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Devenir agent secret : un rêve de gosse qui peut devenir réalité. Le « Renseignement » français recrute à tour de bras ! Les effectifs de la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure) et de la DGSI (son homologue pour l’Intérieur) auraient même gonflé d’un tiers en trois ans, respectivement à 6.500 salariés pour la première et 4.500 chez la seconde direction.

« Contractuels » bienvenus !

Il n’y a pas que des militaires et des super-flics dans le bureau des candidats au poste. Les « contractuels » sont également les bienvenus : généralement pour des contrats de trois ans, renouvelables. Pour les autres, l’entrée se fait sur concours et la rémunération annuelle avoisine les 35.000 euros bruts en salaire de base. Qualité principale requise : la discrétion absolue ! Les agents signent une charte secret-défense.

Jobs variés

Les postes sont variés, autour notamment de la cybercriminalité et de la cyberdéfense. L’analyse de données est primordiale et les services de renseignement recrutent désormais tous azimuts : de l’ingénieur à l’étudiant en filière générale, en passant par des linguistes, psychologues… Il n’y a pas que l’informatique ! La DGSE a un besoin, par exemple, de 500 embauches par an en moyenne. Et hormis la DGSI-DGSE, les recrutements concernent aussi Tracfin, DRM, DRSD, DNRED. Autant de sigles pour les divers services renseignement français. Les débouchés ne manquent pas. L’effet « attentats » est (malheureusement) passé par là.

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