En Vendée, Arcade Cycles investit 17 M€
pour doubler sa production et recrute
Pour doubler ses capacités et produire un plan annuel ambitieux de 120.000 cycles, Arcade Cycles investit 17 millions d’euros à La Roche-sur-Yon en Vendée où elle a un nouveau bâtiment. L’entreprise recrute et bosse son attractivité pour 60 embauches en vue.
Spécialiste des flottes de vélos pour entreprises et collectivités revendiquant près de 200 villes de 28 pays au monde, l’entreprise vendéenne Arcade Cycles double ses capacités de production et embauche. Un vaste plan d’investissements de 17 millions d’euros, dans le cadre de France Relance, lui a déjà permis d’agrandir son site industriel et siège actuel pour le porter à 15.000 mètres carrés début 2024, soit « 2,5 fois plus grand que l’ancien », à La Roche-sur-Yon. Quelque 60.000 vélos dont la moitié électriques sont assemblés par an. Ce chiffre doit doubler voire même tripler d’ici à 2030 !
Cap sur 200 emplois
Née grâce aux loueurs de vélos sur la côte atlantique en 1995, Arcade Cycles exporte depuis son savoir-faire d’assembleur. Aujourd’hui forte de 130 salariés, l’entreprise recrute et prévoit même une soixantaine d’embauches pour ses besoins d’expansion. Elle recherche des techniciens cycles, mais aussi assistants commerciaux, services supports…
Une extension de son bâtiment est encore possible grâce à une réserve foncière. « Nos actions se tournent vers l’avenir et l’émergence du vélo électrique connecté. En 25 ans, Arcade a ainsi développé une large gamme de beaux vélos faits pour durer« , indique l’entreprise.
100 M€ d’ici à 2030…
Ça roule pour Arcade Cycles ! En 2010, elle réalisait 8 millions d’euros de chiffre d’affaires. En 2022, c’était 38 millions d’euros, à 80% en BtoB avec 20% à l’export. L’entreprise vend aussi en ligne aux particuliers et à travers un réseau d’une centaine de distributeurs. Désormais, son dirigeant Frédéric Lucas, qui vient de succéder à son père à la tête de l’enseigne familiale, vise les 100 millions d’euros en 2030…
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Le nucléaire recrute : 10.000 postes
à pourvoir chaque année en France
Près de 10.000 emplois sont à pourvoir chaque année dans la filière nucléaire en France. Parmi les recruteurs de premier ordre, Orano multiplie les recrutements sur ses nombreux sites. C’est le cas aussi d’EDF, Fives Nordon… Avec ou sans diplôme et expérience, tous les profils sont recherchés !
Parmi les filières dynamiques pourvoyeuses de nombreux recrutements chaque année, le nucléaire poursuit sur sa lancée en 2024, sur des sites bien connus : La Hague, Tricastin… Face aux défis énergétiques, près de 10.000 emplois sont à pourvoir chaque année pendant dix ans dans la filière en France. Et on estime le besoin de cadres à 3.000 embauches par an jusqu’en 2033 ! C’est le cas notamment chez Orano (4,7 Md€ de CA en hausse de +13,1%), acteur majeur du secteur qui emploie 17.500 personnes dans le monde et recrute chaque année environ 1.500 collaborateurs en CDI, « du CAP au Bac+5 ». Plus de 1.000 offres d’emplois tournent actuellement sur son site internet : des ingénieurs, des techniciens instrumentistes, des conducteurs d’installations nucléaires, des pilotes de maintenance, et autres opérateurs…
Chez Fives Nordon, autre acteur majeur de la filière qui assure une partie de la maintenance du parc nucléaire français, 600 postes sont à pourvoir d’ici à 2029. Six EPR sont à construire, selon le plan d’Emmanuel Macron qui a relancé la filière avec ces réacteurs de troisième génération.
Litholamelleur
Dans les besoins, on trouve aussi et peut-être de façon plus inattendue ces autres métiers : des chauffeurs, échafaudeurs, bobiniers, tourneurs-fraiseurs, hydrogéologues… A l’image de ses confrères, le groupe industriel français compte pas moins de 250 métiers différents aves des salaires attractifs, « de l’exploration au recyclage » précise-t-il. Connaissez-vous par exemple le métier de litholamelleur ? C’est celui qui bosse en laboratoire pour fabriquer des lames très minces de roches afin d’étudier la consistance des minerais, à la recherche d’uranium bien sûr.
Formation interne assurée
Bosser dans une centrale nucléaire, ça ne s’improvise pas ! Fin 2023, Orano a lancé son parcours de formation interne en alternance, pour le métier de la radioprotection. Ses trois sites du Tricastin (26), Marcoule (30) et Malvési (11), au sud, sont concernés par cette opération menée en lien avec France Travail. Soit 450 heures de formation entièrement financées. Orano forme à lui seul 800 alternants chaque année. Les étudiants, salariés de demain, sont aussi les bienvenus en stages et contrats VIE.
L’Université des métiers du nucléaire a également ouvert ses portes en avril 2021 à l’initiative de France Travail avec 12 membres fondateurs dont l’UIMM, EDF, Orano. Et une semaine spéciale leur est désormais dédiée chaque année en février. La 2e édition a eu lieu en 2024.
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St-Hubert se met sur son 41
et investit 50 M€ à Nancy
La célèbre marque de margarine St-Hubert fête ses 120 ans et investit 50 millions d’euros, notamment dans la décarbonation de son site lorrain de Ludres sur le territoire du Grand Nancy. L’entreprise va aussi augmenter ses capacités de production.
Ces sept prochaines années, l’industriel lorrain St-Hubert va investir 50 millions d’euros à Ludres, près de Nancy. Cet investissement massif doit en grande partie servir à la décarbonation du site de production des célèbres plaquettes de margarine « riche en oméga3 ». Avec l’explosion des factures énergétiques, l’entreprise veut notamment récupérer les calories perdues de ses machines et améliorer son isolation. Objectif affiché : réduire de 63% ses émissions de CO2, soit quelque 1.100 tonnes par an.
St-Hubert veut aussi en profiter pour augmenter ses capacités de production avec quelques recrutements à la clé. Actuellement, elle produit 27.500 tonnes de margarine chaque année.
230 emplois
L’entreprise créée en 1904 fête ses 120 ans (sous un nouveau logo) et compte à ce jour 230 salariés dont 110 à Ludres spécialisé dans la margarine. En France où St-Hubert dit détenir 43,3% de parts de marché, il se vend une de ses barquettes chaque seconde, soit 12.000 barquettes par heure, selon Jérôme Stein, le directeur industriel de la marque propriété des fonds chinois Beijing Sanyuan Foods Co et Fosun Group depuis 2018. C’est ce dernier qui détient aussi le Club Med.
France, Italie, Chine…
En 2023, St-Hubert a réalisé plus de 115 millions d’euros de chiffre d’affaires. « Nous sommes également présents en Italie sur le marché des matières grasses végétales à tartiner et des pâtes à dérouler sous la marque Valle’, indique l’entreprise. Et depuis 2020 nous sommes présents en Chine sur le marché des boissons végétales. »
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Safran va créer une fonderie
avec 200 emplois à Rennes
A Rennes, Safran va implanter pour 80 M€ un nouveau site de production de pièces de moteurs d’avion : des aubages de turbines. Cette entité Safran Turbine Airfoils comptera 200 emplois en 2027 sur le pôle industriel de La Janais où est historiquement basé le constructeur automobile PSA.
200, c’est le nombre d’emplois promis par Safran sur sa nouvelle fonderie bretonne, à Rennes. L’industriel veut y investir 80 millions d’euros. Opérationnel en 2027, ce pôle sera dédié à la production d’aubages de turbine pour ses programmes de motorisation dits majeurs. C’est au coeur du site automobile de La Janais, historiquement dédié à PSA (devenu Stellentis) et en cours de réindustrialisation, que l’avionneur basera son entité nommée Safran Turbine Airfoils, en soutien à son réseau mondial de production de pièces de moteurs d’avions et en lien étroit avec sa fonderie mère à Gennevilliers, en région parisienne.
« Une vitrine »
« Nous sommes très heureux d’annoncer la création de ce nouveau site de production sur un territoire dynamique et attractif, a déclaré Olivier Andriès, directeur général de Safran. L’implantation de Safran Turbine Airfoils est une décision stratégique qui témoigne de notre soutien à la souveraineté nationale et à la renaissance industrielle de la France. Nous voulons faire de Safran Turbine Airfoils une vitrine pour le groupe en matière d’innovation, d’efficacité industrielle et de performance énergétique. »
De son côté, Jean-Paul Alary, le président de Safran Aircraft Engines, précise la destination de ces futures pièces : « Safran Turbine Airfoils nous permettra de répondre à nos enjeux de montée en cadence sur le moteur militaire M88, dont les pièces sont majoritairement produites sur notre territoire, et de renforcer la chaîne d’approvisionnement du moteur LEAP en fabriquant en France une partie de la production de pièces critiques. » Ce type de moteur en service depuis 2016 permet de réduire de 15% la consommation de carburant et les émissions de CO2 des avions monocouloirs de nouvelle génération : familles d’avions Airbus A320neo et Boeing 737 MAX.
Une industrie en forte croissance
Safran emploie quelque 92.000 salariés sur 276 sites dans le monde (présent dans 27 pays), pour un chiffre d’affaires de 23,19 milliards d’euros en 2023, en hausse de 21,9%. En 2023, son résultat opérationnel courant a atteint 3,16 milliards d’euros, en augmentation de 31,5%, pour un résultat net à deux milliards d’euros. Pour 2024, l’industriel s’attend à un chiffre d’affaires de 27,4 Md€.
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Safran recrute des passionnés de technologies et annonce « 12.000 opportunités cette année ». En Bretagne, Safran propose déjà des offres d’emplois pour ses sites de Cesson-Sévigné, Dinard, Fougères en Ille-et-Vilaine et Guidel dans le Morbihan.
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A Epinal, le maroquinier de luxe SIS
va créer 300 emplois
Spécialisée dans la maroquinerie de luxe, l’entreprise SIS va créer un nouvel atelier dans les Vosges, à Epinal. A la clé : 300 emplois à créer.
Déjà implantée dans le Jura depuis 1998, la société SIS va créer un nouvel atelier au printemps dans les Vosges. Dans un premier temps provisoire à Epinal, ce site emploiera 100 à 150 personnes, mais son effectif devrait doubler rapidement pour atteindre également 9.000 mètres carrés neufs. Dirigée par Jean-Yves Chauvy, l’entreprise emploie à ce jour 1.100 salariés, répartis sur quatre sites de production en Franche-Comté, à Avoudrey, Etalans, Valdahon et Vesoul.
A l’étranger, SIS peut aussi compter sur Madagascar (450 salariés) et la Chine (150 salariés). La nouvelle filiale d’Épinal s’appelle la Manufacture du Cœur des Vosges (MCV) et pourra compter qu’à 350 emplois.
Bracelets de montres
SIS est spécialisée dans le travail du cuir pour la maroquinerie de luxe, notamment la gainerie, la sellerie – bagagerie et la fabrication de bracelets de montres pour des horlogers suisses de renom. SIS assure la formation de ses nouveaux embauchés, d’anciennes couturières par exemple comme à Epinal. Il faut environ 6 mois pour être opérationnel. L’entreprise dispose de sa propre école de formation.
Qui est SIS ?
La société SIS est née du regroupement de Soft Line Box, IWD et Supercuir, fondée en 1983 et reprise par ses cadres après une liquidation judiciaire. En 2022, l’entreprise qui s’affiche comme « une manufacture de maroquinerie responsable » a réalisé près de 73 millions d’euros de chiffre d’affaires pour 2,3 millions de résultat net.
SIS recrute, postulez !
Pour recruter, SIS affiche une politique sociale poussée : crèche, restaurant d’entreprise, espaces forme, aide au logement de ses salariés…
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Qui veut fabriquer du paracétamol
en France chez Ipsophène ou Seqens ?
Au sud de Toulouse, dans la région Occitanie, la startup Ipsophène veut ouvrir la première usine de paracétamol en Europe en 2025. A la clé : 28 M€ investis et 40 emplois. A moins que son confrère Seqens la double en Isère…
Annoncée déjà comme la première usine européenne de paracétamol, Ipsophène doit produire 3.000 à 4.000 tonnes (par an) de ce médicament au premier semestre 2025. La commercialisation, elle, est attendue au printemps 2025 auprès de laboratoires notamment français. C’est au sud de Toulouse, dans un bâtiment de 5.000 mètres carrés sur l’Oncopole, que ce projet porté par Jean Boher doit voir le jour avec un investissement conséquent de 28 millions d’euros, financé à 15% par la région Occitanie.
Jobs en vue
En jeu : 35 à 40 créations d’emplois prévus. Ce projet doit remédier en partie à la pénurie de médicaments dans l’Hexagone suite au Covid. Les coûts de production seront réduits et l’usine innovante et respectueuse de l’environnement, promet son promoteur, même si le prix de vente resterait 30 à 40% plus élevé que les produits d’importation.
Retrouver une souveraineté
La course à la souveraineté pharmaceutique est lancée ! En Isère, le confrère Seqens investit aussi pour produire 10.000 tonnes du fameux antalgique par an sur son site historique de Roussillon. En 2021, il avait annoncé une centaine d’emplois et 75 M€ liés à ce projet de délocalisation. Le projet, initialement annoncé pour 2024, est reporté à 2026…
Aujourd’hui, environ 85% du principe actif du paracétamol est importé d’Inde, de Chine ou des Etats-Unis. Et depuis 2009 et la fermeture de la dernière usine, l’Europe n’en fabrique plus. A Toulouse, Jean Boher joue la carte de la souveraineté européenne, si chère aux politiques.
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Google France ouvre un nouveau centre
de recherche dédié à l’IA : 300 emplois
A Paris, Google vient d’inaugurer un nouveau hub de R&D entièrement consacré à l’Intelligence Artificielle (IA). Ce pôle doit regrouper 300 emplois de chercheurs et développeurs.
A Paris, la firme américaine Google avait déjà implanter un pôle de recherche en 2018. Google France vient d’inaugurer un nouveau hub dédié à la R&D en Intelligence artificielle (IA). Dans le 9e arrondissement de la capitale, il réunit des équipes de Google Research et DeepMind, soit 300 emplois d’ingénieurs informatiques et de chercheurs. Objectif pour le P-dg Sundar Pichai, qui recrute sans cesse : « Faire émerger de nouveaux partenariats académiques. » Il souhaite ainsi former quelque 10.000 professionnels aux outils et spécificités de l’IA d’ici à fin 2025…
En 2018 déjà, Google France avait annoncé l’extension de son siège parisien pour accueillir 500 salariés supplémentaires et doubler ainsi ses effectifs.
Kyutai, concurrent français
La concurrence reste féroce face au développement exponentiel de l’IA. En France, Xavier Niel (Iliad – Free), Rodolphe Saadé (CMA-CGM) et Eric Schmidt (ex-CEO de Google) ont lancé fin 2023 leur propre laboratoire de recherche tricolore nommé « Kyutai ». Chacun a investi 100 millions d’euros dans l’affaire. De quoi faire face au ChatGPT, Google Bard ou encre Meta AI.
Avec ses institutions et laboratoires prestigieux et ses 500.000 chercheurs, la France est une place de premier ordre pour les géants du numérique, à l’instar de Google, mais aussi Facebook ou IBM, Samsung…
Zeiss s’affiche dans la rue pour recruter
en Bretagne : 30 emplois en vue
Pour renforcer son site breton de production de verres Origine France Garantie, l’industriel Zeiss a lancé une campagne de recrutement originale par voie d’affichage publicitaire. Bien vu dans les rues de Fougères en Ille-et-Vilaine pour 30 emplois à pourvoir ! Et aussi 300 de plus en Charente…
Z… E… I… bien vu ! Zeiss recrute et affiche la couleur dans la rue. Pour ses emplois à pourvoir dans le Pays de Fougères, en Ille-et-Vilaine (35), l’industriel a lancé une campagne d’affichage publicitaire en ville mettant en avant ses propres salariés en situation de travail. « Vous cherchez une bonne raison pour changer de métier… Venez nous voir ! », invitent-ils.
Made in France
En Bretagne, Zeiss a investi dans de nouvelles machines et recrute 30 personnes pour renforcer la fabrication de ses verres « made in France ». Un argument qui devrait séduire, espère la direction : « Nous allons augmenter de 25% notre production de verres Origine France Garantie », explique Nicolas Series, président de Zeiss France qui emploie déjà 330 personnes sur place, sur un millier dans tout l’Hexagone.
En partenariat avec France Travail, Zeiss embauche selon une méthode de recrutement sans CV donnant ainsi sa chance à tout le monde, avec et sans diplôme d’ailleurs. L’entreprise veut renforcer les circuits courts d’approvisionnement de ses clients opticiens partenaires. Six nouveaux commerciaux viennent, en parallèle de cette campagne, muscler ses équipes.
300 emplois et 33,7 M€ en Charente-Maritime
En 2023, en Charente-Maritime, le géant allemand de l’optique avait déjà annoncé une vaste campagne de 300 recrutements cette fois à horizon 2028, pour son site de production de Périgny. Créé en 2005 près de La Rochelle, ce pôle recevra 110 millions d’euros d’investissements dont 33,7 M€dans le bâtiment et 46,7 M€ dans ses futurs équipements. Une nouvelle usine de près de 14.000 mètres carrés pour la production de verres de lunettes mais aussi d’objectifs pour appareils photos.
La première pierre a été posée en mars 2023. Livraison prévue en janvier 2025. Zeiss doit y développer de nouveaux produits et recrute des profils tous azimuts, de la production à la logistique en passant par les services supports. Cette division de technologie médicale, qui emploie déjà 250 personnes sur 5.000 mètres carrés, est spécialisé notamment dans la production d’implants intra-oculaires pour soigner la cataracte.
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La RATP lance 5.300 offres d’emplois
pour les JO de Paris2024 : on a testé !
Pour renforcer ses équipes dans la perspective des Jeux Olympiques de Paris2024, la RATP annonce 5.300 recrutements en Ile-de-France. Agents en station, conducteurs, sécurité… les postes à pourvoir sont variés.
Découvrez l’entreprise…Voir la vidéo
En 2024, la RATP prévoit le recrutement de 5.300 agents. En détails, ce sont 3.700 CDI, 1.000 contrats d’alternance et 600 contrats d’insertion. Les JO de Paris y sont pour beaucoup mais pas seulement. Des départs sont naturellement à remplacer et le président du groupe, l’ancien Premier ministre Jean Castex veut aussi redresser la qualité de service délivrée avec des moyens humains supplémentaires. L’an dernier déjà, l’entreprise avait annoncé un vaste plan de 6.600 emplois à pourvoir, « sans diplôme à Bac+5« . Un millier de nouveaux alternants sont aussi attendus dont 850 au sein de son propre Centre de formation des apprentis (CFA) de la mobilité urbaine durable (MUD).
Conducteurs bienvenus !
Parmi ces 5.300 promesses d’embauches, la RATP a surtout besoin de conducteurs. Le besoin s’élève à 1.350 chauffeurs de bus (dont 1.200 sur Paris et petite couronne et 150 en grande couronne avec RATP Cap Île-de-France), 120 conducteurs de métro. Les deux autres métiers les plus recherchés concernent les techniciens de maintenance (350 postes à pourvoir) et les agents en gares et stations (900 recrutements) notamment pour l’accueil et l’information des passagers, la vente et la sécurité (120). « Nous recrutons notamment pour les postes de mécanicien d’entretien des trains et des métros, technicien de dépannage des trains, électromécanicien, électronicien, électricien, mainteneur en signalisation ferroviaire et en pilotage automatique« , indique le groupe.
Des ingénieurs et cadres aussi
Parmi l’ensemble de ces besoins, près de 550 emplois d’ingénieurs et cadres sont aussi à pourvoir, « principalement des ingénieurs et chefs de projet des métiers du digital et de la cybersécurité, de la maintenance, des infrastructures et systèmes industriels, mais aussi des postes de managers d’exploitation« .
Postulez !
La Régie autonome des transports (RATP), 3e opérateur mondial des transports urbains, ce sont plus de 250 métiers différents. Peut-être le vôtre demain ? Pour postuler à la RATP 👉 c’est ici
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La chaîne Jeviensbosserchezvous passe le cap des 10.000 abonnés sur Youtube !
Lancée il y a 6 ans, la chaîne Youtube JeViensBosserChezVous JVBCV, « le média du recrutement heureux », comptabilise déjà plus de 10.000 abonnés ! Son équipe bosse l’attractivité et marque employeur des entreprises et de leurs métiers en vidéo. Déjà plus de 350 épisodes en ligne pour 280 entreprises.
Découvrez la chaîneLancée il y a 6 ans par le journaliste économique Géry Bertrande, la chaîne professionnelle Youtube Jeviensbosserchezvous comptabilise déjà plus de 10.000 abonnés ! Son format original et inédit séduit les entreprises qui veulent bosser leur attractivité et leur marque employeur par la vidéo en immersion et en authenticité, en donnant la parole à leurs salariés ambassadeurs, acteurs du quotidien, partout en France et même à l’étranger…