Matignon recrute un Premier ministre
pour la rentrée politique
Après les législatives anticipées du mois de juin, le poste de Premier ministre reste à pourvoir en cette rentrée politique. Matignon recrute non sans quelques difficultés et sans marque employeur… Qui a le profil pour le job ?
Le poste est à pourvoir à Paris avec de nombreux déplacements à prévoir dans l’Hexagone et même à l’étranger. L’emploi de Premier ministre de la France est disponible mais les candidatures ne se bousculent pas au portillon pour succéder à Gabriel Attal, démissionnaire depuis le 16 juillet. Qui veut le job ? Le profil est complexe. Bosseur, il ne comptera pas ses heures. Charismatique, il devra rassembler. Diplomate, il devra composer avec une Assemblée morcelée par tiers de familles politiques et cohabiter avec le président Emmanuel Macron.
Un chef d’entreprise
Quel profil pour ce métier exigeant ? Doit-il déjà avoir « fait » de la politique ? Pas nécessairement. Et si le prochain Premier ministre n’était pas issu du sérail, comme on dit ? D’ailleurs, pourquoi pas un entrepreneur, un artiste, un sportif, un journaliste, un Youtubeur même… Une personnalité issue de la fameuse « société civile ». Souvenons nous de Coluche, candidat à l’élection présidentielle de 1981. N’allons pas jusqu’à imaginer les Tuche à Matignon, mais certaines figures publiques, plus ou moins connues, pourraient faire le job.
Parmi les chefs d’entreprise qui s’expriment régulièrement sur les politiques publiques et économiques à mener pour le pays, citons par exemple Patrick Martin, l’actuel président du Medef élu depuis le mois de juillet 2023. Lors de sa rentrée à l’hippodrome de Longchamp pour la 6e Rencontre des entrepreneurs de France (REF), il a lui même indiqué vouloir que son mouvement exerce « un pouvoir positif ». Autre figure médiatique, jamais avare de conseils et de piques aux politiques, notamment lors de la rentrée, Michel-Edouard Leclerc président des centres E.Leclerc ne ferait-il pas un bon Premier ministre ? Sinon, le succès privé de Bernard Arnault, patron de l’emblématique groupe de luxe LVMH, pourrait servir une France « successful ». Il a sans doute la bonne recette. D’autres ambassadeurs du « made in France » correspondraient bien au poste, comme le dirigeant du Slip Français Guillaume Gibault ou des Tricots Saint-James Luc Lesénécal, par ailleurs président de l’Institut National des Métiers d’Art (INMA) et en charge du label national des Entreprises du patrimoine vivant, les « EPV ».
Sportif ou artiste ?
Du côté des sportifs et artistes, quelques figures populaires apparaissent spontanément : Tony Estanguet qui brille comme grand chef de l’organisation des JO de Paris2024, ou le chouchou des Français le tennisman chanteur Yannick Noah, ou encore le nouveau quadruple médaillé olympique adoré Léon Marchand, qui sait désormais comment tout transformer en or. A moins que le peuple préfère un comédien comme Jean-Pascal Zadi, déjà très à l’aise en militant engagé dans son film Tout simplement noir (2020). A 58 ans, Dany Boon pourrait également tenir le rôle, sauf si un Pierre Niney aux multiples facettes lui raflait la vedette.
En duo…
Et si un chanteur égayait Matignon ? Vous êtes plutôt Orelsan ou Zaho de Sagazan ? Les deux à la fois, pour la parité… Le tandem Bigflo et Oli pourrait bien arriver en tête des sondages pour prendre Matignon. Après tout, un autre duo est déjà prêt et rodé sous les ors de la République : McFly et Carlito (en photo). En 2021, le duo de Youtubeurs a déjà bossé avec Emmanuel Macron pour un « concours d’anecdotes » mémorable. Le numéro 1 des influenceurs français Squeezie aux près de 20 millions d’abonnés (plus d’un Français sur trois) pourrait les aider aussi. Le journaliste humoriste Guillaume Meurice vient de retrouver un emploi au média Nova, mais il aurait pu se reconvertir en politique. Ce ne serait pas le premier à basculer de l’autre côté du pupitre.
Et si notre futur Premier ministre incarnait finalement toutes ces figures ? A la fois entrepreneur, sportif car il lui faudra savoir sprinter et doser l’effort, comédien car il faut aussi en jouer, drôle car un peu d’humour et d’auto-dérision en politique ne ferait pas de mal, etc. Autant de qualités à retrouver dans une marque employeur qui reste à travailler et décliner, en vidéo notamment, pour attirer les candidats de tous horizons, plus ou moins célèbres. Et vous, qui vous verriez en futur Premier ministre ? Peut-être vous ? Il faudra ensuite composer son gouvernement, avec une diversité de profils. Un autre casse-tête en vue.
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Innoplate projette de créer 120 emplois
dans l’est de la France
A Haguenau, en Alsace, la nouvelle entreprise Innoplate crée 50 emplois et en prévoit 120 d’ici à 2030… Objectif : produire des millions de plaques bipolaires de piles à combustible, un dispositif pour générer de l’énergie électrique utile à la filière automobile.
Innoplate est une jeune joint venture (JV) créée à Haguenau, dans la région Grand Est, par les groupes industriels Schaeffler et Symbio, elle-même co-entreprise de Faurecia et Michelin. Leur objectif commun : produire à grande échelle des plaques bipolaires (type BPP), composant essentiel pour les piles à combustible pour l’automobile et les futurs véhicules à hydrogène.
120 emplois, 100 M€
A horizon 2030, environ 50 millions de ces plaques doivent être produites par an contre quatre millions actuellement. Telle est l’ambition d’Innoplate qui recrute. Déjà 50 postes d’ingénieurs et techniciens ont été créées pour lancer cette activité d’avenir. A terme, le projet soutenu par France 2030 et les acteurs institutionnels locaux prévoit même 120 emplois. L’entreprise recrute déjà des opérateurs de production et de contrôle qualité, mais aussi des administrateurs réseaux & infrastructures, des techniciens de maintenance…
Le nouvel atelier de 5.500 mètres carrés au sein de l’équipementier automobile Schaeffler a été inauguré le 6 juin 2024 en Alsace. Un exemple et futur fleuron de la collaboration industrielle franco-allemande. L’investissement global représentera environ 100 millions d’euros.
Innoplate recrute, postulez !
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Marie Morin double sa production
de mousses au chocolat et recrute
En Bretagne, dans les Côtes-d’Armor, l’entreprise familiale Marie Morin fête ses 30 ans et investit 15 millions d’euros pour doubler sa production de mousses au chocolat. Plus de 80 salariés bossent ici !
Les mousses au chocolat représentent aujourd’hui la moitié de son business en croissance. C’est pourquoi Marie Morin met le paquet sur ce segment en investissant 15 millions d’euros dans son usine nouvelle de Trégueux dans les Côtes d’Armor. C’est son 3e site de production. Ici, bossent 80 salariés passionnés (37 ans d’âge moyen). Leur objectif : monter à 140.000 pots par jour, contre quelque 80.000 actuellement… Pour le moment, une quinzaine de personnes sont dédiées à cette nouvelle ligne très robotisée. Son autre site historique à Quessoy (22) emploie les 65 autres salariés : 2,5 M€ y ont été injectés et 500.000 euros sur le 3e site dédié, lui, aux professionnels à Trégomeur, toujours dans les Côtes-d’Armor.
En croissance
Fondée en 1994, l’entreprise familiale en plein essor réalise 35 millions d’euros de chiffre d’affaires dont près de 5% à l’export veut jutement se renforcer à l’international, mais aussi dans la restauration collective. Pour son développement, Marie Morin recrute et bosse sa marque employeur. Maintenance, qualité, production… Plusieurs postes sont à pourvoir immédiatement. Une dizaine d’embauches sont effectives chaque année et autant en cursus d’apprentissage.
Des valeurs d’authenticité…
Ses valeurs affichées : authenticité, générosité, proximité, bienveillance et fidélité. Sans oublier le respect du produit : « Préparés avec des produits frais les plus naturels possibles, ils ne contiennent ni colorant, ni conservateur« , revendique l’entreprise aux méthodes artisanales. Cette année, Marie Morin vise les 40 millions d’euros de chiffre d’affaires.
Marie Morin recrute, postulez !
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5 chaînes Youtube
pédagogiques incontournables
Notre partenaire Hachette Technique a sélectionné cinq chaînes Youtube « éducatives », incontournables pour faire découvrir des contenus pédagogiques aux élèves en classe. Dont JeViensBosserChezVous, le média du recrutement heureux qui teste les métiers en immersion…
Pour « dynamiser la classe » en proposant des contenus éducatifs pertinents, notre partenaire Hachette Technique a sélectionné cinq chaînes Youtube « incontournables » et pédagogiques, pour les élèves mais aussi leurs enseignants. Parmi elles, il y a bien évidemment Jamy Gourmaud qualifié de pédagogue « épicurieux », qui « nous a tant appris et continue à alimenter notre cerveau aujourd’hui ». Sciences, histoire, géographie… « Vous vous posez des questions, Jamy a la réponse. Il vulgarise tous les domaines, pour tous les niveaux« , selon Hachette. La recommandation de l’éditeur scolaire ? « Choisir parmi toutes ces vidéos n’est pas chose simple ! Avec leur format court, il est facile d’en regarder plusieurs, alors pour nous « Les 3 mousquetaires : ont-ils vraiment existé ? » et « Comment la science a sauvé la Tour Eiffel » sauront à coup sur vous. »
En immersion
Autre chaîne, autre ambiance… « La chaîne YouTube qui se met dans la peau de l’autre en testant les métiers. Je viens bosser chez vous donne la parole aux acteurs du quotidien. À suivre pour une immersion honnête au cœur des entreprises qui nous ouvre les portes du monde professionnel« , écrit Hachette Technique dont la « reco » est la suivante : « Nous ne pouvons pas passer à côté des vidéos sur les métiers du livre, notamment celui d’enseignant-auteur… Les épisodes en partenariat avec Hachette Technique pour aider les élèves en bac technologique à s’orienter sont aussi à ne pas manquer ! »
Utile en classe
Troisième chaîne Youtube recommandée par le département technique (lycées pro et techno) du groupe Hachette : Effet Eurêka… « une chaîne dédiée aux professeurs des écoles, qui a pour objectif de les accompagner dans leurs pratiques pédagogiques« . Ses vidéos de 5 minutes révèlent une pratique de classe utile.
Quatrième chaîne : Les Revues du Monde et Charlie Danger qui guide son public dans les mystères du monde. Histoire et archéologie, par exemple, n’auront plus de secret pour vous ! Enfin, c’est la cinquième chaîne Jeannot se livre qui a retenu l’attention de la maison d’édition Hachette Technique, avec « un format documentaire très réussi ». « Que vous soyez lecteur aguerri ou que vous n’ayez pas touché un livre depuis l’école, vous y trouverez forcément votre bonheur (…) Nous vous recommandons de vous pencher sur « Vraiment, les jeunes ne lisent plus ? » qui s’intéresse à la lecture chez les jeunes et met à bas quelques idées reçues. »
Bientôt la rentrée scolaire…
📚 La rentrée se prépare dès maintenant chez Hachette Technique, éditeur scolaire spécialiste de l’enseignement technique et professionnel… Nos vidéos Jeviensbosserchezvous sont aussi intégrées dans les manuels scolaires. Honorés et fiers de notre partenariat et travail commun en faveur de l’attractivité et du lien Education/Entreprise pour valoriser des filières d’excellence et d’avenir, au service de la jeunesse. Merci et bravo à toute la Team Hachette 👉 https://www.hachette-education.com
Chez Yoplait une nouvelle ligne
de briques et de l’emploi au Mans
Une nouvelle ligne de production de briques de yaourts Yoplait a nécessité près de dix millions d’euros d’investissements au Mans. L’usine du groupe coopératif Sodiaal se renforce et recrute. Ses capacités de production doivent augmenter d’ici à 2025.
En France, Yoplait dispose de trois usines pour fabriquer ses fameux yaourts déclinés sous toutes ses formes d’emballages et marques : dans l’Yonne et en Isère (pour les Petits Filous, Yop et Frulos), et au Mans son site historique (pour le Panier de Yoplait, Skyr et autres Câlins)… L’entreprise, dans le giron du groupe coopératif laitier Sodiaal depuis 3 ans, vient de lancer un nouveau format, plus familial et très anglo-saxon, de briques de 750 grammes déclinées sous 9 parfums de yaourt brassé, à verser. Objectif : réduire les emballages grâce à la juste dose de yaourt consommée.
Eco-conçue, cette brique équivaut à six pots de yaourts traditionnels avec 50% d’emballage en moins, selon la marque. Yoplait s’engage à avoir 100% d’emballages recyclables d’ici à 2025, « réduits à la source » et conçus avec de la matière renouvelable d’ici à 2040…
300 emplois
Cette nouveauté et l’objectif de doubler la production de Skyr en 2025 a nécessité la création d’une nouvelle ligne de production dans l’usine sarthoise dirigée par Guillaume Bavant, soit un investissement de dix millions d’euros. Ici, quelque 350 salariés transforment le lait de 3.000 éleveurs partenaires dans le Grand Ouest. Encore marginale, cette nouvelle production de briques doit représenter 6.000 tonnes par an à terme (sur les 145.000 tonnes du site) avec environ 10% des effectifs dédiés à cette ligne.
Qui est Yoplait-Sodiaal ?
Chaque minute 20.000 produits Yoplait sont consommés dans 50 pays au monde. La célèbre marque à la petite fleur fondée en 1965, qui emploie 1.250 collaborateurs, recrute sans cesse pour les fabriquer. Une cinquantaine d’emplois sont ainsi à pourvoir actuellement sur son portail dédié. Après avoir appartenu au fonds américain General Mills, Yoplait fait désormais partie du groupe Sodiaal, qui s’affiche comme la première coopérative laitière française avec 10.000 salariés, 17.000 éleveurs, 70 sites de transformation en France et un chiffre d’affaires annuel de près de 800 millions d’euros. La coopérative Sodiaal bosse sa marque employeur, notamment en vidéo avec une websérie de portraits collaborateurs face caméra nommée L’interview Coop’. Chacun partage son quotidien et les qualités pour son job. Yoplait bénéficie aussi des retombées. En quelque sorte : une fleur, la vie… au Travail, la vraie !
Yoplait recrute, postulez !
Pour rejoindre l’aventure du yaourt à la petite fleur 👉 c’est par ici
Quatre bonnes pratiques RH inspirantes pour les entreprises…
Mettre en valeurs et partager les bonnes pratiques RH des entreprises, c’est aussi ça la team JeViensBosserChezVous. Objectif : faire rayonner ensemble l’attractivité des marques et talents. Aux lauréats du concours Alim’Acteurs AREA Normandie, tout simplement bravo !
Le concours Alim’Acteurs des bonnes pratiques en Ressources Humaines (RH) des entreprises agroalimentaires normandes a révélé ses lauréats 2024 lors de l’assemblée générale du réseau professionnel AREA Normandie.Des initiatives innovantes et inspirantes chez Isigny-Ste-Mère, Nexira, La Cidrerie de la Brique et la Fromagerie Gillot.
RH inspirant
« Ce concours a pour objectif de valoriser nos métiers et nos entreprises (attractivité) mais aussi de favoriser les échanges de bonnes pratiques entre elles (travail collaboratif) », explique-t-on chez l’organisateur, l’AREA Normandie. Les quatre lauréats normands ont pu bénéficier d’une vidéo de marque employeur JeViensBosserChezVous pour valoriser leur bonne pratique en images et gagner en notoriété et attractivité. Un coup de cœur sera décerné lors des Trophées de l’Agroalimentaire le 10 octobre 2024 et au SIAL de Paris le 22 octobre.
Frigo connecté chez Isigny
Chez la coopérative Isigny-Ste-Mère, le service des RH a mis en place un frigo connecté avec des plats traiteurs accessible 24h/24, 7 jours sur 7, avec l’aide du partenaire Foodles. Nicolas Courtier, DRH de l’entreprise normande revient sur cette demande interne satisfaite et récompensée dans la catégorie SST (Santé Sécurité au Travail).
Plus qu’une expo chez Nexira…
L’entreprise Nexira est, quant à elle, lauréate dans la catégorie Marque Employeur pour son projet « Arbres de vie » sur son engagement RSE. Il s’agit de mettre en avant l’engagement et les valeurs de Nexira à travers l’art pour développer le sentiment d’appartenance et fidéliser les salariés.
4 jours chez la Cidrerie de la Brique
Chez la Cidrerie de la Brique, la direction RH a mis en place de la semaine de 4 jours… Une initiative récompensée dans la catégorie QVTC (qualité de vie et conditions au travail).
Formation au changement à la fromagerie Gillot
Chez Gillot, on a accompagné le changement d’ère de la fromagerie avec une session sur l’excellence opérationnelle, récompensée dans la catégorie formation.
> Retrouvez toutes les bonnes pratiques RH et + d’informations 👉 sur le portail de l’Area Normandie
En Alsace, le Coréen SIAS va créer
une nouvelle usine avec 70 emplois
Après la Somme, le groupe industriel sud-coréen SIAS choisit l’Alsace pour sa 2e implantation en France : 14 millions d’euros à investir et 70 emplois agroalimentaires à la clé !
C’est Wisches, dans la vallée alsacienne de la Bruche, que l’industriel franco-coréen SIAS a choisi pour implanter sa deuxième usine française pour le marché européen. Un nouveau plan d’investissements de 14 millions d’euros pour un projet de création de 70 emplois sur 11.000 mètres carrés, nécessaires à la production de nouilles, salades et plats préparés sous forme de cups, sous ses marques phares Yomia et Choi’s. Ce projet, localisé sur une friche industrielle de Delpierre (unité fermée il y a 3 ans), est soutenu par la Région Grand Est et l’Adira, agence de développement économique locale.
50 millions de cups
L’entreprise prévoit de produire dès 2025 près de 50 millions de cups par an ! En pleine croissance, le groupe agroalimentaire coréen qui recrute réalise déjà un chiffre d’affaires de près de 150 millions d’euros. Il dispose de six sites industriels en Corée du Sud, où il fabrique des plats surgelés et des nouilles instantanées, les fameux « ramens ». En France, c’est en 1920 au lendemain de la Première Guerre mondiale, que la Société Industrielle et Agricole de la Somme (SIAS) ayant pour but de « redynamiser la région » a investi dans les sucreries, les distilleries et diverses fermes.
Sa marque employeur
SIAS recrute à tours de bras : « Nous sommes en constante évolution et toujours à la recherche de nouveaux talents pour enrichir notre équipe », indique l’entreprise qui bosse sa marque employeur pour attirer notamment des opérateurs de production, des agents de maintenance… Le recruteur annonce la couleur : « Travailler pour notre entreprise, c’est la promesse d’une structure en pleine croissance à l’esprit dynamique, convivial et au cadre souple, d’une démarche et approche B2C (orientation GMS/RHF France & Europe), d’équipements neufs et une technologie unique en Europe, d’une activité agroalimentaire avec des produits innovants et une ouverture sur le monde asiatique. » Avis aux amateurs et professionnels !
SIAS recrute, postulez !
SIAS recrute dans le Nord et l’Est…
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En région Sud, Carbon vise 3.000 emplois
pour sa giga-usine photovoltaïque
A Fos-sur-Mer, sur le Grand port maritime de Marseille au cœur de la région Sud Paca, le groupe Carbon Solar va investir 1,5 milliard d’euros pour créer une giga-usine de fabrication de panneaux solaires. Sa mise en service est prévue fin 2025, avec 3.000 emplois directs.
Déjà annoncée comme « la plus grand usine de panneaux photovoltaïques d’Europe », contribuant ainsi à l’autonomie industrielle de la France, Carbon Solar voit grand à Fos-sur-Mer en région Sud. Un plan d’investissements d’1,5 milliard d’euros est enclenché pour créer cette unité de fabrication de panneaux solaires sur 45 hectares environ, dont 30 hectares « artificialisés » avec 24,5 hectares de surface plancher (dont 210.000 m² pour la production sur deux étages). Le permis de construire a été officiellement déposé dans ce sens par Nicolas Chandellier, directeur général de Carbon, le 18 avril 2024.
« Ce dépôt de la demande de permis de construire marque une étape opérationnelle importante pour notre projet industriel d’ampleur », précise Pierre-Emmanuel Martin, son président fondateur qui entend construire le leader européen de l’industrie photovoltaïque, en mettant au cœur de sa stratégie « la durabilité, la compétitivité et l’innovation, et en déployant le seul projet européen garantissant une entière souveraineté industrielle (du lingot au module). »
Un giga-campus
L’entreprise prévoit de recruter directement 3.000 personnes dans ce projet de giga-usine qui aurait une capacité de production annuelle de 5 GW de cellules photovoltaïques et 3,5 GW de modules. Véritable campus industriel rayonnant au sein du Grand Port Maritime de Marseille, Carbon Solar devrait être opérationnel mi-2025, avec une montée en puissance progressive en 2026.
La Région Sud soutient ce projet à travers une première subvention de 15 millions d’euros, de même que le géant marseillais du transport CMA-CGM via son fonds privé Energies. L’activité de Carbon devrait générer un flux de 20.000 containers par an environ.
Sa marque employeur
Les recrutements sont lancés et Carbon Solar bosse sa marque employeur. Pour son attractivité, l’entreprise annonce la couleur aux candidats potentiels : « En intégrant Carbon, vous vous engagez aux côtés d’un futur leader européen de l’industrie verte. Vous aurez l’opportunité de collaborer avec les meilleurs experts du photovoltaïque et de participer à la concrétisation d’une vision souveraine et décarbonée de l’Europe. Rejoindre Carbon, c’est rejoindre une équipe passionnée, expérimentée et diversifiée, unie par des valeurs communes et des objectifs ambitieux. »
Ils recrutent, postulez !
Carbon Solar recrute…
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Voir le manifeste de Carbon en vidéo ⤵️
Bobcat embauche en Loire-Atlantique
pour élever ses engins télescopiques
A Pontchâteau, en Loire-Atlantique où il fête ses 60 ans, l’industriel Bobcat recrute et bosse sa marque employeur pour attirer de nouveaux profils. Cette filiale du groupe coréen Doosan, leader mondial des engins de construction compacts et autres chariots élévateurs, y emploie 340 salariés.
Ils sont plus de 300 salariés français (3.000 dans le monde) et fabriquent chaque année près de 3.000 chariots élévateurs à la célèbre marque Bobcat. Bienvenue sur le site de production de Pontchâteau, en Loire-Atlantique, qui recrute ! L’entreprise indique y avoir investi 30 millions d’euros ces 10 dernières années.
Soudeurs, peintres…
Né il y a 60 ans, le site de Pontchâteau est à la fois un pôle de production des fameux engins télescopiques, mais aussi un centre de recherche et développement (R&D) pour le groupe. Les soudeurs et peintres industriels sont les bienvenus et très attendus en ce moment sur la chaîne d’assemblage qui tourne à plein régime. L’effectif de quelque 340 salariés pourrait même doubler si… les recrutements suivent. Le groupe international a pourtant des atouts à faire valoir pour booster sa marque employeur.
Marque reconnue dans le monde entier, Bobcat a franchi en France, en 2023, « une étape impressionnante » en fabriquant sa 111.000e machine et son 40.000e télescopique ! « Notre gamme actuelle de télescopiques se compose de 14 modèles sur cinq plates-formes, avec des marchés clés dans les domaines de l’agriculture, de la construction et de la location, explique Philippe Marescot, le directeur du site ligérien Doosan Bobcat EMEA. La gestion d’un portefeuille aussi complet n’est possible que grâce à notre équipe d’ingénieurs expérimentés, qui supervisent toutes les activités européennes de développement des chargeurs télescopiques et contribuent également à l’échelle mondiale. Plus de 80 % de notre production est destinée à l’exportation », ajoute le patron de ce pôle fleuron européen.
Présent dans 38 pays
Doosan Group, firme sud-coréenne à laquelle appartient Bobcat, emploie plus de 43.000 personnes dans 38 pays. Autant dire que les opportunités de carrières et passerelles dans le monde ne manquent pas non plus ! « Le succès de Doosan Bobcat repose en grande partie sur ses employés. Grâce à notre culture de la victoire et à notre esprit d’équipe, nous proposons à nos clients des produits et des services de très grande qualité, et contribuons à rendre le monde meilleur« , indique le groupe qui bosse sa marque employeur pour attirer les candidats. Avis aux amateurs.
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Bobcat recrute…
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BioMérieux poursuit sa croissance
et recrute
A 60 ans, le laboratoire lyonnais spécialiste mondial du diagnostic de santé in vitro a présenté son nouveau plan stratégique à 5 ans et son objectif de « croissance rentable ».
Go.28, c’est le nom de code du plan de développement du géant pharmaceutique BioMérieux à 5 ans . Le groupe familial lyonnais ambitionne une croissance annuelle de 7% de son chiffre d’affaires sur 2024-2028. C’est d’ailleurs la hausse qu’a connu son business au premier trimestre 2024, à 965 millions d’euros (% 7,6%). Ses dépenses annuelles d’investissement devraient suivre en conséquence et représenter « entre 8 et 10% du chiffre d’affaires sur la période 2025-2028. » En 2023, BioMérieux a réalisé 3,68 milliards d’euros de business (+6,6%) dont plus de 93 % à l’international !
200 métiers
Ce plan stratégique s’accompagnera de gros besoins en recrutements. Des dizaines de postes sont immédiatement disponibles en ligne sur son site portail dédié. Présent dans 45 pays, BioMérieux bosse sa marque employeur à long terme pour fidéliser ses quelque 13.000 salariés qui servent 160 pays et attirer sans cesse de nouveaux talents. Le groupe représente une diversité de plus de 200 métiers complémentaires. En France, hormis la région lyonnaise (son siège à Marcy-L’Etoile), BioMérieux est présent à Combourg et Rennes (Ille-et-Vilaine), Craponne et Grenoble. C’est la microbiologie via sa division biologie moléculaire qui tire la croissance du groupe.
Quatre piliers constituent et vont servir la stratégie présentée : « poursuivre sa forte croissance organique et son innovation, simplifier son modèle opérationnel pour accroître son efficacité et sa rentabilité, agir de manière responsable pour le bénéfice de ses collaborateurs, des patients, des consommateurs et de la planète, renforcer son organisation et la rendre plus agile en responsabilisant et en mobilisant tous les collaborateurs. » En matière de RSE, BioMérieux annonce vouloir réduire de 50% ses émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2030.
De la croissance externe est également d’actualité. Début 2024, BioMérieux a annoncé le rachat de Lumed, société de logiciels qui a créé « un système d’aide à la décision clinique destiné à soutenir les hôpitaux dans l’optimisation des prescriptions d’antibiotiques et la surveillance des infections associées aux soins ».
« Rentable et durable »
Pour Pierre Boulud, directeur général de la firme, « bioMérieux a réalisé une performance remarquable au cours des dernières années et sort renforcée et plus diversifiée de la période COVID-19. Avec le plan GO•28,
nous présentons aujourd’hui une stratégie ambitieuse à moyen terme visant à délivrer une croissance
rentable et durable, afin de toujours mieux servir notre raison d’être de contribuer à améliorer la santé dans le monde. »
Ils recrutent, postulez !
BioMérieux recrute…
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