

L’entreprise Alegina
veut investir 12M€ en Vendée
Pour changer d’échelle et industrialiser le recyclage de coquilles d’huitres, en éléments de BTP notamment, le groupe vendéen Alegina projette d’investir 12 millions d’euros dans une nouvelle usine. C’est le site de l’ancienne fonderie Vrignaud, au Poiré-sur-Vie (85), qui est retenu pour 2026.
Des pavés drainants à base de coquilles d’huîtres ! C’est l’une des nombreuses applications pour le BTP imaginée par Alegina. Cette entreprise vendéenne recycle les coquilles d’huîtres depuis 2018. D’un millier de tonnes actuellement traitées par an, Alegina veut passer à 40.000 tonnes. Une nouvelle usine doit ainsi voir le jour fin 2026 pour cette industrialisation à grande échelle. Un investissement estimé à 12 millions d’euros dont cinq millions rien que pour les équipements et machines.
Fort potentiel
Déjà implantée au Poiré-sur-Vie en Vendée, Alegina compte y rester et transformer, sur place, l’ancienne fonderie Vrignaud pour les besoins de son projet de développement : 10.000 mètres carrés à construire sur un terrain de trois hectares. Sa toiture sera peut-être végétalisée en contenant des coquilles d’huîtres recyclées. Il n’y a pas que le BTP qui constitue ses débouchés « verts » dits biosourcés.
L’entreprise, qui organise la collecte en amont, alimente aussi déjà les secteurs de la bijouterie, de décoration, des arts de la table sous sa marque Kaomer et sa pâte à porcelaine… « Chaque année en France, plus de 150.000 tonnes de coquilles d’huîtres pourraient être réemployées dans l’industrie ! C’est la mission que nous nous assignons« , indique-t-on chez Alegina qui recrutera pour ses besoins en main-d’oeuvre, soit une quinzaine d’embauches à la clé. Et son président Philippe Gaboriau, associé à Thierry et Alexandre Didelon, d’ajouter : « Notre projet avance bien, l’Ademe et l’État nous soutiennent et toutes les planètes sont alignées. »


Le groupe finistérien Squiban
investit et recrute dans l’Ouest
Repris à l’été 2024 par ses managers avec Unigrains et trois autres fonds, le groupe brestois Squiban spécialiste des constructions horticoles investit 13,5 millions d’euros dans le Finistère et en Ille-et-Vilaine, où il recrute aussi !
Basé depuis 1972 à Plougastel-Daoulas dans le Finistère, le groupe industriel Squiban a été repris à l’été 2024 par son management avec le soutien financier des fonds Unigrains, Unexo (Crédit Agricole), Epopée Gestion et Bpifrance. Le spécialiste des installations horticoles, maraîchères, industrielles et tertiaire bénéficie ainsi d’un nouvel élan qui lui permet d’investir, porté par la transition écologique et les énergies renouvelables associées au Bâtiment. Patrice Borali, président du groupe Squiban, a déclaré : « Cette opération s’inscrit pleinement dans notre projet d’entreprise, initié par Mickaël Squiban (Ndlr, le fils du fondateur) et accéléré lors de mon arrivée il y a 8 ans. » L’intérêt de cette transmission pour lui ? « Mieux nous structurer, maitriser les développements à venir et garantir le maintien de notre qualité de service tout en étant en mesure d’offrir à nos clients de nouvelles solutions efficientes ».
Un nouveau siège
Deux projets de développement majeurs sont en cours dans le Finistère et en Ille-et-Vilaine, pour un total de 13,5 millions d’euros. Le plus important concerne Bédée, aux portes de Rennes Métropole : 10 millions d’euros à investir dans un nouvel atelier de production de postes à haute tension. Les recrutements ont commencé pour ce pôle. Ce nouveau site industriel de près de 10.000 mètres carrés doit être livré d’ici à fin 2025. Il viendra soulager le site actuel saturé dans le Morbihan, à Plescop (56). La demande est en effet soutenue avec le boom des installations photovoltaïques, éoliennes, et autres méthaniseurs.
Les 3,5 millions d’euros restants à investir concernent un nouveau siège social à Plougastel-Daoulas (29), livré en septembre 2025 pour accueillir une vingtaine de collaborateurs (visuel ci-dessus).
Bpifrance salue cet essor : « Le groupe Squiban s’est diversifié au cours des 15 dernières années, à travers de nombreuses croissances externes, dans la gestion de l’énergie, l’optimisation des ressources en eau et l’ensemble des métiers du génie climatique et électrique, intelligence artificielle inclue. »
Cap sur 100 M€ de CA
Le spécialiste breton de l’équipement des serres réalise actuellement un chiffre d’affaires de 72 millions d’euros, fort de 320 collaborateurs et 23 agences. Il vise les 100 millions d’euros à horizon 2027. Pour servir cette croissance, le groupe recrute des profils divers : électrotechniciens, techniciens de maintenance, monteurs-câbleurs, mais aussi deviseurs, techniciens de bureau d’études, chargés d’affaires, etc. Squiban entend « devenir un acteur incontournable de la gestion de l’énergie et de l’optimisation des ressources ».
Le groupe Squiban recrute pour son expansion !
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Plus de 700 emplois en vue
au Port du Havre
Le port du Havre accueille de nouvelles implantations industrielles synonymes de créations d’emplois : 700 postes directs sont prévus pour 2,6 milliards d’euros investis par le Français Qair, l’Américain Air Products et le Luwxembourgeois Livista Energy.
C’est une visite ministérielle au Grand Port maritime du Havre qui a officialisé le dossier d’implantation le 7 novembre 2024 : trois nouveaux projets industriels vont drainer quelque 720 créations d’emplois. La zone portuaire doit en effet accueillir trois nouvelles usines d’ici à 2028-2029 ont annoncé les ministres Catherine Vautrin (Partenariat avec les territoires et Décentralisation), François Durovray (Transports) et Antoine Armand (Économie, Finances et Industrie).
Décarbonation
Ces projets de décarbonation entrent dans le cadre du plan de relance France2030 et la redynamisation du pôle industriel normand, au même titre que ses homologues de Dunkerque et Marseille. Au Havre, il s’agit de projets de construction de batteries au lithium pour véhicules électriques, de l’hydrogène renouvelable et du méthanol. Ces trois implantations représenteraient un investissement global de 2,6 milliards d’euros sur près de 60 hectares.
Qui sont les porteurs de projet ?
Les trois porteurs de projets sont Français, Américains et Luxembourgeois. C’est l’industriel français producteur d’énergie Qair qui va développer une usine de production d’hydrogène dit « vert » et de méthanol renouvelable : 500 millions d’euros investis pour 150 emplois à créer. Son objectif ? Produire 200.000 tonnes d’e-méthanol pour le transport maritime mais aussi l’aérien et l’industrie. « L’ambition de Qair est de tripler ses actifs mis en service pour atteindre 3 GW d’ici 2027 », indique le groupe hexagonal.
Le fournisseur américain de gaz industriels Air Products (19.000 salariés), quant à lui, doit investir le double, soit un milliard d’euros. Son projet : importer de l’hydrogène issu d’énergies renouvelables. 270 emplois à la clé pour une mise en service en 2030 !
Enfin, le groupe industriel luxembourgeois Livista Energy prévoit 1,2 milliard d’euros pour créer sa raffinerie de lithium, avec 300 emplois en jeu, plus 1.200 indirects ! Objectif : contribuer au recyclage des véhicules électriques et de leurs batteries en fin de cycle pour alimenter 750.000 nouveaux véhicules par an, soit 40.000 tonnes de lithium à produire dès 2028. Livista a construit sa première raffinerie de lithium en Europe sur le site d’Emden, en Basse-Saxe.
Un port en pleine expansion
Rappelons aussi qu’en 2022, la société Terminal Investment Limited (TIL), seul actionnaire des terminaux de conteneurs de TPO/TNMSC du Havre depuis fin 2021 avait annoncé un programme d’investissements de 700 millions d’euros, avec « la création sur les six années à venir de 900 emplois destinés aux ouvriers dockers mais aussi de 200 emplois pour le personnel de maintenance« .
Ces entreprises recrutent !
Plus d’infos ici 👉 sur le Grand Port du Havre qui recrute aussi


Biofib double ses capacités de production
d’isolants du bâtiment biosourcés
Le groupe vendéen Biofib a investi 20M€ et recruté dans un nouveau site de production pour doubler sa production de panneaux isolants biosourcés, notamment à base de chanvre.
Comment passer d’un million de mètres carrés de panneaux isolants biosourcés et certifiés par an à plus du double ? C’est le défi qu’est en passe de relever Biofib. L’industriel vendéen qui recrute double actuellement ses capacités de production avec une nouvelle usine de 15.000 m2 (dont 8.000 m2 bâtis et 7.000 de stockage) et inaugurée à Sainte-Hermine (85), en relais de son site historique à Sainte-Gemme-la-Plaine. Impossible de louper ce bâtiment futuriste le long de l’autoroute. Sa spécialité : le travail du chanvre, transformé en panneaux d’isolation pour le secteur du bâtiment. Sa nouvelle ligne produit une nappe d’isolant issue du mélange d’un trio de chanvre, lin et coton. Avec ses nouvelles capacités, Biofib est capable d’isoler plus d’une centaine d’habitations par semaine !
20 M€ investis
Ce nouveau site de production dirigé par Tanguy Le Cunff a nécessité un investissement de près de 20 millions d’euros dans le cadre du plan France2030 avec le soutien de Bpifrance, la Région Pays de la Loire et de l’Ademe (pour environ 10% du montant). Une quinzaine d’emplois créés à la clé ! Des conducteurs de ligne pour la plupart. Objectif : passer rapidement d’une production en 2×8 à 3×8… Son chiffre d’affaires de quelque 20 millions d’euros également doit doubler d’ici à 2030. Pour cette ambition, Biofib se tourne vers de nouveaux marchés BtoB, en plus de ses ventes en BtoC via la rénovation énergétique actuelle à travers les grandes et moyennes surfaces de bricolage : tertiaire et sièges sociaux, bâtiments publics (mairies, écoles…).
Depuis 2009
Biofib est née il y a 15 ans de la volonté d’entrepreneurs réunis dans la coopérative agricole Cavac (1.750 salariés) pour lancer une nouvelle filière française : « Depuis 2009, le groupe coopératif vendéen Cavac, via sa filiale Cavac Biomatériaux a contribué à la réintroduction de la culture du chanvre. Cavac Biomatériaux dispose d’un outil industriel de premier plan, unique en Europe et en mesure de répondre aux perspectives de développement des marchés de l’isolation biosourcée. Un site conçu dans l’esprit visionnaire que défend Cavac Biomatériaux depuis l’origine, intégrant de nouveaux process innovants pour proposer au marché des isolants encore plus performants. » L’entreprise connaît une croissance annuelle d’environ 10%, qui suit l’évolution d’un marché porteur.
Biofib / Cavac recrute, postulez !
Pour ses besoins de production, la coopérative Cavac recrute en permanence de nouveaux profils et bosse son attractivité et sa marque employeur, notamment en vidéo.
Postulez 👉 ici pour rejoindre ses équipes…
Du champ au chantier, découvrez la transformation du chanvre par Biofib…
La présentation de Cavac Biomatériaux…


JeViensBosserChezVous vu
par l’intelligence artificielle…
On a demandé à l’intelligence artificielle, la fameuse IA, de définir JeViensBosserChezVous. Voici le résultat de notre ami Gemini de Google… Et vous, comment vous nous percevez ? Comment l’IA perçoit votre propre entreprise ? Dites-le nous en commentaires, merci !
L’IA, la fameuse intelligence artificielle a forcément une image de votre propre entreprise. Laquelle ? C’est ce que nous avons testé avec notre média JeViensBosserChezVous en demandant à l’IA de nous définir… En voici le résultat. Merci qui ? Gemini !
Selon Gemini, l’outil de Google AI, « Je viens bosser chez vous est une plateforme innovante qui a pour objectif de mettre en lumière les entreprises et les métiers de manière positive et immersive. En d’autres termes, ils créent des vidéos qui vous plongent au cœur des entreprises pour vous faire découvrir les différents métiers qui y sont exercés.
Voici ce qu’ils proposent concrètement :
- Des vidéos immersives : Vous suivez des personnes qui exercent différents métiers au quotidien. Cela vous permet de comprendre les tâches, les défis et les satisfactions liés à chaque poste.
- Une large variété de secteurs : Que vous soyez intéressé par l’agriculture, l’industrie, le digital ou les services, vous trouverez certainement des vidéos qui vous correspondent.
- Un outil de découverte des métiers : C’est une excellente façon de vous orienter professionnellement ou de découvrir de nouveaux horizons.
- Un atout pour les entreprises : En mettant en avant leurs métiers et leur culture d’entreprise, les sociétés attirent de nouveaux talents et renforcent leur marque employeur.
En résumé, Je viens bosser chez vous est un média qui utilise la vidéo pour rendre le monde du travail plus transparent et plus attractif. Si vous cherchez à mieux comprendre un métier ou si vous êtes une entreprise qui souhaite valoriser ses talents, je vous invite à découvrir leur plateforme.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter leur site web : https://jeviensbosserchezvous.com/
Question de process
Et aussi à la question : Comment se déroule une collaboration avec « Je viens bosser chez vous » ? Voici la réponse de Gemini.
Une collaboration avec « Je viens bosser chez vous » est généralement structurée en plusieurs étapes :
- Prise de contact et brief: Vous exprimez vos objectifs (améliorer votre marque employeur, attirer de nouveaux talents pour un poste spécifique, mettre en valeur une nouvelle activité…), et l’équipe de « Je viens bosser chez vous » analyse vos besoins.
- Choix des métiers à mettre en avant : Ensemble, vous sélectionnez les métiers les plus pertinents à mettre en lumière, en fonction de vos objectifs de recrutement et de votre image de marque.
- Tournage des vidéos : Une équipe de tournage se rend dans vos locaux pour filmer les collaborateurs en action. Les vidéos sont réalisées de manière immersive et authentique, pour donner un aperçu réaliste du quotidien au sein de votre entreprise.
- Montage et diffusion : Les vidéos sont montées et optimisées pour une diffusion sur différentes plateformes (YouTube, réseaux sociaux, site web de l’entreprise). « Je viens bosser chez vous » peut également vous accompagner dans la promotion de vos vidéos.
Des résultats concrets et mesurables
Les entreprises qui ont collaboré avec « Je viens bosser chez vous » ont souvent constaté des résultats positifs sur différents indicateurs :
- Augmentation de la notoriété de la marque employeur : Les vidéos permettent de toucher un large public et de renforcer l’image positive de l’entreprise.
- Attraction de nouveaux talents : Les candidatures spontanées augmentent souvent après la diffusion des vidéos, car les candidats se sentent plus attirés par une entreprise qu’ils peuvent découvrir de l’intérieur.
- Amélioration de l’engagement des collaborateurs : Les collaborateurs qui participent aux vidéos se sentent valorisés et fiers de représenter leur entreprise.
- Meilleure compréhension des métiers : Les vidéos permettent de démystifier certains métiers et de montrer leur diversité, ce qui facilite le recrutement de profils spécifiques.
Des exemples concrets
- Une entreprise industrielle : Après la diffusion de vidéos mettant en avant les métiers techniques, l’entreprise a constaté une augmentation de 30% des candidatures pour ces postes.
- Une entreprise du secteur tertiaire : Les vidéos ont permis d’ humaniser l’image de l’entreprise et de montrer que travailler dans ce secteur pouvait être passionnant.
- Une entreprise en croissance : Les vidéos ont été utilisées comme outil de recrutement pour attirer de nouveaux talents et accompagner la croissance de l’entreprise.
En résumé, collaborer avec « Je viens bosser chez vous » est un moyen efficace de valoriser votre entreprise, d’attirer de nouveaux talents et de renforcer votre marque employeur. Les résultats sont souvent visibles et mesurables, ce qui permet d’évaluer le retour sur investissement de cette action.
Et enfin à la question : Quelle est la valeur ajoutée de JVBCV ?
Comprendre la valeur ajoutée… « Je viens bosser chez vous » est une plateforme innovante qui a révolutionné la façon dont les entreprises présentent leurs offres d’emploi. En transformant les annonces traditionnelles en vidéos immersives, elle offre une expérience candidat unique et authentique.
Quelle est donc la valeur ajoutée de cette société ?
- Une image de marque renforcée :
- Transparence et authenticité : Les vidéos donnent un aperçu réaliste de la vie au sein de l’entreprise, allant au-delà des clichés habituels.
- Attractivité : En montrant les coulisses, les entreprises se rendent plus humaines et attirent des candidats plus engagés.
- Différenciation : Dans un marché de l’emploi concurrentiel, « Je viens bosser chez vous » permet aux entreprises de se démarquer.
- Un recrutement plus efficace :
- Meilleure adéquation candidat-poste : Les vidéos permettent aux candidats de se projeter plus facilement dans le poste et l’entreprise.
- Gain de temps : Les entretiens peuvent être plus ciblés, car les candidats ont déjà une bonne connaissance de l’entreprise et du poste.
- Réduction du taux de turnover : En attirant des candidats plus motivés et en leur offrant une vision réaliste de l’entreprise, le risque de départs prématurés est réduit.
- Une expérience candidat améliorée :
- Immersion : Les vidéos offrent une expérience immersive qui permet aux candidats de découvrir l’entreprise de manière ludique et interactive.
- Transparence : Les candidats ont accès à des informations authentiques et peuvent poser leurs questions en direct.
- Valorisation : Les candidats se sentent valorisés et considérés tout au long du processus de recrutement.
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Havea ouvre 150 emplois pour ses compléments
alimentaires et produits de santé
Le groupe vendéen Havea vient de lancer une campagne de recrutement inédite de 150 emplois à pourvoir. Le spécialiste des compléments alimentaires et produits de santé naturelle et de bien-être veut doubler sa production.
Qui veut fabriquer des compléments alimentaires à Montaigu-Vendée ? Le groupe Havea lance un plan de création de 150 emplois supplémentaires pour son usine de fabrication mais pas seulement ! Des promoteurs de vente, chefs de secteur GMS, conseillers en pharmacie… sont aussi attendus partout en France. De quoi quasiment doubler son effectif de production avec les nombreux autres postes à pourvoir : opérateurs de production, conducteurs de ligne, caristes manutentionnaires, techniciens de maintenance… Des emplois à pourvoir immédiatement d’ici à début 2025, sous toutes formes, y compris week-end, nuit, temps partiel, etc. L’entreprise dirigée par Nicolas Brodetsky, 42 ans, et contrôlée par le fonds britannique BC Partners aux côtés des managers avance des arguments de qualité de vie au travail et des conditions avantageuses, dans un environnement de qualité. Havea bosse sa marque employeur.
En plein essor
Entre 2019 et 2023, l’entreprise de parapharmacie qui compte quelque 1.000 employés a affiché 463 nouvelles créations de postes. « Notre ambition ? Passer de 500 millions de gélules produites sur notre site vendéen à 1 milliard », annonce le groupe vendéen. En 2023, il a réalisé plus de 290 millions d’euros de chiffre d’affaires, en croissance annuelle de 15 à 20%. Il prévoit d’atteindre 330 millions en 2024. Son leitmotiv tient en trois mots : digitalisation, internationalisation et médication.
Depuis 1972…
L’aventure Havea a débuté en 1972 avec la marque de lait de toilette Biolane, toujours d’actualité avec ses couches fabriquées dans les Vosges. Puis, en 1975, le groupe Ponroy Santé se lance dans les « solutions naturelles de santé ». Vingt-cinq ans plus tard, il deviendra son propre façonnier avec une usine. En 2017, Ponroy Santé fusionne avec Aragan pour devenir l’un des leaders français de la santé naturelle. L’entité prend le nom d’Havea deux ans plus tard… En 2023, il a repris Biocide, leader français de la nutricosmétique conseil, pour compléter sa gamme qui comprend aussi les marques A-Lab, Aragan, Vitavea, Dermovitamina…
Havea recrute, postulez !
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Standing Véranda recrute
dans les Hauts-de-France
Pour ses 20 ans à Vendin-Le-Vieil, dans le Pas-de-Calais, l’entreprise Standing Véranda bosse sa marque employeur pour recruter une dizaine de salariés. Sont recherchés des commerciaux, des métreurs, des poseurs…
La véranda, comme la pergola, a le vent en poupe en ce moment dans la région des Hauts-de-France. Chez Standing Véranda, on recrute même une dizaine de talents liés à cette production « made in France » !
Forte d’une trentaine de salariés contre cinq à sa création en 2004, cette entreprise de Vendin-le-Vieil, près de Lens dans le Pas-de-Calais, a un nouveau dirigeant depuis début 2024. Charles-Henry Carlier nourrit de grandes ambitions. Pour développer l’enseigne industrielle, il a besoin de commerciaux, mais aussi de métreurs, de poseurs et, en amont, d’ouvriers en atelier.
Nouveaux marchés
A son catalogue, les vérandas en aluminium côtoient désormais les pergolas « bioclimatiques » – un segment de marché en pleine croissance – mais aussi des carports, des extensions d’habitations, etc. Et pourquoi pas des ombrières photovoltaïques demain ? Son atelier de quelque 5.000 mètres carrés a encore de la capacité pour produire et accueillir de nouveaux talents, y compris dans son bureau d’études intégré. Sans oublier ses agences commerciales réparties sur tout le territoire régional.
Standing Véranda recrute, postulez !
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Capgemini recrute partout en France :
des centaines de postes à pourvoir
A Lille, Nantes, Rennes… Capgemini recrute tous azimuts ! Le numéro 1 français de la prestation de services numériques a d’énormes besoins de main d’œuvre, de l’étudiant à l’ingénieur confirmé, du stage au CDI.
350 emplois à Lille, 500 postes à Rennes, près de 700 à Nantes la voisine et même 1400 annoncés du côté de Toulouse… Les postes à pourvoir se comptent par centaines chez Capgemini qui recrute à tout va, partout en France ! Il faut dire que les besoins en cybersécurité, Intelligence Artificielle (IA), aéronautique, automobile et autres secteurs et sujets d’actualité n’ont jamais été si forts. Le contexte géopolitique les favorise par ailleurs.
Une carrière pour tous
De l’étudiant en stage à l’ingénieur confirmé de plus de 10 ans d’expérience, Capgemini les recherche en nombre et leur propose « des opportunités de carrière » à tous, partout en France, selon la déclinaison de sa marque employeur « Get the future you want – Le futur que vous voulez« . A Toulouse, par exemple, 1.400 postes sont annoncés pour 2024 dont une centaine en alternance, comme à Nantes où 680 CDI sont promis à la signature.
Du côté de la Bretagne, ils sont près de 500 de plus attendus à Rennes où Capgemini vient, en cette rentrée, de regrouper ses troupes – soit 1.900 personnes – sur un même site (au lieu de trois) sur la zone d’activités tertiaires des Champs Blancs à Cesson-Sévigné.
Pour y faire quoi ?
Numéro 1 français et leader mondial de la prestation de services numériques, Capgemini bosse sur de nombreux sujets et secteurs d’activités, au coeur de la data. Les architectes réseaux côtoient les analystes de données sensibles, etc.
Capgemini recrute, postulez !
Pour rejoindre l’aventure chez Capgemini 👉 c’est par ici
Et pour consulter les avis de l’entreprise sur Glassdoor 👉 c’est ici
- Chiffre d’affaires de 11 138 millions d’euros au 1er semestre 2024, en recul de -2,5 % sur un an en données publiées
- Objectif 2024 de croissance du chiffre d’affaires à taux de change constants ajusté à -0,5 % à -1,5 % (contre 0 % à 3 % précédemment)


Matignon recrute un Premier ministre
pour la rentrée politique
Après les législatives anticipées du mois de juin, le poste de Premier ministre reste à pourvoir en cette rentrée politique. Matignon recrute non sans quelques difficultés et sans marque employeur… Qui a le profil pour le job ?
Le poste est à pourvoir à Paris avec de nombreux déplacements à prévoir dans l’Hexagone et même à l’étranger. L’emploi de Premier ministre de la France est disponible mais les candidatures ne se bousculent pas au portillon pour succéder à Gabriel Attal, démissionnaire depuis le 16 juillet. Qui veut le job ? Le profil est complexe. Bosseur, il ne comptera pas ses heures. Charismatique, il devra rassembler. Diplomate, il devra composer avec une Assemblée morcelée par tiers de familles politiques et cohabiter avec le président Emmanuel Macron.
Un chef d’entreprise
Quel profil pour ce métier exigeant ? Doit-il déjà avoir « fait » de la politique ? Pas nécessairement. Et si le prochain Premier ministre n’était pas issu du sérail, comme on dit ? D’ailleurs, pourquoi pas un entrepreneur, un artiste, un sportif, un journaliste, un Youtubeur même… Une personnalité issue de la fameuse « société civile ». Souvenons nous de Coluche, candidat à l’élection présidentielle de 1981. N’allons pas jusqu’à imaginer les Tuche à Matignon, mais certaines figures publiques, plus ou moins connues, pourraient faire le job.
Parmi les chefs d’entreprise qui s’expriment régulièrement sur les politiques publiques et économiques à mener pour le pays, citons par exemple Patrick Martin, l’actuel président du Medef élu depuis le mois de juillet 2023. Lors de sa rentrée à l’hippodrome de Longchamp pour la 6e Rencontre des entrepreneurs de France (REF), il a lui même indiqué vouloir que son mouvement exerce « un pouvoir positif ». Autre figure médiatique, jamais avare de conseils et de piques aux politiques, notamment lors de la rentrée, Michel-Edouard Leclerc président des centres E.Leclerc ne ferait-il pas un bon Premier ministre ? Sinon, le succès privé de Bernard Arnault, patron de l’emblématique groupe de luxe LVMH, pourrait servir une France « successful ». Il a sans doute la bonne recette. D’autres ambassadeurs du « made in France » correspondraient bien au poste, comme le dirigeant du Slip Français Guillaume Gibault ou des Tricots Saint-James Luc Lesénécal, par ailleurs président de l’Institut National des Métiers d’Art (INMA) et en charge du label national des Entreprises du patrimoine vivant, les « EPV ».
Sportif ou artiste ?
Du côté des sportifs et artistes, quelques figures populaires apparaissent spontanément : Tony Estanguet qui brille comme grand chef de l’organisation des JO de Paris2024, ou le chouchou des Français le tennisman chanteur Yannick Noah, ou encore le nouveau quadruple médaillé olympique adoré Léon Marchand, qui sait désormais comment tout transformer en or. A moins que le peuple préfère un comédien comme Jean-Pascal Zadi, déjà très à l’aise en militant engagé dans son film Tout simplement noir (2020). A 58 ans, Dany Boon pourrait également tenir le rôle, sauf si un Pierre Niney aux multiples facettes lui raflait la vedette.
En duo…
Et si un chanteur égayait Matignon ? Vous êtes plutôt Orelsan ou Zaho de Sagazan ? Les deux à la fois, pour la parité… Le tandem Bigflo et Oli pourrait bien arriver en tête des sondages pour prendre Matignon. Après tout, un autre duo est déjà prêt et rodé sous les ors de la République : McFly et Carlito (en photo). En 2021, le duo de Youtubeurs a déjà bossé avec Emmanuel Macron pour un « concours d’anecdotes » mémorable. Le numéro 1 des influenceurs français Squeezie aux près de 20 millions d’abonnés (plus d’un Français sur trois) pourrait les aider aussi. Le journaliste humoriste Guillaume Meurice vient de retrouver un emploi au média Nova, mais il aurait pu se reconvertir en politique. Ce ne serait pas le premier à basculer de l’autre côté du pupitre.
Et si notre futur Premier ministre incarnait finalement toutes ces figures ? A la fois entrepreneur, sportif car il lui faudra savoir sprinter et doser l’effort, comédien car il faut aussi en jouer, drôle car un peu d’humour et d’auto-dérision en politique ne ferait pas de mal, etc. Autant de qualités à retrouver dans une marque employeur qui reste à travailler et décliner, en vidéo notamment, pour attirer les candidats de tous horizons, plus ou moins célèbres. Et vous, qui vous verriez en futur Premier ministre ? Peut-être vous ? Il faudra ensuite composer son gouvernement, avec une diversité de profils. Un autre casse-tête en vue.
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Innoplate projette de créer 120 emplois
dans l’est de la France
A Haguenau, en Alsace, la nouvelle entreprise Innoplate crée 50 emplois et en prévoit 120 d’ici à 2030… Objectif : produire des millions de plaques bipolaires de piles à combustible, un dispositif pour générer de l’énergie électrique utile à la filière automobile.
Innoplate est une jeune joint venture (JV) créée à Haguenau, dans la région Grand Est, par les groupes industriels Schaeffler et Symbio, elle-même co-entreprise de Faurecia et Michelin. Leur objectif commun : produire à grande échelle des plaques bipolaires (type BPP), composant essentiel pour les piles à combustible pour l’automobile et les futurs véhicules à hydrogène.
120 emplois, 100 M€
A horizon 2030, environ 50 millions de ces plaques doivent être produites par an contre quatre millions actuellement. Telle est l’ambition d’Innoplate qui recrute. Déjà 50 postes d’ingénieurs et techniciens ont été créées pour lancer cette activité d’avenir. A terme, le projet soutenu par France 2030 et les acteurs institutionnels locaux prévoit même 120 emplois. L’entreprise recrute déjà des opérateurs de production et de contrôle qualité, mais aussi des administrateurs réseaux & infrastructures, des techniciens de maintenance…
Le nouvel atelier de 5.500 mètres carrés au sein de l’équipementier automobile Schaeffler a été inauguré le 6 juin 2024 en Alsace. Un exemple et futur fleuron de la collaboration industrielle franco-allemande. L’investissement global représentera environ 100 millions d’euros.
Innoplate recrute, postulez !
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