Non loin de là, à Coutances, son autre enseigne Socopa Viandes a besoin d’une vingtaine de personnes.
Être majeur suffit à postuler !
Pour faire des steaks hachés (sa spécialité), produits surgelés sur place, une seule condition : être majeur ! Le savoir-être est primordial aux yeux de cette entreprise du groupe Bigard. Ce numéro 1 de la viande en France emploie plus de 14.900 personnes sur une cinquantaine de sites répartis sur l’ensemble du territoire national.
Tout a commencé en 1968 à Quimperlé, dans le Finistère, quand « Lucien Bigard, ancien boucher des Halles de Paris, rachète la Socovia, entreprise de transformation des viandes qui l’employait ».
Saint James : 130 ans fêtés avec 350 salariés dont 63 nouveaux embauchés
Ils n’étaient plus que 37 en 1970 à bosser aux Tricots Saint James. Près d’un demi-siècle plus tard, ils (et surtout elles à 77 %) sont 350!
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Ils n’étaient plus que 37 en 1970 à bosser aux Tricots Saint James. Près d’un demi-siècle plus tard, ils (et surtout elles à 77 %) sont 350 ! Preuve en est, si besoin, que le textile « made in France » n’est pas mort. Bien au contraire, même. Il s’exporte : près de 40% du business de cette entreprise du patrimoine vivant hexagonal est réalisé à l’international (et 6% en ecommerce). L’objectif est fixé à 50% dans la décennie qui vient. Le reste est, pour l’instant, généré à travers 600 points de vente en France. En 2018, Saint James a réalisé 58 millions d’euros de chiffre d’affaires. Soit plus du double de ce qui était encaissé au début des années 2000. La reprise par ses cadres s’avère gagnante. Aujourd’hui, Luc Lesénécal et Patrice Guinebault pilotent ce fleuron de l’industrie textile.
Le textile recrute
Ses nouveaux talents, Saint James les attire en Normandie, à quelques rayures du Mont Saint-Michel. Ces trois dernières années, 63 nouvelles embauches nettes ont été signées par l’atelier textile qui recrute notamment des couturiers et couturières, pour des métiers ancestraux : raccoutrage, remaillage (que j’ai testé pour vous), etc.
Nouveau logo
Pour ses 130 ans, l’entreprise a réaffirmé son ancrage normand en réunissant tous ses salariés au cours d’une traversée symbolique de la baie du Mont Saint Michel. L’occasion unique de dévoiler sa nouvelle identité, sous un logo redessiné.
Géry
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St Michel Biscuits agrandit
et diversifie sa biscuiterie à Avranches
Les galettes St Michel sont une institution à Avranches. La bonne odeur de la production envahit régulièrement le quartier de Saint-Senier-sous-Avranches, où la biscuiterie vit un tournant de son histoire.
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Les galettes St Michel sont une institution à Avranches. La bonne odeur de la production envahit régulièrement le quartier de Saint-Senier-sous-Avranches, où la biscuiterie vit un tournant de son histoire. À l’arrière du bâtiment historique, un impressionnant chantier va permettre de doubler quasiment la surface du site de production.
« Nous allons passer de 23.000 à 40.000 mètres carrés », explique sur place Johann Le Du, le directeur qui emploie 200 personnes et recrute. « Nous avons besoin d’une quarantaine de recrutements.
Diversification de la production
L’extension de ce site va de pair avec une diversification de cette production normande. Aux fameuses galettes rondes, la marque St Michel vient de se lancer dans la pâtisserie, avec l’ajout de madeleines, Doonuts et autres douceurs qui connaissent un véritable succès auprès des consommateurs. Rien que pour ses Doonuts, les prévisions de production ont été triplées.
Emploi de conducteurs de ligne
Ses besoins en main-d’œuvre vont donc croissants. Sont notamment recherchés des conducteurs et conductrices de ligne de production, des professionnels de la maintenance… L’entreprise, qui dispose de sa propre force en R&D avec 7 ingénieurs à Avranches par exemple, forme en interne.
Un groupe familial et indépendant
St Michel Avranches est l’un des neuf sites de production en France du groupe familial et indépendant de 1.800 salariés, qui dispose également d’un site à Sant Francisco.
L’assureur Axa veut recruter plus de 5.000 talents
« Travailler chez Axa, c’est faire partie d’une grande famille », affiche d’emblée l’assureur pour séduire ses futures forces vives.
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« Travailler chez Axa, c’est faire partie d’une grande famille », affiche d’emblée l’assureur pour séduire ses futures forces vives. En 2019, Axa doit en recruter plus de 5.000. Un enjeu de taille pour servir 9 millions de clients. Il y a la gestion courante de leurs contrats, mais aussi la promesse d’ »inventer l’assurance de demain » pour les candidats à l’embauche.
10,5 % de mobilité interne
Les postes à pourvoir sont nombreux et variés : chargé de clientèle, technicien, « régleur » de sinistres, contrôleur financier, conseiller grands comptes, mais aussi des profils d’entrepreneurs pour devenir agent Axa. L’entreprise affiche 10,5 % de mobilité interne.
6e entreprise française la plus attractive !
Chaque année, Axa accueille également « plus de 2.000 étudiants en France, dans la validation de leur cursus de formation », indique la direction des ressources humaines de l’entreprise aux 160.000 collaborateurs dans le monde entier et quelque 99 milliards d’euros de chiffre d’affaires. Axa fait partie des 25 entreprises françaises les plus attractives selon le réseau Linkedin qui la classe au 6e rang. Un argument de poids : « Axa a quadruplé ses investissements verts (12 milliards d’euros en 2020) et n’assure plus aucun projet de construction de centrale à charbon ni d’entreprise d’extraction de sables bitumineux et de pipelines associés. »